kikou
oui la fic arrive à son terme, mais l'histoire d'Harry et Draco ne fait que commencer.
voila sinon bon année à tous,
pour cadeau a siriana je mets les deux derniers chapitres de cette fic, bonne lecture à tous ceux qui lisent et que le slash soit avec vous.
Chapitre 24: Partir ou rester ? ( Calogèro)
Draco emmena Harry dans une grande pièce isolée. Il avait compris que le Gryffondor, voulait fuir les autres, et passer la soirée seul avec son amant. Au milieu de la pièce, se trouvait un très grand canapé, et près d’une fenêtre un piano à queue. Les murs étaient ornés de grands tableaux, mais les personnages représentaient dessus ne bougeait pas. Sans attendre plus longtemps, le blond coucha le brun sur le canapé, et lui enleva sa chemise, qu’il jeta au loin négligemment. Avide de passer au stade final, il voulut faire de même avec le pantalon, mais Harry l’arrêta avant.
- « Tu ne veux pas, demanda t’il avec une pointe de déception dans la voix. »
- « Ce n’est pas ça. Mais il se peut que tu aies mal choisit le lieu, avec tous ces tableaux. Je sens leur regard sur moi. »
- « Tu ne risques rien, ils ne sont pas animés, se sont des peintures moldus. »
- « Tu as bien fermé la porte? Je ne voudrais pas que quelqu’un nous surprenne. »
- « Aucun risque, je suis le seul avec le professeur Dumbledore, à connaître l’existence de cette pièce, c’est même lui qui le l’a conseillé, afin que l’on puisse être tous les deux. »
Cette nouvelle réjouit le survivant qui laissa donc son partenaire, finir ce qu’il avait si bien commencé, et se retrouva vite sans plus aucun vêtement sur le dos.
Harry se sentit amusé par le regard que lui portait Draco. Il voulut jouer un peu au dépend de son amant. Ce dernier avait une légère bosse au niveau de son entre jambe, il se sentit très a l’étroits dans son pantalon. Une seule idée lui passé par la tête, faire entrer son sexe dur, dans la partie la plus intime, et charnue du brun.
Le Gryffondor, senti que je désir du Serpentard augmentait, mais il ne voulait pas se montrait dominé pour autant. Il s’approcha doucement du blond, et l’embrassa doucement, après il fit intervenir sa langue afin d’approfondir le baiser. Il mit ses mains au niveau de l’entrejambe du blond. La volonté d’Harry fondit comme neige au soleil, il voulait que Draco le pénètre, comme il savait si bien le faire.
Ensembles ils passèrent la nuit à faire l’amour, et ne s’endormir qu’à l’aube, oubliant que c’était lundi, et qu’ils devaient se rendre à leur cour de défense contre les forces du mal et de potion.
A midi, ils étaient en forme et affamés. Ils décidèrent de se rendre dans la grande salle discrètement, afin de prendre un repas bien mérité. Mais avant d’entrer dans la pièce, ils furent accostés par le professeur Rogue.
- « Messieurs, pouvez vous me dire où vous étiez ce matin? Dois je vous rappeler que vous n’êtes pas encore en vacances, et que vous devez vous rendre à tous vos cours. Je vous aurais bien puni ce soir, mais j’ai une affaire à régler, de plus Thomas m’a demandé de ne pas être sévère envers vous. Vous lui avez fait de la peine, il comptait sur votre présence à son cour. »
Harry et Draco ne savaient pas quoi dire pour leur défense, ils avaient la tête baisée, et murmurent un désolé.
- « Ne restez pas sans bouger, cria Séverus, dépêchez-vous d’aller manger, vous avez encore un cour cette après midi. Mais comptez sur moi pour vous faire rattraper ceux de ce matin. »
Ron et Hermione regardèrent les deux amants de travers.
- « Harry, Draco, vous n’avez pas honte? A cause de vous on a eu un contrôle en potion. Et Thomas a dû changer son programme. »
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Ce matin Virginie était retourné voir Mme Pomfresh, qui avait les résultats des examens. Les nausées matinales qu’avait la jeune fille, n’était pas du à une maladie, mais au fait qu’elle était enceinte. Cette nouvelle aurait du lui faire plaisir, mais elle avait peur que le père, ne fuit ses responsabilités, et préfère s’en aller. Au début, elle ne voulait pas lui dire, mais elle finirait pas prendre du ventre, et il allait finir par se rendre compte de quelque chose.
