kikou
merci a siriana, suis contente que me fic te plaise, c'est ma plus longue a se jour, presque 200 pages words, et 7 mois de travaille.
merci a cybelia; c'est vrai que cette fic est longue avec les 25 chapitres, et la deuxième partie qui n'a que 10 chapitres et aussi longues que la première, les chapitres sont plus longs,
voila sans plus attendre la suite.
au fait il y a un couple inédirt dans cette partie, severus / quelqu'un , j'espère ne choquer personnes.
Chapitre 17: Prendre racine ( Calogéro)
Les vacances passèrent vite, trop vite. Les cours reprirent. Les cours de défense contre les forces du mal, furent de nouveaux assurés par le professeur Salinger, ce qui réjouit les élèves impatients de rependre enfin les cours avec ce professeur.
Ce dernier était déjà dans la salle de classe, quand les adolescents y entèrent, mais cette fois ci, il s'était aussi derrière son bureau, il ne pouvait plus s'asseoir dessus. Sur les tables étaient disposé des verres, un pour chaque élève. En silence, ils allèrent s'assoire.
- « Bonjour à tous, dit Thomas. »
- « Bonjour Thomas, rebondirent les élèves. »
- « Je voudrais vous remercier de la confiance que vous avez en moi. Je n'ai pas était honnête en vers vous en vous cachant la vérité, j'avais pensé que si vous saviez que j'avais un lien de famille avec Voldemort, que je ne mériterais plus votre considération. Harry et Draco n'ont prouvé le contraire, et votre accueil aussi. Je dois vous avouer que je ne pensais pas que vous voulez encore de moi, comme professeur. Cela m'a touché, et je tenais à vous le dire. Si vous n'avez pas de questions, nous allons pouvoir commencer ce cours. »
- « J'ai une question, s'exclama, Dean. Quand Fudge t'as parlé dans la grande salle, il a dit que tu étais un fondateur, est ce vrai? »
- « En effet, je suis un fondateur. Par contre dans cette école, je ne suis qu'un simple professeur. »
- « tu peux être professeur? Je veux dire, en tant que fondateur, tu as le droit de donner des cours? »
- « Bien sur. De plus avant d'être fondateur j'étais professeur. De plus Melle Lupin aussi est un fondateur. »
- « Thomas, s'étonna Ron. Les verres qui sont sur nos tables, c'est pour fêter ton retour? Pourquoi sont ils vident? »
- « Désolé Ron, ils sont là pour le cour. »
- « Notre cours? Je ne vois pas à quoi ils peuvent servir. »
- « Ils vont vous aider mieux contrôler vos pouvoirs. Vous devez apprendre à connaître votre force, et la maîtriser. Dans un premier temps, ce que je vous demande, c'est de faire en sorte de ne faire qu'une légère entaille sur le verre. Vous pouvez utiliser votre baguette, ou non. Qui veut commencer? »
Ron fut le premier volontaire, il pris sa baguette, il l'agita avec un geste brusque, et dit une formule puissante, le verre se brisa en deux.
- « Ne sois pas si brutale Ron. Tu as des gestes trop rapides, recommence avec plus de douceur, d'accord. »
Pendant que Ron ressaya, après avoir réparer son verre, Crabbe de son coté décida de se servir de sa baguette, comme s'il s'agissait d'un marteau, et frappa son verre avec. Une légère fissure apparut, content de lui, il s'écriât.
- « Trop facile, j'ai réussit du premier coup MOI. »
- « Vincent, s'indigna Thomas. Je suis d'accord pour que tu te serves de ta baguette, mais c'est pour lancer un sort, mais pour taper sur le verre. Si j'avais demandé de le casser, tu l'aurais laissé tomber par terre? »
- « J'ai fais ce que tu nous as demandé de faire. »
- « Pas de cette façon, là si je devais de donner une note, tu aurais eu un m. »
- « Un M? , Pourquoi un m? »
- « M comme moldu. »
- « De toute façon, vous cour n'a pas d'intérêt. Ca sert à rien de faire ça. Tu dois nous appendre des sorts puissants. »
- « Cet exercice à pour but d'appendre à contrôler sa force, tu ne pourras jamais lancer de sorts puissants, si tu n'as pas la maîtrise totale de tes pouvoirs. »
- « Peut être, mais là c'est trop simple. »
- « Détrompe-toi, il est parfois plus difficile de lancer un sort simple, qu'un sort puissant. Si tu avais essayé, au lieu de faire n'importe quoi, tu t'en serais aperçu. Répares ton verre et recommence, mais avec un sort. »
A ce moment, tous les verres, ainsi que toutes les vitres volèrent en éclat.
