Forum - Le Monde du Slash

Très attendrissant le "retour à l'animalité", avec Dom qu'on sent à la fois tout couillon et brûlant de désir en se retrouvant dans cette tenue devant son Billy... Billy qui veut l'empêcher de parler histoire d'éviter toute prise de tête casseuse d'ambiance, perdu dans les affres de la volupté... ^^

La scène de lemon proprement dit est magnifique, est-il besoin de le préciser? On donnera une mention spéciale à:


C'est assez troublant d'imaginer la sensation des battements cardiaques à travers la langue... Très... particulier.


Très fin... Très subtile dans la sensualité physique mêlée à la jouissance psychologique qu'elle provoque. On sent vraiment l'expression la plus pure du bonheur dans ce pov de Dom, je m'incline, vraiment!


"es"


Je sais que le geste en aurait bien besoin , mais je crois que c'est plutôt "descend" ici...


Lol! ^^ Rrr... Va savoir pourquoi, il ressemble à un ourson dans mon image mentale... (Traumatisme infantile par Winny et ses pots de miel pendant la découverte de la sexualité tout ça tout ça probablement...


"introduis" "is"
Lol, j'aime particulièrement l'image mentale de Billy à cet instant: les yeux mi-fermés et le sourire énamouré un peu stupide, mais si mignon, et surtout rempli de sincérité et d'abandon...


Heu... En revanche, si j'osais une petite critique: je dirais que cette phrase est quelque part un peu un non-sens, car si Billy était vraiment transporté sur de tels sommets, pourrait-il encore formulée une phrase aussi élaborée...?


Ah... ah, quoi....
Si j'avais à choisir, je crois que je désignerais cet extrait-ci comme le meilleur du chapitre. Je suis assez à genoux devant le brio avec lequel tu es capable de nous faire ressentir une relation, une émotion, une psychologie à travers de récit physiques. L'image désespérée des deux corps qui se livrent ce qui semble être un combat pour tenter l'impossible fusion, c'est tout de même assez merveilleux, non? Et j'aime beaucoup le fait que tu ne te cantonnes pas au graphique de l'ardeur sexuelle, mais que tu ajoutes le sens profond qui l'accompagne, la façon dont c'est ressenti par les deux protagonistes. Ca n'en est que bien plus sensuel, d'ailleurs...




On voit presque le sourire béat de notre Dommie.

Bon, eh bien je crois qu'il ne me reste plus qu'une chose à dire, et pour te faire un plaisir spécial, ce ne sera pas ce à quoi tu penses ( ) mais:
*ton de ministre des finance*
Merci, Iolas, d'écrire de si belles choses.

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La Halfeline
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Le sachet de thé c'est la santé!

Il ne faut pas oublier que c'est de Dom qu'il sagit



En effet et c'est typique à Dominic. Billy ne le fait pas toujours. Mais dès que Dommie reçoit un compliment qui lui est directement et sincèrement destiné de sa part, il le lui rend toujours avec une grande délicatesse. C'est toujours cet élément dans son tempérament qui m'a fait croire en premier lieu qu'il pourrait être amoureux de son meilleur ami.



Ha vi elle est belle ....mais tu trouves pas qu'il a maigri?!!



Oui c'est vrai. Seulement, je m'imaginais à cet instant mon petit Billy prononcer cette phrase avec son fort accent écossais en roulant la langue à la dernière syllabe(en anglais bien sûr)....mais bon...j'essairai au pire des cas de trouver autre chose.



Bien merci Mais c'est facile pour moi parce que je ne les distingue pas, le geste étant nécessairement poussé par une émotion. Depuis toujours, les deux ne peuvent être séparés dans mon esprit...je t'avouerai que ça m'a causé bien des problèmes, surtout pour comprendre les autres et leur manière de penser et de les accepter, tout en acceptant par le fait même que moi, je ne changerai jamais...mais bref...chacun son lot de cassage de crâne.




