Forum - Le Monde du Slash

Un espace de discussion pour les adeptes du slash sous toutes ses formes

Attention ! Les personnages utilisés dans nos fanfictions ne nous appartiennent pas, ils sont la propriété de leurs auteurs respectifs. De plus, nous ne connaissons pas les personnages réellement existants et nous n'avons aucune prétention à raconter leur vie privée : c'est de la pure fiction, rien de ceci ne doit être considéré comme vrai ! Enfin, qu'il soit bien clair qu'aucune fanfiction n'est publiée dans un but lucratif, nous n'en tirons aucun profit.


Les dernières news du Monde du Slash !

BONNE ANNÉE 2024 À TOUS ET À TOUTES !!!

Nous sommes le 29 Mar 2024 14:11

Heures au format UTC + 1 heure




Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 20 messages ]  Aller à la page 1, 2  Suivante
Auteur Message
 Sujet du message: [Finie] Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 29 Avr 2013 20:45 
Hors ligne
Slash ou non, telle est la question...
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 14 Juin 2012 11:07
Messages: 550
Localisation: à l'ouest, terriblement à l'ouest
Cette nouvelle histoire se déroule alors que le tournage de la saison 1 de "Sherlock" avance. Benedict et Martin sont confrontés aux rigueurs hivernales.
Il fait très froid, ce qui ne les empêche pas d'avoir chaud, parfois...

***

L’hiver battait son plein.
Chaque jour, l’équipe de tournage de « Sherlock » luttait contre les rafales glacées qui s’engouffraient dans les rues de Cardiff. Vaincu par la grippe, l’un des cameramen avait grelotté de fièvre au fond de son lit pendant trois jours. Une laryngite aigüe avait privé la maquilleuse principale de sa voix durant deux jours. Mark Gatiss s’inquiétait, pestait, se mouchait, buvait du thé brûlant et se calmait jusqu’au lendemain.
Entre deux prises extérieures, Martin Freeman restait emmitouflé dans plusieurs couches d’épais vêtements. Benedict Cumberbatch s’était gentiment moqué de lui en le comparant au bonhomme Michelin. Martin avait souri avec indulgence. Il adorait être taquiné par Benedict, le taquiner en retour, travailler avec lui, le regarder jouer des scènes avec d’autres acteurs, le regarder.
La veille, dernier lundi de janvier, avait débuté la dernière semaine de tournage du premier épisode sur les trois d’une heure trente commandés par la BBC. En attendant le clap de départ de la scène du matin, Rupert Graves « Lestrade » et Vinette Robinson « Donovan » frappaient dans leurs mains pour se réchauffer. Rupert se tourna vers Martin : « Qu’est-ce qu’il fabrique, Benedict ? Il devrait déjà être là ! Il a eu une panne d’oreiller ou quoi ? »
Martin haussa les épaules en signe d’ignorance : « S’il n’arrive pas d’ici cinq minutes, on l’appellera sur son portable. » Il rajusta autour de ses oreilles la capuche bordée de fourrure de sa parka, puis, dissimulant son agacement, remit prestement les mains au fond de ses poches.
Il n’était pas censé être informé des « pannes d’oreiller » de Benedict, ni de ce qu’il « fabriquait » le matin en se levant. Il faudrait peut-être rappeler à Rupert que c’était seulement Sherlock et John qui habitaient ensemble. Apparemment, ce détail lui avait échappé.
Rupert poussa Martin du coude : « Ah le voilà ! Dis donc, il a vraiment une sale tête, le pauvre ! »
Avec un petit sourire contrit, Benedict Cumberbatch fit un bref signe de la main à ses collègues avant de filer vers les pinceaux de Ruth la maquilleuse.
Les acteurs commencèrent à se mettre en place sous l’œil du réalisateur et des caméras. Benedict les rejoignit. Une longue quinte de toux le secoua. Consterné, Martin l’observa. Depuis une semaine, chaque jour, Benedict était plus émacié, plus pâle. Chaque jour, il toussait plus, mangeait moins. D’un geste, il balayait les inquiétudes de Martin et des autres : « C’est un gros rhume, un peu grippal peut-être. Du paracétamol et ça va passer ! »
Le tournage de la scène commença. Le regard de Benedict-Sherlock était plus fiévreux et intense que jamais, ses réparties cinglantes fusaient, l’acteur connaissait son texte à la perfection, sa toux avait cessé, ses joues blêmes rosissaient. La matinée se termina dans la bonne humeur générale et par une bonne nouvelle : l’après-midi, on tournait au chaud, dans un pub.


