mici orlidom, non non les 2 ne forment un couple et je pense qu'il n'en formeront pas un ... en faite je c pas.
voilà la suite, et vi pour une fois je suis rapide
POV Johnny
Orlando, m’aimer, c’était impossible. Il était réputé pour adorer les femmes, et il savait que j’étais avec Vanessa, et puis il était plus jeune.
« Et alors, et alors ? » Murmurait ma conscience.
Voilà donc la raison pour laquelle il a réagit ainsi hier soir, mais pourquoi alors est-ce moi qui lui est reproché le premier de ne pas m’avoir appelé ? Pourquoi m’avait il manqué autant que moi je lui avais manqué et pourquoi là encore il me manquait terriblement. « Tu le sais, tu le sais » Ne cessait de répéter ma conscience.
Moi, amoureux d’Orlando ! Non ... non, c’était pas possible, j’aimais ma femme plus que tout. « Alors pourquoi même quand elle était là tu pensais à lui ? » Mais c’était Orlando ... Orlando « Oui Orlando, l’homme le plus beau que tu n’es jamais vu, la seule raison pour laquelle tu as accepté de faire ce second film, et la personne que tu désespérais de ne plus revoir »
Comment avais-je fais pour ne pas m’en rendre compte ? C’était si évident... Mack m’a dit de l’écouter, mais voudra t’il seulement me parler ?
C’est lorsque que je foulais le sable, que je vis que j’étais arrivé sur la plage ... notre plage. Je m’assis et réfléchis à l’évidence qui venait de s’ouvrir à mes yeux : j’aimais Orlando. Mais peut-être que maintenant il me détestait... Pourquoi, pourquoi a-t-il fallu que cela m’arrive et pourquoi fallait t’il que je l’aime. « Ce n’est pas toi qui décides, tu l’aimes et c’est tout ». Je croyais avoir déjà connu l’amour, mais je n’en connaissais qu’une petite partie, et c’était Orlando qui devait m’aider à en découvrir chaque visage, les bons ... comme les mauvais.
Fin du POV
Alors que Johnny restait là, à se poser des questions, Orlando avait quitté Mack, il voulait le voir, sans savoir exactement pourquoi, il se dirigea directement vers la plage, il sourit voyant l’être qui lui était si cher, assit sur le sable. Il se dirigea lentement vers lui, appréhendant le moment où il devrait lui parler.
Orlando reprit sa respiration, et se lança :
-Euh, Johnny ?
Le concerné, sursauta et se retourna, en lançant un regard noir, à celui qui venait le troubler, mais ses traits se radoucirent, en voyant la personne qui l’avait dérangé.
-Hey, salut !
-Je ... je peux m’asseoir ?
-Oui, oui bien sûr.
-Je ... je voudrais m’excuser de ... d’avoir réagi comme ça, tu avais raison et j’avais tord, je ... me rends compte que ... moi je n’ai pas tout ce que toi tu as, et je ... j’ai eu peur que tu m’aies oublié. C’était la chose que je redoutais le plus et ... je suis désolé, vraiment, je suis désolé ... Et je comprendrai si tu ne veux plus qu’on soit ... amis.
-...
-Johnny ?
-Arrête de dire des bêtises, dit Johnny en souriant.
Johnny, prit la chaîne qu’il avait gardée et la rendit à Orlando dont le visage, crispé par l’inquiétude commençait à se détendre.
-Alors ... amis ?
-Amis.
Johnny, qui savait à présent combien c’était dur pour Orlando, de n’être qu’amis, le serra dans ses bras dans une étreinte amicale. Les deux hommes se séparèrent, et le silence s’installa mais Johnny finit par le rompre.
-Orly ?
-Mmh
-Tu ... tu m’as dit que toi ... Kate vous ... vous étiez séparés ... qu’est-ce qui ... enfin je veux dire ...
-Tu veux savoir ce qui s’est passé ?
-Hum ... oui.
-Et bien, au début, tout allait bien, et un jour, on s’est disputés, et elle est partit. Je ne savais pas quoi faire alors j’ai appelé une amie, qui m’a dit de la laissée tomber, qu’elle ne valait rien et que c’était une ... pouffe.
-Une pouffe !
-Oui, oui, elle s’est autoproclamée ’’ détecteur de potiche ’’ et elle m’a dit qu’après Arwen, Kate était la plus grosse potiche qu’elle ait jamais vue.
-Ton amie a du flair, Orly ... c’est qui cette fille ?
-C’est une fille que j’ai rencontrée pendant un voyage en France, elle travaillait dans une boutique de vêtement à Paris, et tu me connais, je peux passer des heures dans un magasin. Du coup, elle a passé son temps à me conseiller et on a sympathisé.
-A mon avis, si cette fille t’as dit de laisser partir Kate c’est que ... elle voulait prendre sa place.
-Non tu rigoles, elle est trop jeune, et puis ce n’est pas mon style.
-Depuis quand tu repousses une fille qui n’est pas de ton style ?
-Non, je t’assure, elle est vraiment spéciale.
-Et qu’est-ce qu’elle a de si ‘’ spécial ‘’ ?
