et voilà c'est arrivé ... la fin est arrivé, pour les réclamtion et les menace des meutres de tortire veuillez vous adressez a mon ami " pousse Marylin Manson devant elle " il sara vous aider ^^
Après avoir parlé toute la nuit de ce qui venait de se passer, Orlando avait fini par s’endormir dans les bras de Johnny. Celui ci ne pouvait fermer l’œil, il était assis sur le lit, adossé contre le mur, la tête d’Orlando reposait sur ses genoux. Il passait machinalement sa main dans ses cheveux, fixant le mur d’en face, les yeux dans le vague. Il sursauta en entendant la porte de la caravane s’ouvrir violemment, Orlando se réveilla. La porte de la chambre s’ouvrit aussi brutalement que l’autre. Keira était devant eux, elle affichait un air dégoûté devant les deux hommes qui s’étaient levés. Keira les regardait furieusement, ses yeux semblaient lancer des éclairs.
- Vous … vous m’écœurez, toi Johnny … le seul que je pensais adulte, tu n’as pas honte de tromper ta femme … et … et tes enfants, tu les oublies, tu n’en a rien à faire, ce qui compte c’est toi … c’est ton plaisir, et je suppose que ça t’as bien amusé de me dire que j’avais mes chances avec Orlando, tu es fier de toi … tu es devenu un traître. Quant à toi Orlando le chouchou de ces dames … et des ces messieurs apparemment, tu n’es qu’un bellâtre, tu te crois intelligent mais tu es dénué d’esprit, tu dis que la célébrité ne t’atteint pas et tu ne te rends pas compte que ta tête a enflé car tu es trop occupé à te regarder le nombril, cracha Keira, devenue rouge de colère. Je pourrais détruire vos vies, Johnny, je pourrais en toucher quelque mots à Vanessa tu ne crois pas ? Et toi Orly, ta belle carrière, tout juste commencée pourrait bien s’arrêter là, je pourrais briser tes rêves, vous n’êtes que des traîtres, et vous vous perdrez par vous-même !
Keira fit demi tour et repartit comme elle était venue, laissant les deux hommes complètement abasourdis. Un long silence suivit, pendant lequel, ils repensèrent aux paroles de Keira. Orlando fini par le rompre :
- S’il te plait, dis moi qu’elle a tord, je … je ne suis pas comme ça … Johnny.
- Non bien sûr que non, mais par contre elle a raison quand elle dit que je suis … un traître.
- Non ! Johnny, tout est de ma faute si … si je n’avais pas été là, tu …
- Je ne l’aurai pas trompé tu crois … Orlando, même si tu n’étais pas là, je pensais tout le temps à toi, le jour la nuit quand j’étais avec ma femme ou mes enfants.
Johnny leva la tête, vers Orlando, celui ci, regardait le sol, Johnny se posta devant lui, il releva doucement sa tête et déposa le plus tendre des baisers sur les lèvres du jeune homme, puis il posa son front contre celui d’Orlando, lui murmurant des mots doux afin de la rassurer.
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Keira ne leur parlait plus, elle les ignorait totalement mais si elle avait une scène à tourner avec l’un des deux, elle faisait son travail sans s’occuper de l’autre. Orlando et Johnny faisaient de même, ils avaient raconté ce qui c’était passé à Mack et Jack qui tous deux s’étaient mis eux aussi à la détester. Deux jours étaient passés, Johnny était entrain de prendre une pose, lorsque Mack se ramena vers lui.
- Johnny ! J’avais oublié de te dire que ta femme avait téléphoné, elle arrive ce soir.
- Quoi !?
- Ben c’est ce qu’elle a dit, tu … tu ne penses pas que Keira …
Johnny se leva d’un bond, et couru à la recherche d’Orlando, il le trouva dans sa caravane.
- Orlando, elle arrive.
- Euh … la fin du monde ? dit Orlando en souriant
- Presque, Vanessa arrive.
Orlando resta muet pendant un moment.