Le lendemain matin, à six heures moins dix, Benedict Cumberbatch s’assit péniblement dans son lit aux draps froissés et humides de transpiration, au terme d’une troisième nuit passée à suer, à chercher vainement le sommeil et à tenter d’ignorer la douleur fichée dans son dos à hauteur de l’omoplate gauche. Les visions de sa nuit hachée par la fièvre commencèrent à se dissiper, un épuisant carrousel d’images hallucinatoires mêlant créatures de cauchemar et personnes familières, ses parents, sa petite amie Olivia, et Martin.
Il prit une douche presque froide, enfila un peignoir en grelottant, descendit à l’étage au-dessous en s’agrippant à la rampe et frappa chez Mark Gatiss : « Bon, je crois qu’il faudrait peut-être que je voie un médecin ». Mark leva les yeux au ciel : « Depuis trois jours qu’on te le dit, mon cher. Je l’appelle tout de suite. Va te recoucher. »
Une heure plus tard, le médecin était venu, puis reparti.


Quelqu’un toqua à la porte de la chambre de Martin Freeman qui s’apprêtait à enfiler veste douillette et parka pour affronter une nouvelle journée de frimas. Cheveux en bataille, Una Stubbs lui annonça : « Le médecin est passé voir Benedict. Il a une pneumonie. »
Martin ouvrit la bouche, resta muet. Il avait soudain très froid.
Une pneumonie. On peut en mourir. On en meurt. Sherlock allait disparaître, Benedict allait mourir. C’était fini. Tout était fini.
Una Stubbs observait Martin, son mutisme et son regard figé. Elle lui sourit : « Martin ! C’est sérieux, mais ça va aller ! Benedict va se coltiner une bonne dose d’antibiotiques, il va se reposer au chaud et se requinquer ! » Elle posa la main sur le bras de l’acteur : « Je file me préparer. On va réorganiser le travail pour le reste de la semaine. A tout de suite ! »


Ce jour-là et le suivant, Benedict resta dans sa chambre. Martin n’osait pas le déranger. A plusieurs reprises, Una Stubbs rendit visite au malade, qui se laissait materner. Depuis qu’il avait quatre ans, il connaissait l’actrice, amie de ses parents.
Tout le monde sur le plateau s’attendait à voir Benedict rentrer chez lui jusqu’à la fin de la semaine, dans l’appartement londonien qu’il partageait avec Olivia Poulet.


Le vendredi matin, Mark Gatiss déboula sur le plateau de tournage, fulminant : « Quel andouille, quel crétin, quel abruti ! » Tout le monde se figea, chacun essayant de deviner l’identité du « crétin ».
Mark fixa une caméra, puis le cameraman, puis Martin : « Le médecin lui avait pourtant bien dit qu’il devait rester tranquille jusqu’à lundi prochain. Tu parles, cause toujours ! »
Une demi-heure plus tard, le coupable apparut, revêtu du long manteau et l’écharpe de Sherlock Holmes. Mark secoua la tête, partit téléphoner à Steven Moffat et se réconforter avec une tasse de thé. Aux autres de ramasser l’acteur à la petite cuillère et de ramener les morceaux à l’hôtel.
Martin comprenait les inquiétudes de Mark. Depuis mardi, Benedict avait encore maigri, encore perdu des couleurs. Même pour le personnage de Sherlock, son visage était excessivement blafard, et donna du fil à retordre à Ruth et à ses pinceaux. Le regard de l’acteur était terne, ses paroles rares.
Martin entendit quelqu’un murmurer : « Il va finir à l’hosto, ce con. » Il frémit.
Clap. La scène à tourner commença. Instantanément, le moribond se redressa, planta son regard soudain flamboyant dans celui de Lestrade-Rupert Graves interloqué, débita à une allure folle les déductions du génial détective, cloua le bec à Donovan-Vinette Robinson. A l’heure du déjeuner, il avala une soupe et ses comprimés d’antibiotiques, avant de repartir sur le plateau s’en prendre vivement à John Watson qui n’avait encore rien compris à l’affaire en cours.