- « Désolé, s'exclama Harry, je ne voulais pas. J'ai mis trop de force dans mon sort. »
- « Tu m'enlève les mots de la bouche. Cependant, en ce qui te concerne, tu as bien réussit à maîtriser ta force. »
- « J'en étais sur, s'indigna Goyle, Potter est le chouchou du prof. Il n'a rien maîtrisé du tout. »
- « Je ne fais pas de favoritisme dans mon cour, répondit Thomas. Si Harry n'avait pas contrôlé son pouvoir, il y aurait eu beaucoup plus de dégâts. »
- « Personne ne réussira, c'est impossible, s'écria Parkinson. »
- « Pansy, je n'ai jamais demandé de faire des choses irréalisables, cela demande juste une parfaite maîtrise de soi, et de la concentration, rien de plus. Vous avez tous les capacités pour le réussir, mais si tu pars perdante, c'est sur tu n'y arriveras jamais. »
- « C'est ça. Montre-nous alors, toi qui es si fort, je suis sur que toi non plus tu n'y arriveras pas. »
- « Comme tu ne l'as peut être pas vu, mais je n'ai pas de verre sur mon bureau. »
- « Je le savais, tu te dégonfles. »
- « Pas du tout, je vais le faire, mais sur tous les verres. »
- « Si tu rattes, tu auras un gage , tu devras faire tout ce que je veux. »
- « Tout ce que tu veux? C'est d'accord, dit Thomas, avec un léger sourire, comme s'il avait lu les pensées, pas très catholique, de la jeune fille. Mais si j'y arrivé, c'est toi qui auras le gage. D'accord? »
- « D'accord, répondit la jeune fille, trop sur d'elle. »
Le professeur, dans un murmure à peine audible, fit une incantation. Rien ne se passa, aucun verre n'explosa. ( nda; les verres ainsi que les vitres ont été réparés)
- « Tu as raté, j'en étais sur. Donc tu … »
- « J'ai réussit, regarde ton verre. »
Effectivement, aucuns verres étaient intacts, ils avaient tous, la même entaille, et au même endroit.
Oh! Fit la classe admirative.
- « Il n'a aucun raison de s'émerveiller, c'est facile. »
- « Ce n'est pas ce que tu as dit toute à l'heure, s'écria Ron. C'est bien toi, qui disait que c'était impossible? »
- « Peut être, mais il est professeur, donc aucun mérites. »
- « Aucun mérites? C'est déjà difficile de le faire avec un verre, alors sur vingt. »
A la fin du cour, Pansy sorti la première de la classe, sans accorder le moindre regard à son professeur. Ce dernier, l'arrêta avant qu'elle ne fut sortit.
- « Tu n'aurais pas oublié quelque chose? Tu dois faire ce que je veux. »
- « Ah oui? Et que veux tu que je fasse? Répondit elle froidement »
- « Que tu aides les elfes de maison. »
- « Tu plaisantes? »
- « Pas du tout. »
- « Je ne peux pas faire quelque chose de si humiliant. Je suis une sang pure moi. »
- « Justement, ça te fera le plus grand bien. Tu es trop arrogante. »
C'est avec les larmes aux yeux, que la jeune fille sortit du cour, tout en se disant, qu'elle se devait se venger de l'affront que venait de lui faire son professeur. Pour qui il se prend, travailler avec les domestiques, elle une sang pur.
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C'est avec ancienneté qu'Harry se rendit à son cour de potion, il allait demander au professeur Rogue, de lui redonner des cours d'occlumancie. Il alla donc directement le voir à son bureau.
- « Professeur, dit il timidement. »
- « Que voulez-vous Potter? »
- « Que vous me redonniez des cours d'occlumancie. »
- « Non. »
- « Je vous en prie, dites-moi oui. »
- « Etes vous sourds? J'ai dit non. Maintenant allez à votre place. »
- « Pourquoi vous ne voulez pas m 'aider? Ca vous est égale que je sois manipulé par Voldemort. »
- « Ce n'est pas ça. Je ne sais pas comment m'y pendre avec vous. »
- « Vous êtes le seul qui puisse m'aider. »
- « Non, Thomas peut le faire aussi. »
- « Thomas? En quoi peut il m'aider? »
- « Parce que, Par merlin, il est là. »
Sans explications Séverus se leva, et sorti de la classe en courant, laissant Harry seul devant le bureau.
