Forum - Le Monde du Slash

Franchement? Oui


Je sais, j'ai vendu mon âme.


Oh bon sang, celle-ci, je ne m'en suis pas remise, je me marre à chaque fois que je la lis

Et alors, la vidéo Feli/Roger, c'est tout à fait estomaquant !!! La aussi, 'ai bien ri

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* On peut résister à tout, sauf à la tentation. Oscar Wilde *

Un chapitre qui stagne un peu mais Rafa va pas passer l'éponge comme ça Et puis j'ai essayé de prendre en compte vos remarques.

Chap 5.

Roger n'avait pas osé reparaître devant Rafael après leur dernière altercation. Il revoyait sans cesse son regard triste et blessé et se sentait affreusement minable. Sa seule consolation était de ne plus l'avoir aperçu une seule fois en compagnie de Novak... mais cela ne le tranquillisait en rien. Il avait pensé mille fois s'excuser, mais la phrase du serbe tournait sans cesse dans sa tête et l'en empêchait:

Tu as perdu le droit de t'interposer, Rogelio, tu as fait tes choix.

Ses choix. Mirka. Ses filles. Il se demandait s'il était prêt à faire marche arrière pour voir briller les yeux insouciants de Rafael rien que pour lui ? Oh oui... Oui, cela ne faisait aucun doute. Parce que la vie sans lui faisait trop mal. Mais après son comportement inqualifiable envers lui, y avait-il la moindre chance ? D'ailleurs, y'en avait-il vraiment eu une avant ?
C'est à cela qu'il pensait en le regardant jouer sur le court central contre un joueur de seconde catégorie contre qui il avait déjà perdu un set. Cela faisait longtemps d'ailleurs que le suisse n'avait pas vu son rival aussi nerveux sur un terrain. L'enjeu était-il donc si grand pour Rafael? Devait-il prouver à ce point qu'il était aussi fort qu'avant ses sept mois d'arrêt?
Il gagna au final. Mais Roger remarqua qu'il boitait légèrement à sa sortie du court. L'inquiétude l'emporta sur son appréhension et il alla à sa rencontre. Lorsque Rafael sortit de la douche et qu'il aperçut le suisse assis sur un banc qui l'attendait manifestement, il eut un léger mouvement de recul.

- Roger ? lâcha-t-il avec une certaine froideur.
- Je... voulais juste te féliciter et savoir si ça allait... répondit l'autre homme d'une voix douce.
- ...
- Ton genou... j'ai vu que...
- ça va, ça va, je te remercie.

Son ton avait été un peu brusque et il s'en voulut un peu, il avait perçu le regard du maestro qui s'était assombri légèrement. Pour atténuer la dureté de ses paroles, il prit place à côté de lui et fixa un point inexistant dans la pièce, pour finalement murmurer :

- Je ne fais plus d'infiltrations alors parfois, ça me fait mal mais les médecins sont plutôt optimistes et je sais composer avec ça.

Roger le dévisagea discrètement alors qu'il disait ces mots, il savait combien Rafael répugnait à parler de lui et de sa santé. Le majorquin paraissait perdu dans des souvenirs douloureux, le regard profond. Ses cheveux mouillés humidifiaient ses joues et lui donnaient un air tragique qui lui conférait un charisme qui différait de l'air enfantin qu'il avait parfois. Le suisse déglutit devant cette vision magnifique qui faisait accélérer son rythme cardiaque. Puis Rafael lui offrit son sourire timide avant de se lever pour quitter les lieux.

- Rafa...

L'espagnol s'arrêta sur le pas de la porte.

- Je suis tellement désolé pour la dernière fois.

Rafael soupira et sa main se crispa légèrement sur la poignée.

- C'est oublié.
- Non, je... je voudrais t'expliquer.

Le regard doux du plus jeune se voila légèrement, retrouvant un éclat plus métallique. Il ne se retourna pas cette fois-ci lorsqu'il répondit juste :

- Il n'y a rien à expliquer, Roger, j'ai parfaitement compris.

Le timbre de sa voix était loin d'être aussi glacial qu'il l'aurait sans doute voulu, teinté d'une émotion contenue et fragile et le champion suisse comprit qu'il faudrait plus qu'un simple "pardon" pour effacer le mal que ses paroles avait causé. Il fixait à présent la porte par laquelle le majorquin était parti, l'air hagard lorsqu'il entendit le rire mi-compatissant, mi-moqueur de Novak derrière lui.

- De l'eau dans le gaz avec ton hidalgo, Rogelio, plaisanta le serbe.
- Je n'ai pas envie de rire, répondit le suisse plutôt tenté d'étrangler l'intrus.
- Tu prends toujours tout trop au sérieux.
- Pour moi, Rafael n'est pas un jeu...