- Que, mais pourquoi ?
- Je suis sûr que c’est Keira.
- Non, elle … elle sait tous alors ?
- Pourquoi elle viendrait sinon ? demanda Johnny
- …
- Je suis sûr qu’elle vient me dire que tout est fini, je … je vais tout perdre.
- Et moi je suis quoi dans tous ça ?
- Mais je vais perdre mes enfants Orlando, elle ne voudra même plus que je les approche.
- Et moi elle fera tout pour me pourrir la vie, je ne pensais pas que Keira serait capable de faire ça.
- C’est bien ton problème, tu penses que tout le monde est gentil et un jour on t’écrase, on te réduit à néant.
- Keira n’a pas pu faire ça.
- Mais tu vas arrêter de la défendre bon sang !!!
- Je ne l’a défends pas, Johnny si jamais ce que tu dis est vrai … alors tout ce que nous avons construit, nos vies, nos carrières seront finies, elle sait combien c’est dur d’accéder à la reconnaissance, elle n’est pas ignoble à ce point.
- Mais tu ne te rends pas compte qu’elle te hait maintenant ? Toi aussi ta carrière pourrait s’arrêter là ?!
- …
- Orlando ?
- Alors qu’est qu’on fait si elle est au courant ?
Johnny se mit à faire les cent pas, devant Orlando qui était toujours assis.
- On peut lui dire que c’était une blague … une … mauvaise blague.
- Tu crois vraiment qu’elle va croire ça ?
- Tu ne m’aides pas beaucoup là !
- Pour commencer arrête de marcher comme ça, ça m’énerve.
- Mais on dirait que c’est facile pour toi … ah oui … j’oubliais, toi tu ne vas pas perdre ta femme et tes enfants.
Orlando se leva et sortit de la caravane en criant :
- J’EN AI MARRE !!!
- Orlando mais …
Il claqua la porte et partit. Il se retrouva nez à nez avec Vanessa.
- Bonjour Orlando !
Orlando lui lança un regard noir et partit sans même lui répondre.
- Ben merci pour l’accueil !
Johnny sortit de la caravane d’Orlando, Vanessa courut vers lui et l’embrassa. Puis elle se détacha de lui.
- Comment tu vas, demanda t’elle
- Hum … Bien… très bien…
- Et Orlando ça va ?
- P … pardon … pourquoi tu demandes ça ?
- Pour rien, juste parce qu’à l’instant, il avait l’air très en colère, il m’a même … pratiquement ignoré … et vu que tu sortais de sa caravane je …
- Il ne s’est rien passé, s’empressa de dire Johnny, je veux dire … c’est juste une petite embrouille … dis moi, il était vraiment en colère ?
- Vu comment il m’a regardé, je crois que oui.
Johnny se mordit la lèvre, il voulait aller rejoindre Orlando, mais bien sûr, il ne pouvait pas quitter sa femme comme ça, une seule chose le rassurait, c’est que Vanessa n’avait pas l’air de savoir ce qui se passait.
- Et pourquoi … pourquoi tu es venu toi ?
- J’ai oublié un pull, tu ne l’aurais pas vu par hasard ? Il doit être dans ta caravane.
- Ma caravane ?
- Oui, ta caravane … là où tu dors.
- Ah bien sûr là … là où je dors … hum non, je l’ai pas vu.
- C’est cette dispute qui te met dans un tel état ?
- Non, non, je … je l’avais même déjà oubliée tu vois … tu sais Orlando c’est …
- C’est Orlando.
- Si nous allions voir où se trouve ce fameux pull ?
Le couple se dirigea vers la caravane de Johnny, ils entrèrent. Vanessa alla chercher dans la chambre.
- Je l’ai trouvé !!! cria t’elle
Elle sortit de la pièce, tenant son vêtement à la main.
- C’est étrange que tu ne l’aies pas vu, il était juste au bout de ton lit.
- Hum … je n’ai pas dû faire attention.
