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vala enfin la suite, je c g mis du tps, mais j'avais un grand manque d'inspiration, tout d'abord je v faire un grand calin a orlidom qui m'a bcp aidé, donc merci ma orlidom d'amur !!
Le lendemain, tout était calme, il n’y avait pas un bruit au dehors, tout le monde dormait, certain avait eux une nuit agité, d’autre avait passé leur nuit à se poser des questions. Dans sa caravane, Orlando fut le premier à se lever, il sourit voyant le corps de Johnny, nu, blottit contre le sien. Il sentait la chaleur émanant de son amant, une chaleur rassurante. Il laissa le bout des ses doigts caresser lentement le dos de son amant, descendant de la nuque jusqu'au creux de ses reins, puis s’arrachant à cette vision enchanteresse, il se leva, allant dans sa petite cuisine, se préparer un thé, la journée allait encore être longue, mais depuis qu’il était avec Johnny, il se sentait d’attaque pour travailler sans cesse, rien ne pouvait l’arrêter, et rien ne pouvait semble t’il gâcher son bonheur.
Après avoir bu son thé, il se redirigea vers sa chambre, il s'appuya contre l’embrasure de la porte, observant encore cet homme qui l’avait rendu malheureux, qui aujourd’hui lui redonnait espoir, cet homme pour qui il ne dormait plus et qui maintenant lui offrait des nuits inoubliables, cet homme qui lui avait fait perdre le goût de la vie, qui à présent était devenu sa seule raison de vivre. Un sourire amer vient étirer ses lèvre au souvenir des ses instant où il n’avait été que l’ombre de lui-même.
Il finit de s’habiller, et regardant l’heure, il vit à regret qu’il allait être obligé de réveiller Johnny, il s’avança lentement sur le lit à quatre pattes.
- Johnny, murmura t’il, il faut te réveillé
- Mmmmmhhhh … nooon, j’veux pas, bougonna l’endormi
- Et si il le faut, et je te préviens que si tu ne te lèves pas tout de suite, je te ferais subir les pires tortures.
- Ah, ça m’intéresse !
Johnny se retourna, regardant Orlando, affichant un air gourmand, le jeune homme éclata de rire.
- Tu as bien dormi, demanda Orlando après s’être calmé
- Oui, très bien, j’étais très bien installé contre toi … et toi, tu a bien dormi ?
- Oui … d’ailleurs j’ai encore rêvé du beau blond.
Avant qu’il n’ai pu s’apercevoir du mouvement que faisait Johnny, Orlando se prit un coussin dans la tête, que lui avait jeté son amant.
- T’as pas le droit d’être avec un autre même si il est beau !
Orlando voulut lui répliquer que lui étais bien avec Vanessa, mais il ne préféra pas envenimer les choses.
- Dis moi Johnny, est que chaque matin où je vais me réveiller avec toi, je vais devoir me prendre des coups ?
- Non, mais ne t’inquiète pas, je serai là pour te soigné au cas où.
Orlando se pencha sur Johnny, et l’embrassa, laissant une nouvelle fois ses mains errées sur la peau hâler de l’homme en dessous de lui. Alors qu’il commençait encore à caresser son dos, il entendit des coups frappés à sa porte.
- Et est ce que tu crois, qu’un jour on arrivera à ne pas être dérangé.
Orlando soupira, et se leva, il s’habilla, et alla ouvrir, il se retrouva nez à nez avec Keira.
- Salut Orlando, je ne te dérange pas ?
- Euh ben … non, non.
- Alors je peux entrer ?
- Euh … oui, bien sûr… euh … tu m’excuses je vais un moment dans ma chambre pour … pour me prendre un autre pull.
- Tu as froid ?
- Euh, oui un peu, je viens juste de sortir du lit alors le changement de température est difficile.
Orlando, partit précipitamment dans sa chambre, devant sa mine alarmé, Johnny s’inquiéta.
- Qu’est ce qui se passe, on dirait que tu as vu un fantôme ?
- Chuuuuuttt, Keira est à coter …
- QUOI MAIS …. Quoi mais, pourquoi ? demanda Johnny, se rendant soudain compte qu’elle pouvait l’entendre
- Je sais pas, bon toi tu t’habilles, et moi je vais essayer de la faire partir, au pire et ben tu reste là et tu dis rien, répondit Orlando en chuchotant
- Mais …
Orlando l’embrassa, pour mettre fin à le conversation, puis il sortit faisant attention de ne pas trop ouvrir la porte, il se trouva devant Keira et s’aperçut qu’il avait oublié de prendre un pull.
