Forum - Le Monde du Slash

Un espace de discussion pour les adeptes du slash sous toutes ses formes

Attention ! Les personnages utilisés dans nos fanfictions ne nous appartiennent pas, ils sont la propriété de leurs auteurs respectifs. De plus, nous ne connaissons pas les personnages réellement existants et nous n'avons aucune prétention à raconter leur vie privée : c'est de la pure fiction, rien de ceci ne doit être considéré comme vrai ! Enfin, qu'il soit bien clair qu'aucune fanfiction n'est publiée dans un but lucratif, nous n'en tirons aucun profit.


Les dernières news du Monde du Slash !

BONNE ANNÉE 2024 À TOUS ET À TOUTES !!!

Nous sommes le 27 Avr 2024 11:15

Heures au format UTC + 1 heure




Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 27 messages ]  Aller à la page 1, 2  Suivante
Auteur Message
 Sujet du message: la prétention de rien partie 2 harry/draco pg 13
MessagePosté: 29 Déc 2004 13:18 
Hors ligne
Le slash, kesako ?
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 03 Juin 2004 21:24
Messages: 99
Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou :)

avant de mettre le chapitre 16, je tiens a dire que je ne voulais en aucun cas me montrer méchante envers qui que ce soit, j'ai juste l'impréssion de ne pas être a ma place sur ce site, qui est plus tourné vers le seigneur des anneaux. :roll:

la raison de mes longues absence ne sont pas du au faite que je boude, mais j'ai des problèmes de santé, et je suis soignée pour une dépression. :cry:

sinon, je remercie ceux qui lisent ma fic, et je précise que je vais mettre les 10 chapitres, pas tout d'un coup, ils sont assez long, même si personne ne demande la suite, la fic étant comméncé il est normal de finir. :P

merci a Cybélia. :twisted:

Chapitre 16: Au milieu des autres ( Calogéro)

Le lendemain Harry se réveilla de très bonne humeur, Draco à ses côtés. Ce seraient ses plus belles vacances. Le jeune Gryffondor n’avait qu’une envie rester toute la journée au lit avec son amant. Bien sur il avait oublié un petit détail, aujourd’hui c’était Noël. Il avait invité tous ses amis à venir chez lui. Mais, Harry oublia ce fait et se rendormit dans les bras de Draco.

Quelques instants après les jeunes tourtereaux furent réveillés par un bruit sec et sourd, c’était Sirius qui frappait à la porte. Comme il n’obtenu aucune réponse, ce dernier se décida à entrer.

- « Vous êtes encore au lit, s’exclama t’il? Vous attendez quoi pour vous lever, DEBOUT. »

- « Joyeux Noël à toi aussi, murmura Harry, dans un état semi-comateux. Il est encore tôt, j’ai encore sommeil. »

- « Il est onze heures du matin. Dois je te rappeler que tu as des invités qui viennent afin de pendre leur repas. A quelle heure comptes tu les faire manger? »

- « Déjà? Par Merlin, mais rien ne sera près. ? Tu es venu avec Hermione? »

- « Oui elle est dans la cuisine. »

Sans plus attendre, les deux garçons s’habillèrent et descendirent rejoindre leur amie. Avant de sortit de la chambre Harry prit un paquet, ce qui intrigua Draco.

- « Pourquoi prends tu ce paquet, demanda t’il »

- « C’est pour offrir à un ami. »

- « Un ami? Quel ami? »

- « Tu ne serais pas jaloux? Toi aussi tu as un cadeau pour Noël. »

- « Jaloux moi? Que vas tu imaginer? Tu es vraiment que son ami, n’est ce pas? »

- « C’est pour Thomas. »

- « Tu l’as invité? »

- « Je ne voulais pas qu’il reste seul à Noël. »

- « Tu as bien fait. »

******************

Hermione seule dans la cuisine se sentait un peu seule. Ron était bien avec elle, mais il jouait une partie d’échec avec sa petite amie Maêlisse. Harry eu à peine le temps d’aller voir ses amis, que la sonnerie de la porte se fut entendre. Il se précipita afin d’aller ouvrir à ses invités.

C’était Fred et George, accompagné de Ginny, et des parents Weasley.

- « Ah! Bonjour dit il dans un soupir de déception. »

- « Nous aussi on est content de te revoir, ironisa l’un des jumeaux. Tu nous laisse entrer, ou tu nous laisse sur le paillasson ? »

Petit a petit tous les invités arrivèrent, ce fut ensuite le tour d’olivier et Clémentine, vena ensuite Rémus et Virginie, enfin Dumbledore, Maugrey et Percy.

Pendant que Molly, aidé d’Hermione, Ginny et Clémentine, s’occupât de la cuisine, les garçons s’occupèrent de mettre la table, et de faire un peu de décoration. La maison avait beaucoup changé depuis que le ménage avait été fait. Ne restait comme vestige du passé que le portait, de la si charmante et adorable, madame Black mère de Sirius, et l’arbre généalogique.

Quand tout fut prêt, tous se dirigèrent vers la salle à manger, tous sauf Harry, qui semblait attendre quelqu’un.

- « Harry, s’inquiéta Dumbledore, tu vas bien? »

- « Oui professeur pourquoi me demandé vous cela? »

- « Tu me semble attendre quelqu’un. »

- « J’avais cru que Thomas serait des nôtres aujourd’hui. »

- « Tu l’as invité? »

- « Oui, pourquoi? »

- « Il ne viendra pas. »

- « Pourquoi? »

- « Il n’aime pas les fêtes de Noël. Allons ne fait pas attendre d’avantage tes invités. Allons manger »

- « Désolé du retard, dit une voix aiguë. Nous nous sommes perdus en chemin. »

Harry reconnu la personne qui avait parlé sans même à avoir à se retourner. C’était Rogue, il ne comprenait pas pourquoi il était venu, puisqu’il ne l’avait pas invité.

- « Ce n’est pas ma faute si je n’ai pas le sens de l’orientation, s’indigna une autre personne. »

- « Dire que tu es déjà venu ici, et que tu ne te souviens plus du chemin. »

- « C‘était il y a si longtemps. »

- « Heureusement que j‘étais là. Sinon tu ne serais arrivé que pour le nouvel an. »

- « Que deviendrais je sans toi? »

- « Je me le demande. »

Harry se retourna, il reconnu tout de suite Séverus, mais eu plus de mal à reconnaître Thomas. Ce dernier avait mis un pantalon en cuir très moulant, et avait une chemise grise, très prêt du corps aussi.

*****************

Percy se réconcilia avec ses parents, quand il leur expliqua son vrai travail. Qu’en vérité il ne travaillait avec Fudge que dans le but de l’espionner pour le compte des fondateurs. Il eu l’admiration des ses jeunes frères.

- « Tu as assuré, fréro. »

- « Tu as été très courageux, souligna Maugrey. Bien plus que les fondateurs. Aucuns d’entre eux n’a eu le courage d’affronter qui vous savez. Pour nous donner des ordres, ça ils savent le faire, mais quand il s’agit de se battre, il n’y a plus personne. »

- « Vous ne pouvez pas dire ça, s’indigna Rémus. »

- « Pourquoi? C’est la vérité. Vous le savez aussi bien que moi, aucun n’a bougé, quand le jeune Potter a annoncé le retour du seigneur des ténèbres. »

- « Ma sœur Virginie a quitté son poste pour devenir professeur à Poudlard. L’auriez vous oublié. »

- « Certes, mais elle est la seule a l’avoir fait. Les dirigeants eux ont fait ce qu’ils aiment le plus, la sourde oreille. »

- « Vous ne les aimez guère a ce que je vois »

- « Cela ne risque pas de changer. J’ai toujours pensé que c’était une erreur de laissé les représentants de la famille Salinger au pouvoir. »

Les adolescents cessèrent de manger, ils regardaient avec un intérêt certain l’échange entre les deux ex professeurs.

- « Certains parmi nous sont trop jeunes pour connaître cette famille. S’ils savaient… »

- « Alastor, je vous demanderais de bien vouloir parlé d’autre chose, s’écria Dumbledore. »

- « Au contraire, les jeunes doivent savoir qui sont ceux qui prennent les décisions dans l’ombre. »

- « Je vais vous demander de ne pas en dire plus. Les dirigeants font leur travail je ne vois pas ce que vous leur reprochez. »

- « Vous ne voyez pas? Vous avez la mémoire courte. Ce que je leur reproche, c’est d’être des lâches, qui se cachent derrière leur titre. Ils n’ont rien fait quand Celui Dont On Ne Doit Pas Dire Le Nom à accéder au pouvoir, ils n’ont rien fait non plus quand il est revenu l’année dernière. Rien d’étonnant, de la part des descendants directs de Serpentard. Bien sur avec tout leur argent, ils ont réussit à transformer leur nom en Salinger. Dans un sens c’est une chance que cette famille soit sur le point de s’éteindre, il ne doit rester que deux membres en vie. Dire qu’ils dirigent O.M.S. Enfin plus pour très longtemps, j’ai entendu dire qu’un certain Paul, euh, non, Thomas avait quitté son poste du jour au lendemain. Personne ne sait où il est allé. Ce qui ne m’étonne guère au vu du passé de cette famille maudite. Il a du fuir pour aller se cacher. Si jamais je le voyais, j’en aurais des choses à lui dire… »

- « CA SUFFIT, TAISEZ-VOUS, Hurla Séverus. COMMENT OSEZ VOUS DIRE TANT DE MAL DE THOMAS, VOUS NE LE CONNAISSEZ MEME PAS »

Maugrey sursauta, c’était la première fois qu’il voyait le maître des potions perdre son sang froid. A ses cotés il vit un inconnu, il ne s’était même pas rendu compte de sa présence. Ce dernier le regardait de travers, et il n’avait pas l’air content, mais pas du tout.

- « Monsieur, dit il, je crois que nous n’avons pas été présentés, vous êtes? »

- « Je suis le professeur de défense contre les forces du mal. »

- « C’est donc vous qui avez reprit ce poste. Vous êtes courageux jeune homme. Mais comment vous appelez-vous? »

- « Thomas Salinger. Au faite, je crois que vous avez quelque chose à me dire? Sachez cependant que je n’ai pas fuit comme vous le dites. La raison pour laquelle j’ai quitté mon poste, était pour devenir professeur. »

- « Je ne savais pas. Je ne voulais pas vous porter préjudice. Mais comme vous étiez introuvable, j’ai cru que vous aviez eu peur. »

- « Vous avez surtout pris plaisir à me casser du sucre sur le dos. Ce n’est pas parce que j’appartiens à la famille Salinger, que vous devez vous permettre de dire toutes ses choses sur moi. De plus, toutes ses rumeurs sur ma famille, n’ont jamais été prouvés. »

- « Toute légende a sa part de vérité. Mais pourquoi ne pas m’avoir arrêté, si tous ce que je disais était faux? »

- « Je voulais savoir ce que vous pensez de moi. Je dois vous avouer que je m’attendais pas a autant de mépris de votre part. »

Mme Weasley, qui voyait bien qu‘il y avait de l‘eau dans le gaz, changeât de sujet de conversation afin de refaire tomber toute cette tension.

- « Mr Salinger, excusez-moi, mais il me semble que je vous ai déjà vu? C’était bien vous qui avez ramené Harry ici, après sa fuite de chez son oncle? »

- « Oui, c’était moi. Mais vous pouvez m’appeler par mon prénom. »

- « Thomas vous n’êtes pas venu avec votre épouse? »

- « Mon épouse? Je ne suis pas marié. »

- « Vous avez une alliance, j’avais cru que vous étiez marié. »

- « Ce n’est pas le cas. »

- « Alors pourquoi gardé vous votre alliance? »

De façon aussi soudaine qu’inattendue, Salinger se leva de table.