Loll pourquoi je n'arrive pas à me faire d'image mentale te concernant

Contente que ça t'ai plu





Tu peux bien parler! Ne t'en fais pas, ici on finira pas te connaître aussi



Loll si je serais Dom, crois-moi que je ne serais pas ici à l'heure qu'il est, à fatasmer sur Billy devant mon écran. Je me paierais le luxe d'aller lui faire un long calin en personne



Oui domage qu'on ne puisse pas la voir pour vrai






Mais mais...je ne voulais pas te faire pleurer



Alors toi aussi tu es pour la torture des Iolas sans défense *sort son arme secrète numéro...je sais plus: De petits yeux de Billy mouillés(heu c pas Billy qui est mouillé espèces de petites perverses).



Ha heureuse que tu l'aies aimé, c'est mon préféré en ce qui me concerne.

Rohhh mais ça va, ça va!! Je suis revenue, vous pouvez arrêter les anti-dépresseurs Bon, j'ai le plaisir de vous annoncer que cette fic est finie d'écrire, donc les suites seront moins longues à mettre. Je vous en offre une aujourd'hui. C'est un POV Billy.

POV Billy

Sans ouvrir les yeux, je sens que le soleil s’endort doucement de ce côté de l’océan, acceptant de perdre toute la force de son éclat doré, afin de déposer une douce couette orangée au-dessus de nos têtes. Je souris. Nous sommes restés ainsi perdu l’un dans l’autre toute la journée, reprenant enfin le sommeil bienheureux et rassurant qui nous était dû. J’ai peur d’ouvrir les yeux et que cette nouvelle force qui m’habite me laisse aussitôt, la toile du monde réel revenant voiler ma vie. Mais je me souviens alors que l’être qui respire doucement entre mes bras a levé celle-ci pour de bon en me faisant l’amour il y a quelques heures. J’ignore si quelqu’un d’autre que moi sur cette terre a déjà eu la sensation d’avoir trouvé la raison de son existence même tout en ayant l’infini honneur d’une promesse muette que jamais il n’en serait plus séparé. Une petite toque discrète à la porte de notre chambre me fait ouvrir doucement les yeux. Dominic bouge légèrement et je l’entends pousser un petit soupir, signe que le bruit l’a bel et bien réveillé. Les brins de ses cheveux viennent caresser mon torse alors qu’il lève la tête vers moi. Lorsque ses yeux croisent enfin les miens, j’y vois une lueur qui m’est totalement inconnue. Il semble en paix, comme si on lui avait enfin permis de se laisser pousser des ailes pour qu’il puisse s’envoler. Et je m’aperçois que c’est aussi ce que je ressens…et c’est aussi ce qu’il observe si intensément en me transperçant de son regard, un sourire serein sur les lèvres. Une deuxième toque nous fait sortir tous les deux de notre contemplation. Dom se lève lentement et les derniers rayons de soleil viennent caresser sa peau encore nue. Je n’ai jamais vu un aussi beau spectacle. Si je n’étais pas certain d’être réveillé, je me croirai perdu dans un merveilleux songe, de ceux que l’on ne veut pas oublier, même s’il n’est en rien réel. S’il existe vraiment quelconque forme de divinité pour nous, elle lui caresse présentement la peau. L’être de lumière devant moi agrippe un boxer et ouvre légèrement la porte.

Dom : (D’une voix encore ensommeillée)Qu’est-ce que c’est?
Eli : Alors comment ça va là-dedans les gueules de bois? Vous avez mangé un peu?
Dom : Pas vraiment….mais je t’avouerai que mon estomac recommence à fonctionner normalement.
Eli : Vous avez fait quoi toute la journée!? Et pourquoi tu me regarde avec ce sourire stupide?!!
Dom : Lequel tu veux?