- Ben et ton pull ?
- Euh … il n’y en avait pas dans ma chambre, il doit y en avoir un quelque part, dit Orlando de plus en plus mal à l’aise
Par bonheur, il repéra un pull, sur le dossier d’une chaise, il le prit et l’enfila, puis il se tourna de nouveau vers Keira.
- Euh … qu’est que tu voulais au juste ?
- Ben rien.
- Comment ça rien, tu es venu me voir pour … rien ?
- Ben oui, pourquoi, je dois avoir une raison pour venir te voir maintenant ?
- Non mais … à huit heures du matin c’est quand même étrange que tu viennes ici juste pour … me voir.
- Je ne trouve pas moi.
- Euh … dis moi ça va mieux depuis hier, si tu veux on peux aller en parler autour d’un petit déjeuner, on pourrait aller le prendre en ville.
- Désolé, mais j’ai déjà mangé, et ça va beaucoup mieux, tu m’a bien aidé hier.
- C’est tout à fais normal … surtout si tu as encre besoin de parler, tu peux compter sur moi … tu veux qu’on aille marcher pour en discuter
- Mais puisque je te dis que ça va mieux … on dirait que tu ne veux pas que je reste chez toi … aurais tu des choses à me cacher ?
- Bien sûr que non, que veux tu que je te cache ?
Orlando se sentait coincé, mais ce n’était rien par rapport à Johnny, toujours enfermé dans la chambre, se jurant à lui-même que plus jamais il n’irait dans la caravane d’Orlando. De l’autre côté de la porte, Keira, qui curieusement était habillée d’une tenue assez courte, continuait de tenir Orlando en « otage », celui ci, ne semblait pas se rendre compte du manège que jouait la jeune fille devant lui. Alors qu’ils continuaient de parler, Orlando tentant toujours de la faire sortir, Keira avait légèrement dénudé une des ses épaules,
- Hum … Orlando dit moi, avec Kate, c’est vraiment fini … fini ?
- Oui, pourquoi tu me demandes ça ?
- Comme ça.
Un bruit ce fit entendre dans la chambre. Orlando regarda la porte l’ air inquiète, mais Keira, trop occupé a dévoré Orlando de la tête aux pieds ne le remarqua pas, Orlando cherchait un moyen pour aller voir ce que Johnny faisait.
- Tu m’excuses mais … j’ai cru entendre mon portable dans ma chambre, je vais aller voir.
Keira sourit, puis elle regarda la table à côté d’elle, où était posé le téléphone d’Orlando.
- Euh … Orly, il est là ton portable.
- Ah … euh … ban ça devait pas être ça alors, dit Orlando crispé
Keira ne comprenait pas ce qui lui arrivait, elle pensait qu’Orlando était tellement impressionné par elle, qu’il voulait partir , mais … j’ai quand même cru entendre quelque chose sonné dans ma chambre, je vais allé voir.
Keira lui fit un clin d’œil, alors qu’il partait, elle frôla son bras avec sa main. Orlando ne sentit rien, il ouvrit la porte de sa chambre, et trouva Johnny qui affichait un air sombre.
- Tu peux me dire ce que tu fait ? demanda Orlando en chuchotant, elle aurait pu venir voir ici, si …
- Si elle avait entendu le bruit, dit Johnny qui avait du mal à se retenir de crier, mais je crois qu’elle était trop occupée à te draguer.
- Quoi ? mais de quoi tu parles ?
- Je l’ai vu, par la serrure, les petits sourires, le clin d’œil, sa tenu de …
- Ne l’insulte pas !
- Et quand t’es partit, la façon dont elle a frôler ton bras.
- Mais qu’est ce que tu racontes ?
- Ne me dis pas que t’as pas remarqué son petit manège, dit Johnny de plus en plus en colère.
- Non … tu veux dire que là elle …
- Oui, et si elle continu je vais finir par sortir de cette chambre, d’ailleurs qu’est que tu attends pour la faire partir, je vais pas rester toute la journée ici moi !
- Mais on dirait qu’elle ne veut pas partir, j’ai bien essayé mais …
- Mais elle reste collé à toi comme une sangsue, cracha Johnny
- Johnny calme toi, je vais bien réussir à la faire partir.
- Tu à intérêt sinon …
- Sinon c’est toi qui le fais, je sais.