Ne sachant comment l’annoncer, elle s’enferma dans son bureau afin de chercher le meilleur moment afin de lui dire. Absorbée dans ses pensées, elle n’entendit pas que quelqu’un frappait à la porte. Elle ne l’entendit pas non plus entrer dans le bureau.
- « Virginie, tu ne viens pas manger, s’inquiéta l’intrus. »
La jeune fille sursauta.
- « Thomas, tu aurais pu frapper avant d’entrer, tu m’as fait peur. »
- « C’est ce que j’ai fait, mais comme je n’avais pas de réponse, je suis entrer. Je me fais du souci, c’est dernier temps, tu n’as pas beaucoup mangé, tu ne guériras pas si tu manges pas plus. »
- « Je n’ai pas faim en ce moment. »
- « Tu as été voir l’infirmière ce matin? »
- « Oui, justement, je dois te parler. Assis toi. »
Thomas ne comprenait pas pourquoi, il devait s’asseoir. Virginie avait peut être une mauvaise nouvelle à lui annoncer. Il vit dans les yeux de sa collègue une certaine angoisse, il crut qu’elle avait une maladie incurable. Inquiet il prit place sur la chaise en face du bureau.
- « Je t’écoute, finit il par dire. »
Virginie voulut parler, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Malgré tout son courage, elle avait peur des réactions de l’homme qu’elle aimait. Elle finit par dire quelque chose, mais si faiblement que Thomas ne compris rien à ce qu’avait dit la jeune fille.
Croyant que le professeur Salinger avait entendu ce qu’elle avait dit, Virginie s’attendait de lui une quelque conque réaction. Mais ce ne fut pas le cas, il continuait à la regarder, sans montrer le moindre signe de joie. Elle éclat en sanglot, elle aurait dû s’en douter, il ne voulait pas du bébé, elle avait été stupide de croire en cet homme.
Quand Thomas vit Virginie se mettre à pleurer, il se leva, et voulut la prendre dans ses bras, mais le repoussa.
- « Ne me touches pas. Cria t’elle entre deux sanglots. »
Cela ne décourageât pas son collège, qui après lui avoir essuyé les larmes, qu’elle avait sur les joues, l’embrassa tendrement. Elle ne fit rien, et se laissa faire, éprouvant même du plaisir. Tout en l’embrassant Thomas, commença à se rapprocher, et colla son corps contre celui de la jeune fille.
Elle ne savait plus quoi faire, il était si doux, si tendre, se perdre dans ses bras était si bon. D’un autre coté, il s’était montrer, immonde pour ne pas se réjouir de la naissance de l’enfant, de leur enfant.
- « Non, dit elle. Je ne suis pas ton jouet. Tu ne peux pas disposer de moi quand bon te semble. Tu veux profiter de ma faiblesse pour te mettre dans ton lit, et tu ne m’as jamais aimé. Tu peux partir, je ne veux plus jamais te revoir. »
Bien sur, elle ne pensait pas ce qu’elle venait de dire, c’était sous le coup de la colère. Elle ne voulait pas qu’il parte, elle voulait rester pour toujours dans ses bras. Le professeur Salinger, ne bougeât pas.
- « Peux tu au moins me dire ce que tu me reproches? »
- « Je sais que je n’aurais pas dû te le dire aussi directement, mais tu devais le savoir. Je croyais que la nouvelle te ferait plaisir, au lieu de ça tu n’as eu aucune réaction. »
- « Je ne voulais pas te faire de la peine, mais je n’ai pas entendu ce que tu m’as dit tout à l’heure. »
- « J’attends un enfant de toi. »
Cette fois ci se fut au tour de Thomas d’avoir les larmes aux yeux, mais c’était de joie.
- « Tu ne pouvais pas me faire un plus beau cadeau, s’exclama t’il, avec un sourire charmeur. »
- « Alors, tu es content? Demanda Virginie. »
- « Je suis l’homme le plus heureux et chanceux de la terre. »
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Le cour du professeur Lupin aurait du avoir déjà commencé, mais dix minutes après la fin du repas, elle n’était toujours pas présente dans sa salle de classe. Cette nouvelle aurait du mettre les élèves de bonne humeur, mais le cour d’animagus était l’un de leur préfère, avec celui de défense contre les forces du mal. Donc les élèves décidèrent d’attendre un peu, bien que personne n’ait vu Virginie dans la grande salle au moment du repas.
