Voilà la suite, et g tjs besion de vote pour le sondage, paske du cinquante cinquante, je c pas quoi faire là lol
Le lendemain le tournage commença, mais Orlando n'avait encore une fois, pas réussi à dormir, les cernes sous ses yeux étaient là pour le prouver. Mais cela n'affectait en rien son travail. Au bout d’un moment, Orlando prit une pause et après avoir longuement regardé Johnny travailler, il parti s’enfermer dans sa caravane.
Il n’en pouvait plus de passer ses journées avec celui qu’il aimait sans pouvoir le lui dire. Même si il s’était confié à Mackenzie, un poids, restait sur son cœur. Il avait besoin de s’en libérer. Il prit son sac et en sortit un petit cahier noir. Ce cahier était remplit de toutes les pensées d’Orlando depuis ses débuts de carrière, tout ce qu’il ne pouvait partager y était écrit, il prit un stylo et se mit à consigner ses sentiments. Il raconta d’abords ce qui s’était passé depuis son arrivée. Puis rien qu’avec des mots, il exprima toute sa souffrance, sa colère et son amour ... un amour impossible comme dans les grandes histoires, mais là cela ne pouvait finir par un ’’ Happy End ’’, même avant d’exister cette amour était utopique. Le flot des ses pensées se déversa sur ce cahier, seul témoin de tous les tourments de la vie de l’acteur. Orlando y parla de son dégoût de vivre, comment pouvait-il être heureux sans lui ? Les gens rêvaient de gloire et d’argent, lui les avait mais il ne songeait qu’à lui.
Orlando commença à se sentir mieux, il ferma les yeux pour se calmer et respira un bon coup. Soudain on frappa à la porte, Orlando se dépêcha, de ranger le cahier dans son sac et mis celui-ci sur la table, puis il alla ouvrir.
-Jack !
-Désolé de te déranger mais, je m’inquiétais de ne pas te voir sur le plateau.
-Oh, c’est juste un coup de fatigue.
-J’ai l’impression que tu ne dors pas beaucoup, il y à un truc qui va pas ?
-Si tout va bien, mentit Orlando.
-J’allais prendre un verre au bar d’à côté, tu veux venir ?
-Oui, pourquoi pas ?
Orlando, rentra dans sa caravane et prit sa veste, qui était à côté de son sac, et sans s’en rendre compte, il le fit tombé et le petit cahier s’en échappa. Orlando sortit et claqua la porte sans la fermer à clé.
Johnny avait fini sa journée, il se tourna vers le réalisateur et lui demanda.
-Tu n’aurais pas vu Orlando ?
-La dernière fois que je l’ai vu, il partait en direction de sa caravane.
-OK, merci, on se revoit demain ?
-Euh non, je vous ai pas prévenu mais demain vous avez votre journée, je dois m’occuper de certains trucs, tu pourras le dire à Orlando ?
-Pas d’problème, bonsoir.
-Bonsoir.
Johnny partit donc vers la loge d’Orlando, il frappa mais personne ne répondit, il actionna la poignée de la porte, et fut surpris lorsque celle-ci s’ouvrit. Il rentra, il regarda un peu partout pour voir si le jeune homme était là, puis il aperçut un petit cahier noir, sur le sol. Il le ramassa, ainsi que le sac qui se trouvait à coté.
Il sourit pensant que ce cahier devait être remplit de numéros de téléphones de ses nombreuses conquêtes, il l’ouvrit, vers la fin et fut surpris en lisant la première ligne « Pourquoi a-t-il fallut que je tombe amoureux de lui ». Johnny continua de lire, son visage s’attristait au fur et à mesure, que les mots défilaient, jamais il n’aurait pu penser que quelqu’un pourrait souffrir autant par sa faute, sans qu’il n’ait eu le temps de réagir, la porte de la caravane s’ouvrit.
Au moment où Johnny croisa le regard d’Orlando, il lâcha le cahier. Orlando restait sur le pas de la porte, regardant Johnny avec une lueur de surprise et d’incompréhension dans les yeux. Son regard alla du cahier à Johnny puis comprenant enfin ce qui se passait, il réagi.
-Qu’est-ce que tu faisais ?
- ...
-Répond ! cria Orlando
- Je ...
-Tu l’as lu, hein ? Pourquoi tu l’as lu ? Tu fouillais dans mes affaires c’est ça ?
-Non ... non je voulais te parler, et je suis entré, et j’ai vu ce carnet par terre alors je l’ai ramassé et ...
-Et tu t’es dis que tu pouvais lire ce qu’il y avait dedans !!!!
-Je l’ai juste ouvert et en lisant la première ligne ...
-Tu as trouvé ça marrant de lire que je souffrais ...
-Non !
-Alors quoi ! Pou ... pourquoi tu l’as lu ?
-...
-Pourquoi ? !
-Ecoute, j’ai cru que c’était un autre de tes carnets remplit de numéros de tes nombreuses conquêtes, j’étais juste curieux de savoir quelles célébrités tu avais courtisé.