Je peux sans problème m’imaginer le froncement irrégulier de sourcils qu’Elijah est en train de produire suite à cette question et je ne peux m’empêcher d’étouffer un petit rire. Je me lève aussi, enfile le boxer de Dom et m’approche de mes deux….heu de mon amant et de notre ami. Elijah fronce encore plus les sourcils, si c’est possible et semble soudain avoir réalisé quelque chose. Il a ce visage qu’on adopte tous lorsqu’on trouve une erreur dans un film ou dans un livre et qui ne devrait pas s’y trouver si on suit la logique de l’histoire.

-Heu…pourquoi avez-vous échangé vos boxers?

Moi et Dominic baissons tous les deux les yeux vers nos sous-vêtements à cette remarque. Dom ne semble pas savoir quoi dire, parce qu’il n’a pas encore bougé la tête. Quant à moi, j’aimerais quand même établir avec lui le genre de relation qu’il veut que nous ayons avant d’aller clamer à tous et chacun qu’il est mon petit ami. Cette idée fait faire un bond de dix centimètres à mon cœur. Mon petit ami! J’aimerais pouvoir l’appeler ainsi. En fait, je veux plus que tout au monde pouvoir l’appeler ainsi. Mais je ne sais pas encore ce que lui veut. Par contre, je sais au fond de moi que le lien que nous avons scellé aujourd’hui sera à jamais impossible à briser.

Billy : Dom s’est trompé et il a pris le mien en sortant de la douche…alors je lui ai volé le sien.

Dom, semble encore avoir tout de suite compris où je voulais en venir et me tire la lange en signe de protestation, une expression parfaitement amusée sur le visage. Encore une fois depuis que je le connais, je me dis qu’il n’aurait pas pu choisir meilleur métier. C’est un excellent comédien! Je lui tire la langue à mon tour de manière hautaine et me tourne vers Eli, qui semble avoir mordu à l’hameçon, puisqu’il secoue la tête de gauche à droite en signe de découragement.

Eli : Décidément!….Bon, le dîner est prêt si vous avez envie de venir prouver aux gens du premier étage que vous n’avez pas été enlevé par des extra-terrestres. On avait décidé de se taper un film après, ça vous dit?

Dom et Billy : Ouais!!
Billy : On s’habille et on descend.
Eli : Heureusement pour nous!
Dom : Oui ça serait dommage de te foutre des complexes pour le reste de tes jours.
Eli : Tu peux toujours rêver Monaghan!

Pendant qu’Eli referme la porte, faussement insulté, j’en profite pour m’approcher doucement de mon amour. Je ne suis pas encore repu. Son corps tout entier m’appelle. Je tremble d’anticipation à l’idée de le laisser de nouveau goûter ma peau avec avidité, ses mains chaudes et ses yeux sombres parcourant mon corps avec fascination, son sexe profondément enfoui en moi, me faisant presque pleurer à chaque coup de reins. Le fait qu’il soit de dos, m’encourage à lui demander ce qui me brûle à en hurler.

-Tu viens prendre ta douche avec moi?

OUI ! quoi, c'est pas à moi que la question est posée ? Hum... bon... que dire... en imaginant la scène... en imaginant la tête de Lij... et Iolas pour ton style toujours aussi beau !!



Cybelia.

Mais... Mais... C'est monstrueux ! Monstrueusement bien écrit !!!

Voilà une des raisons pour lesquelles je serais incapable de faire une review correcte : comment puis-je écrire un quelconque commentaire cohérent, alors que mon clavier est englué de salive et qu'à pratiquement chaque phrase que je lis, j'ai mes vapeurs !

Ta fic est tjs aussi bien écrite.
J'ai adoré tout le début ac le reveil de Billy et qui se rend compte de la présence de Dom près de lui. Puis le réveil de Dom...
Et cette image:



Dommage qu'il ait du s'habiller!



Ouais, si j'étais Lij j'suis pas sûre que je l'aurai cru (bon c'est vrai que moi j'suis une slasheuse alors...) et puis à ce que semble avoir dit Dom à l'ORC, il porte rarement de sous-vêtements donc... (à nouveau)

Merci pour ce chapitre!