Depuis cinq bonnes minutes, Martin examinait son reflet dans le miroir qui surplombait le lavabo de la petite salle de bains attenante à sa chambre. Son double de verre ne daignait pas lui donner la moindre réponse. « Aller ou ne pas aller voir Benedict ce soir pour s’assurer que tout allait bien ? Dormait-il déjà ? Lui rendre visite dans sa chambre, c’était amical ? Ridicule ? Inconvenant ? Une politesse entre collègues ? » Martin inspira profondément, tourna le dos à son reflet inutile, sortit de la salle de bains, puis de la chambre.


Benedict avait terminé la journée dans un brouillard d’épuisement, mais il était heureux : il savait qu’il avait fait du bon travail. A leur retour à l’hôtel, Mark lui avait pincé la joue, avait souri : « Bon dieu, Benedict, tu es vraiment un drôle d’animal… » Il enfila un pantalon de pyjama, on toqua à la porte, il alla ouvrir. Martin.
« Je te déranges ? Tu vas bien ? Tu allais te coucher ? Je m’en vais, j’était juste venu voir… »
- Tu ne me déranges pas du tout. C’est adorable d’être venu. Entre, entre. Je vais me coucher, je n’ai pas encore sommeil, tu peux rester un peu. » Benedict s’assit au bord du lit. « Je crois que n’ai presque plus de température. Demain, je serai d’attaque pour la matinée, après, hop, retour à la maison, et lundi je péterai le feu, tu verras. »
Benedict s’allongea, posa la tête sur l’oreiller sans quitter des yeux Martin qui tapota les couvertures, le borda avant de lui poser doucement la main sur le front.
Benedict ferma les yeux.
Il avait sûrement encore un peu de fièvre, de nouveau il transpirait. Quel régal cette main. Si douce. Si fraîche. Un délice.
Martin caressa lentement le front puis la tempe de Benedict. De ses longs doigts fins, celui-ci pressa la main délicate du visiteur contre sa joue, puis l’amena contre ses lèvres entr’ouvertes.
Benedict avait gardé les yeux clos. Quelques minutes encore, il tint la main de Martin contre son visage, sa bouche, puis la lâcha. Il dormait. Martin glissa doucement les doigts dans les boucles désordonnées des cheveux du convalescent, et se leva avec précaution. Ses jambes flageolaient. Des perles de sueur glissèrent le long de son dos, d’autres sur son front. Il fit un pas, trébucha.
Il avait chaud, tellement chaud. Comme une bouffée de fièvre d’un seul coup.
Il serait bien resté. Il fallait partir.
Martin se dirigea vers la porte, ne l’ouvrit pas. Il se retourna, observa intensément le dormeur, soupira, essuya son front moite d’un geste brusque, s’éclipsa.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 01 Mai 2013 09:18 
Hors ligne
Ouh là... ça commence à devenir grave !
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 06 Mai 2010 12:45
Messages: 3655
Localisation: mon coeur, lui, est toujours à Londres en tout cas
Eh bien, quelle conscience professionelle Benedict :wink:
J'adore les interrogations de Matin à la fin, heureusement il se décide quand même à aller le voir. Adorable comme scène :D