- « Thomas, s’exclama Harry, tu ne veux pas rester avec nous? »

- « Je dois aller aux toilettes. »

- « Je t’accompagne, dit Séverus. Te connaissant tu serais capable de ne pas les trouver. »

- « J’ai dit quelque chose de mal ? s’étonna Molly. Si vous ne vouliez pas que l’on sache que vous êtes marié, il ne fallait pas garder votre alliance. »

- « Vous vous mêlez toujours des affaires des autres? »

- « Je ne suis pas aveugle, j’ai bien vu la façon dont Virginie vous regarde depuis le début du repas. Il fallait qu’elle sache la vérité. »

- « La vérité? Je vais vous la dire. Ma Femme Mélinda a été assassinée par Voldemort. Cette alliance est le seul souvenir qu’il me reste d ’elle. Maintenant veuillez m’excuser, je dois aller aux toilettes. »

- « Oh! , Par Merlin, c’est horrible. Je suis vraiment désolée. »

Thomas ne répondit pas, et sorti de la grande salle en compagnie de Séverus. Ils ne revirèrent que bien plus tard, pour le dessert.

Après le repas, les incorrigibles jumeaux voulurent tester une de leur nouvelle invention, le feu d’artifice d’intérieur. Ce fut un échec des plus cuisant, le premier de leur carrière. Ce qui eu pour effet de mettre leur père, d’habitude si calme, de mauvaise humeur.

- « Fred, George, cessez vos jeux stupides. , Cria à perdre haleine Arthur.»

- « C’est dommage que ça rater, dit Thomas. Vous devez en faire des bêtises tous les deux? »

- « Oui, s’exclama Fred, et on en est fier. Ce n’est pas parce que vous êtes professeur, que vous avez le droit de nous faire la morale. »

- « je me le permettrais pas . J’ai fais bien pire avec mon frère . »

- « Vous avez un frère? »

- « Oui, un frère jumeau, et pour nous c’était plus dur, vu que l’on ne se ressemble pas. »

- « Vous pourriez nous donner quelques conseilles? »

- « Avec plaisir. »

************************

Il était tard quand tout le monde parti. Harry voulant être seul avec Draco, ne proposa à personne la possibilité de rester au Qg de l’ordre du phénix, sauf à Thomas.

- « Tu peux rester si tu veux, comme tu habite loin, le chemin risque d’être long. »

- « Merci, mais ce soir je dors chez Séverus, il réside à Londres. »

A ce moment Harry se souvenat qu’il avait un cadeau à donner à son professeur.

- « Tu peux attendre un peu, j’ai quelques chose pour toi. »

Surpris Thomas ne bougeât pas, son élève ne mit pas longtemps pour revenir, un paquet dans les mains.

- « Joyeux Noël, dit il en lui tendant le cadeau. »

- « Merci, mais tu n’étais pas obligé. »

- « C’est pour te remercier de tous ce que tu as fait pour moi. »

- « Tu n’as pas à le faire. »

- « J’insiste. De plus je suis content que tu sois venu, malgré le fait que tu n’aimes pas cette fête. »

- « Comment sais tu que je n’aime pas fêter Noël? »

- « C’est le professeur Dumbledore qui me l’a dit. »

- « Tu dois te demander pourquoi? »

- « Oui. »

- « C’est aussi mon anniversaire. »

- « Je suis désolé. »

- « Ce n’est pas grave. »

En ouvrant son paquet, Thomas eu une petite larme de joie. C’était la photo que Maurice avait mise à la poubelle.

- « Comment as tu fait pour la récupérer? »

- « C’est l’un des mes amis elfe de maison qui l’avait trouvé dans une poubelle. J’ai juste changé le cadre de la photo. »

*********************************

Quand tous les invités furent partis, Draco prit Harry par la main et l’emmena directement dans leur chambre. A peine furent ils entrés, que le Serpentard déposa sur les lèvres du Gryffondor un baiser.

- « J ‘ai envie de toi, murmura ce dernier dans un soupir. »

- « Tes désirs sont des ordres, mon cœur, s’empressa de répondre le blond. »

Ce dernier commença à caresser tout doucement le corps du brun, tout en le déshabillant, pour la même occasion. Les caresses si sensuelle de Draco, était un vrai bonheur pour Harry, qui se cambrait, montrant ainsi son impatience. Comme les choses n’avancées pas assez vite selon ses goûts, il décida de mettre sa main dans le pantalon du Serpentard, au niveau de l’entre jambe, pour être précis. Ce que toucha le jeune Gryffondor, était la virilité se son amant, qui était chaude et légèrement humide. Les caresses du Brun rendirent, le pénis du Blond encore plus dur.

Ce dernier ne put attendre encore plus, il enleva d’un geste brusque son pantalon et son caleçon, et pénétra son amant, avec plus d’assurance que la première fois.

Draco fut le premier à s’endormir. Harry eu du mal a trouver le sommeil. Il regarda son bel amant endormit. Il se fit la promesse de tout faire pour battre Voldemort, et a la rentrée, il netterrait son orgueil de côté, et supplierait Rogue de lui redonner des cours d’occlumancie.

*******************************************

Voldemort de son côté n’était pas d’humeur joyeuse. Il rongeait sa perte du pouvoir au profil de son ignoble cousin. Mais la vengeance est un plat qui se mange froid, Managua aura bientôt de la glace comme plat principal. Pendant que ses anciens amis, faisaient la fête dans le manoir des Salinger, il décida de recruter de nouveaux partisans. Avec leur aide, si précieuse, il reviendrait en force, et tuerait le traite d’Alexandre. La mort de Fudge, par comparaison passerait pour douce.

De toute façon qui se préoccupait encore de lui, personne. Son absence à la fête ne serait remarquer d’aucun. Seul, il s’en alla au loin. D’abord il allait recruter les géants, qui étaient déjà acquis à sa cause, ensuite les détraqueurs, avide de pouvoir. Quand il aurait une armée digne de ce nom, il retournerait au ministère de la magie, afin d’y subtiliser la fameuse prophétie. Une fois en possession de tous les atouts, il serait en position de force, et n’aurait aucune peine à tuer Harry.

A ce moment, et seulement a ce moment, il serait enfin le maître incontesté et inconstatable de la magie. Tous devraient s’incliner devant lui. Doux rêve que se faisait, Celui Dont On Ne Doit Pas Dire Le Nom, il se voyait déjà, tout de blanc vêtu, ses ennemis à ses pieds, a genoux comme doivent être les êtres inférieurs. Mais sa joie serait à son comble, lorsqu’il aurait fait subir l’imperium à l’indomptable Thomas, qui lui servira pendant un temps d’esclave personnel. Il ne le tuerait qu’après l’avoir mis plus bas que terre, le traitant comme il le mérite. A comparaison, les elfes de maison seraient traités comme des rois.

***********************************************

Il y avait du monde à la fête organisé par Managua dans son manoir. Effectivement personne ne remarqua l’absence de Voldemort a cette fête, ou ne pris la peine de s’en soucier. Ils étaient trop occupés à cirer les chaussures de leur nouveau maître, pour se préoccuper du précédent, qui n’avait pas été à la hauteur de leur espérance. Alexandre écoutait, sans vraiment entendre, les compliments de ses partisans. En vérité, il s’ennuyait à cette fête. Tous ses gens qui s’inclinaient lâchement devant lui, était un spectrale pitoyable, qui lui donnait la nausée. Il ne supportait pas tous ses gens, qui par facilité et par peur, se rangeaient automatique du côté du plus fort. C’était ce qu’il détestait le plus au monde, ceux qui lui obéissent aveuglement subjugué par sa force et son pouvoir. Il avait plus envers ceux qui lui tenaient tête, ceux qui avaient assez de courage pour ne pas avoir peur de lui. Il est vrai qu’ils étaient peu nombreux dans ce cas. Ses pensées vagabondèrent, et au bout d’un moment, il voulut tester les mangemorts présent, en leur demandant de partir.

Ne voulant pas le mettre en colère, tous partirent en moins de temps qu’il ne faudrait à allumer un feu allumé. Cela ne l’étonna guère, il se rendit dans ses appartements, et vit le livre de potions qu’il avait laissé à son cousin. Ouvrage qu’il avait emprunté, il décida d’aller le rendre à son propriétaire, qui avait été le seul, à lui avoir tenu tête.

A suivre chapitre 17, Prendre racine, à ne pas manquer. Lol

see you klpdd

_________________
Image

kuroro la pieuvre du désert alias kurapika ou klpdd


Dernière édition par lapieuvredudesert le 15 Juil 2006 01:19, édité 1 fois.

Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 29 Déc 2004 18:32 
Hors ligne
Pas encore atteint(e)... mais presque
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 09 Juil 2004 14:22
Messages: 1288
Citation:
avant de mettre le chapitre 16, je tiens a dire que je ne voulais en aucun cas me montrer méchante envers qui que ce soit, j'ai juste l'impréssion de ne pas être a ma place sur ce site, qui est plus tourné vers le seigneur des anneaux.

dis pas ça, y a quand même pas mal de Harry/Draco sur le site, et plus de fics HP que de fics SDA (enfin je crois)
j'adore ta fic! je viens de la découvrir et j'aimerais bien avoir :suite: :suite: :suite: :harrydraco:

_________________
"Tout ça c'est que des conneries. Moi je suis une vraie lesbienne, j'aime que les filles"
Boris Jardel.
_____________________________
http://www.fanfiction.net/u/1191461/


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 29 Déc 2004 18:58 
Hors ligne
Administrateur
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 17 Jan 2004 13:57
Messages: 11370
Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
Ah ! Je suis contente d'avoir enfin la suite... même si j'ai eu un peu de mal à me souvenir du début, mais au bout d'un moment, ça m'est revenu... ta fic est vraiment passionnante ! :suite: :suite:

Cybelia.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 29 Déc 2004 21:34 
Hors ligne
Le slash, kesako ?
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 03 Juin 2004 21:24
Messages: 99
Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou :D

merci a siriana, suis contente que me fic te plaise, c'est ma plus longue a se jour, presque 200 pages words, et 7 mois de travaille. 8)

merci a cybelia; c'est vrai que cette fic est longue avec les 25 chapitres, et la deuxième partie qui n'a que 10 chapitres et aussi longues que la première, les chapitres sont plus longs, :D

voila sans plus attendre la suite. :lemon:

au fait il y a un couple inédirt dans cette partie, severus / quelqu'un , j'espère ne choquer personnes.

Chapitre 17: Prendre racine ( Calogéro)

Les vacances passèrent vite, trop vite. Les cours reprirent. Les cours de défense contre les forces du mal, furent de nouveaux assurés par le professeur Salinger, ce qui réjouit les élèves impatients de rependre enfin les cours avec ce professeur.

Ce dernier était déjà dans la salle de classe, quand les adolescents y entèrent, mais cette fois ci, il s'était aussi derrière son bureau, il ne pouvait plus s'asseoir dessus. Sur les tables étaient disposé des verres, un pour chaque élève. En silence, ils allèrent s'assoire.