Poutoux.
Euh... ?

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Membre de la Confrérie des Chieuses.

Coucou tout le monde! Je met une autre petite partie de ma fic sur se forum parce que je vous aimeeeeehuuuuuu Elle est légèrement courte mais vous me connaissez, toujours aussi sadique Le reste suivra bientôt puisque je n'ai plus aucun effort concernant cette fic(elle est finie d'écrire). J'aide présentement Monaghan à poursuivre sa HP en essayant d'elever son doigt de sur la touche "backspace" du clavier de son ordinnateur, mais je recomencerai l'écriture bientôt Bonne petite lecture

POV Billy

Il n’a pas encore bougé, mais je sais qu’il a entendu chaque mot que j’ai prononcé dans son dos. Tout à coup, j’ai peur. Peur qu’il se dise avoir fait une erreur, peur qu’il n’ait pas aimé me faire l’amour. Mon cœur se brise en mille miettes. Serait-ce possible. J’étais si préoccupé par mon propre plaisir, celui qu’il faisait courir partout sous ma peau d’un simple soupir échappé maladroitement. Était-je le seul à trembler entre ses bras, totalement offert, les yeux embués d’un plaisir si intense, qu’il aurait pu faire fondre la plus froide et la plus dure des âmes. Non! Prenez l’essence qui me vit naître sur-le-champ si tel est le cas, car le coup serait si dur, qu’il me ferait crier de douleur à jamais, même après la fin de toute chose. Il est mon âme sœur, ma raison d’exister et celle que j’ai désormais pour continuer à vivre. Rien au monde n’est plus important pour moi que l’amour qu’il me donne à travers le lagon des ses yeux. Rien au monde n’est plus important pour moi que le lien dont nous avons marqué nos corps, scellant le pacte d’un amour immortel et immuable. Je l’aime et cette conviction est aussi forte que celle que j’ai toujours eue depuis le premier jour que nos vies allaient êtres pour toujours entrelacées.

-Tu…tu n’as pas envie?
-(petit rire nerveux) Si tu réalisais à quel point je t’aime tu ne dirais pas ça.
-Qui a-t-il alors?
-Tu me dois des explications…pendant que j’ai assez de force pour les entendre.

Je m’approche de lui, voulant le contourner pour pouvoir lui faire face, mais il sent mon geste et se dégage en avançant encore de quelques pas. Il a peur de ce que je risque de lui dire. Je reprends alors ses propres paroles d’une voix douce et amoureuse.

-Si tu réalisais à quel point je t’aime, tu n’aurais pas aussi peur de moi.
-Je n’ai pas peur de toi….j’ai peur d’avoir mal…(sa voix se casse)tellement mal..
-Dominic, regarde-moi.

Il se tourne lentement, le poids de tout l’univers semblant peser sur ses épaules. Puis, il relève timidement la tête et je réalise en croisant ses yeux, que ceux-ci me manquaient déjà. Aurai-je un jour assez de mots pour quelque chose d’aussi fort? Secrètement, j’espère ne jamais en trouver d’assez bien.

-Dom, la raison pour laquelle Ally est repartie en Écosse sans vous dire au revoir, c’est parce que nous avons rompu avant le mariage.
-P..
-Parce que je suis amoureux de toi….et…et que je veux vivre avec toi…je comprendrais si

Je n’ai pas le temps de terminer ma phrase, que je me retrouve je ne sais comment acculé sur la porte de la chambre, prisonnier de ces douces lèvres dont je ne peux déjà plus me passer. Dominic me retient de tout son poids et s’il le pouvait, je crois qu’il nous ferait tous les deux passer au travers. Entre deux profonds baisers, je réussis à souffler contre ses lèvres:

-Nous devrions peut-être nous trouver un coin plus tranquille.
-Hum…je ne suis pas contre….mais qu’est-ce que nous allons y faire?
-Je te laisse décider.
-(sourire entendu)Tu n’as pas peur de me laisser autant de pouvoir?!
-Je regrette plutôt de ne pas te l’avoir donné avant…
- J’ai bien l’intention de te faire rattraper le temps perdu!
-Et moi de te le faire regretter.
-Ha mais j’en tremble d’avance.
-J’adore quand tu trembles dans mes bras!