Dans son bureau virginie n’avait pas vu le temps passé, et ne c’était pas rendu compte, que le repas était fini. Elle était toujours dans les bras de Thomas, qui n’avait plus que sa chemise, comme seul habit. Un bruit venant de la classe, la fit sursauter. Elle avait un cour à donner.
- « Quelle heure est il? Demanda t’elle soucieuse. »
- « 13h20 environ, répondit Thomas, en regardant sa montre. »
- « J’ai cour dans dix minutes, je dois me préparer. Toi aussi, sinon, tu vas encore être en retard. »
- « Je n’ai pas de classe le lundi après midi. »
- « Tu pourrais rester avec moi cette après midi, ainsi tu pourras me monter ta forme animale. »
- « Devant toute ta classe? »
- « Pourquoi pas ? Ils ne croient pas que tu puisses te transformer en dragon, se sera pour toi l’occasion de leur prouver qu’ils ont torts. »
Après s’être rhabiller, les deux professeurs, sortirent du bureau, ne fut pas leur surprise, quand ils virent que les élèves étaient déjà à leur place. Les plus étonnées furent les adolescents qui ne s’attendaient pas à voir, le professeur Salinger sortir du bureau en compagnie de Melle Lupin.
La pendule de la classe, indiquait 13h45.
- « Désolée pour le retard, dit Virginie. Nous allons pouvoir commencer. Aujourd’hui nous allons faire un peu de pratique, je pourrais ainsi juger de vos progrès. N’hésitez pas à poser vos questions, le professeur Salinger, va rester avec nous, il pourrait vous aider aussi. »
- « Excusez-moi, s’indigna Pansy, mais je ne vois pas en quoi, il pourrait nous aider, puisqu’il n’est pas un animagus. Vous nous l’avez dit vous-même. »
Avant que Virginie eu le temps de répondre, Thomas vexé, prit la parole.
- « Pansy, pour qui te prends tu? Tu n’as pas à parler ainsi à virginie. Tu lui dois le respect, elle est ton professeur. Excuse-toi, tout de suite. »
- « Je m’excuse, murmura la Serpentard dans un soupir. »
- « Pardon? S’écria le professeur Salinger. Tu inverse les rôles, ce n’est pas à toi de t’excuser. Reformule tes excuses. »
- « Melle Lupin, je vous prie de bien vouloir me pardonner. »
Afin d’avoir plus de place lors des transformations, le cour se passa à l’extérieur, mais malgré les efforts non négligeables des élèves aucun ne réussit à se transformer. Seul Hermione réussit à avoir, la queue et les oreilles d’un chat, et Harry les cornes du cerf. Draco ne put s’empêcher de sourire à la vue des cornes, ce qui déplut énormément à Potter.
- « Fais pas cette tête mon cœur, ce sont les seuls cornes que tu porteras, finit par dire le blond, qui essayait de ne pas exploser de rire. »
Peu avant la fin du cours, Virginie rappela sa promesse à Thomas.
- « Tu n’aurais pas oublié quelque chose? Je suis curieuse de voir comment tu es en dragon. »
Elle n’était pas la seule, bien que seul Harry, Draco et Ron, étaient les seuls à croire le professeur Salinger. Thomas, demanda aux élèves de rester à une certaine distance. Avant de se transformer; il donna sa canne à Virginie. Il récitât une incantation et après quelques secondes, il était devenu un magyar à pointes, sauf qu’au lieu d’avoir les yeux jaunes, ils étaient bleus.
Après avoir reprit forme humaine, Thomas eu les félicitations de la plupart de ses élèves. Surtout de la part de Ron, qui voulait en savoir plus. Pansy partit sans rien dire à personne, les larmes aux yeux.
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Alexandre avait demandé à Dumbledore la permission de rester un peu, avec Séverus. Le directeur avait accepté, lui proposant même de lui donner une chambre, mais Managua préféra partager celle du maître des potions.
Rogue devait être heureux de pouvoir ainsi, dormir toutes les nuits dans le même lit que son amant, pourtant ce n’était pas le cas. Il était torturé entre son envie d’aller vivre avec celui qu’il aime, et le fait de rester à Poudlard afin de continuer ses cours de potions.
De plus Alexandre l’avait demandé en mariage, et Séverus n’avait pas encore répondu à la question. Il demanda conseille à Albus, ce dernier lui dit d’écouter son cœur, et le félicita.
- « Tous mes vœux de bonheur, dit il. »
- « Vous ne vous opposez pas? S’étonna Séverus.