_________________
Image Image

"When I'm not writing, I'm dying" Neil Diamond

"Reading is one of the joys of life and once you begin, you cannot stop." Benedict Cumberbatch


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 01 Mai 2013 10:05 
Hors ligne
Pas encore atteint(e)... mais presque
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 19 Mai 2006 20:03
Messages: 1234
Localisation: Là où on m'attends pas
Adorable ^-^

J'aime beaucoup :D

Bisouuuus

_________________
L'erotisme c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps
Qu'est ce que l'amour ? C'est le comble de l'union de la folie et de la sagesse
Making love with death, pregnancy my own destruction


http://hurricane-judas.tumblr.com/ / https://twitter.com/#!/ShanaLeto

Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 01 Mai 2013 11:03 
Hors ligne
Administrateur
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 17 Jan 2004 13:57
Messages: 11370
Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
J'adore !! :bravo: :bravo:

Une autre ! Une autre !!


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 02 Mai 2013 14:51 
Hors ligne
Slash ou non, telle est la question...
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 14 Juin 2012 11:07
Messages: 550
Localisation: à l'ouest, terriblement à l'ouest
Merci les filles ! :heart:

Glasgow : la conscience professionnelle de Benedict n'est pas inventée ! Il a vraiment attrapé une pneumonie, et est retourné au turbin après seulement une journée de repos ! De plus, à sa reprise, il a tourné une scène agitée, avec une bagarre, dans un état second dû à la fatigue et aux médicaments... :shock: En revanche, je ne sais pas comment a réellement réagi Mark Gatiss ! :D

Mood aka Shana : bisous à toi aussi !

Cybelia : une autre histoire est prévue, mais elle est encore "sur le feu" :wink:


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 02 Mai 2013 17:05 
Hors ligne
Ouh là... ça commence à devenir grave !
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 06 Mai 2010 12:45
Messages: 3655
Localisation: mon coeur, lui, est toujours à Londres en tout cas
rhoda a écrit:
Glasgow : la conscience professionnelle de Benedict n'est pas inventée ! Il a vraiment attrapé une pneumonie, et est retourné au turbin après seulement une journée de repos ! De plus, à sa reprise, il a tourné une scène agitée, avec une bagarre, dans un état second dû à la fatigue et aux médicaments... :shock: En revanche, je ne sais pas comment a réellement réagi Mark Gatiss ! :D

J'étais pas du tout au courant de cette anecdote :shock: Mais c'est amusant puisque pendant ma lecture je trouvais crédible que tu nous le présentes ainsi, c'était pas pour rien manifestement :wink:

_________________
Image Image

"When I'm not writing, I'm dying" Neil Diamond

"Reading is one of the joys of life and once you begin, you cannot stop." Benedict Cumberbatch


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 09 Mai 2013 22:51 
Hors ligne
Dieu du slash ! Prosternez-vous !
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 06 Mai 2006 18:50
Messages: 14711
Localisation: Toulouse
Très très sympa cette fièvre ;)

_________________
Image Image
Image Image
Co-fondatrice de l'Alliance des Sadiques
La torture des pouffes c'est bien, celle des doudous c'est encore meilleur !

ALEPICFICS, forum uniquement consacré aux picfics


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 11 Mai 2013 15:44 
Hors ligne
Slash ou non, telle est la question...
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 14 Juin 2012 11:07
Messages: 550
Localisation: à l'ouest, terriblement à l'ouest
Merci MAPI ! :D


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 14 Mai 2013 11:07 
Hors ligne
Pas encore atteint(e)... mais presque
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 09 Déc 2011 13:28
Messages: 1698
Localisation: England
Je suis totalement fan de la réaction de Mark Gatiss :D
(comment ça, je suis sensée dire que Martin est choupinou de s'inquiéter pour Benedict ?)
(comment ça, je suis sensée être admirative de la ténacité de Benedict à vouloir travailler même en étant complètement malade ?)
(comment ça, il y a trop de parenthèses ?)
Non, définitivement, j'adooore les ronchonnements de Mark :D