- « Bonjour à tous, dit Thomas. »

- « Bonjour Thomas, rebondirent les élèves. »

- « Je voudrais vous remercier de la confiance que vous avez en moi. Je n'ai pas était honnête en vers vous en vous cachant la vérité, j'avais pensé que si vous saviez que j'avais un lien de famille avec Voldemort, que je ne mériterais plus votre considération. Harry et Draco n'ont prouvé le contraire, et votre accueil aussi. Je dois vous avouer que je ne pensais pas que vous voulez encore de moi, comme professeur. Cela m'a touché, et je tenais à vous le dire. Si vous n'avez pas de questions, nous allons pouvoir commencer ce cours. »

- « J'ai une question, s'exclama, Dean. Quand Fudge t'as parlé dans la grande salle, il a dit que tu étais un fondateur, est ce vrai? »

- « En effet, je suis un fondateur. Par contre dans cette école, je ne suis qu'un simple professeur. »

- « tu peux être professeur? Je veux dire, en tant que fondateur, tu as le droit de donner des cours? »

- « Bien sur. De plus avant d'être fondateur j'étais professeur. De plus Melle Lupin aussi est un fondateur. »

- « Thomas, s'étonna Ron. Les verres qui sont sur nos tables, c'est pour fêter ton retour? Pourquoi sont ils vident? »

- « Désolé Ron, ils sont là pour le cour. »

- « Notre cours? Je ne vois pas à quoi ils peuvent servir. »

- « Ils vont vous aider mieux contrôler vos pouvoirs. Vous devez apprendre à connaître votre force, et la maîtriser. Dans un premier temps, ce que je vous demande, c'est de faire en sorte de ne faire qu'une légère entaille sur le verre. Vous pouvez utiliser votre baguette, ou non. Qui veut commencer? »

Ron fut le premier volontaire, il pris sa baguette, il l'agita avec un geste brusque, et dit une formule puissante, le verre se brisa en deux.

- « Ne sois pas si brutale Ron. Tu as des gestes trop rapides, recommence avec plus de douceur, d'accord. »

Pendant que Ron ressaya, après avoir réparer son verre, Crabbe de son coté décida de se servir de sa baguette, comme s'il s'agissait d'un marteau, et frappa son verre avec. Une légère fissure apparut, content de lui, il s'écriât.

- « Trop facile, j'ai réussit du premier coup MOI. »

- « Vincent, s'indigna Thomas. Je suis d'accord pour que tu te serves de ta baguette, mais c'est pour lancer un sort, mais pour taper sur le verre. Si j'avais demandé de le casser, tu l'aurais laissé tomber par terre? »

- « J'ai fais ce que tu nous as demandé de faire. »

- « Pas de cette façon, là si je devais de donner une note, tu aurais eu un m. »

- « Un M? , Pourquoi un m? »

- « M comme moldu. »

- « De toute façon, vous cour n'a pas d'intérêt. Ca sert à rien de faire ça. Tu dois nous appendre des sorts puissants. »

- « Cet exercice à pour but d'appendre à contrôler sa force, tu ne pourras jamais lancer de sorts puissants, si tu n'as pas la maîtrise totale de tes pouvoirs. »

- « Peut être, mais là c'est trop simple. »

- « Détrompe-toi, il est parfois plus difficile de lancer un sort simple, qu'un sort puissant. Si tu avais essayé, au lieu de faire n'importe quoi, tu t'en serais aperçu. Répares ton verre et recommence, mais avec un sort. »

A ce moment, tous les verres, ainsi que toutes les vitres volèrent en éclat.

- « Désolé, s'exclama Harry, je ne voulais pas. J'ai mis trop de force dans mon sort. »

- « Tu m'enlève les mots de la bouche. Cependant, en ce qui te concerne, tu as bien réussit à maîtriser ta force. »

- « J'en étais sur, s'indigna Goyle, Potter est le chouchou du prof. Il n'a rien maîtrisé du tout. »

- « Je ne fais pas de favoritisme dans mon cour, répondit Thomas. Si Harry n'avait pas contrôlé son pouvoir, il y aurait eu beaucoup plus de dégâts. »

- « Personne ne réussira, c'est impossible, s'écria Parkinson. »

- « Pansy, je n'ai jamais demandé de faire des choses irréalisables, cela demande juste une parfaite maîtrise de soi, et de la concentration, rien de plus. Vous avez tous les capacités pour le réussir, mais si tu pars perdante, c'est sur tu n'y arriveras jamais. »

- « C'est ça. Montre-nous alors, toi qui es si fort, je suis sur que toi non plus tu n'y arriveras pas. »

- « Comme tu ne l'as peut être pas vu, mais je n'ai pas de verre sur mon bureau. »

- « Je le savais, tu te dégonfles. »

- « Pas du tout, je vais le faire, mais sur tous les verres. »

- « Si tu rattes, tu auras un gage , tu devras faire tout ce que je veux. »

- « Tout ce que tu veux? C'est d'accord, dit Thomas, avec un léger sourire, comme s'il avait lu les pensées, pas très catholique, de la jeune fille. Mais si j'y arrivé, c'est toi qui auras le gage. D'accord? »

- « D'accord, répondit la jeune fille, trop sur d'elle. »

Le professeur, dans un murmure à peine audible, fit une incantation. Rien ne se passa, aucun verre n'explosa. ( nda; les verres ainsi que les vitres ont été réparés)

- « Tu as raté, j'en étais sur. Donc tu … »

- « J'ai réussit, regarde ton verre. »

Effectivement, aucuns verres étaient intacts, ils avaient tous, la même entaille, et au même endroit.

Oh! Fit la classe admirative.

- « Il n'a aucun raison de s'émerveiller, c'est facile. »

- « Ce n'est pas ce que tu as dit toute à l'heure, s'écria Ron. C'est bien toi, qui disait que c'était impossible? »

- « Peut être, mais il est professeur, donc aucun mérites. »

- « Aucun mérites? C'est déjà difficile de le faire avec un verre, alors sur vingt. »

A la fin du cour, Pansy sorti la première de la classe, sans accorder le moindre regard à son professeur. Ce dernier, l'arrêta avant qu'elle ne fut sortit.

- « Tu n'aurais pas oublié quelque chose? Tu dois faire ce que je veux. »

- « Ah oui? Et que veux tu que je fasse? Répondit elle froidement »

- « Que tu aides les elfes de maison. »

- « Tu plaisantes? »

- « Pas du tout. »

- « Je ne peux pas faire quelque chose de si humiliant. Je suis une sang pure moi. »

- « Justement, ça te fera le plus grand bien. Tu es trop arrogante. »

C'est avec les larmes aux yeux, que la jeune fille sortit du cour, tout en se disant, qu'elle se devait se venger de l'affront que venait de lui faire son professeur. Pour qui il se prend, travailler avec les domestiques, elle une sang pur.

*********************

C'est avec ancienneté qu'Harry se rendit à son cour de potion, il allait demander au professeur Rogue, de lui redonner des cours d'occlumancie. Il alla donc directement le voir à son bureau.

- « Professeur, dit il timidement. »

- « Que voulez-vous Potter? »

- « Que vous me redonniez des cours d'occlumancie. »

- « Non. »

- « Je vous en prie, dites-moi oui. »

- « Etes vous sourds? J'ai dit non. Maintenant allez à votre place. »

- « Pourquoi vous ne voulez pas m 'aider? Ca vous est égale que je sois manipulé par Voldemort. »

- « Ce n'est pas ça. Je ne sais pas comment m'y pendre avec vous. »

- « Vous êtes le seul qui puisse m'aider. »

- « Non, Thomas peut le faire aussi. »

- « Thomas? En quoi peut il m'aider? »

- « Parce que, Par merlin, il est là. »

Sans explications Séverus se leva, et sorti de la classe en courant, laissant Harry seul devant le bureau.

********************************

Au même moment près de la grande salle. Un homme seul marche dans les couloirs déserts de Poudlard, ses longs cheveux blonds, jouaient librement avec les courants d'air, un livre à la main, il marchait la tête droite, le regard froid et songeur. En chemin, il croisât un autre homme, un homme qui haïssait avec une ferveur non dissimulée. Ce dernier alla lui parler, sans vraiment tenir compte, du regard si féroce envers lui.

- « Bonjour Alexandre, dit Dumbledore. Cela fait longtemps que je ne vous ai pas vu, comment allez vous? »

- « Ne faites pas semblant de vous soucier de ma santé. Je ne suis pas venu afin de parler avec vous. Je vous serai donc reconnaissant de ne pas me retarder, je suis assez pressé. »

- « Séverus, c'est pour lui que vous êtes ici? »

- « En effet, je dois lui rendre son livre. »

- « Ne vous donnez pas cette peine, je vais le faire à votre place. »

- « Je tiens à lui rendre moi-même! »

- « Actuellement il donne un cour, et vous savez bien qu'il n'aime pas être dérangé. De plus comme votre temps, est SI précieux… »

- « Pour vous oui, mais pas pour lui. Vous avez guère d'apprécier mes relations avec lui. »

- « Il a le droit de voir qui il veut, je n'ai pas l'intention de l'empêcher de recevoir ses amis. »

- « Sauf si l'ami en question, c'est moi? »

- « Je voulais juste vous rendre service. »

- « Je n'ai pas besoin de votre aide. Et si vous voulez me rendre service, cessez de vous servir de lui. J'ai toujours été contre le fait qu'il espionne Voldemort pour votre compte. »

- « Il l'a fait de son plein gré. »

- « Vous n'aviez rien fait pour l'en dissuader. »

- « Je ne lui aurais pas fait pendre le moindre risque. Mais si vous êtes si inquiet pour sa sécurité, vous pouvez prendre sa place. J'ai appris que vous avez rejoint votre cousin en tant que mangemort. »

- « Je vois que vous êtes bien mal renseigné. Jamais je ne deviendrais un mangemort, jamais je n'accepterais d'avoir la marque des ténèbres sur mon bras. »

- « Me voilà rassuré. Mais si vous pouviez espionner Voldemort, je vous en serai reconnaissant, et je vous pourrai vous aider à mon tour. »

- « Comment osez vous me demander ça? Vous croyez peut être que je vais vous obéir bien gentiment. Pour qui vous ne prenez? »

- « Votre frère c'est spontanément proposé afin de m'aider. »

- « Je ne suis pas aussi gentil que Thomas. Vous ne croyez quand même pas que je vais vous pardonner aussi facilement le préjudice que vous avez fait à notre famille. »

- « Vous n'en voulez encore? Que puise faire afin que vous me pardonniez? »

- « Rien, vous n'avez rien à faire, vous n'avez fait assez de mal. Vous avez de la chance que Thomas ne saches pas ce que vous avez fait. »

- « Vous savez bien que je n'avais pas l'intention de vous nuire à tous les deux. »

- « C'est pourtant ce que vous avez fait. »

- « Excusez-moi de vous déranger pendant votre si passionnante conversation, mais l'un de vous deux, peut il me dire ce que je dois pardonner? »

Cette intervention, fit sursauter les deux hommes, ils ne s'étaient pas rendu compte de la présence d'une autre personne, qui les avait écoutés, religieusement en silence.

- « Tu es là Thomas? S'étonna Managua. »

- « Depuis le début de votre conversation. Réponds à ma question, pourrais tu me dire ce que j'ignore? »

- « Il a,… commença à dire Alexandre. »

Mais Dumbledore pris la liberté de lui couper la parole.

- « Non, je vous en prie, ne lui dites rien. »

- « Il finira par le savoir. »

- « Peut être mais pas aujourd'hui. »

- « Vous lui direz lorsque vous n'auriez plus besoin de ses services, c'est ça. Vous me dégoûtez. »

Sans accorder le moindre regard au directeur de Poudlard, Alexandre, se tourna vers son frère, afin de lui dire toute la vérité. Dumbledore, impuissant le laissa faire, quoi qu'il puisse faire, plus rien ne pourrait empêcher la vérité à éclater en plein jour. Tout ce qu'il espérait était que Thomas, se monterait plus indulgent, et que lui pourrait le gracier pour sa faute.