Novak cessa de sourire et lui posa une main sur l'épaule.

- Si c'était vrai, Roger, tu ne jouerais pas sur deux tableaux.
- Comment ça ?
- Ne sois pas idiot. Tous tes beaux discours devant les médias comme quoi dans la vie tu as d'autres priorités que le tennis, ta femme, tes enfants... Enfin, Rafa a entendu tout ça comme moi, que veux-tu lui promettre ? On ne peut pas gagner sur tous les terrains, tu devrais le savoir...
- Tu peux parler! Avec ta Jelena..., contesta le suisse sans beaucoup de conviction.
- Mais moi, Roger, je veux juste passer un peu de bon temps avec lui, je ne lui demande pas sa main...

Il en profita pour reprendre son air bon enfant et, probablement pour dédramatiser la situation, il offrit un clin d'œil joyeux à son rival avec un :

- En plus, tu me donnes une bonne occasion de le consoler !

Au regard noir que lui renvoya l'helvète, il comprit que le ton n'était décidément pas à la plaisanterie. Il s'en alla raquette à la main expédier son prochain match avec un air confiant.

A suivre...

Plu qu'un chapitre et un épilogue normalement...

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* On peut résister à tout, sauf à la tentation. Oscar Wilde *

Géniale j'adore ce chapitre, j'adore même la discussion, vraiment très discutable

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Et voilà, Roger, on récolte toujours ce que l'on sème ! Ça lui apprendre à se faire ses propres scénarios au lieu de faire preuve d'un peu de bon sens !

Je suis bien contente que Rafa ne lui pardonne pas aussi facilement, un peu de fierté tout de même quand tu te prends des méchancetés de la part d'un mec bourré Bon après, qu'il n'aille pas tomber dans les bras de Novak !

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Si tu n'aimes pas ton présent, tu as les jours suivants pour l'améliorer. Et ce présent ne sera qu'un passé.

ça sent le quiproquo et que Rafa pense que Roger est homophobe. Je commence à me demander si finalement Novak veut pas un peu aider notre Rogelio .
Hâte de voir pour avoir la réponse !

Toujours se méfier de la fierté des espagnols



Bon, c'est presque fini. On va s'adoucir un peu. Avec une petite pensée pour Rafa qui a perdu à Wimbledon hier.

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* On peut résister à tout, sauf à la tentation. Oscar Wilde *

chap 6

Quelques jours supplémentaires passèrent. Rafael semblait avoir disparu, se consacrant exclusivement à son entraînement et jouant ses matchs avec chaque fois un peu plus de confiance. Novak, pareil à lui-même, alignait ses adversaires en trois sets sans ménager de suspens. Roger, quant à lui, peinait à se concentrer, toujours obsédé par les larmes qu'il avait provoquées chez son ami et cette gifle qu'il avait amplement méritée. S'y était ajoutée l'obligation de décrocher son téléphone pour que Mirka ne prévienne pas la planète entière devant son silence prolongé et la discussion avait tourné autour de deux phrases qui n'avaient rien arrangé à son état :

- Je suis désolé, il y a quelqu'un d'autre...
- Il s'agit de lui, n'est-ce pas ?

Minable ET prévisible, voilà comment il se sentait. Il aurait du s'en douter. Mirka n'était pas aveugle. Elle avait sans doute toujours su...

Bref, avec pareil climat, son huitième de final fut franchement mauvais. 5 sets pour sortir Gilles Simon, c'était pathétique. Il en fracassa sa raquette dans le vestiaire avant de se figer net en apercevant le majorquin en face de lui, un peu gêné devant cette scène de colère qui n'était pas vraiment dans les habitudes du suisse.

- Rafael, ...
- Tu euh... préfères peut-être rester seul.
- Non !

Roger avait lancé sa réponse d'un trait amorçant même un mouvement vers lui de peur de le voir partir aussi vite qu'il s'était matérialisé. Comme le champion latin ne disait toujours rien, l'autre anticipa :

- Je t'en prie, Rafa... laisse-moi une chance de t'expliquer mon comportement, après je te promets de ne plus en reparler...

L'espagnol faillit réitérer sa précédente réponse mais l'intensité du regard brun en face de lui, obscurci par une tristesse perceptible, l'en dissuada.

- Je... Entendu, retrouve-moi dans une heure dans ma chambre.

Lorsqu'il entra dans la pièce, le moment venu, Roger trouva Rafa assis dans un fauteuil, en jean, une chemise noire aux manches retroussées qui accentuait la profondeur de son regard. Un regard presque impénétrable et orageux, pas loin de celui qui habitait ses yeux lorsqu'il était sur un court de tennis défiant tous les possibles. Il frémit légèrement; comprenant que le champion ibérique espérait une vraie sincérité pour excuser les mots blessants qu'il avait eu.