Ils sont vraiment trop meugnons tous les deux, je sais c'est pas constructif mais j'aime beaucoup ta fic alors : la fin ! la fin !

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Ils sont trop fluffy !!! J'adore !!

Cybelia.

Après un inexcusable délais, voici la tant attendue... review de Half! *sonnailles de la troupe de troubadours version tutus et clarinettes de Shrek 2* T'as plus d'excuse pour priver les autres, Iolas! (Gueulez un peu, les gentes, sinon on aura la suite pour la Saint-Jean avec de la chance...)


J'aime beaucoup l'expression! ^^


L'éternel problème de la passion caduque...


Rrrr... J'adore, une fois de plus on ressent vraiment avec Billy...


Mmmmmmh... ^__^ Magnifique image, d'une tranquillité et d'une entièreté désarmante... Faudra juste que tu corriges le "serein" sinon ça signifie bêta alors... Tu me diras, c'est pas moi qui irait jeter la pierre à Dom d'avoir un sourire crétin en regardant Billy mais... je ne pense pas que c'était le but recherché!


Agaaaah... rrrrr... Ca c'est du visuel sympa... Quelle merveilleuse lumière abricot... C'est appétissant... enfin, encore plus que d'ordinaire, je veux dire... ^^'' Et puis ça fait bien vacances, aussi... ^__^


En revanche, heu... je coince un peu sur cette phrase. Y a un drôle de mélange des genres, je trouve, entre le poétique presque un peu grandiloquent de l'"être de lumière" et le très bassement concret "boxer..." Ca sonne un peu faux, au final, je trouve...


Des échecs, Eli, des échecs...


LOOOL!! Moi aussi!!!


MDR! Bien décrit, je vois tout à fait la dégaine! ^^


"Ayons"


"tout un chacun"


"pris"


Décidément, il lui manque des notions de s... à cet Elichou! ^^


PTDRRR!!! J'adore ce dialogue! Il sonne vraiment naturel de leur part!


Miam... Je crois que c'est mon passage préféré du point de vue du style, et de tout l'érotisme qu'il fait transparaître. C'est comme une sélection de flashs de leur amour quelques instants plus tôt... Ca rend superbe, je trouve!


Tit Billyboulou encore tout timide... ^^ Mais vi, mais vi qu'il vient, pas vrai, Dom?


Mais non, mais non, ce n'est pas possible, mon BB!!


Roooooh... Tit Billou tout penaud... *sourire attendri*
J'aime le rire nerveux de Dominic avant sa réplique. On y entend toute l'angoisse et l'amertume qui l'envahit soudain en constatant qu'il est si amoureux et que ça peut facilement le conduire à sa perte.


Oh, le regard tout blessé de Dom... on l'imagine très bien dans ses iris lagune.


Lol! ^^ Aaaah, la jeunesse... En tout cas tu réussis bien à nous faire imaginer l'impatience et la violence de Dom, pauvre chou tiens...

Et enfin j'adôôôôre le dialogue final, tellement dombillien! ^^ On les entend vraiment le dire en VO, en tout cas c'est mon cas!

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La Halfeline
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Le sachet de thé c'est la santé!

Merci pour ce chapitre Iolas! Toujours aussi bien écrit!





Gred

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Membre de la Confrérie des Chieuses.

Merci c'est gentil! Moi aussi je trouve qu'ils sont mimi même dans la vraie vie Ce sera plutôt une suite, mais la fin approche!


Merci cybou!!



Non mais!!! *Sourcil levé à la Malfoy*



PTDR l'image mentale! J'y vas à l'instant!