- « Tu n'es pas sans savoir, que notre famille a mauvaise réputation, surtout depuis le jour où notre père s'est retrouvé condamné à être enfermé à Azkaban. Ce que tu ne sais pas, c'est que sa condamnation, il l'a doit à Dumbledore. C'est lui qui l'a trahit, en le dénonçant aux aurors. Il s'est ensuite tué accidentellement en essayant de s'échapper. »

- « Albus, hurla Thomas en pleure, dites-moi que ce n'est pas vrai, vous n'avez pas fait ça quand même? »

- « Thomas, je suis vraiment désolé, mais je ne peux pas. Malgré les défauts qu'a votre frère, il n'a jamais mentit. Sachez cependant, que je n'avais pas le choix. Tout ce que je voulais, c'était vous éloigner tous les deux de lui, il était devenu trop dangereux, et incontrôlable. Je n'ai jamais souhaité sa mort. J'espère qu'avec le temps, vous arriverez à m'exempter. En ce qui me concerne jamais je ne pourrais me le pardonner. »

- « Vous aviez eu l'intention de me le dire un jour? A Moins que vous préfériez que je reste dans l'ignorance? Je comprends mieux pourquoi vous avez autant insisté pour payer mes études. Croyez-vous que votre argent vous permettrez d'oublier votre acte? »

- « Je sais bien que rien n'effacera ce que j'ai fait. Je vous demande néanmoins de ne pas quitter votre poste de professeur, Harry a plus que jamais besoin de votre aide. »

- « Je resterai, sachez que c'est uniquement par amitié envers Harry. Mais ne me demandez pas l'impossible, je ne pense pas que je pourrais vous pardonner. »

Le directeur sentait bien, que malgré la gentillesse de Thomas, que son pardon serait difficile à obtenir, voir impossible, mais il ne pouvait pas non plus le blâmer pour ça. Devant ses pleurs, il se sentait pitoyable et impuissant, et le pendre dans ses bras pour le consoler, serait plus que déplacer. Il le regarda pleurer sans rien faire. Il lui proposa de le ramener dans sa chambre, mais n'eu aucune réponse, et le regarda partir, abattu.

Il se tourna vers Alexandre, qui lui non plus n'avait rien fait devant la détresse de son frère.

- « Pourquoi lui avoir dit? Il a déjà tant souffert, il n'aurait pas du le savoir, pas comme ça. »

- « Pour être franc, je ne voulais pas qu'il devienne professeur dans votre école, je ne voulais pas qu'il risque sa vie pour vous aider. En lui disant, j'espérais qu'il démissionnerait. Décidément, il ne fait jamais ce que l'on attend de lui. »

- « Vous avez sans doute raison, répondit le directeur, avant de partir lui aussi. »

************************************

Séverus était à bout de souffle quand il arriva enfin a destination, il avait courut depuis qu'il était sorti de sa salle de classe. Alexandre se tenait devant lui, il était de nouveau seul.

- « Alexandre, dit il, tu es venu pour me voir? »

- « Pas spécialement, mais je devais te rendre ton livre. »

- « C'est la seule raison, murmura le spécialiste des potions, visiblement déçu de la réponse. »

Le blond se rapprocha du brun, mais au lieu de lui remettre le livre, le regarda droit dans les yeux. Leurs visages étaient très proches l'un de l'autre, et dans un élan, Alexandre captura les lèvres de Séverus. Ce dernier ne le repoussa pas, il entrouvrit même légèrement les lèvres, mais contrairement à ses espérances, rien ne se passa.

- « Tu ne peux pas savoir comme tu m'as manqué, murmura Alexandre. J'avais même oublié le goût de tes lèvres. Pourquoi as tu mis fin à notre relation? »

- « Tu connais la raison. Pourquoi me pose tu la question? »

- « Parce qu'elle ne me convient pas, tu ne m'aimes plus? »

- « Je n'ai jamais cessé de t'aimer. »

- « Prouves-le moi! »

Rogue attrapa Managua par la taille, ferma les yeux, et colla ses lèvres sur celles, si tentantes de son amant, ce dernier réagit immédiatement, en laissant la langue du brun pénétrer dans sa bouche. Séverus lui se souvenait encore, du goût si délicieux des baisers d'Alexandre. Cette douceur exquise, donna au professeur des envies, qui se manifesté par un enflamment anormale au niveau de son entre jambe. Plus il voulait contrôler ses plussions, plus il avait envie de lui faire l'amour.

- « Non, articula t'il péniblement. On ne peut pas. »

- « Pourquoi, s'étonna Alexandre? »

- « Nous sommes dans un couloir de collègue. »

- « Et? Je ne vois pas où est le problème? »

- « N'oublie pas que je suis professeur ici, je ne tiens pas à ce que l'on nous voit. »

- « Nous sommes seuls, personne ne peut nous voir. »

- « Ma chambre n'est pas loin, nous y serons mieux. »

Dés qu'ils entrèrent dans la chambre, Séverus coucha Alexandre sur son lit. Il voulut tout d'abord le caresser, et le déshabiller en douceur. Mais ce dernier n'était pas de cette avis.

- « Dépêches toi un peu, marmonnant il. C'est maintenant que j'ai envie de toi. »

Le brun décidas de faire languir, encore un peu le blond. Il déboutonna sans se presser, les boutons de sa braguette, enleva son pantalon, ainsi que son caleçon, ce qui libera son sexe, qui était trop à l'étroit dans ses vêtements. Avec ses mains, Alexandre attrapa, l'objet de sa convoitise, et fit de légers mouvements de va et vient. A cet instant Séverus, ne se contrôla plus, avec impatience, il dévêtit son amant, et le pénétra.

Quand il eu finit, Rogue voulut se relever, mais Managua l'en empêcha.

- « Où vas tu? A cette heure ci, ton cour est fini. »

- « Je sais, mais je devais manger avec Thomas ce midi. »

- « Tu es tout le temps avec lui, oublie le un peu. Reste avec moi. »

- « Tu n'as aucune raison d'être jaloux, c'est toi que j'aime. »

- « Au contraire, j'ai toutes les raisons. Tu es trop proche de lui. »

- « N'oublie pas que c'est toi qui me l'as présenté. Mais ce que j'éprouve pour lui est différent. Je le considère comme mon père. »

- « Je préfère ça. Tu es à moi, je ne supporterais pas te voir touché à un autre que moi, même s'il s'agit de mon frère. Les choses seraient plus simples, si tu venais vivre chez moi. »

- « Je me suis engagé à enseigner les potions. »

- « Mais cela ne te plait pas, tu voudrais avoir le poste de défense contre les forces du mal. Pourquoi t'obstine tu à rester malgré tout? J'ai bien assez d'argent pour que tu puisses vivre avec moi. »

- « laisse moi y réfléchir. »

- « Embrasse-moi plutôt. »

- « Je vais être en retard, il va m'attendre. »

- « Je ne pense pas qu'il sera présent pour le repas. Pas après ce que je lui ai dit. »

- « Que lui a tu dit? Cria Séverus. »

- « La vérité. Mais je crois que je n'aurais pas du le faire, je ne pensais pas que cela l'affecterait autant. »

- « Rhabille toi, on va le voir. »

**********************

Au même moment, dans les cachots. Séverus étant parti précipitamment, les élèves ne purent faire la potion. Hermione, en digne préfète voulue obliger, ses petits camardes à rester quand même en salle de classe. Mais personnes n'étant d'accord pour attendre, tous partirent. Le professeur Rogue ne revint pas, d'ailleurs, il fut introuvable pour le reste de la journée.

Il n'était pas le seul absent pour le repas du midi, ni Dumbledore, ni Salinger n'étaient présent non plus. En silence, les élèves commencèrent à manger. Harry était inquiet, et un peu contrarié, il aurait bien aimé demander à Thomas de lui donner des cours d'occlumancie. Il aurait bien aimé, aller voir directement dans la chambre de son professeur. Oui c'est ce qu'il allait faire, en sortant de la grande salle, il croisât Dumbledore.

- « Harry, tu as l'air bien pressé de te rendre à ton prochain cour. Tu vas y être en avances. »

- « Je sais professeur, mais je voulais demander quelque chose à Thomas. Je suis inquiet de ne pas encore l'avoir vu. »

- « Il ne veut pas être dérangé, tu lui demanderas ce soir. »

- « Il va bien? »

- « Oui, tout va bien. »

Enfin c'est ce qu'espérait Dumbledore. Pourtant il savait que plus rien ne serait comme avant. Il aurait beau regretter amèrement, ce qui était fait, ne pouvant être changé. Ni les remords, ni les regrets, ne changeraient quoi que ce soit. D'un autre coté, il ne pouvait pas en vouloir à Thomas de s'être enfermé dans sa chambre, et d'avoir refusé de lui ouvrir la porte, quand il avait voulu lui parler. Ne voulant pas se faire plus détester, il n'avait pas insisté. Mais avant de se rendre dans la grande salle, il avait demandé à un elfe de maison, d'aller lui apporter un repas, ainsi qu'un léger sédatif. Ce midi le directeur regarda le contenu de son assiette, avec un air absent, et ne mangeât rien. Il regarda les élèves partirent les uns après les autres, afin de se rendre à leur cour, et se retrouva seul dans cette immense salle devenu subitement silencieuse.

A suivre, chapitre 18, prouver l'amour, à ne pas manquer.

_________________
Image

kuroro la pieuvre du désert alias kurapika ou klpdd


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 30 Déc 2004 00:49 
Hors ligne
Pas encore atteint(e)... mais presque
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 09 Juil 2004 14:22
Messages: 1288
Citation:
presque 200 pages words, et 7 mois de travaille.

waouh!! :shock: c'est pas moi qui arriverais à faire ça!

Citation:
A suivre, chapitre 18, prouver l'amour, à ne pas manquer.

tu peux compter sur moi! :D

au fait j'aime beaucoup les persos de Thomas et Alexandre.

_________________
"Tout ça c'est que des conneries. Moi je suis une vraie lesbienne, j'aime que les filles"
Boris Jardel.
_____________________________
http://www.fanfiction.net/u/1191461/


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 30 Déc 2004 18:23 
Hors ligne
Le slash, kesako ?
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 03 Juin 2004 21:24
Messages: 99
Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou

voila un autre chapitre, merci à siriana, au début cette fic ne devait avoir que 15 chapitres, mais tu as bien vu que cela n'était pas suffisant, il a donc fallut que je fasse 10 de plus, ce qui a demander un long travail afin de faire le plan de ses chapitres, contente que tu aimes les personnages que j'ai inventé


:harrydraco: :slashvaincra:

Chapitre 18: Prouver l'amour ( Calogéro)

Dans l'après midi, Harry se rendit donc à son cour d'animagus avec Melle Lupin. Elle leur avait promis, de leur dire, en quel animal, ils pourraient se transformer, enfin pour ceux qui auraient la chance de réussir.

- « C'est très simple, dit Virginie. Pour connaître votre forme animale, il suffit d'agiter votre baguette de bas en haut et de dire, animagus. Vous ferez apparaître devant vous, le spectre de l'animal en lequel, vous pourrez vous transformer. »

-« Melle lupin, demanda Harry, il ne nous est pas possible de choisir? »

- « Non, comme je vous l'ai expliqué lors de mon premier cour, cette forme dépends de vos forces, ainsi que de vos faiblesses. Vouloir devenir, un animal en particulier, n'est malheureusement pas pris en compte. En quel animal souhaitez vous vous transformer Mr Potter? »

- « En dragon, ça doit être cool de pouvoir voler dans le ciel. »

Cela fit rire les cancres de services, c'est à dire, Crabbe et Goyle.

