alors voilà enfin a suite et fin de ma première fic Rps! désolée pour le retard
mais bon là je crois que c'est bon. Alors j'espère que ça vous plaira comme final !
bonne lecture Son front doucement appuyé contre le sien, il laissa sa main droite glisser le long de sa mâchoire, serrée tandis qu'il voulut calmer les ratés de son cœur, le bout de ses doigts effleurait délicatement sa joue agréablement mal rasée. Il roula des épaules, dissimula sa main dans ses cheveux ébouriffés, sa paume effervescente sur sa nuque brulante incendiant un peu plus sa peau dorée.
Il le fit basculer sur le dos, entrainant leurs corps dans un mouvement mesuré. A moitié allongé sur son amant, le jeune homme resserra un peu plus sa main, ses doigts s'emmêlant plus sauvagement à ses mèches auburn. Il replongea dans les profonds reflets érables de ses yeux avec passion, son troublant regard océan agité d'un besoin vital et impulsif d'être lié à cet homme de la façon la plus intense qu'il soit. Leurs âmes fusionnaient en une seule, tandis que l'aîné laissait courir une main joueuse sous le tee-shirt de son amant, caressant le creux de ses reins, gouttant la douce chaleur de ses hanches ondulantes, frissonnant en sentant les battements irréguliers de son cœur contre sa paume.
Il se redressa légèrement, fourra l'une de ses mains dans ses cheveux blonds alors que l'autre se faufilait entre les frissons qui parcouraient son dos embrasé.
- Jude...
Les deux amants resserrèrent l'emprise qu'ils avaient l'un sur l'autre. Embrassant son bel américain avec fougue, le jeune anglais lui offrit son sourire le plus ravageur.
- Je crois que c'est à moi de te faire une surprise maintenant...
- Ah bon? Et on peut savoir ce que c'est?
Il se redressa légèrement, glissa une main dans la poche arrière du jean de son homme.
- Je crois que tu as déjà deviné...
- Oh... Mais je préfère que tu me montres quand même. Tu sais très bien que mon innocence me perd toujours.
- Mais oui mon Rob, tu es blanc comme neige, la pureté incarne... Mais c'est pour ça que je t'aime.
Ramenant son bras en arrière, il enleva la main que son amant avait glissait sous son jean, lui sourit comme si une pensée secrète lui avait traversé l'esprit. Il se releva, sa main toujours dans la sienne, il l'aida à se lever à son tour. Ils laissèrent leurs doigts s'entrelacer.
- Tu vas me rendre dingue Jude.
- Je sais... Mais un peu plus un peu moins...
- Mais ce que tu aimes chez moi...
Un simple filet de voix avec exprimé cette pensée douloureuse. Jude lâcha sa main, se posta en face de lui et planta son regard dans le sien, emprisonnant son visage entre ses mains.
- Ecoute Rob, arrête de te prendre la tête avec ça... Tu es torturé, oui. Est-ce que des fois j'e souffre? Oui. Mais tu n'es pas coupable! Rob, tu es un mec génial, déglingué, mais c'est ça qui me fascine oui. Parce que ça fait de toi une personne irrésistiblement attirante. Et ça ne te rend pas mauvais pour autant. Même si tu le cri pas sur tous les toits, c'est simplement parce que tu es incroyablement sensible et réceptif à des tonnes de choses. Alors arrête de te torturer. Je suis assez grand pour savoir quoi faire de ma santé psychologique, et mon choix est déjà fait. Je préfère me perdre avec toi... OK?!
- Hum...
Il l'embrassa tendrement, le regarda de façon à lui faire comprendre qu'il était sérieux et qu'il avait raison. Il le vit acquiescer.
- Alors viens. Tu veux plus de ma surprise. Il l'entraina avec lui vers la maison, un sourire malicieux plaqué sur les lèvres.
- Comment tu veux que je te résiste Judesie...
Ils rigolèrent tous deux, rassurés. Ayant dépassés la cuisine, leur désir de l'autre ne put les amener plus loin que sur le canapé du salon. Ayant plaqué son amant contre les cousins, à cheval sur lui, Robert lui offrit son expression la plus mystérieusement sexy de son répertoire, et reprenant un air tout aussi tendre mais incroyablement sincère, il l'embrassa avec fougue, ayant déjà enlevé son tee-shirt, il glissa ses mains sur le torse de son amant pour le débarrasser du sien.
- Dis Jude...
- Oui?
- Je t'aime...
Il embrassa son cou, sa peau nue, le sentit frissonner de bonheur, comme un chat ronronnerait de plaisir. Ce soir-là, les deux hommes incendièrent le tissu maintenant froissé du canapé, par la chaleur de leurs peaux fiévreuses.
voilà ^^ the end