- « Vous l’aimez, il vous aime. J’ai été stupide de vous empêchez de le voir. Vous pouvez partir, je vous trouverais un remplaçant. »
Ce soir après avoir dîné, les deux hommes, retournèrent dans leur chambre. Séverus qui n’avait toujours pas prit sa décision, n’osant engager la conversation. Il fit croire à un horrible mal de tête, et se coucha. Alexandre n’était pas dupe, il savait qu’il faudrait un peu de temps à Rogue afin qu’il réponde à sa question. Il se déshabilla aussi, et alla rejoindre son amant dans le lit.
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Il était tôt, très tôt quand quatre aurors arrivèrent à Poudlard. Evidement ce n’était ni une visite de courtoisie, ni pour le plaisir, qu’ils étaient là aussi tôt. Ils avaient été informés de la présence d’un mangemort dans l’enceinte du collège. En effet dans le but de voir sa peine de mort, transformée en prison à vie, avait insisté Bellatrix à parler, elle leur avoua que l’un des leurs avait réussit à passer à travers les mailles du filet. Que Managua était en réalité Alexandre Salinger, et qu’il se cachait à Poudlard.
Tout le monde devait être encore au lit à dormir, mais Albus, prit d’une irrésistible envie de manger une part de gâteau, s’était levé de son lit. Quand il vit les quatre aurors, il comprit tout de suite ce qu’il allait se passer. Aussi vite qu’il le peut, il se dirigeât vers les chambres des professeurs, Managua devait quitter les lieux au plus vite. En chemin, il croisât, l’horrible concierge, Rusard. Il lui demanda de retenir les aurors plus longtemps possibles.
Quand le directeur entra dans la chambre, il surprit les deux amants, dans une position assez gênante. Le brun était allongé les jambes écartées, pendant que le blond était en train de le pénétrer. Rogue eu le réflexe de remonter le drap, afin que leur nudité puisse être dissimulée.
- « Vous auriez pu frapper avant d’enter, cria Alexandre. »
- « Je suis désolé de vous déranger, en plein milieu de la nuit. Mais Alexandre, vous devez partir au plus vite. »
- « Partir? Vous me chassez? Pourquoi devrais je m’en aller? »
- « je n’ai pas le temps de tout vous expliquer, le temps presse. »
- « Pas tant que vous me disiez clairement les raisons, je vous écoute. »
- « Je viens de croiser quatre aurors, ce sont les frères Roberts, à mon avis ils sont là pour vous arrêter. Pour votre sécurité, vous devez aller vous cacher autre part. »
- « Laissez-moi le temps de mettre quelque chose, et je vous suis. »
- « Je vous attends dehors, vous avez cinq minutes. »
- « Merci d’être venu me prévenir. »
- « Je vous en prie. Je vous dois bien ce service. »
Dumbledore n’eu pas le temps de sortir, les frères Roberts l’avaient suivi, et entrèrent dans la chambre. Rusard n’avait pas non plus fait beaucoup d’efforts pour les retenir. Lui était debout dans le seul et unique but, surprendre un élève hors de son lit, et n’avait pas le temps, ni l’envie de discuter gentiment avec les pires aurors qui existe.
- « Mr Alexandre Stéphane Salinger, s’écria le plus grand et le plus bête des quatre, vous êtes en état d’arrestation. Veuillez nous suivre sans faire d’histoire. »
- « Pour quelle raison, demanda Alexandre. »
- « Vous vous êtes rendus coupable, d’avoir aidé le seigneur des ténèbres, et d’être un mangemort. »
- « Avez vous une preuve? »
- « Nous avons le témoignage de vos anciens compagnons. Vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz pourra être utilisé contre vous. Vous avez aussi le droit d’avoir un avocat. Levez-vous, et suivez-nous. »
Alexandre resta dans le lit, et regarda les hommes de travers. Un autre aurors, aussi laid que son frère, s’approcha du lit, et retira le drap qui cachait le corps de l’homme. L’auror obligeât donc Managua à se lever, ne tenant pas compte le fait qu’il était nu. Il voulut lui mettre les menottes.
- « Laissez-lui au moins le temps de mettre un vêtement, cria Dumbledore, vous n’allez pas l’emmener au ministère dans cette tenue. »
Les aurors auraient pourtant bien aimé, Alexandre ne pouvait pas avoir une plus grande humiliation, mais ne voulant pas susciter la colère du directeur de Poudlard, il acceptèrent.