- « Tu dis n'importe quoi Potter, personne ne peut devenir un dragon. C'est impossible! »

- « Effectivement, jusqu'à ce jour aucun sorcier, même les plus puissants n'ont réussit à le faire. Cependant d'après une légende ancienne Salazar Serpentard, aurait essayé, mais cela aurait déplus aux forces de la nature qui lança sur lui et sa descendance une malédiction. Cette dernière ne serait brisée, que le jour où naîtra des jumeaux, qui ne se ressemblent pas. Bien sur tout ceci est faux, ce n'est qu'une légende. Reprenons le cour et oublions cette histoire de dragon »

- « Je connais quelqu'un qui le peut, s'exclama Harry. »

- « En êtes vous sur? Demanda Virginie, qui ne croyait pas trop aux dires de son élève. »

- « Bien sur, il me l'a dit lui-même. »

- « Je serais curieuse de savoir de qui il s'agit. »

- « Melle, s'écria Parkinson, il vous fait marcher. Personne n'est capable d'un tel exploit. »

- « Si justement, s'indigna Ron. Thomas est un animagus Dragon. »

- « Vous êtes sur Mr Weasley?, Demanda Virginie. »

- « Mais non, il se moque de vous. Vous l'avez dit vous-même, ce n'est qu'une légende. De plus Thomas, n'est pas un descendant de Serpentard, et il n'a pas de frère jumeau. »

- « Si justement, s'écria Harry, il a un frère. Tu ne te souviens pas, il est venu le jour, où le professeur Rogue, l'avait remplacé? »

- « Si je n'en souviens parfaitement, mais il lui ressemblait étrangement. »

- « Il s'était fait passer pour lui, en vérité, ils ne se ressemblent pas. »

- « C'est ça! »

- « Ca, suffit, cria virginie, je ne veux pas de disputes lors de mon cour. Bien que je ne doute pas de la puissance de Thomas, il n'est qu'un homme, et n'a aucun rapport avec cette vielle légende. Oui je sais Maugrey avait dit, que les Salinger avaient un lien de famille avec Serpentard, mais je ne pense pas que cela suffit pour faire de lui un descendant de Salazar. De plus j'ai vu le registre des animagus des fondateurs, et il n'y est même pas. »

- « Je vous assure que si, murmura Harry. »

- « Puisque vous en êtes certain, j'irai lui poser la question. En attendant, ce n'est pas le sujet de mon cour. Qui veut commencer? »

Comme tout le monde voulait commencer en même temps, Virginie désigner les élèves. Crabbe, fut le premier, rien ne se passa.

- « Je suis désolée, vous n'auriez jamais la possibilité de devenir un animagus. Si vous voulez, vous pouvez ne plus venir à mon cour. »

Il fut le seul, pour Goyle, ce n'était pas mieux, il eu droit à un cochon. Pour Pansy en fouine, Dean en cheval, Séamus en aigle, Lavande en poule, Hermione en chat, Harry en cerf, et Draco en serpent, Ron en rat…

Seule Hermione fut contente du résultat, bien qu'Harry était quand même un peu fier d'avoir la même forme que son père, il aurait préfère devenir un dragon, comme Thomas. Mais il ne comprenait pas pourquoi, personne, mis à part Ron, ne l'avait cru quand il avait affirma que ce dernier pouvait se transformer en dragon. Même Melle Lupin affirma que son collègue, ne pouvait le faire, puisqu'il n'était pas un animagus.

**********************

Au même moment, Managua et Rogue avaient rejoint Thomas dans sa chambre. Ils n'eurent aucune difficultés à ouvrir la porte, elle n'avait pas été fermée à clé. Ce dernier était assis sur son lit, et n'avait pas touché au repas, que Dumbledore lui avait fait apporter.

- « Je ne veux voir personne cria il. Je veux rester seul. »

- « Même pas ton frère adoré, demanda Alexandre. »

- « Surtout toi! »

- « Je ne voulais pas te faire souffrir, je suis désolé. Mais je ne supportais pas que Dumbledore te manipulait comme il le fait. Tu allais l'appendre un jour ou un autre. J'ai préféré que ce soit moi qui te le dise. »

- « Tu sais bien pourquoi je le suis, c'est pour l'aider, et aussi pour que le monde de la sorcellerie cesse de salir notre nom, celui que portait notre père. »

- « Je sais bien, mais l'idée de te perdre est pour moi insupportable. Je me moque bien de ce que peuvent penser tous ces minables. Ta vie m'est plus précieuse qu'une réputation. Ne reste pas dans cette école, tu n'y est pas en sécurité. »

- « Non, tant qu'Harry aura besoin de moi, je resterai. Tu est toi aussi en danger, tu sais ce que tu risque en restant à côté de Voldemort. Si un jour il découvre que tu as fait semblant de le suivre, il te tuera. Je ne supporterai pas de te perdre. »

- « Il doit payer pour t'avoir fait souffrir. Si je peux t'aider à le combattre en le rendant vulnérable, alors je le ferai, je suis prêt à tout. »

Séverus, ne savait pas trop de quoi, pouvait parler les deux frères, mais il avait été contrarié de voir, celui qui fut son maître jadis, dans cet état. Il aurait bien aimé le prendre dans ses bras pour le consoler, mais avait peur qu'Alexandre le prenne mal. Il s'assit quand même a coté de Thomas, et avec son mouchoir, essuya les larmes qui étaient sur ses joues. Ce dernier, se blottit dans les bras du maître des potions, et mis sa tête sur son épaule. Spectacle que n'apprécia guère Managua, mais il ne dit rien. Il savait bien qu'en ce moment son frère avait besoin d'un ami. Bien qu'il soit content que cet ami soit Séverus, il en était un peu jaloux. Il attendit qu'il cesse de pleurer, alla le voir, et le pris dans ses bras lui aussi. Avant de s'en aller, il s'assura que Thomas avait bien pris le repas, qui était sur la petite table, et le laissa, bien malgré lui, avec Séverus.

*********************************

En entrant dans la grande salle, afin de manger, Thomas alla d'abord voir le jeune Potter à la table des Gryffondor. Ses yeux étaient rouges, tellement qu'il avait pleuré.

- « Thomas, dit Harry inquiet, tu vas bien? »

- « Oui? Pourquoi me demande tu ça? »

- « Tu as la tête de quelqu'un qui a pleuré. Que s'est t'il passé?»

- « Je ne tiens pas à en parler. »

- « je peux te demander quelque chose? »

- « Oui, je t'écoute. »

- « Pourrais tu me donner des cours d'occlumancie? »

- « Bien sur. J'aurais du te le proposer avant, mais il y s'est passé tellement de chose, que j'ai oublié. Quand veux tu commencer? »

- « J'aurais aimé ce soir, mais tu n'es peut être pas en état de le faire. »

- « Dans mon bureau a 20h00, ça ta va? »

- « C'est parfait. Merci. »

- « Tu n'as pas à me remercier. »

Ensuite Thomas alla s'assoire, sans accorder le moindre regard au directeur. Il se mit même à l'autre bout de la table, dans le but de ne pas pouvoir lui parler, et ne resta pas longtemps .

Dumbledore était soulagé d'avoir vu le professeur Salinger, discuter avec Harry, il avait eu peur, qu'il refuse de lui donner les cours d'occlumancie. Il le vit se mettre à l'autre bout de la table, mais ne chercha pas à lui parler non plus. La douleur était encore trop présente.

*************************************

Bureau du professeur Salinger. Harry après avoir frappé à la porte, entra. Il était intimidé, et se demanda pourquoi c'était son professeur de défense contre les forces du mal, qui allait lui donner les cours d'occlumancie.

- « Bonsoir Harry, dit Thomas, gentiment avec le sourire. Assis toi. Tu prendras bien un peu de thé avant de commencer? »

- « Je veux bien. Merci »

- « Tu dois te demander pourquoi c'est moi qui te donne ce cour. »

- « Je ne savais pas que tu t'y connaissais en occlumancie. C'est le professeur Rogue qui m'a conseillé de te le demander. »

- « Je lui ai donné des cours d'occlumancie, et appris à avoir confiance en lui »

- « Je comprends mieux pourquoi il t'estime autant. »

- « C'est un bon ami à moi, c'est pour ça que je suis venu à ta fête avec lui. Tu sais il n'est pas si méchant qu'il en à l'air, mais il n'a jamais été patient. C'est la seule chose, que je n'ai pas réussit à lui inculquer .

Si tu n'as pas d'autre question, nous allons commencer. Dans un premier temps, c'est moi qui vais t'attaquer, ensuite ce sera ton tour, d'accord? »

- « Oui, bégaya, l'adolescent, tout en cherchant quelque chose du regard. »

- « Que cherches tu? S'inquiéta Salinger. »

- « Tu n'as pas de pensine? »

- « Pourquoi faire? »

- « Il y a peut être des pensées que tu ne voudrais pas que je vois. »

- « Il y en a effectivement. Mais ce ne sera pas honnête en vers toi. Si j'ai accès a ta mémoire, il est plus juste que toi aussi, tu puisses y avoir accès. »

Thomas brandit sa baguette, et fit une attaque mentale, vers son élève. Ce dernier se défendit comme il le pouvait, mais il était encore trop faible, sa résistance fut de courte durée. Il fut submergé par ses souvenirs les plus horribles. La mort de Neville, ne cessait de lui revenir, comme un film au ralentit. Tout s'effaça subitement, et il se retrouva, sans trop savoir comment dans les bras de son professeur. Ce dernier avait du anticiper sa chute, et l'avait rattrapé avant qu'il ne touche le sol.

- « Ca iras demanda t'il? On peut arrêter maintenant si tu veux? »

- « Non, je préfère continuer. »

- « Si tu veux. Attaque-moi. »

- « Tu es sur de toi? »

- « Oui, tu verras comme il peut être facile d'entrer dans la tête de quelqu'un afin de le manipuler. Cela pourra t'aider à trouver une parade. »

Cette fois Harry brandit sa baguette, il se rendit compte que son professeur, ne lui opposât aucune résistance. La scène dont il fut témoin, était loin de ce qu'il aurait pu penser. C'était un jour sombre, un jour de pluie. Deux enfants se tenaient debout en silence, devant un cercueil. Le premier était brun âgé d'un dixième d'années, apparent se devait être Thomas, lorsqu'il était enfant. Il avait les larmes aux yeux, et semblait avoir beaucoup de peine. A ses cotés, un autre garçon, un blond, qui n'avait pas les yeux de la même couleur, l'un était marron, tandis que l'autre était vert, et semblait avoir le même age. Lui regardait un homme de travers, mais Harry ne pu le voir avec exactitude. Soudainement se fut le noir complet, et il ne vit plus rien.

- « HARRY, ça vas? Cria Thomas. »

- « Oui? »

- « Pourquoi pleures tu? Qu'as tu vu? »

- « Rien, je n'ai rien vu, mentit, il. Je n'ai pas réussit à entrer dans ton esprit. Désolé. »

- « Ce n'est pas grave. Veux tu ressayer? »

- « Pas ce soir, je suis fatigué, j'aimerais allait me coucher. »

- « D'accord. On se revoit à la même heure, lundi prochain. Bonne nuit. »

Harry sorti du bureau, et se dépêcha d'aller se coucher. Bien qu'il aurait eu envie de parler avec Thomas de qu'il a vu, il savait aussi, que cela lui ferait du mal. Il comprit pourquoi, ce midi il n'était pas état de le recevoir. Cette nuit, il fit une nuit sans cauchemar, ne se doutant pas une seconde qu'il était protégé contre les attaques extérieures par Thomas.