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Au même moment près de la grande salle. Un homme seul marche dans les couloirs déserts de Poudlard, ses longs cheveux blonds, jouaient librement avec les courants d'air, un livre à la main, il marchait la tête droite, le regard froid et songeur. En chemin, il croisât un autre homme, un homme qui haïssait avec une ferveur non dissimulée. Ce dernier alla lui parler, sans vraiment tenir compte, du regard si féroce envers lui.
- « Bonjour Alexandre, dit Dumbledore. Cela fait longtemps que je ne vous ai pas vu, comment allez vous? »
- « Ne faites pas semblant de vous soucier de ma santé. Je ne suis pas venu afin de parler avec vous. Je vous serai donc reconnaissant de ne pas me retarder, je suis assez pressé. »
- « Séverus, c'est pour lui que vous êtes ici? »
- « En effet, je dois lui rendre son livre. »
- « Ne vous donnez pas cette peine, je vais le faire à votre place. »
- « Je tiens à lui rendre moi-même! »
- « Actuellement il donne un cour, et vous savez bien qu'il n'aime pas être dérangé. De plus comme votre temps, est SI précieux… »
- « Pour vous oui, mais pas pour lui. Vous avez guère d'apprécier mes relations avec lui. »
- « Il a le droit de voir qui il veut, je n'ai pas l'intention de l'empêcher de recevoir ses amis. »
- « Sauf si l'ami en question, c'est moi? »
- « Je voulais juste vous rendre service. »
- « Je n'ai pas besoin de votre aide. Et si vous voulez me rendre service, cessez de vous servir de lui. J'ai toujours été contre le fait qu'il espionne Voldemort pour votre compte. »
- « Il l'a fait de son plein gré. »
- « Vous n'aviez rien fait pour l'en dissuader. »
- « Je ne lui aurais pas fait pendre le moindre risque. Mais si vous êtes si inquiet pour sa sécurité, vous pouvez prendre sa place. J'ai appris que vous avez rejoint votre cousin en tant que mangemort. »
- « Je vois que vous êtes bien mal renseigné. Jamais je ne deviendrais un mangemort, jamais je n'accepterais d'avoir la marque des ténèbres sur mon bras. »
- « Me voilà rassuré. Mais si vous pouviez espionner Voldemort, je vous en serai reconnaissant, et je vous pourrai vous aider à mon tour. »
- « Comment osez vous me demander ça? Vous croyez peut être que je vais vous obéir bien gentiment. Pour qui vous ne prenez? »
- « Votre frère c'est spontanément proposé afin de m'aider. »
- « Je ne suis pas aussi gentil que Thomas. Vous ne croyez quand même pas que je vais vous pardonner aussi facilement le préjudice que vous avez fait à notre famille. »
- « Vous n'en voulez encore? Que puise faire afin que vous me pardonniez? »
- « Rien, vous n'avez rien à faire, vous n'avez fait assez de mal. Vous avez de la chance que Thomas ne saches pas ce que vous avez fait. »
- « Vous savez bien que je n'avais pas l'intention de vous nuire à tous les deux. »
- « C'est pourtant ce que vous avez fait. »
- « Excusez-moi de vous déranger pendant votre si passionnante conversation, mais l'un de vous deux, peut il me dire ce que je dois pardonner? »
Cette intervention, fit sursauter les deux hommes, ils ne s'étaient pas rendu compte de la présence d'une autre personne, qui les avait écoutés, religieusement en silence.
- « Tu es là Thomas? S'étonna Managua. »
- « Depuis le début de votre conversation. Réponds à ma question, pourrais tu me dire ce que j'ignore? »
- « Il a,… commença à dire Alexandre. »
Mais Dumbledore pris la liberté de lui couper la parole.
- « Non, je vous en prie, ne lui dites rien. »
- « Il finira par le savoir. »
- « Peut être mais pas aujourd'hui. »
- « Vous lui direz lorsque vous n'auriez plus besoin de ses services, c'est ça. Vous me dégoûtez. »
Sans accorder le moindre regard au directeur de Poudlard, Alexandre, se tourna vers son frère, afin de lui dire toute la vérité. Dumbledore, impuissant le laissa faire, quoi qu'il puisse faire, plus rien ne pourrait empêcher la vérité à éclater en plein jour. Tout ce qu'il espérait était que Thomas, se monterait plus indulgent, et que lui pourrait le gracier pour sa faute.