-Quand elle ne travaille pas, elle passe des heures sur Internet à discuter de ... comment elle dit déjà ? de slash ! voilà, elle parle de slash.
-C’est quoi ?
-J’en ai pas la moindre idée, et elle n’a jamais voulu m’en parler. Et puis à part le fait qu’elle soit une cyberdroguée, elle ... elle est un peu bizarre.
-Bizarre ?
-Oui, elle s’habille en noir et écoute souvent du Marilyn Manson.
-Alors Orly dans ce cas là, on dit pas bizarre mais gothique.
-Peut être, et parfois, quand je suis gentil avec elle, elle me dit « comme c’est fluffy ! ». Et si je lui prononce le nom d’Arwen, alors là elle ressemble à un chien enragé. Et quand je lui parle de Viggo Mortensen, et ben là, elle affiche un drôle se sourire.
-Ah ouais, je te comprends, l’important c’est qu’elle t’ai ouvert les yeux.
-Pourquoi tu dis ça, toi non plus t’aimais pas Kate ? Tu ne la connaissais pas.
-Orly, rien qu’en la voyant on s’aperçoit que c’est une potiche, tu fais de bons choix pour ce qui est de tes films, mais tes conquêtes laissent à désirer.
-...
-Orlando ?
-Mh, oui tu as sûrement raison.
-ça va ?
-Oui, enfin, non, j’ai mal à la tête et je suis assez fatigué, j’ai beaucoup aimé discuter avec toi, et je suis content qu’on ait pu mettre les choses au clair.
-Moi aussi, tu ferais mieux d’aller te reposer, demain on travaille.
-Ouais, alors à demain.
Orlando partit, laissant une nouvelle fois Johnny tout seul, mais cela fut de courte durée, car Mackenzie, qui les espionnait, vint trouvé Johnny.
-Alors, t’as parlé avec le Marin d’Eau Douce ?
-Pourquoi tu l’appelles comme ça ?
-Tu préférais que je l’appelle, p’tit bichon ?
-Mack, pourquoi ne sait t’il pas que je sais, ce que toi tu sais ?
-...
-Mack ?
-Tu peux répéter la question ?
-Pourquoi ne sait il pas, que je sais qu’il m’aime ?
-Et lui, pourquoi il ne sait pas que tu sais que tu l’aimes ?
-Comment tu sais ça ?
-Johnny, tu as beau être plus vieux que moi ... je ne suis pas un abruti. Alors tu vas le lui dire ?
-Non
-Comment ça non ?
-Mack, j’ai une famille moi.
-Et tu vas laisser tombé ton bonheur et le sien pour ta famille ?
-Tu ne te rends pas compte Mack.
-Ce dont je me rends compte, c’est que tu vas vivre toute ta vie malheureux, avec une femme que tu n’aimes plus, et que tu vas aussi faire souffrir Orlando. Oh bien sûr il se trouvera une potiche qui lui prendra son argent et qui voudra être dans son lit, ça c’est sûr, mais tu sais tout comme moi que j’ai raison.
-Mack, moi je ...
-Toi, toi toi, il n’y en a que pour toi, et lui, tu y penses ?
-Oui je pense à lui, chaque jour je pense à lui, chaque nuit je pense à lui, quand j’ fais l’amour à ma femme je pense à lui, quand je joue avec mes enfants je pense à lui .
-Et ben alors ? Où est le problème ?
-Tu m’imagine dire un jour à mes enfants, désolé papa s’en va, il part avec un homme ! ?
-...
-C’est bien se que je pensais, alors avant de me faire la morale, réfléchis un peu ... pourquoi tu fais ça ? Pourquoi essayes-tu a tout pris de nous mettre ensemble Orlando et moi ?
-Vous êtes mes amis.
-Non, il n’y a pas que ça, pourquoi t’y acharnes-tu à ce point ?
-Je veux simplement que vous soyez heureux.
-Alors tu l’aimes vraiment Jack ?
-...
-Mack !
-Oui je l’aime, comme Orly t’aime, c'est-à-dire avec passion mais sans aucun espoir. Je veux simplement qu’Orlando ne vive pas ce que moi je vis.
-Tu l’aimes bien Orlando.
-Oui, mais je te le laisse, après tout c’est un Marin d’Eau Douce, moi ... je suis un pirate.
Les deux hommes se mirent à rire, oubliant, ce qui venait d’être dit.
PS : si la fille dont parle orly vous dit kk chose c normal ^^
_________________ C'est pas parce que c'est un film sur les handicapés qu'il doit y avoir que des handicapés dans la salle, monsieur ! Parce que quand il y a eu la Marche de l'Empereur, il me semblait pas qu'il y avait des pingouins "- Mais madame ce n'est pas une galette que vous tenez, c'est un enfant!" "- Oh c'est parce que je viens d'accoucher, j'ai pas l'habitude... "Vous avez coupé votre femme en morceaux, vous avez peinds les morceaux et vous les avez exposé dans une exposition pop art. Mais vous êtes un artiste!'' Je crois qu'on est sur une aire ou y'a des mecs qui aiment bien les sensass'. Je crois qu'on est sur une aire où quand t'es une petite connasse, il vaut mieux faire demi tour. Je crois qu'on est sur une aire de paintball.
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