**************************

Une erreur, une très grande erreur, la plus belle de sa vie. Bien sur tuer Fudge avait semblait être une bonne idée, la mort de Lucius ne pouvait pas rester impunie. Mais Voldemort à ce moment, n'avait pas pu imaginer que tout irait de travers. Il avait pourtant pris soin d'envoyer la lettre de démission de son cher cousin, au nouveau ministre de la magie. Ca aussi, en y réfléchissant, n'avait pas été très malin de sa part. En effet, s'il n'avait rien envoyé, Christian n'aurait rien su, et les cours de défense contre les forces du mal, seraient toujours assurés, par le professeur Maurice. Le retour de Thomas à poste n'avait pas était planifié. Qui aurait pu prévoir que le nouveau ministre allait être compétant? Qui aurait imaginé que ce dernier allait refuser, la démission du professeur Salinger. Et que ce dernier par la même occasion donner des cours d'occlumancie au jeune Potter.

Le seigneur des ténèbres, voulu vérifier, s'il avait toujours le contrôle de sa marionnette, préfère, plus connu sous le nom, du survivant. Malgré ses efforts, il n'arriva pas à entrer dans la tête d'Harry, c'était comme si, un mur invisible, et indestructible se tenait entre lui et sa victime. Cette protection si puissante, ne pouvait pas être l'œuvre de l'enfant. La seule personne capable de le faire, ne pouvait être que Thomas.

Celui Dont On Ne Doit Pas Dire Le Nom, savait bien qu'il ne pouvait pas tenir tête à son cousin. Mais il y avait un autre moyen, le chantage. L'arme favorite des lâches, et aussi sa préféré. Il connaissait son point faible, il allait s'en servir. Il se rendit dans son bureau, et en riant, écrivit une lettre. Destination, Poudlard école de sorcellerie.

*****************************

Le lendemain Harry se réveilla de bonne humeur. Ce matin au petit déjeuner il parlait joyeusement avec Ron. Ce dernier était bien embêté et ne savait pas comment faire. Trop timide, il n'avait pas réussit à faire sa demande en mariage, envers sa petite copine, Maêlisse. Draco, qui était dans la même maison, lui proposa de l'aider.

- « Demande le lui directement. Elle ne peut pas le savoir, si te ton côté tu gardes tout pour toi. »

- « Elle risque de se moquer de moi. »

- « Elle ne fera jamais une chose pareille. Je la connais bien, elle sera flattée par ta proposition. »

- « Imagines, qu'elle me dise non, j'aime quelqu'un d'autre. »

- « Au moins tu seras fixé. Mais je peux t'assurer, que ce n'est pas le cas. Tu nous tiendras au courant de sa réponse? »

- « Bien sur. Tu sais tu es gentil. Je comprends, mieux pourquoi Harry t'aime tant. »

Hermione dut mettre fin à la conservation, le cours allait commencer, et interdiction d'arriver en retard. Surtout que le cour était celui de Rémus.

********************

Le cour de Rémus, fut comme tous ses autres cours, très passionnants. Le professeur leur apprit à l'aide de petits sort simple à dissimuler leur présence. Pansy arriva en retard en cour, elle avait du faire la vaisselle avec les elfes de maison. Et ce midi, elle devait y retourner pour aider faire le repas. Corvées qu'elle ne faisait pas de bon cœur, elle avait même était se plaindre auprès de son directeur de maison, dans le but que ce dernier la dispense de cette punition, si humiliante et dégradante pour une sang pur, qui comme le veut la tradition, ne devait faire aucune tache ménagère. Mais Séverus, trouva que l'idée, était excellente, et ne fit rien.

- « Professeur, s 'indigna Pansy. Il m'a punie parce que je n'ai pas réussit à lancer un sort. Ce n'est pas ma faute, s'il nous demande de faire des choses qui ne sont pas à notre niveau. »

- « Ce n'est pas son genre, de faire ça. A mon avis, s'il vous a puni, c'est que vous l'avez mérité. Si grâce à cela vous apprenez le respect, alors c'est une bonne idée. »

- « Vous ne pouvez pas lui demander de surprendre, ma punition, supplia la jeune fille. »

- « Non. Et à l'avenir, je vous conseillerai d'être plus respectueuse envers le professeur Salinger. Il est beaucoup trop gentil envers vous. Moi à sa place, c'est pendant une semaine que je vous aurai puni, pas un jour. »

- « Il est perfide, ça se voit que vous ne le connaissez pas. »

- « Je ne vous permets pas de l'insulter. Je suis son ami depuis plus de dix ans. Si je vous entends encore dire du mal de Thomas, je peux vous assurer que je trouverais une punition, bien plus terrible. Maintenant allez dans la cuisine, les elfes de maison, ont beaucoup de travail. »

Pendant que ses camarades de classes, s'amuser à se faire des blagues, Pansy, passa le reste du cour à bouder.

A la fin du cour, tous avaient fait de gros progrès, et Rémus, en était ravis, il le dispensa de faire le devoir prévue.

************************

Draco avait oublié dans sa chambre son livre de métamorphose, pendant la récréation, il laissa Harry seul, et se rendit dans la salle commune des Serpentard. En y entra, il vit que quelqu'un l'attendait. Ne volant pas lui parler, il passa à côté et fit semblant de ne pas l'avoir vu.

- « Draco, hurla t'elle. Ne fais pas semblant de ne pas m'avoir vu. »

Le jeune Malefoy, se retourna, et avec un soupir de déception, répondit.

- « Bonjour Mère. Que me vaux le plaisir de votre visite? »

- « Tu le sais très bien, je suis venue pour te parler de tes fiançailles. »

- « Mes fiançailles? »

- « J'ai appris par les parents de Pansy, que tu les avais rompus. Est-ce bien exacte? »

- « Oui, c'est la vérité. »

- « Peux tu me donner la raison? »

- « Je ne l'aime pas! »

- « Je ne te demande pas de l'aimer, mais de l'épouser. »

- « Ne comptez pas sur moi pour le faire. »

- « Tu n'as pas le choix, tu te dois de te marier avec une sang pur. Elle est la seule qui soit digne de devenir ta femme. »

- « Vous n'avez pas à décider de ma vie. Je vais ce que je veux. »

- « Je suis ta mère, et à ce titre, j'ai tout les droits. De plus Crabbe, m'a appris que tu étais devenu proche de ce Potter, trop proche. Tu dois cesser toute relation avec lui. A tu pensais à notre réputation, à ce que je devais dire, si mes amies apprenaient que mon fils est homosexuel »

- « J'aime Harry, et je compte bien vivre avec lui. »

- « Tu as perdu la raison? Epouse le donc aussi tant que tu y es. »

- « C'est une bonne idée, je vais de ce pas le demander en mariage. »

- « Je ne te le conseille pas. Tu risquerais de payer cher ton insolence. »

- « Payer? Qu'entendez-vous par payer? »

- « Tu seras déshérité, je ne te donnerais plus le moindre argent. »

- « Je n'ai pas besoin de votre argent. Je préfère vivre dans la misère avec celui que j'aime, que de vivre dans le luxe avec la fille que vous m 'avez imposée comme épouse. Maintenant, excusez-moi, mais je vais être en retard pour mon cour. »

*********************************************

Draco arriva juste à l'heure pour le cour avec McGonagall. Il s'assit à coté d'Harry, et en silence sorti son livre pour suivre le cour.

- « Draco, quelque chose ne vas pas, lui murmura à l'oreille, le brun. »

- « Si tout va bien, ne t'inquiètes pas. »

- « Dis moi ce qui te tracasse. »

- « Je viens de voir ma mère. Pour ne rien te cacher, elle me menace de me déshérité, si je continu à sortir avec toi. »

- « Que compte tu faire? »

- « Je t'aime, et je veux vivre avec toi. Mais je ne veux pas vivre à ta charge. »

- « Pourquoi, moi ça me ne gêne pas. »

- « Tu n'auras jamais assez d'argent pour nous faire vivre tous les deux. A cause de moi, tu ne pourras pas continuer tes études »

- « Je fais ce que je veux des mes gallions. »

- « Mais …»

- « Pas de mais, nous irons vivre chez Sirius pour débuter. Dés que l'on aura finit nos études, on prendra un appartement tous les deux. »

- « Ca a l'air si facile quand tu en parles. »

- « Ce sera le cas. Tu as été courageux de tenir tête à ta mère. Tu viens de me donner la plus belle preuve de ton amour. »

A suivre chapitre 19, Dire, à ne pas manquer… :ange:

_________________
Image

kuroro la pieuvre du désert alias kurapika ou klpdd


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 30 Déc 2004 20:29 
Hors ligne
Pas encore atteint(e)... mais presque
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 09 Juil 2004 14:22
Messages: 1288
Citation:
Tu as été courageux de tenir tête à ta mère. Tu viens de me donner la plus belle preuve de ton amour. »

c'est beau!! et en plus c'est bien écrit je trouve. merci pour le chapitre!
:harrydraco:

_________________
"Tout ça c'est que des conneries. Moi je suis une vraie lesbienne, j'aime que les filles"
Boris Jardel.
_____________________________
http://www.fanfiction.net/u/1191461/


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 30 Déc 2004 20:40 
Hors ligne
Administrateur
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 17 Jan 2004 13:57
Messages: 11370
Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
Chouette deux chapitres d'un coup !!! J'adore de plus e plus Thomas... même s'il y a des zones d'ombre dans sa vie, je trouve que ce personnage est passionnant ! :bravo:

:suite: :suite:

Cybelia.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 30 Déc 2004 21:34 
Hors ligne
Le slash, kesako ?
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 03 Juin 2004 21:24
Messages: 99
Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou :littleangel:

et encore un chapitre, la fic etant finie, c'est pas dur :slashvaincra:

a Siriana, il est très courageux draco de tenir tête à sa mère, mais était ce une bonne idée? Narcissa ne va pas laisser son fils unique partir avec harry sans faire, tu ne crois pas? non dirais rien, muette la pieuvre, lol.

a cybélia:c'est vrai que thomas a un passé pas tres lunineux, on comprend pourquoi il ne tient pas à se présenter au début, mais je te rassure, je fais des happy ends...en générale lol.

place à la lecture..


Chapitre 19: Dire ( Calogèro)

Harry était seul dans les couloirs déserts de son collège. Il ne s’était pas rendu avec les autres dans la grande salle. Quelque chose, le tracassait depuis ce matin, il décida d’aller chercher une réponse. Fidèle à ses habitudes, Hermione lui avait encore fait la morale.