- « Tu n'es pas sans savoir, que notre famille a mauvaise réputation, surtout depuis le jour où notre père s'est retrouvé condamné à être enfermé à Azkaban. Ce que tu ne sais pas, c'est que sa condamnation, il l'a doit à Dumbledore. C'est lui qui l'a trahit, en le dénonçant aux aurors. Il s'est ensuite tué accidentellement en essayant de s'échapper. »
- « Albus, hurla Thomas en pleure, dites-moi que ce n'est pas vrai, vous n'avez pas fait ça quand même? »
- « Thomas, je suis vraiment désolé, mais je ne peux pas. Malgré les défauts qu'a votre frère, il n'a jamais mentit. Sachez cependant, que je n'avais pas le choix. Tout ce que je voulais, c'était vous éloigner tous les deux de lui, il était devenu trop dangereux, et incontrôlable. Je n'ai jamais souhaité sa mort. J'espère qu'avec le temps, vous arriverez à m'exempter. En ce qui me concerne jamais je ne pourrais me le pardonner. »
- « Vous aviez eu l'intention de me le dire un jour? A Moins que vous préfériez que je reste dans l'ignorance? Je comprends mieux pourquoi vous avez autant insisté pour payer mes études. Croyez-vous que votre argent vous permettrez d'oublier votre acte? »
- « Je sais bien que rien n'effacera ce que j'ai fait. Je vous demande néanmoins de ne pas quitter votre poste de professeur, Harry a plus que jamais besoin de votre aide. »
- « Je resterai, sachez que c'est uniquement par amitié envers Harry. Mais ne me demandez pas l'impossible, je ne pense pas que je pourrais vous pardonner. »
Le directeur sentait bien, que malgré la gentillesse de Thomas, que son pardon serait difficile à obtenir, voir impossible, mais il ne pouvait pas non plus le blâmer pour ça. Devant ses pleurs, il se sentait pitoyable et impuissant, et le pendre dans ses bras pour le consoler, serait plus que déplacer. Il le regarda pleurer sans rien faire. Il lui proposa de le ramener dans sa chambre, mais n'eu aucune réponse, et le regarda partir, abattu.
Il se tourna vers Alexandre, qui lui non plus n'avait rien fait devant la détresse de son frère.
- « Pourquoi lui avoir dit? Il a déjà tant souffert, il n'aurait pas du le savoir, pas comme ça. »
- « Pour être franc, je ne voulais pas qu'il devienne professeur dans votre école, je ne voulais pas qu'il risque sa vie pour vous aider. En lui disant, j'espérais qu'il démissionnerait. Décidément, il ne fait jamais ce que l'on attend de lui. »
- « Vous avez sans doute raison, répondit le directeur, avant de partir lui aussi. »
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Séverus était à bout de souffle quand il arriva enfin a destination, il avait courut depuis qu'il était sorti de sa salle de classe. Alexandre se tenait devant lui, il était de nouveau seul.
- « Alexandre, dit il, tu es venu pour me voir? »
- « Pas spécialement, mais je devais te rendre ton livre. »
- « C'est la seule raison, murmura le spécialiste des potions, visiblement déçu de la réponse. »
Le blond se rapprocha du brun, mais au lieu de lui remettre le livre, le regarda droit dans les yeux. Leurs visages étaient très proches l'un de l'autre, et dans un élan, Alexandre captura les lèvres de Séverus. Ce dernier ne le repoussa pas, il entrouvrit même légèrement les lèvres, mais contrairement à ses espérances, rien ne se passa.
- « Tu ne peux pas savoir comme tu m'as manqué, murmura Alexandre. J'avais même oublié le goût de tes lèvres. Pourquoi as tu mis fin à notre relation? »
- « Tu connais la raison. Pourquoi me pose tu la question? »
- « Parce qu'elle ne me convient pas, tu ne m'aimes plus? »
- « Je n'ai jamais cessé de t'aimer. »
- « Prouves-le moi! »
Rogue attrapa Managua par la taille, ferma les yeux, et colla ses lèvres sur celles, si tentantes de son amant, ce dernier réagit immédiatement, en laissant la langue du brun pénétrer dans sa bouche. Séverus lui se souvenait encore, du goût si délicieux des baisers d'Alexandre. Cette douceur exquise, donna au professeur des envies, qui se manifesté par un enflamment anormale au niveau de son entre jambe. Plus il voulait contrôler ses plussions, plus il avait envie de lui faire l'amour.
- « Non, articula t'il péniblement. On ne peut pas. »
- « Pourquoi, s'étonna Alexandre? »
- « Nous sommes dans un couloir de collègue. »
- « Et? Je ne vois pas où est le problème? »
- « N'oublie pas que je suis professeur ici, je ne tiens pas à ce que l'on nous voit. »
- « Nous sommes seuls, personne ne peut nous voir. »
- « Ma chambre n'est pas loin, nous y serons mieux. »
Dés qu'ils entrèrent dans la chambre, Séverus coucha Alexandre sur son lit. Il voulut tout d'abord le caresser, et le déshabiller en douceur. Mais ce dernier n'était pas de cette avis.