Bien je me voyais mal inventer quelque chose du genre: "Culote lègère comme la brise, douce comme une caresse et" PTDR *vient de s'imaginer une annonce de couche pour bébé!!!



Non tous et chacun. Caprice de la langue au Québec très chère;)



N'est-ce pas! Voilà ce que créer un manque constant de Dom/Billy sur une slasheuse complètement hystérique.



N'est-ce pas qu'il a un côté irrésistiblement tragique notre Dommie!



Gred ça me fait encore plus plaisire à moi qu'à toi

Mon Dieu...
Certes, mais à ce moment-là il fallait peut-être baisser un peu les trompettes sur l'être de lumière, enfin...


Oh, oki! Je ne savais point. ^^

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La Halfeline
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Le sachet de thé c'est la santé!

hum hum! Que dire d'autre sinon que...je suis un peu comment dirais-je....violente ces temps-ci. *Prend un ton d'annonciateur télé*


POV Billy

Nous nous sommes séparés à regret et avec grande difficulté, car nous sommes déjà dépendants des lèvres et des yeux de l’autre. Nos estomacs ont eu raison de nous. Je cherche des vêtements propres et après quelques secondes d’infructueuses recherches, je me tourne gêné vers Dominic qui fronce les sourcils, se demandant probablement pourquoi je viens de regarder sous le lit. J’ai complètement oublié de déménager mes effets personnels l’autre nuit. Ils sont toujours dans l’autre chambre, celle ou le copain d’Orli a passé la nuit. Je n’ai pas le souvenir de l’avoir entendu quitter la chambre celui-là…mais lorsque je suis avec Dom, il n’y a que lui et moi au monde…personne d’autre.

-Tu crois que le copain d’Orli est parti?
-Tu ne l’as pas vu lorsque tu es descendu?
-Non…je ne crois pas…
-Pourquoi tu me demandes ça au fait? Tu crois qu’il s’est caché sous le lit!?
-J’ai oublié ma valise.
-Alors je vais te prêter des vêtements.
-Tu rêves Monaghan! Je n’ai pas envie de me promener avec un chandail « Sauvons la planète! » pour ensuite aller m’empiffrer d’OGM au dîner.
-Ha oui, même s’il a mon odeur?
-Tu ne m’aurais pas par les sentiments!

Il s’approche doucement et mon cœur ne semble pas vouloir s’habituer à sa proximité. Il a un besoin très violent, je le vois dans ses yeux. Ils sont orageux, comme si le ciel allait nous tomber sur la tête d’une minute à l’autre. Je peux y lire une force sauvage très mal contenue, qui tente dans un sublime effort de passer les barrières de son esprit pour s’imposer à moi et me faire sien, soumis à elle pour l’éternité. Un sourire narquois vient illuminer son visage lorsqu’il constate que je suis totalement fasciné par le nouveau sentiment qu’il me renvoi; mais en une fraction de seconde tout a disparu, comme si je n’avais eu qu’à passer ma main devant son visage pour l’effacer. Il redevient tendre et passionné et le besoin qu’il avait au départ semble avoir faire place à un autre encore plus pressant. Il s’approche encore plus, comme s’il voulait me montrer sans mot ce qu’il attend de moi. Il ne me touche pourtant pas, même pas un frôlement, ni un gentil baiser. Il se contente de me fixer du regard et sa respiration saccadée vient se perdre sur ma peau. Mon amour se bat contre l’envie irrépressible qu’il a de me toucher. Pourquoi? Je me concentre encore un peu plus et je parviens à interpréter la demande secrète qu’il me livre.