- « Harry, tu ne dois pas faire ça, lui avait elle dit. »

- « Je veux savoir. »

- « Au point d’aller dans sa chambre, pour lire son courrier? »

- « Oui, tu as une meilleure solution? »

- « Parle le lui directement, au lieu de fouiller ses affaires. »

- « C’est ce que j’ai fais au début, mais il a refusé de répondre à mes questions. »

- « Ce n’est pas une raison. »

- « Tu as vu la tête qu’il a fait après avoir lu cette lettre, il a des problèmes. Je veux l’aider, et peu importe ce que tu peux en penser, je le ferai. »

- « Ce n’est peut être pas si important après tout. Si cela avait été grave, il t’en aurait parlé. Laisse tomber, et viens manger. »

- « Non, j’y vais, je vais faire vite. Si jamais il sort avant mon retour, occupe-le. »

- « De quoi veux tu que je lui parle? »

- « De la pluie, du beau temps, je te fais confiance, tu trouveras bien. »

Harry était enfin arrivé devant la chambre dans laquelle il devait entrer, c’était celle de son professeur de défense contre les forces du mal. Ce matin il avait reçu une lettre, ce qui était assez rare. Sans un mot, il était sorti de la salle, et n’avait parlé de ce courrier a personne, même pas à Potter, qui voyait bien que quelque chose d’inquiétant était sur le point d’arriver.

Par chance, la porte n’était pas fermée à clé, et Harry y entra sans peine. Sur le lit, se trouvait une lettre, sans attendre l’élève la pris et la lu.

« Bonjour cher Cousin.

Je me suis aperçu que tu donnais des cours d’occlumancie à ce Potter, je ne te cache pas à quel point cela me contrarie. Je te demande donc de cesser, tout court avec ton élève. Si tu ne m’obéis pas, un certain Alexandre, risquerait de payer cher ta décision. Donc tu sais ce qu’il te reste à faire, si tu veux revoir ton frère en vie.

Voldemort.

Ps, tu as un peu maigrit ces derniers temps, tu devrais te nourrir plus correctement. »

Harry lu la lettre plusieurs fois, il savait que le seigneur des ténèbres était un être immonde, il ne pensait pas qu’il pouvait l’être à ce point. Comment pouvait il faire une chose pareille ? Thomas était devant un choix difficile. Potter décida de pendre la décision lui-même, mais comment le lui dire, sans lui avouer qu’il avait lu son courrier?

Harry dans ses pensées, ne se rendit pas compte que quelqu’un venait d’entrer, mais lorsque que la porte claqua, il se retourna. Le propriétaire de la chambre, se tenait devant lui. Il n’était pas vraiment en colère, mais déçu, triste de voir que son élève était dans sa chambre.

- « Harry, s’exclama t’il, je peux savoir ce que tu fais dans ma chambre? »

- « Je ne veux plus que tu me donnes des cours d’occlumancie. »

- « Et tu es venu dans ma chambre pour me le dire? Tu aurais pu le faire autre part, à moins que tu n’aies pris cette décision qu’après avoir lu mon courrier personnel? »

- « C’est bien ça, avoua Harry. »

- « Tu es conscient de ce qu’il va se passer, si tu arrête les cours? »

- « Tout à fait, je sais aussi ce qu’il pourrait se passer si tu les continues. Je ne veux pas que tu souffre comme tu l’as fait le jour de l’enterrement. »

- « De l’enterrement, tu parles des souvenirs que tu as vu? »

- « Oui. »

- « Pourquoi m’avoir mentit, tu sais bien que moi aussi je voyais la même chose que toi. »

- « Je ne voulais pas me montrer indiscret, en ravivant un souvenir douloureux. »

- « Si te t’ai laissé accès a ma mémoire, c’est que j’étais d’accord. Je vois bien que tu te pose des questions à ce sujet. »

- « Je me suis demandé qui était mort. Ne te sens pas obligé de me répondre. »

- « C’est mon père, il est décédé lorsque j’avais dix ans. La personne qui était à mes cotés ce jour, est mon frère jumeau Alexandre. »

- « Je suis désolé. Mais peux tu me dire qui était la personne que ton frère regardait si méchamment? »

- « Ce jour là, il dévisageait tout le monde, tous ces hypocrites qui faisaient semblant d’avoir de la peine pour nous. Le pire de tous se fut notre oncle, David, qui le lendemain avait repris à son compte la fortune de notre père. C’est le professeur Dumbledore qui s’est chargé de notre éducation, il a pris à sa charge tous nos frais de scolarité. »

- « Tu as donc fait tes études à Poudlard? »

- « Non, il a préféré nous éloigner du reste de notre famille, de peur que notre oncle ne nous traite mal. Mon frère et moi avons fait nos études de sorcellerie dans un collège en Californie. Nous ne sommes revenus que lorsque que nous étions majeurs, à ce moment, il nous a aidé à rependre l’argent et les biens de notre père. »

- « Je ne veux pas que tu revives une telle épreuve par ma faute, tu aurais du m’en parler. »

- « Je pensais que tu refuserais, que tu ne comprendrais pas pourquoi je te refuse mon aide, au moment où tu en as le plus besoin. »

- « Je ne veux plus être le jouet de Voldemort, mais pas au détriment de la vie d’un homme, surtout s’il s’agit de ton frère. Je sais que je n’aurais pas du entrer dans ta chambre pendant ton absent, excuse-moi. »

- « C’est moi qui devrais te présenter mes excuses, je n’aurais pas du te le cacher. Mais tu dois avoir faim, tu n’as rien mangé »

- « Le repas doit être fini à cette heure si. »

- « Il venait à peine de commencer quand je suis sorti de la grande salle. Je n’avais pas faim ce soir. »

Harry pris donc congé, et alla rejoindre ses amis, en sortant, il avait cru entendre Thomas murmurer un merci Harry.

***************************

Ce soir les mangemorts avaient une réunion très importante avec leur chef. Voldemort pour faire bonne figure, s’y rendit. Mais cela changerait vite, Managua serait bientôt une histoire ancienne, puisqu’il serait bientôt mort. Bien sur un homme d’honneur lui aurait laissé la vie sauve, puisque son cousin, avait accepté d’arrêter les cours d’occlumancie. Mais Alexandre était un obstacle, un de taille qui fallait abattre à défaut de soumettre. Cela rendrait en plus l’atout majeur de Dumbledore, Thomas, hors état de nuire. Tuer Potter ne serait plus dans le domaine de l’irréalisable.

Cette fois ci Celui Dont On Ne Doit Pas Dire Le Nom, avait un plan parfait, une tactique sans faille, une arme exceptionnel, donc tout pour réussir. Alexandre face à un tel déploiement de force, incapable de se défendre, se laissera tuer sans rien faire. Certes son décès serait rapide, mais inévitable, et à ce moment plus rien, non plus rien, ne pourrait empêcher Voldemort d’avoir le pouvoir.

Ce dernier à cette pensée ne put s’empêcher de sourire, il se voyait déjà gouverner le monde. Après la mort du survivant, tous seraient à ses pieds, obéissant à ses moindres caprices. Bien sur il aurait de beaux vêtements, les plus beaux, car rien ne lui est interdit. Mais la cerise sur le gâteau, se serait son cousin, habillé en elfe de maison, sur qui il s’amuserait à faire quelques sorts interdit, comme le doloris. Thomas se torde de douleur, suppliant de le tuer, afin de mettre un terme à ses souffrances. Un spectacle à ne pas manquer, un régale pour qui vous savez. Voilà comment il voyait l’avenir, comment devait être son futur.

*********************

Harry avait passé la nuit à réfléchir, il se faisait du souci pour le frère de son professeur, bien qu’il ne l’ait pas montré. Il connaissait Voldemort, et savait qu’il était prêt à tout pour le pouvoir, y compris ne pas respecter un marché. Donc il décida de ne pas se rendre à son cours d’histoire de la magie, et alla dans le bureau du directeur. Hermione à contre cœur lui avait donné le mot de passe, John Smith.

C’est sans avoir frappé que Potter entra dans le bureau du directeur, mais ce dernier n’y était pas seul, le professeur Rogue y était aussi. Ce dernier n’apprécia guère l’intrusion, aussi peu délicate que polie, de son élève.

- « MR Potter, cria t’il. Vous ne savez pas que l’on frappe avant d’entrer? »

- « Excusez-moi, mais je devais parler au directeur, répondit Harry, en fixant du regard le maître des potions. »

- « Je suis sur que cela peut attendre, veuillez sortir à présent. »

- « Non, c’est important, je dois lui dire quelque chose. »

- « Harry, s’exclama Dumbledore, je te priais de sortir de mon bureau. Je ne suis pas à ta disposition. Tu pourras revenir me voir après tes cours. »

Le Gryffondor, fit comme s’il n’avait rien entendu.

- « Vous ne comprenez pas, c’est une question de vie ou de mort. Voldemort projète de tuer Alexandre Salinger. »

Séverus, devint très pale, d’une blancheur inquiétante, un mort aurait eu plus de couleur.

- « Pouvez vous nous préciser ce qui vous permet de dire une telle chose? »

Harry expliqua donc la lettre que Thomas avait reçu le matin, celle où Voldemort lui faisait son horrible chantage.

- « Tu as eu raison de venir nous en parler, avoua le directeur. Mais retourne vite en cour, d’accord? »

Quand Potter fut partit, Dumbledore s’adressa à Rogue.

- « Séverus, je vais devoir m’absenter quelques jours. Pouvez vous me remplacer? »

- « Où comptez vous aller? »

- « Je vais voir Alexandre, il doit être prévenu. »

- « Il ne vous écoutera jamais, il vaudrait mieux que cela moi qui aille l’informer. »

- « C’est trop dangereux, vous risquez de dévoiler à Voldemort le fait que vous ayez une relation avec lui. De plus Thomas a besoin de vous en ce moment, moi je ne lui serais d’aucune utilité. Vous seul pouvez l’empêcher de tenter l’impossible en allant sauver son frère. »

- « Je n’insiste pas, mais promettez-moi de revenir avec lui. Je ne voudrai pas le perdre. »

- « Je vous le promets. »

Le professeur Rogue eu bien du mal à trouver une excuse valable, qui justifierait l’absence, aussi soudaine qu’inattendu du directeur. Les élèves ne semblaient pas trop croire, à son histoire. Dans le but de faire parler d’autre chose, il décida d’organiser un bal ce samedi.

*********************

- « HARRY, cria Ron, tu n’es pas encore prêt? Le dîner commence dans cinq minutes. »

- « J’arrive, je me change. »

- « Encore, mais quand vas tu te décider? »

- « Je veux être beau pour Draco, n’oublie pas qu’il y a le bal, juste après le repas. »

- « Je sais, mais je ne veux pas faire attendre Maêlisse. Ce soir, je lui fais ma demande. »

- « Bien, c’est bon, je suis prêt, on y va »

Harry avait mis, une robe vert bouteille, qui mettait ses yeux en valeur. Ron avait lui un robe toute simple, bleu pale. Ils furent rejoints par Draco, qui lui avait mis sa plus belle robe aussi, une verte et noir. Ensembles ils se mirent à une table et furent rejoints par Maêlisse, qui déclenchant l’admiration de tous avec sa robe bordeaux, à manches bouffantes. Clémentine et Olivier les rejoignirent à leur tour. Hermione, quant à elle alla à une autre table, en compagnie de Sirius.

Le repas avait déjà commencé quand Thomas, vêtu d’un costume bleu nuit, avec des dorures argent, arriva. Il était seul et alla à la table où se trouvait Harry.

- « Puise je me joindre à vous, demanda t’il? »

- « Bien sur, répondit Harry. »

A la fin du repas, les tables furent poussés. Au chant c’était le groupe Aédé, et cette fois ci, Cindy avait retrouvé sa voix, ce qui déplut à quelques jeunes filles, qui auraient préféré que se soit Thomas, qui chante ce soir, comme il l’avait si bien fait lors du premier bal.