Orlando sortit, légèrement en colère, il allait renvoyer Keira lorsque quelqu’un frappa à la porte de sa caravane, il alla ouvrir et tomba sur Jack.
- Il manquait plus que ça, dit il entre ses dents, Jack !qu’est ce que tu viens faire ici.
- Et bien je voudrait m’excusé pour … tu c’est quoi, dit il en remarquant Keira, je … euh
Jack remarqua l’air désespérer d’Orlando et comprit que la jeune femme lui posait problème.
- Euh Keira, je suis désolé mais euh … je dois parler à Orlando … en privé.
Le visage de Keira se décomposa pendant un instant, mais elle reprit vite son sourire, elle passa à côté d’Orlando, en le frôlant une nouvelle fois, puis partit en lui lançant un dernier clin d’œil. Après qu’elle est fermée la porte, Orlando s’écroula dans un fauteuil en soupirant.
- Ben dis donc, on peux dire qu’elle est accro elle ?
- C’est bien ça le problème.
- Elle ne t’intéresse pas ?
Orlando leva la tête vers Jack et se leva, il alla ouvrir sa chambre, Johnny sortit de la pièce en criant.
- Et bah c’est pas trop tôt, tu … Jack ?! Mais qu’est qu’il fait là lui ?
- Johnny premièrement tu te calmes, sinon je t’enferme à clé dans cette chambre, Jack s’est excusé et c’est lui qui a fait partir Keira.
Orlando se tourna vers Jack
- Encore une fois, je suis désolé, je regrette ce que j’ai fais, pas une seule fois je n’ai voulu te faire de mal, et comme tu dois te le douté, je suis avec Johnny et …
- Et moi je suis avec Mack !
- Et … TU QUOI ?! Tu es avec Mack mais c’est génial pour lui … et pour toi aussi bien sûr c’est … mais comment … quand … où ?
- Hier soir … sur la plage et … pour le « comment « et bien de la même façon que toi je crois.
- Oh … oui … mais il est où Mack ?
- Il est repartit à sa caravane, j’étais juste passé pour m’excuser.
- Au faite je ne t’ai pas remercié pour avoir fait partir Keira.
- Elle reviendra, dit Jack en souriant
- Comment ça ?
- Elle ne te lâchera pas tant qu’elle n’aura pas se qu’elle veut, rajouta Johnny
- Elle va te traquer, te suivre partout, dis Jack de plus en plus amusé devant la mine déconfite d’Orlando
- Et comment je fais pour la faire fuir ?
Jack tapota l’épaule d’Orlando, et partit en lui disant bonne chance.
La journée se passa plutôt bien, malgré qu’Orlando ne pouvait pas tourner la tête, sans croiser Keira, elle le suivait sans cesse, plusieurs fois il failli aller la voir pour la faire partir, mais Johnny l’en empêchait, il commençait a s’amuser de cette situation, même si il faisait très attention à Orlando. A l’heure où ils devaient manger, Orlando réussi à s’échappé, il prit un bout de pain et partit dans sa caravane le manger, sans que Keira ne l’ai vu, celle-ci s’approcha de Johnny qui rigolait avec Mack et Jack sur les « problèmes » d’Orlando.
- Salut les gars, vous n’auriez pas vu Orlando
Mack et Jack furent obligé de se lever prirent d’un fou rire, Johnny qui essayait de se retenir lui répondit :
- Hum … non … pourquoi ?
- Et bien, dit elle en s’asseyant, tu vas trouvé ça idiot mais … je crois que je suis amoureuse d’Orlando.
Johnny se mordit l’intérieur de la lèvre, pour se retenir de rire, il essaya de prendre une mine sérieuse.
- Ah bon, mais … tu lui a dis ?
- Mais bien sûr que non.
- Tu peux …. Tu devrais aller le voir et … hum … lui dire.
- Tu crois ?
Johnny avait envie de la pousser vers lui-même si il était conscient que cela n’était que de la pure méchanceté.
- Oui, oui, tu sais il vient de se séparer de son amie, il a sûrement besoin de quelqu’un.
- Mais j’ai l’impression qu’il a quelqu’un d’autre … il t’en aurait pas parler à toi ?
- Bien sûr que non, sinon je te l’aurai dis.
- Merci … ça fait du bien de savoir qu’on peut compter sur des gens comme toi.
- C’est bien normal.
Keira se leva et partit à la recherche d’Orlando, après un moment, Johnny qui savait où il était partit le rejoindre, il frappa à la caravane, mais personne ne répondit, il ouvrit et entra.