Cette violence, il en a tellement besoin qu’il en pleure presque, mais elle ne pourra pas le soulager si elle ne vient pas de moi. Je lui offre l’expression la plus amoureuse que personne n’a jamais vu et me jette littéralement sur lui. Dominic heurte directement le sol mais ne semble pas s’en préoccuper. Il accroche la moindre partie de son corps au mien, afin de me faire sentir qu’il aime ce que je viens de lui faire à s’en damner. Je prends brusquement ses lèvres dans un baiser extrêmement possessif. Ma langue quémande rapidement l’ouverture de sa bouche, mais il me la refuse effrontément, les mâchoires bien serrées l’une contre l’autre. Je mords alors sa lèvre inférieure assez fort pour lui faire pousser un petit cri de douleur et je m’empresse d’aller sceller ma langue à la sienne pour ne plus la quitter. Sa bouche a un goût unique et très particulier, chaude…brûlante, tendre. Dom tente de se dégager un peu, voulant me dire quelque chose, mais je retiens ferment sa tête de mes deux mains, appuyant sans douceur, m’agrippant à ces cheveux. Voyant, qu’il ne parviendra pas à se dégager, il empoigne mes fesses de ses deux mains et d’un mouvement brusque, il déchire littéralement mon boxer(enfin le sien) et me fait pousser un petit cri de surprise dans sa bouche. J’ai tellement envie de lui à ce moment-là que ça me fait mal à vouloir en crever. J’imite son geste quelques secondes plus tard et les deux guenilles se retrouvent projetées contre un mur, pour retomber lamentablement sur la commode près de la porte. Il tente encore une fois de se dégager et j’utilise la force pour l’en empêcher, ressentant presque une joie sadique d’avoir autant de pouvoir sur lui en cet instant. J’entends une plainte de rage et de désir sortir de sa gorge et sans que je m’y attende, il enfonce l’un de ses doigts en moi d’un coup, pour aller me toucher très profondément. Je ne peux m’empêcher de lâcher une longue plainte, plus de plaisir que de douleur, lui laissant sans le vouloir, la possibilité d’échapper à mon exigeant baiser.

-Je veux te sentir, je veux que tu me prennes.

Je ne pouvais espérer plus merveilleuse demande. J’avais envie de le prendre presque autant que j’ai aimé qu’il me prenne. Mais cette fois le besoin est pressant et malgré ma peur de lui faire très mal, je sens Dominic me dire silencieusement que ce mal est nécessaire pour lui.

Lorsque je le prépare un plaisir sans nom vient ceindre mes reins. Je le vois se cambrer sous la caresse du va et viens de chacun de mes doigts, les yeux perdus dans l’amour des miens, complètement abondonné, la sueur glissant sur son ventre le faisant divinement briller.

Puis, j’entre en lui et me fige instantanément. Le plaisir de le faire mien, de le marquer de ma peau, de me sentir en lui, dans sa chaude intimité, me fait frôler de très près l’orgasme et je me mets à trembler. Je l’ai bien préparé, il ne s’est crispé que très rarement de douleur lors de cette première intrusion, presque sacrée.

-(longue plainte) Hummmm! Billy pourquoi tu t’arrêtes.
-Je….je ne veux pas…pas tout de suite.
-Je suis très près moi aussi. Continue mon amour, je ne veux pas que tu te retiennes.

Cette phrase fait tomber les dernières résistances qu’il me reste et je me retire pour entrer de nouveau puissamment en lui, répétant le mouvement de plus en plus rapidement, encouragé par ses cris de plus en plus forts, qu’il tente sans succès de retenir. Étrangement, cela ne me gêne aucunement. À cet instant, toutes les personnes qui se trouvent en dehors de cette chambre et qui ont eu l’excellente idée de se risquer au deuxième, peuvent bien aller se faire voir! À chaque coup de reins je tente de le faire hurler encore plus fort. C’est tellement bon! Je sens Dominic se contracter sous moi et lorsque je l’entends crier mon nom, un liquide chaud coulant par jets sur mon ventre me fait jouir à mon tour, alors que mes lèvres se prennent aux siennes dans un baiser avide et égoïste. Je m’effondre sur lui, presque en hyper ventilation, le serrant comme s’il allait s’enfuir. Après quelques minutes, il me chuchote à l’oreille :

-Alors cette douche, on la prend!?