Bon alors voici la suite. Avertissement: Cette suite contient un lemon et vous serez mises en garde que c'est mon premier, donc, il serra nécessairement mauvais. *Ne tapper pas sur la tête de la pauvre Iolas, ça fait 4 heures que je travaille dessus*
Billy reposa alors son attention sur l'anneau qu'il avait retiré du majeur de Dominic et tenta un geste qui fût arrêté par celui-ci. Dom planta ses yeux dans ceux de son double avec une telle intensité que Billy sentit un long frisson parcourir les courbes de son être tout entier, comme si cette sensation aurait été à la recherche de son coeur, afin d'en percer les défences et d'y rester à jamais, étrangement réconfortée par ses battements irréguliers.
Dom: -Tu ne peux pas me faire une telle promesse....c'est beaucoup trop sérieux.
Billy: -Je t'aime Dominic....Je t'ai toujours aimé. Pardonne-moi d'avoir mis tellement de temps pour réaliser à quel point....pardonne-moi d'avoir ensuite tenté de me le cacher à moi-même....mais depuis que tu es de nouveau près de moi, ça m'est impossible....je ne le peux plus.
Dom: -Et Alli dans tout ça...au téléphone...elle semblait vouloir
Billy: -Je t'ai choisi tu te souviens?....et je te choisirai encore.
Sur ces paroles, Billy termina le geste qu'il avait commencé auparavant et glissa l'anneau de Dom dans son annulaire.
Dom: (Sourire amusé)-Hey! C'est mon préféré!
Billy: -Puisque mon âme est à toi et que ton âme est à moi, c'est la seule chose de toi que je n'avais pas encore...tu veux bien?....
Dom: -Surtout ne l'enlève jamais.
Billy: -Je te le promet....Qu'est-ce....il y a quelque chose que tu voudrais de moi....
Dom: -Oui il y a bien une chose.
Billy: -Laquelle?
Dom: -J'aimerais bien encore sentir ton corps sur le miens.
Billy sentit une vague invisible de passion le soulever sans peine, le replaçant dans la position qu'il avait quitté pour un trop long moment et Dominic reprit son étreinte, lui serrant les reins d'un bras et la tête de l'autre. Presque aussitôt, la langue chaude de Billy vit caresser la seinne en y déponsant au passage, le goût délicieux et unique de son propriétaire.
Dominic était assaillit de tellements de sentiments, qu'il en tremblait. Billy Boyd était sur lui et l'embrassait avec une telle soif qu'il aurait voulu que jamais ce moment ne disparaîsse. Chaque baiser, chaque parcelle de cette intimité si désespérement souhaité étaient maintenant réels et ardament consomés. Il voulait plus, il voulait tellement plus. Dans un effort si surhumain qu'il en était presque admirable, il rompit le baiser enflamé et pris le visage de son ami dans ses mains.
Billy: (la respiration sacadées et les yeux mi-clos)-N'arrête pas...
Dom: -C'est seulement que....je...Billy, jusqu'où je peux aller?
Billy: -N'arrête pas.
Cette phrase était la seule que Billy avait eu la force et l'envie de prononcer. Il voulait être à lui. Son âme, son coeur, ses rêves....et son corps. Voulant le faire comprendre à Dominic, il laissa la bouche où il aimait tellement se perdre et arracha d'un geste et sans ménagement, les bouttons du vêtements qu'il avait prêté à son ami pour la nuit, le faisant voler à travers la pièce. Dom l'imita rapidement, lui retirant le t-shirt qu'il avait sur le dos et déposant au passage sur le torse maintenant découvert, une multitude de petits baiser brûlants. Les deux âmes soeurs étaient entremêlés l'une à l'autre, brûlant d'un feu qui ne se consumerait jamais, affamés d'une faim qu'elles ne pourraient calmer....et pourtant, les deux hommes se liaient comme si la certitude leur avait été donnée qu'ils seraient bientôt arrachés des bras de l'autre.