- Tu es vraiment … étrange depuis que tu as commencé ce tournage, je dirais même depuis la fin du tournage du premier film.
- Tu as trouvé ton pull, c’est l’essentiel !
Vanessa fit une grimace sceptique que Johnny ne vit pas.
- Et qu’est qui s’est passé avec Orlando ?
- Oh rien … une broutille.
- Johnny, vas-tu te décider un jour à arrêter de me mentir, j’en ai assez … tu … on dirait que tu essayes de me cacher quelque chose.
- Mais non bien sûr que non … écoute je … oui Orlando et moi on s’est engueulés, non ce n’est pas une broutille comme je l’ai dit, simplement c’est entre lui et moi, toi tu viens d’arriver et je n’ai pas envie de t’embêter avec ça.
- D’accord … mais il faudrait que tu ailles lui parler.
- Pas maintenant
- Si …. Maintenant, sinon il risque d’être trop tard … vous vous entendiez très bien tous les deux, vous étiez ami … qu’est devenu cette amitié hein ?
Johnny pensa aussitôt que cette amitié était tout simplement devenue de l’amour.
- Les choses changent et … elles évoluent.
- Alors tu as envie de laisser tomber ?
- Non !
- Alors je te conseille d’aller le voir, et de lui parler … c’est quand même pas si grave se qui vous arrivent ?
- Pourquoi … es tu venu ? Juste pour ton pull ?
- Ben oui, tu voulais que je vienne pour quoi d’autre ?
- Tu n’as reçu aucun coup de téléphone ?
- Non, j’ai oublié un truc je suis venu le chercher c’est tout.
- Quel crétin je suis, dit Johnny tout bas, bon je vais aller parler à Orlando.
- Tu veux que je vienne avec toi ?
- Non … je veux que … j’en aie pas besoin ;
- Cela serait mieux que je vienne avec toi je crois.
- Mais …
- Aller, ne discute pas je viens avec toi.
Johnny paniqua un peu, il devait trouver une solution pour parler à Orlando sans qu’elle ne vienne. Ils sortirent de la caravane, Johnny, connaissant bien Orlando se douta que celui-ci devait être à la plage, tout en marchant le « pirate » gardait la tête baissée, il se rendit compte qu’ils étaient arrivés, lorsque Vanessa lui demanda :
- Eh … c’est qui la blonde la bas avec Orlando ?
Johnny leva aussitôt la tête, et vit Orlando parlant à une jeune femme blonde, en y regardant mieux, il reconnu Kate.
Il eut l’impression de tomber dans un trou béant, la seule personne qui aurait pu le retenir était à présent sur la plage en compagnie de son ex. Le monde s’écroulait autour de lui, son cœur se brisait, les larmes menaçaient de remplir ses yeux. Mais il se reprit avant que Vanessa ne s’en rende compte. Il détourna son regard de cette scène, Kate venait de prendre la main d’Orlando, s’en était trop pour lui, il fit demi tour, suivi de sa femme qui pensait qu’il ne voulait pas déranger « les amoureux ».
POV Orlando
Lorsque je sortis de la caravane, je croisais Vanessa, en fait j’avais envie qu’elle sache pour Johnny et moi, peut être qu’alors Johnny serai libre de n’aimer que moi. Pour lui, j’avais accepté qu’il ai aussi une relation avec sa femme bien qu’au fond de moi cela était dur, chaque mot qu’il prononçait en rapport avec elle était comme une déchirure, je souffrais en silence et lui qui pensait me connaître ne s’en rendait pas compte.
Je me dirigeais vers la plage … cette plage qui fut témoin de tant d’évènements. Il faisait jour, le soleil était à son zénith, devant moi les vagues étaient assez violentes, elles venaient s’écraser sur le rivage et se retiraient, puis cela recommençait inlassablement, éléments indestructibles qui finissaient par échouer sur cette plage. Je fermais les yeux me laissant bercer par cette douce litanie.