- Orlando, c’est moi.
- Johnny ?
- Oui.
Orlando sortit de sa chambre.
- Elle est venu, elle a frappé à la porte mais j’ai pas répondu, elle est repartit mais elle va revenir je le sais.
- Calme toi.
Johnny s’approcha de jeune homme, il passa sa main sur sa joue.
- Même si elle te poursuit toute ta vie, je serai la pour l’empêcher de te dévorer tout cru.
- C’est fou comme ça me rassure !
Alors que Johnny s’approchait de lui pour l’embrasser, quelqu’un frappa à la porte, se doutant que cela devait être Keira, Johnny se cacha sous une petite table, dont le nappe était assez long. Keira entra.
- Salut Orlando, je ne t’ai pas vu au déjeuner, qu’est que tu faisais ?
- Je … je me sentait pas très bien, mais ça va mieux.
- Oh d’accord, hum je voulais savoir si … si ce soir tu voulais bien venir dîner avec moi ?
- Ce soir ! … euh ben … écoute je te rappelle, je doit voir si je suis libre.
Il prit Keira par les épaules, et la mené vers la sortit.
- Mais tu ne peux pas vérifier maintenant ?
- Non je … ne t’inquiètes pas je te rappelle.
Elle sortit et Orlando ferma la porte, il s’adossa contre celle-ci, Johnny sortit de dessous la table en rigolant.
- Tu vas vraiment la rappeler ?
Orlando ne répondit pas. Les deux hommes parlèrent un moment, s’embrassant de temps en temps, ils en oublièrent Keira, les heures passèrent, Keira se rendit au restaurant, mais se rappela qu’Orlando ne l’avait pas appelé, elle fit donc demi tour et alla à la caravane d’Orlando. Elle frappa, c’est à ce moment qu’ils s’en rappelèrent, Johnny retourna sous sa table, et Keira entra.
- Bah alors Orly, pourquoi tu m’as pas appelé ?
Orlando commençait à en avoir assez.
- Pourquoi tu m’harcèles comme ça ! je … je n’en peux plus, arrête !!!
Keira prit une grande inspiration et décida de suivre les conseils de Johnny.
- Mais c’est parce que je t’aime ! Tu m’as tant aidé, après ma séparation, tu as été si gentil, je … je te le dis, je t’aime !
- MAIS PAS MOI !!!
Keira parut bouleverser, elle gifla Orlando et partit en pleurant. Orlando s’en voulait un peu, mais il devait avouer que cela l’avait soulagé, Johnny ressorti de dessous sa table, il se mit à applaudir Orlando.
- Alors là, bravo mon vieux, tout dans la finesse.
Orlando sourit l’air gêner, le « pirate » s’approcha de lui et l’embrassa. Un certain temps passa, de son côté, Keira avait cessé de pleurer, elle s’en voulait d’avoir giflé Orlando, elle se résigna donc à aller le voir pour se faire pardonné, espérant encore qu’il veuille bien d’elle, car malgré tout, elle l’aimait toujours. Elle partit donc une nouvelle fois vers la caravane du jeune homme. Elle ne pensa pas à frapper. Johnny embrassait toujours Orlando, lorsqu’elle entra.
- Orlando tu …
Les deux amants se séparèrent rapidement en voyant Keira qui les regardait d’un air choqué, Orlando baissa la tête et Johnny parut gêner.
- Orlando ! Johnny … mais qu’est ce que … ?
Keira fit demi tour, elle ferma la porte violement et partit en pleurant.
_________________ C'est pas parce que c'est un film sur les handicapés qu'il doit y avoir que des handicapés dans la salle, monsieur ! Parce que quand il y a eu la Marche de l'Empereur, il me semblait pas qu'il y avait des pingouins "- Mais madame ce n'est pas une galette que vous tenez, c'est un enfant!" "- Oh c'est parce que je viens d'accoucher, j'ai pas l'habitude...
"Vous avez coupé votre femme en morceaux, vous avez peinds les morceaux et vous les avez exposé dans une exposition pop art. Mais vous êtes un artiste!'' Je crois qu'on est sur une aire ou y'a des mecs qui aiment bien les sensass'. Je crois qu'on est sur une aire où quand t'es une petite connasse, il vaut mieux faire demi tour. Je crois qu'on est sur une aire de paintball.
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Je vais essayer de la retrouver !
)
nonnnnn mon orly ne merite pas ca!