- « Vous avez aussi le droit de mettre un pantalon, et une chemise. »
Alexandre, dut suivre les aurors, avant de partir, il demanda à Albus de prévenir son frère.
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Le procès de Managua eu lieu dès le lendemain, il fallait faire vite, afin de laisser peu de temps à l’accusé d’établir sa défense.
Managua était debout au milieu d’une pièce circulaire. Le juge pris un malin plaisir à se mettre debout sur sa chaise, afin de regarder l’accusé de haut. Il fit venir les mangemorts, qui le reconnurent comme étant l’un des leurs. Bien sur Dumbledore voulut défendre Alexandre, mais son témoignage n’aurait que peu de poids, face à l’accusation.
- « Vous n’avez pas de preuve, cria le directeur. Vous ne pouvez pas le mettre en prison, il est innocent. »
- « Il n’ira pas en prison, la sentence est la peine de mort. Un détraqueur va lui faire un baiser, il ne devrait plus tarder. »
Thomas qui avait le privilège d’assister à l’audience, voulut prendre la parole, mais comme il était le frère de l’accusé, il n’eu pas le droit de témoigner. Le jury se montra insensibles aux pleures et aux lamentations du professeur Salinger, leur décision était prise, et sans appel. Managua était coupable, et devait payer de sa vie, tous les crimes qu’il avait fait.
Au moment où tout semblait perdu, un homme qui n’avait pas été invité, entra dans la salle. Il était essoufflé, et en colère. A son arrivée tous se turent.
- « Puise je savoir ce qu’il se passe ici? Cria t’il. »
- « Bonjour Mr le ministre de la magie, s’exclama le juge. Nous venons de mettre le mangemort Managua aux arrêts. J’espère que cette nouvelle vous réjouit. »
- « Sans que je sois présent? Vous savez pourtant qu’aucun procès ne peut se faire, sans que je ne sois là. »
- « Vous avez un emploi du temps chargé. Je ne voulais pas vous déranger pour si peu. »
- « Si peu? C’est à moi de le décider. De plus l’homme que vous accusé d’être un mangemort, est Alexandre Salinger. Vous vous rendez compte de ce que vous allez faire? »
- « Tout à fait, puisque Mr Salinger est aussi Managua. »
- « Abusde, je crois que vous délirez, vous avez besoin de vacances. »
- « Il a été reconnu par tous les mangemorts. »
- « Vous croyez tous ces êtres immondes? Ils mentent dans le but de voir leur peine diminuée. Avez vous une autre preuve, a t’il la marque des ténèbres sur son bras? »
- « Je ne sais pas. »
- « Comment, vous n’avez même pas prit le temps de vérifié cela? »
Grâce à l’intervention de dernière minutes de Christian et en absence de la marque des ténèbres sur le bras gauche de l’accusé, le verdict du changer, comme les preuves étaient de toute évidence insuffisante, Alexandre fut gracié et libéré. Avant de partir il alla remercier le ministre pour son aide. Ce dernier vérifia que personne ne pouvait les entendre avant de parler.
- « Vous n’avez pas à remercier Managua, dit il. Oui je sais qui vous êtes, cela vous étonnes? Je sais aussi que vous avez rejoint Voldemort dans le but de l’affaiblir, que je vous n’avez jamais partagé ses idées. Cependant ce n’est pas la raison pour laquelle, j’ai prit votre défense. Si je l’ai fait, c’est uniquement par amitié pour votre frère, et le remercier d’avoir aidé Potter à mettre fin au jour du seigneur des ténèbres. »
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Après le procès Alexandre ne retourna pas à Poudlard, il rentra directement chez lui. Laissant le professeur Rogue de nouveau seul. Ce dernier avait cependant pris sa décision, il avait sortit sa lettre de démission, celle qu’il avait écrite il y a si longtemps, et la donna au professeur Dumbledore.
- « Vous êtes sur, demanda Albus, vous voulez partir? »
- « Oui, Je me suis rendu compte à quel point je l’aimais. Je vais vivre avec lui. »
- « Vous faites le bon choix. Sirius va vous remplacer, cela ne vous dérange pas? Quand partez-vous? »
- « Dès ce soir. Aujourd’hui, je donnerais mes derniers cours. »
- « Vous nous manquerez, pensez à m’inviter pour le mariage. »
- « Bien sur. Par contre, je tiens à annoncer moi-même mon départ, je le ferai lors du repas du soir. »
A suivre… Chapitre 25, et dernier, Aussi libre que moi, à ne pas manquer…