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 14 Mai 2013 20:02 
Hors ligne
Slash ou non, telle est la question...
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 14 Juin 2012 11:07
Messages: 550
Localisation: à l'ouest, terriblement à l'ouest
Aunbrey, définitivement, j'adore tes commentaires ! :laughing:


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 13 Juin 2013 20:05 
Hors ligne
Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 10 Nov 2012 22:09
Messages: 255
Localisation: Emportée loin par le Vent d'Est
Haaaaaaaaaanw, so cute ! :heart: Félicitation pour ce texte tout mignon ! J'aime beaucoup de lire, en espérant que tu continues !
Bises ! :D

_________________
Ma plume est vôtre.

« A chaque fois on me demande mon avis. En tant que femme dans un monde macho, en tant que noire dans un monde raciste, en tant que lesbienne dans un monde homophobe. Et moi je réponds : 'Ah, mais j'suis comme vous. Un être humain dans un monde de merde'. » Shirley Souagnon.


Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 14 Juin 2013 21:36 
Hors ligne
Slash ou non, telle est la question...
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 14 Juin 2012 11:07
Messages: 550
Localisation: à l'ouest, terriblement à l'ouest
Merci beaucoup Emma ! Ton commentaire me fait très plaisir ! :oops:

Une petite précision :D : j'ai effectivement continué après "Fièvres", avec le texte "Minuit", que tu as lu il y a quelque temps, et dans lequel la relation entre Martin et Benedict a évolué ! :wink:

Et une autre histoire va suivre (je ne vais les lâcher comme ça, mes tourtereaux :lol: ), mais avec une petite surprise...
Mais seulement dans un petit moment, c'est pas prêt du tout !


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 17 Nov 2013 16:10 
Hors ligne
Slash ou non, telle est la question...
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 20 Juin 2006 20:02
Messages: 975
Localisation: belgique
Très mignon la fin, le martin qui chauffe...tu m'étonnes. Il n'empêche que Martin aurait pu se montrer un peu plus courageu et se bouger le c** bien avant :cry:

J'ai bien aimé tes descriptions de Mark gatiss s’énervant sur le tournage, faisant un peu sa catherine barma.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 18 Nov 2013 22:15 
Hors ligne
Slash ou non, telle est la question...
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 14 Juin 2012 11:07
Messages: 550
Localisation: à l'ouest, terriblement à l'ouest
Kaos, merci pour ta review !

Quand j'avais appris que Benedict était revenu sur le plateau une journée après le diagnostic de sa pneumonie (il en a attrapé une dans la "vraie" vie), je m'étais demandé comment avaient pu réagir les membres de l'équipe... Cela m'a amusée d'imaginer Mark réagir comme il le fait dans la fic... :D

Quant à Martin, tu as raison, il est un peu timoré, mais il a sans doute peur de ce qu'il ressent à l'égard de Benedict !


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Fièvres Martin Freeman/Benedict Cumberbatch - G
MessagePosté: 06 Fév 2014 14:32 
Hors ligne
Le slash, kesako ?
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 22 Jan 2014 19:39
Messages: 39
Oh j'aime beaucoup celle là ! :heart: J'aime beaucoup l'attitude de Martin à la fin, tout troublé et apeuré par ce qu'il peut ressentir. Je le trouve très touchant comme ça ...

(J'ai juste une question, je ne suis pas tout à fait sûre de lire tes fics dans l'ordre, et je ne les ai pas trouvées dans les post qui récapitulent toutes les fics :( c'est normal ?)


Haut
 Profil  
 
Afficher les messages postés depuis:  Trier par  
Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 20 messages ]  Aller à la page 1, 2  Suivante

Heures au format UTC + 1 heure


Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 4 invités


Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets
Vous ne pouvez pas éditer vos messages
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages


Rechercher:
Aller à:  
cron
Powered by phpBB © 2000, 2002, 2005, 2007 phpBB Group
Traduction par: phpBB-fr.com