- Je ne pensais pas un mot de ce que je t'ai dit, commença-t-il dans un souffle.
- Pourtant, tu as été très clair.
- Je me suis comporté comme un vrai con.
- C'est le moins que l'on puisse dire.

Rafael ne lui simplifierait pas la tâche. Le suisse chercha du courage dans son cœur, impressionné par cette voix d'homme qui contrastait tellement avec la candeur d'adolescent qui caractérisait l'espagnol dans sa vie publique. Oui, il avait du beaucoup le blesser pour dissiper cette douceur dans ses yeux...

- Je... La vérité, c'est que j'étais jaloux...

Une lueur différente brilla un instant dans les yeux de Rafael. Inconsciemment cela encouragea l'autre homme à poursuivre.

- Quand il a posé la main sur toi, quand tu l'as suivi dans sa chambre, j'ai cru qu'on m'arrachait le cœur, j'ai cru devenir fou... J'aurais voulu que tu me regardes comme tu le regardais, que tu penses à moi comme sans doute tu penses à lui...

Il avait détourné le regard, incapable d'affronter la réaction de son ami et le silence qui suivit cette phrase ne lui en parut que plus assourdissant.

- Pourquoi ? Pourquoi tu ne m'as pas simplement dit tout ça au lieu de ces insultes ?
- Parce que je savais que je ne pouvais pas rivaliser avec lui, parce qu'il peut te faire des promesses que je ne pouvais pas te faire...

Il redressa enfin le visage défiant l'intensité des prunelles caramel de l'espagnol et avec toute l'assurance qui lui restait , il affirma plus fort :

- Aujourd'hui, j'ai compris que ces promesses, je pouvais te les faire...

En silence, Rafael se leva de son fauteuil et fit quelques pas vers son aîné qui semblait curieusement aussi déterminé que fébrile et, ancrant son regard dans le sien, il demanda juste :

- Et Mirka ?
- Si tu veux de moi, Rafa, elle cesse d'exister dans ma vie.
- Oui.
- Quoi?
- Bien sûr que je veux de toi, j'ai toujours voulu de toi.
- Mais... Novak ?
- Enfin, tu connais Nole, il s'amusait juste. Je ne dis pas que ce n'était pas tentant mais je ne suis pas comme ça, le plaisir sans les sentiments, ce n'est pas pour moi...
- Je... mais tu...
- Il ne s'est rien passé avec lui, c'est toi que j'aime Rogelio.

Il lui sourit enfin, d'un sourire rayonnant, si éblouissant que l'autre homme en perdit sa verve habituelle, bredouillant quelques mots en allemand ou en bâlois, Rafael ne savait pas très bien.

- Tu me pardonnes alors ? articula-t-il finalement en anglais.

Roger rendait toujours les choses si mélodramatiques, prenait toujours un air si grave qu'il était difficile pour le majorquin de ne pas se sentir spécial, il s'approcha encore plus près de lui jusqu'à ce que leur visage soit si proches qu'ils pouvaient tous deux sentir leur souffle se mêler.

- A ton avis ?

Sans attendre de réponse, le jeune homme posa sa main sur la joue de son aîné, c'était en fait le premier geste qui signifiait un peu plus que l'amitié qui les avait unis toutes ces années. Ils en étaient pleinement conscients.

A suivre...

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* On peut résister à tout, sauf à la tentation. Oscar Wilde *

J'adore ce chapitre, pas une réconciliation trop facile, pas de mauvaises découvertes entre Nole et Rafa , et cela parait crédible. Et en plus Roger sait enfin ce qu'il veut ! Vraiment très beau chapitre !

ça semble s'arranger tranquillement, j'aime beaucoup!! Bon, dommage tout de même qu'il n'y ai pas eu plus d'interraction avec Novak
Il me tarde de lire la suite

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"When I'm not writing, I'm dying" Neil Diamond

"Reading is one of the joys of life and once you begin, you cannot stop." Benedict Cumberbatch

j'adore la suite, enfin les choses commencent à s'arranger, j'adore

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Comme quoi une vraie bonne explication vaut mieux que tout !
Ca avance doucement, va falloir remettre Nole à sa place maintenant, ça promet sûrement un moment de douce vengeance...

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Addict du McDanno
"We will be the Bromance of the decade". Alex O'Loughlin

Et que dire de Federer...