- ORLANDO !!
Je sursautais en entendant cette voix, j’ouvris les yeux et me retourna.
- Kate !?
Elle s’ approchait de moi en souriant.
- Et oui c’est moi, tu ne t’y attendais pas ?
Je grimaçais.
- Alors là … pas du tout … qu’est-ce que tu fais là ?
- On m’a appelée, pour me dire que tu n’allais pas bien.
- Qui … qui t’a appelé.
- Euh … je m’en souvient plus … euh attends si, une certaine Keira !
Keira … elle allait me pourrir la vie jusqu’au bout, mais qu’avait elle pu dire pour que l’autre se ramène.
- Et elle t’a dit quoi ?
- Que tu n’allais pas bien … depuis que j’étais partit…
Je cru que j’allais vomir.
- Elle m’a expliqué que si tu ne m’avais pas rappelé c’est parce que tu étais perdu, et que tu devais avoir des problèmes … je t’en ai beaucoup voulu … mais j’ai compris et je ne veux pas que tu souffres.
Ben alors pourquoi elle vient si elle ne veut pas que je souffre ?
- Orlando dit quelque chose.
- Je vais très bien … je …
- Elle m’a dit que tu dirais ça.
Elle s’approcha de moi, et prit ma main.
- Tu peux tout me dire.
- Vraiment ?
- Bien sûr que oui.
- Alors voilà, premièrement ce n’est pas toi qui m’as quitté, mais moi, c’est moi qui ne t’ai pas rappelé, c’est moi qui suis partit, tout simplement parce que je ne voulais plus de toi. Et maintenant je me dit que j’ai bien fait, car jusqu’ici je ne m’étais pas rendu compte que tu avais été la plus grosse erreur de ma vie, si tu n’avais pas été là, j’aurais eu beaucoup moins de problème … notamment avec la presse et tous ces journaux à scandale. Et puis regarde toi un peu, je pars et tu reviens, tu t’accroches à moi, alors que je ne veux pas de toi. Pour reprendre les mots de … ben de tous mes amis enfaîte, tu es une … potiche, et oui ma pauvre tu es une des ces filles qui font tapisserie, en même temps tu es blonde mais tu aurai pu faire l’effort de t’acheté un cerveau, à moins que tu est tout dépenser pour ta manucure. Maintenant en espérant que tu arrive a comprendre ces quelque mot … JE-NE-VEUX-PLUS-TE-REVOIR ! ... c’est compris ou pas, parce que moi je ne connais pas le langage des écervelés.
- Mais … pourquoi tu fais ça ?
- Parce que j’en ai marre ! Je n’ai pas besoin de toi pour être heureux … d’ailleurs je n’ai besoin de personne !
Kate ne savait plus quoi dire, elle me regardait, les yeux larmoyants, puis sans rien dire elle tourna les talons, et partit en furie. Je me mis à rigoler, la voyant s’éloigné maladroitement, marchant dans le sable avec ses chaussures qu’elle avait gardé aux pieds, comme j’avais prévu, elle se tordis la cheville et tomba, s’étalant dans le sable. Je fis demi tour aussi, la laissant se débrouillé.
Qu’est qui pouvait bien se passé pour Johnny ? Vanessa était elle vraiment au courant. Sans doute allais je trouver Johnny totalement déboussolé, d’avoir perdu son … amour. Je continuais de marcher vers ma caravane, je croisai Jack et Mack.
- Hey Orly, ça va ? Me demanda Mack.
- Ben … ça pourrai allé mieux.
- C’est à cause de l’arriver de Vanessa ?
- Oh si il n’y avait que ça … entre elle qui débarque, Johnny qui joue les dramaturge en apprenant son arrivé et Kate qui à débarqué elle aussi …
- Kate !
- Oui mais … je l’ai vite fais repartir … d’ailleurs si en allant à la plage vous apercevais un fille blonde qui boitille … c’est elle, dis je en souriant.