-Tu ... Tu te fous de moi en plus !!!
-Non ... je
-Bon sang, c’est quoi ton problème ! Répond ! Tu disais que nous étions amis ... les amis ne fouillent pas dans les affaires bordel !
-Arrête de t’énerver !
-Que j’arrête de m’énerver, comment veux tu que ...
Johnny avait stoppé Orlando, en plaquant ses lèvres contre les siennes. Orlando ne le repoussa pas, il caressa les lèvres du ‘’pirate ‘’ avec sa langue et en força l’ouverture, mais en sentant la langue du jeune homme jouer avec la sienne, Johnny reprit ses esprits, se détacha du baiser et s’enfuit sans un mot.
Lorsque Orlando sortit de son hébétude, la fureur remonta de nouveau, il partit en courant, il ne voulait pas le laisser partir, pas une nouvelle fois. Ils arrivèrent sur la plage. Là Orlando finit pas rattraper son ami, il se jeta sur lui, le plaquant au sol. Le jeune homme s’assit sur le ventre de l’acteur et lui bloqua les bras.
Orlando était à deux doigts de le frapper, il ne pouvait réfléchir, aveuglé par sa colère.
-Orly, ca ... calme toi, OK.
-Me calmer! Tu ... tu lis un truc que tu n’aurais jamais dû lire, tu m’embrasses et tu te casses, et je dois rester calme ?!
- ...
-Pourquoi t’as fais ça ? Tu trouvais que je ne souffrais pas assez ? Ce que tu as lu t’a plu et tu voulais continuer ?
-...
-Dis quelque chose !
-Euh ... pourparlers ?
Orlando ouvrit grand les yeux, complètement ahuri.
-Tu crois vraiment que c’est le moment de faire de l’humour ?
-Ecoute Orlando, si j’ai lu ce cahier ... c’est ... je savais que tu m’aimais, et chaque jour, depuis le début du tournage, je te voyais ne plus dormir, ne plus manger, j’avais l’impression de te voir mourir. Et quand j’ai commencé à lire, j’ai voulu comprendre ce qu’il t’arrivait ... mais, j’ai découvert que même si je veux t’aider, je ne le peux pas.
-Comment ça ?
-Tu souffres parce que tu m’aimes, et moi ... en découvrant tes sentiments j’ai ... constaté ... les miens. Mais je n’ai pas le droit de t’aimer, j’ai une femme et des enfants ... tu vas encore penser que je suis égoïste mais ...
-Je comprends.
Orlando s’était calmé, il se leva et parti sans rien dire. Johnny se leva à son tour, il passa une main dans ses cheveux, il était embarrassé, il ne voulait pas être la cause du malheur d’Orlando.
-Orly !!
Le jeune homme, déjà assez loin se retourna, des larmes silencieuses coulaient le long de ses joues. Johnny parcouru la distance entre eux et s’arrêta à quelques centimètres du visage d’Orlando. Ils n’avaient qu’un geste à faire pour s’unir. Johnny caressa tendrement la joue d’Orlando afin d’effacer ses larmes. Orlando ferma les yeux, savourant ces caresses qui pourtant n’étaient que tortures.
La main de l’acteur remonta, caressant sa tempe, puis elle glissa pour effleurer ses lèvres, il se pencha un peu, posa sa main sur la nuque d’Orlando et l’embrassa. Orlando entrouvrit la bouche, laissant la langue de l’autre homme s’y aventurer. Orlando et Johnny menèrent un duel sensuel, leur langue se caressant menant un combat, à celui qui donnerait le plus de plaisir. Ils finirent par se séparer, à bout de souffle.
-Johnny je ...
-Chuuuuut
Johnny recommença à l’embrasser, mais Orlando savait que cela ne les mènerait à rien. Il se détacha du baiser.
-Orly ?
-Johnny, tu as un choix à faire, c’est ta femme ou moi. Mais tu as déjà fait ce choix, alors ne me fais pas souffrir inutilement.
-Je suis désolé, dit Johnny en murmurant.
-Pas autant que moi.
Orlando repartit, il alla à sa caravane, reprit le cahier noir, et écrivit.
a suivre ...
PS : vous avez le bonjour de tatunette ^^
_________________ C'est pas parce que c'est un film sur les handicapés qu'il doit y avoir que des handicapés dans la salle, monsieur ! Parce que quand il y a eu la Marche de l'Empereur, il me semblait pas qu'il y avait des pingouins "- Mais madame ce n'est pas une galette que vous tenez, c'est un enfant!" "- Oh c'est parce que je viens d'accoucher, j'ai pas l'habitude... "Vous avez coupé votre femme en morceaux, vous avez peinds les morceaux et vous les avez exposé dans une exposition pop art. Mais vous êtes un artiste!'' Je crois qu'on est sur une aire ou y'a des mecs qui aiment bien les sensass'. Je crois qu'on est sur une aire où quand t'es une petite connasse, il vaut mieux faire demi tour. Je crois qu'on est sur une aire de paintball.
|