Pour revenir au chapitre, j'ai bien aimé Roger être devant le fait accomplie : devoir prendre une décision (quitter sa femme) et dire ce qu'il pense réellement à Rafa. En fait, je crois qu'on peut remercier Novak pour avoir fait bouger les choses

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Si tu n'aimes pas ton présent, tu as les jours suivants pour l'améliorer. Et ce présent ne sera qu'un passé.

merci

J'avoue mais finalement, Nole a quand même le mérite d'être le catalyseur

Il était temps, je crois

Que veux-tu , les hommes en général ne sont pas doués pour parler simplement (oups, un cliché)

Oui, Wimbledon n'était pas la panacée pour nos chouchoux cette année, faut bien leur apporter du réconfort à travers des fics,en somme
Quant à Novak, c'est toi qui vois juste, comme tu vas le voir...

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* On peut résister à tout, sauf à la tentation. Oscar Wilde *

Epilogue


Perdu dans les yeux profonds de Rafael, Roger se demanda comment il avait pu mettre aussi longtemps à comprendre que sa place était près de lui, alors que son cœur n'avait jamais cessé de le lui souffler.
Il se souvenait parfaitement du jeune espagnol timide de 17 ans qui l'avait battu à leur première confrontation. Ce garçon au teint mat, au corps d'athlète, avec cette rage de vaincre et cette inconditionnelle douceur dans son regard qui avait suscité tellement de réactions dans sa tête de champion. Il l'avait immédiatement détesté, estimé, maudit et aimé. Puis prisonnier du système, cédant peu à peu à la pression des journalistes et de son entourage, il s'était éloigné pour devenir "l'homme parfait" que sa carrière exigeait : champion posé, toujours classe, parfait père de famille... Et il avait failli perdre la seule personne qui savait réveiller les bouillonnements de son cœur, raviver les émotions qui font toute la saveur de la vie.

Il avait quand même fallu que ce soit ce stupide serbe trop tactile à son goût qui le fasse réagir avant de perdre l'essentiel. Remercier Novak ? Même pas en rêve...
Devant le léger sourire qui anima les lèvres du suisse, une seconde, Rafael demanda :

- A quoi tu penses ?
- Au massage de Nole et au spectacle stimulant que cela offrait.

Le majorquin s'empourpra légèrement mais d'un sourire taquin accompagné d'un clin d'œil, il précisa tout de même :

- Je ne sais pas pour le spectacle, mais il ne mentait pas sur ses talents de masseur.

Roger se mit à rire de bon cœur, la jalousie l'avait définitivement quitté, effacée par le baume des paroles de Rafael. Et puis l'invitation était claire, il posa ses mains sur les hanches de son cadet, les fit doucement remonter sous sa chemise et murmura tout près de son oreille :

- Laisse-moi te montrer les miens et je te jure que tu n'auras plus aucune occasion de penser à lui...
- Mmmh...

Déjà, le joueur latin n'écoutait plus vraiment, heureux de se laisser aller à ce contact électrisant sur sa peau, le visage à présent niché dans le cou de l'autre homme, profitant de son parfum familier, de sa force, de sa réalité. Le champion suisse, de toute façon, n'avait aucune envie de le laisser s'échapper, il le serra dans ses bras et l'embrassa avec possessivité comme si inconsciemment, il voulait se prouver qu'il lui appartenait et qu'il ne laisserait plus jamais personne se mettre entre lui et son hidalgo.

Ce récit se trouvant dans la partie publique du forum, il ne nous est pas permis d'en savoir plus sur la nuit torride qui s'en suivit mais ce qui est certain, c'est que le lendemain, Rafael n'eut plus le moindre souvenir d'un vague massage serbe pour lui apprendre le lâcher prise, il avait expérimenté une méthode bien plus efficace dont l'addiction ne faisait aucun doute.

Quant à Roger, lorsqu'il quitta la chambre de Rafael avec un sourire de bonheur insolent sur le visage, il lui fut difficile d'ignorer le clin d'œil presque complice de Novak Djokovic qui empruntait l'ascenseur au fond du couloir. Il ne savait pas s'il avait rêvé, mais il aurait juré lire un "bonne chance à toi" sur ses lèvres. Ce qu'il fut certain de voir en tout cas, c'est bien le visage rouge de Stanislas Wawrinka quand le serbe à côté de lui avait posé une main au creux de son dos avant que les portes ne se referment...


FIN


PS : pour ceux qui ne sont pas lassés, une autre fic va suivre, oui, je suis en plein Wimbledon, alors j'en profite
En tout cas, merci à toutes !!!

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* On peut résister à tout, sauf à la tentation. Oscar Wilde *

Novak et Wawrinka ? ça me plaît bien Sacré Nole, il les lui faut tous^^
Ravie que ça finisse bien pour Rafa et Roger, même si c'est un couple qui me laisse totalement froide. Mais chut, je n'ai rien dit

Pas lassée et puisque c'est d'actualité, Wimbledon oblige, je lirai ta prochaine fic avec intérêt. Et si tu mettais Novak plus avant c'est pas moi qui m'en plaindrais

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