- La pauvre … bon on va devoir te laisser, dit Jack, on a … on est occupé.
- C’est ça ouai … occupé, je vois le genre ;
Mes deux amis sourirent, en disant long sur la nature de leurs occupations. Je continuai de marcher vers ma caravane, Johnny n’était pas en vue, je soupirai et fini par aller dans ma caravane. J’y passai le reste de la journée, à apprendre mon texte. A un moment, j’entendis des voix, celle d’une femme et d’un homme, mais plongé dans mon travaille je n’y fis pas attention, et me remis au boulot. Quelque minutes plus tard, j’entendis frapper à ma porte, à contre cœur je laissa tomber mon script et alla ouvrir.
Fin du POV
- Johnny !
- Orlando.
- Alors comment ça c’est passé.
- Elle ne savait rien, elle est juste venu pour chercher quelque chose, et là elle vient de repartir.
Orlando se poussa afin de laisser entrer son amant.
- Alors tout va bien, elle n’est pas au courant, donc a rien à craindre.
- Je n’en serai pas si sûr à ta place.
- A bon … mais pourquoi … de quoi tu parles ?
- Tu ne m’avais pas dit que … Kate serait ici.
- Comment tu sais ça ?
- J’étais partit sur la plage pour m’excuser auprès de toi, et je vous ai vu en grande discussion … elle te tenait même la main.
- Keira l’a appelé, lui disant que je n’étais pas bien depuis qu’elle est partit, mais je lui ai fait comprendre que je ne voulais plus d’elle.
- Ah et c’est pour ça qu’elle te tenait la main.
- Tu ne va pas me faire une crise de jalousie pour ça ? dit Orlando qui essayait tant bien que mal de rester calme.
- Jaloux ! Tu trouve que je suis jaloux, dit Johnny qui commençait à se mettre en colère. Mais tu t’es pas vu, mossieur je me vexe à chaque qu’on parle de Vanessa.
- Moi me vexer !?
La tension entre les deuxétait à son comble, Johnny était vraiment en colère et Orlando avait du mal à se retenir.
- Oui exactement, ce matin tu es partit à cause de ça non ?
- Je suis partit parce que j’en avais marre que tu me prenne pour un moins que rien, parce que tu m’a rabaisser en disant que moi je n’avait pas de femme ni d’enfants, en clair je n’ai rien.
- Tu n’as rien à perdre en tout cas.
- Rien à perdre ! Mais tu pense que toi tu as plus de chose à perdre, tu pense que parce que tu as femme et enfant tu es celui qui fait le plus de sacrifices pour nous deux, crois moi tu n’est pas celui qui souffre le plus et si vraiment tu trouve que je me vexe facilement et bien tu ne sais pas se que je pense vraiment.
- Et bien vas – y dis ce que tu penses, toi qui à l’air de tant souffrir.
- …
- J’attends, dis moi ce que tu penses vraiment.
- Ce que je pense … et bien je pense que tout cette histoire n’a été qu’une aventure pour toi, que je ne suis qu’un objet entre tes mains, quand tu vas bien tu fais l’amour avec moi, et quand tu n’est pas content c’est moi qui subis, quand Jack à voulu me parler, ça, ça ne t’as pas plu, et tu me l’a bien fait ressentir. Et puis comme je le disais, ta petite manie à me rabaisser sans arrêt, comme quand tu m’appelles « petit bonhomme », c’étais pourtant toi qui m’avait dis de ne jamais me croire supérieur aux autres, c’est pas parce que je n’est pas un aussi grande carrière que toi, que je ne vaut pas mieux que toi. Maintenant je sais ... je sais que le tournage est bientôt fini, je sais aussi que tu vas repartir avec ta femme et tes enfants, mais moi tu va rapidement m’oublié … nous n’aurions jamais dû être ensemble j’aurai moins souffert si tu m’avais laissé.
- Tu … tu penses vraiment ça ?