Si Dominic avait déjà eu l'intention de s'arrêter quelque part, il ne l'avait plus désormais. Aucune force au monde ne pouvait plus stopper les gestes qu'il prodiguaient à son double avec un désir presque animal. Les caresses et les baisers fusaient de toutes part, sans interruption. Billy en poussait des gémissements de plus en plus rauques et les deux corps roulaient sans-cesse l'un sous l'autre, se faisant bataille pour mieux s'assouvir. Dans cette tempête de sensations, Billy posa fermement les mains sur les fesses fermes et rondes de celui qui le dominait et les pressa fortement à lui, pour que son sexe, gonflé par une excitation devenue presque douloureuse, rejoigne le sien, tout aussi dressé par l'envie. Puis, tout en embrassant tendrement le cou de son aimé, il glissa une main dans le vêtement et laissa aller sa main qui trouva rapidement l'objet de sa convoitise. Il serra doucement celui-ci, y allant de quelques mouvements de va et vien lents et savoureux. Dom poussa alors une énorme gémissement et vint stopper sur le champs la main si experte qui le torturait.
Dom: -Désolé...mais c'était beaucoup trop bon....je ne veux pas tout gâcher....
Billy: -Dom...(lui amenant une main vers ses fesses)...tu en as envie?
Dom: (avec le regard le plus enflâmé que Billy n'ait jamais vu) -Oui.....oui.
Billy s'approcha de l'oreille de son ami qu'il lécha avidement, avant de laisser échaper un murmure qui fit frisonner son double.
Billy: -Je reviens.
Dom vit Billy se lever et revenir presque aussitôt, la main fermée sur une petite pochette, que Dom reconnu immédiatement. Bill la mit de côté et revint le rejoindre, tremblant.
Dom: -Tu as peur?
Billy: -Non je suis heureux. Je t'aime.
Dom: -Je t'aime.
Les baisers et les caresses reprirent lentement et précautioneusement, amenant avec eux, les derniers vêtements qui collaient encore à la peau des deux hommes. Dom profita de sa position pour goûter le moidre centimètre de la surface mabrée qui lui était offerte, s'attardant aux endroits les plus exposés, lèchant les autres, secoué de pur bonheur. Il s'appliqua particulièrement à embrasser la peau tendre du ventre de son aimé, la mordillant autour du nombril et la carressant de sa langue à la base. Un inième gémissement de Billy lui fit lever la tête, car celui-ci ressemblait plus à une supplication qu'à toute autre chose.
Billy: -Prends moi, tout de suite, maintenant.
Dom le regarda un peu gêné, puis se mit à caresser l'antre de son double, tout en reprenant les lèvres qui lui avaient tellement manqué. Billy ne pouvait pas s'imaginer à quel point cette demande touchait Dominic. Il le voulait en lui, lui et personne d'autre. Il aurait été le seul à avoir cet honneur et il n'y en aurait jamais d'autres. C'est en pensant à cela qu'il inésra un premier doigt dans l'entrée étroite de celui qu'il aurait désormais la chance d'appeler son amant. Mais Billy poussa à nouveau un gémissement de plainte.
Billy: -Je t'en prie Dom, je ne peux plus attendre....j'en ai trop envie.
Dom: -Mais...je ne veux pas te faire mal....
Billy: -Fais-le.
Billy observa l'indécision dans les yeux de son amant pendant quelques instants et le vit étendre la main jusqu'à la petite pochette qu'il avait rapporté quelques instants plus tôt. Il ferma alors les yeux, un sourire de bien être sur les lèvres, attendant d'être pris par la personne qu'il aimait le plus au monde. Il fut assallit d'une vive douleur lorsque Dom entra en lui et son visage se crispa immédiatement. Son ami s'en inquiéta du regard, mais il le forca à terminer son geste d'un coup de hanche très puissant. Pendant plusieurs secondes, les deux corps restèrent imobiles, laissant le temps au plaisir de revenir par lui-même. Puis, Dom commença un lent mouvement de va et vient, embrassant toujours Billy de la manière la plus tendre qu'il ne l'avait jamais fait, pour rassurer celui-ci le plus possible pendant que les dernières traces de douleurs s'évaporaient. C'est à ce moment précis que les deux hommes furent envahis d'une sensation unique et délicieuse, leur donnant l'impression d'être totalement soudés l'un à l 'autre. À ce sentiment, Dom se laissa aller entièrement, accélérant ses mouvements entre les cuisses ouvertes et chaudes, s'accrochant désespérément au corps de Billy et l'embrassant avec fouge. Les gémissements des deux amants furent bientôt remplacés par des cris de pure jouissance lorsqu'ils se libèrèrent ensembles, les larmes coulant sur leurs joues rougies par l'émotion. Après un long moment, Dom se retirant lentement, et s'écroula d'épuisement dans les bras de celui à qui il était lié. Billy ressera sa prise, tremblant toujours, un sourire serin sur les lèvres, avant de s'endormir.
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Je vous avais averti.....