- « Dépêches toi un peu, marmonnant il. C'est maintenant que j'ai envie de toi. »
Le brun décidas de faire languir, encore un peu le blond. Il déboutonna sans se presser, les boutons de sa braguette, enleva son pantalon, ainsi que son caleçon, ce qui libera son sexe, qui était trop à l'étroit dans ses vêtements. Avec ses mains, Alexandre attrapa, l'objet de sa convoitise, et fit de légers mouvements de va et vient. A cet instant Séverus, ne se contrôla plus, avec impatience, il dévêtit son amant, et le pénétra.
Quand il eu finit, Rogue voulut se relever, mais Managua l'en empêcha.
- « Où vas tu? A cette heure ci, ton cour est fini. »
- « Je sais, mais je devais manger avec Thomas ce midi. »
- « Tu es tout le temps avec lui, oublie le un peu. Reste avec moi. »
- « Tu n'as aucune raison d'être jaloux, c'est toi que j'aime. »
- « Au contraire, j'ai toutes les raisons. Tu es trop proche de lui. »
- « N'oublie pas que c'est toi qui me l'as présenté. Mais ce que j'éprouve pour lui est différent. Je le considère comme mon père. »
- « Je préfère ça. Tu es à moi, je ne supporterais pas te voir touché à un autre que moi, même s'il s'agit de mon frère. Les choses seraient plus simples, si tu venais vivre chez moi. »
- « Je me suis engagé à enseigner les potions. »
- « Mais cela ne te plait pas, tu voudrais avoir le poste de défense contre les forces du mal. Pourquoi t'obstine tu à rester malgré tout? J'ai bien assez d'argent pour que tu puisses vivre avec moi. »
- « laisse moi y réfléchir. »
- « Embrasse-moi plutôt. »
- « Je vais être en retard, il va m'attendre. »
- « Je ne pense pas qu'il sera présent pour le repas. Pas après ce que je lui ai dit. »
- « Que lui a tu dit? Cria Séverus. »
- « La vérité. Mais je crois que je n'aurais pas du le faire, je ne pensais pas que cela l'affecterait autant. »
- « Rhabille toi, on va le voir. »
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Au même moment, dans les cachots. Séverus étant parti précipitamment, les élèves ne purent faire la potion. Hermione, en digne préfète voulue obliger, ses petits camardes à rester quand même en salle de classe. Mais personnes n'étant d'accord pour attendre, tous partirent. Le professeur Rogue ne revint pas, d'ailleurs, il fut introuvable pour le reste de la journée.
Il n'était pas le seul absent pour le repas du midi, ni Dumbledore, ni Salinger n'étaient présent non plus. En silence, les élèves commencèrent à manger. Harry était inquiet, et un peu contrarié, il aurait bien aimé demander à Thomas de lui donner des cours d'occlumancie. Il aurait bien aimé, aller voir directement dans la chambre de son professeur. Oui c'est ce qu'il allait faire, en sortant de la grande salle, il croisât Dumbledore.
- « Harry, tu as l'air bien pressé de te rendre à ton prochain cour. Tu vas y être en avances. »
- « Je sais professeur, mais je voulais demander quelque chose à Thomas. Je suis inquiet de ne pas encore l'avoir vu. »
- « Il ne veut pas être dérangé, tu lui demanderas ce soir. »
- « Il va bien? »
- « Oui, tout va bien. »
Enfin c'est ce qu'espérait Dumbledore. Pourtant il savait que plus rien ne serait comme avant. Il aurait beau regretter amèrement, ce qui était fait, ne pouvant être changé. Ni les remords, ni les regrets, ne changeraient quoi que ce soit. D'un autre coté, il ne pouvait pas en vouloir à Thomas de s'être enfermé dans sa chambre, et d'avoir refusé de lui ouvrir la porte, quand il avait voulu lui parler. Ne voulant pas se faire plus détester, il n'avait pas insisté. Mais avant de se rendre dans la grande salle, il avait demandé à un elfe de maison, d'aller lui apporter un repas, ainsi qu'un léger sédatif. Ce midi le directeur regarda le contenu de son assiette, avec un air absent, et ne mangeât rien. Il regarda les élèves partirent les uns après les autres, afin de se rendre à leur cour, et se retrouva seul dans cette immense salle devenu subitement silencieuse.
A suivre, chapitre 18, prouver l'amour, à ne pas manquer.