- Oui je pense ça, dit Orlando toujours sur le coup de la colère
- Je ne me suis jamais … jamais servi de toi, je … nous étais un vrai couple … non.
- Un couple ! dit Orlando proche de la suffocation, tu appelle ça un couple ! Pour moi un couple c’est … c’est deux personnes s’aiment, mais avant l’amour, il y a le respect de l’autre, tu penses que c’est ta vie qui va subir toute les conséquences de cette histoire, mais tu ne pense pas à la mienne, tu ne veux prendre aucuns risques, un couple c’est aussi lorsqu’une personne est prête à détruire se vie pour construire celle de l’autre, on est pas un couple, chacun est de son côté … et chacun devrait rester de son côté.
- Tu veux dire que …
- Oui, dit doucement Orlando
- Orlando je … je t’aime vraiment, je n’ai pas su comment m’y prendre, on pourrait tout oublié et recommencer.
- C’est facile d’oublier.
- Orlando … tu as raison j’ai été un vrai con, mais … je tiens énormément à toi.
- Tu auras ta femme, toi.
- Mais je ne l’aime pas autant que toi Orlando.
- Désolé mais il est trop tard pour me dire ça.
- C’est vraiment ce que tu veux ?
- Non ce n’est pas se que je veux, mais c’est se qui est mieux pour toi et pour moi.
- Et … tu vas faire quoi après ?
- Je vais continuer d’enchaîner les films, je finirais par trouver un sosie de Kate, je me marierai, j’aurais des enfants, je divorcerais et je me remarierais avec une midinette de vingt ans alors que moi j’en aurais quarante, dit Orlando en souriant.
- Tu vas être malheureux.
- Pas plus que je ne le suis déjà.
- Le tournage fini dans deux semaines.
- Alors il te reste deux semaine à me supporter, dit Orlando en riant.
Johnny sortit de la caravane, Orlando soupira, et alla dans sa chambre où il fondit en larmes. Les deux semaines passèrent vite, Orlando paraissait toujours souriant, tandis que Johnny affichait toujours sa mine des mauvais jours. Le moment des adieux arriva, tout le monde se sépara, triste mais heureux d’en avoir fini avec ce tournage qui fut éprouvent pour tous, Mack et Jack avaient décider de s’installer ensemble, Johnny partit rejoindre sa famille en France et Orlando partit en Angleterre.
1 mois plus tard :
Johnny venait de s’installer dans son canapé, en face de la télé, son fils courait partout en criant qu’il était un pirate, tandis que sa fille s’amusait à coupé les cheveux des ses poupées les rendant presque chauves. Vanessa était dans la pièce d’à côté. Johnny changeait de chaîne lorsqu’il vit la photo d’Orlando, à l’écran, c’était les informations du soir. Il monta le son.
- Le jeune acteur britannique Orlando Bloom, découvert dans le film à grand succès « Le seigneur des Anneaux », a été retrouvé mort dans sa maison, en Angleterre, la première hypothèse des médecins légiste est un suicide, mais …
Johnny parut effrayé, il se leva, prit d’un élan de colère et de désespoir, il frappa dans la télévision, l’image se brouilla et l’écran devint noir.
FIN
_________________ C'est pas parce que c'est un film sur les handicapés qu'il doit y avoir que des handicapés dans la salle, monsieur ! Parce que quand il y a eu la Marche de l'Empereur, il me semblait pas qu'il y avait des pingouins "- Mais madame ce n'est pas une galette que vous tenez, c'est un enfant!" "- Oh c'est parce que je viens d'accoucher, j'ai pas l'habitude... "Vous avez coupé votre femme en morceaux, vous avez peinds les morceaux et vous les avez exposé dans une exposition pop art. Mais vous êtes un artiste!'' Je crois qu'on est sur une aire ou y'a des mecs qui aiment bien les sensass'. Je crois qu'on est sur une aire où quand t'es une petite connasse, il vaut mieux faire demi tour. Je crois qu'on est sur une aire de paintball.
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