Le premier couple à aller sur la piste, fut Harry et Draco, suivit de près par Ron et Maêlisse. Seul Thomas et Pansy se retrouvèrent sans cavalier. Cette dernière regarda son professeur s’assoire sur une chaise. Cela la rendit heureuse, il n’avait pas de cavalière, mais qui voudrais danser avec un handicapé? Personne évident, Salinger fera tapisserie ce soir, et le fait d’avoir mis un beau costume ne changerait rien., Il aurait du rester sagement dans sa chambre.

Hagrid, qui s’ennuyait seul dans sa cabane arriva à son tour, mais il n’avait pas envie de danser, il alla rejoindre son collègue, qui semblait ne pas s’amuser.

- « Bonsoir Thomas, dit il, ça ne vous dérange pas que je reste un peu avec vous, je me sens si seul dans ma maison. »

- « Pas du tout, je serai ravi de discuter avec vous. »

- « Vous ne préférez pas danser? Vous avez bien du avoir des propositions ce soir, surtout habillé comme vous êtes. »

- « Oui, presque toutes les filles de l’école sont venues me demander de danser avec elle. Mais je ne suis vraiment pas doué avec ma canne. »

- « Je suis désolé pour votre genou, Harry m’a dit que vous ne pourrez plus remarcher normalement. »

- « Je peux déjà marcher, un peu plus et Mme Pomfresh me coupait la jambe, j’ai eu de la chance. »

Pendant l’entracte Pansy, décida de mettre au point sa vengeance, elle avait décidé d’aller dans la chambre du professeur Salinger. Si ce dernier ne voulait pas se faire renvoyer, pour avoir eu des rapports, avec une des ses élèves, il serait obligé de faire tous ce qu’elle lui demandera. La jeune fille était tombée amoureuse de son professeur, mais elle ne supportait pas le mépris qu’il avait envers elle.

A la reprise, tous allèrent danser, sauf deux professeurs, qui étaient devenus amis, et qui pour passer le temps buvait, mais pas que de la bièreaubeurre. Virginie les regardait boire de loin, cela ne lui plus pas, elle décida d’aller les voir.

- « Thomas, si tu pouvais arrêter de boire. Viens danser, s’écria t’elle. »

Elle ne laissa pas le temps à son interlocuteur de répondre, elle le pris par le bras et l’emmena avec elle. Bien sur ce fut assez catastrophique, malgré les efforts évident que faisait Salinger, pour ne pas mettre sa canne sur les pieds de sa cavalière. Après seulement deux danses, Thomas voulu retourné s’asseoir, mais Virginie ne le voulait pas.

- « Tu ne danse pas si mal que ça, murmura t’elle. »

- « Tu me flatte, je… »

La jeune fille avait approché son visage de son cavalier de très près, et lui venait de lui voler un baiser. Une chose était sur, si Thomas ne savait pas danser, il savait embrasser.

************************

Fatigué d’avoir dansé, Harry alla s’asseoir, Draco alla chercher deux verres de jus de citrouille.

- « SUPER, cria le brun en sautant de joie. »

- « Je ne savais pas, que tu aimais le jus de citrouille à ce point, dit le blond. »

Le Gryffondor, partit dans un fou rire incontrôlable.

- « Je peux savoir ce que j’ai dit de si drôle, demanda le Serpentard. »

- « Je suis désolé, je suis content que tu me donne à boire. Mais je viens de voir quelque chose, qui m’a fait plaisir. Regardes derrière toi. »

En se retourna Draco, vit que le professeur Salinger et Melle Lupin était en train de s’embrasser.

- « Je ne savais pas qu’ils étaient ensembles. »

- « Tu n’as pas remarqué que Virginie était tombé amoureuse, tu te souviens de la façon dont elle l’a mangé des yeux le jour de Noël. C’est bien qu’il s’en soit enfin aperçu. Ils font un beau couple. »

- « Pas aussi beau que le nôtre, mais effectivement, ils vont bien ensembles. Je suis content pour lui, il va pouvoir arrêter de vivre avec le fantôme de sa femme. C’est bien qu’il se décide à refaire sa vie. »

Le bal était sur le point de finir, bien sur il y eu un rappel, mais étrangement, c’est à Thomas que les élèves le demandèrent. A contre cœur Cindy du céder sa place au micro.

Après avoir interprété trois chansons, le professeur Salinger voulut rejoindre sa chambre. Virginie lui demanda s’il était d’accord, pour passer la nuit avec elle. Ce qu’il accepta sans hésitation.

**************************

Pansy avait finit par s’endormir, elle ne s’aperçut pas que quelqu’un l’avait rejoint, et s’était couché à ses cotés. Le lendemain a son réveille, elle se rendit compte qu’elle n’était plus seule dans le lit. Un détail semblait pourtant la préoccuper, son professeur de défense contre les forces du mal était étrangement grand, il avait grossit aussi, et il n’était pas rasé.

Avec horreur, elle se leva, la personne à ses cotes, celle avec qui elle avait passé la nuit, était Hagrid. Ce dernier ayant un peu trop bu, n’était pas vraiment en état de retourner à sa cabane, et Thomas lui avait gentiment proposé d’utiliser sa chambre, étant donné qu’il devait aller dans celle de Virginie.

Non seulement la jeune fille, n’avait pas pu se venger de son affront, mais en plus elle avait passé la nuit avec son professeur de soins aux créatures magique. Elle sortit de la chambre, les larmes aux yeux, et alla directement dans sa salle commune.

A suivre, chapitre 20, une dernière chance, à ne pas manquer
:ange:

_________________
Image

kuroro la pieuvre du désert alias kurapika ou klpdd


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 30 Déc 2004 22:17 
Hors ligne
Pas encore atteint(e)... mais presque
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 09 Juil 2004 14:22
Messages: 1288
Citation:
Non seulement la jeune fille, n’avait pas pu se venger de son affront, mais en plus elle avait passé la nuit avec son professeur de soins aux créatures magique. Elle sortit de la chambre, les larmes aux yeux, et alla directement dans sa salle commune.

pauvre petite Pansy! ....
c'est ironique bien sur.

_________________
"Tout ça c'est que des conneries. Moi je suis une vraie lesbienne, j'aime que les filles"
Boris Jardel.
_____________________________
http://www.fanfiction.net/u/1191461/


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 30 Déc 2004 22:38 
Hors ligne
Administrateur
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 17 Jan 2004 13:57
Messages: 11370
Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
Idem ! Bien fait pour elle !!

:suite:

Cybelia.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 31 Déc 2004 11:38 
Hors ligne
Le slash, kesako ?
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 03 Juin 2004 21:24
Messages: 99
Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou

hé que dire, a siriana et cybélia, ah si, vous avez raison, quelle conne pansy, hihihi; :harrydraco:

sinon voila un chapitre...
:ange:
Chapitre 20 : Une dernière chance ( Calogéro)

Voler la prophétie en théorie était un jeu d'enfant, il suffisait de s'introduire dans le ministère de la magie, de la prendre, et de repartir avec. Mais depuis que le ministre avait changé, les choses n'étaient plus aussi simples, au contraire. La sécurité plus que renforcée était un obstacle de taille, et malgré l'intelligence que Voldemort pouvait faire preuve, malgré l'aide, non négligeable qu'il avait réussit à avoir, en la présence des géants, il ne réussit pas à mettre le pied dans la forteresse qu'était devenue le ministère de la magie.

Mais ce n'était pas grave, le plus important était que Managua le croit en possession de la prophétie. Celui Dont On Ne Doit Pas Dire Le Nom aimait mentir, et dans ses heures perdues jouer au poker. Le bluff étant comme une seconde nature, il allait jouer à fond la carte du mensonge.

Quand il aurait enfin récupère son pouvoir, et ses anciens amis, il pourrait de nouveau se rendre au ministère, et là plus rien ne lui interdire de s'emparer de la fameuse prédiction.

Déterminé à retrouver sa place qui était la sienne jadis, Vous savez qui, se rendit dans son repère dans le but de trouver son remplaçant. Il n'y alla pas seul, il prit avec lui une boule bleue, en guise de pseudo prophétie, et son arme secrète, qui se relevait être un homme, dont on ne pouvait pas voir le visage, puisqu'il avait une capuche sur la tête.

*****************

Se doutant en rien de la menace grandissante qui planait sur lui, Managua était assis sur le fauteuil de son cousin. Il se demandait pourquoi il était reparti si tôt de Poudlard, Séverus lui manquait tant, il avait du mal à le savoir si loin de lui. Il se faisait aussi du souci pour son frère, il lui en voulait terriblement, mais pas pour lui avoir dit la vérité sur leur père, mais pour ne pas lui avoir dit plutôt.

Voldemort camoufla comme il le pouvait sa peur, et entra avec grandeur dans la salle, une boule à la main, suivi de l'inconnu qui avait gardé sa capuche.

- « Managua, Cria t'il. Rendez-moi mon trône immédiatement, ou subissez mon courroux. »

- « Ah! C'est toi? Tu ne peux parler un peu moins fort. Crois tu que je vais t'obéir tous ça parce que tu as un ballon bleu dans la main, et un nouveau disciple. »

- « Tout à fait, bientôt, vous me mangerez dans la main. »

- « Je suis impressionné par ta détermination. »

- « Vous pouvez, je vous fais peur, n'est ce pas? »

- « Tu ne t'imagines pas à quel point je suis effrayé. »

- « C'est Vrai? »

- « Bien sûr que non. Ce que tu es naïf, tu crois tout ce que l'on te dit? »

- « Savez ce que c'est? Hurla Voldemort en désignant sa boule bleue. »

- « Un ballon bleu? »

- « Pas du tout, il s'agit de la prophétie, grâce à elle, je suis désormais votre égal. Non, je suis supérieur à vous! Comme je suis trop gentil, je vous laisse une dernière chance de rester en vie, acceptez de me suivre, et de m'appeler maître. Si vous refusez de vous soumettre, vous serez mis à mort, par mon ami, ici présent. »

- « Que tu es drôle, tu ne peux pas être en possession de la prophétie comme tu le dis. »

- « Je suis allé moi-même la chercher au ministère. »

- « Si tu avais été vraiment là bas, tu te serais aperçu qu'elle n'y est plus, et depuis longtemps. »

- « Vous voulez me faire douter de moi. Cela ne prend pas. Tout ce que vous cherchez à faire, c'est de me faire douter et de nier la vérité, désormais vous n'êtes plus en mesure de me battre. »

- « Connais tu au moins la véritable forme de la prophétie. Bien sur que non, si tu le savais, jamais tu ne m'aurais montré ta vulgaire balle. Elle se présente sous la forme d'un pendentif, un dragon autour d'une épée, pour être exacte. L'an dernier, elle a été subtilement dérobée au sein du ministère, par un espion engagé par mon frère. Alors repart immédiatement d'où tu viens, ou tu risque-toi aussi de subir ma colère. »

- « Il est vrai que j'ai menti pour la prophétie, mais mes menaces ne sont pas des paroles en l'air. La personne qui m'accompagne obéit tous mes désirs, et vous tuera sans hésiter. »

- « Si tu crois que ton camarade dont on ne voit même pas le visage me fait peur, tu te trompes. »

- « Ne le sous estimez pas, ne faites pas cette erreur. Elle pourrait vous coûter la vie. Donc si vous ne tenez pas à mourir, suivez-moi bien gentiment, comme vous auriez du le faire dés le début. »

- « Je ne vais pas me faire commander par un sang de bourbe. N'oublie pas qui je suis. »

- « Vous avez pourtant la marque sur votre bras, l'avez vous oubliez? En acceptant de vous faire manquer, vous étiez censé me suivre, et non prendre ma place. »

- « La fameuse marque, je l'avais oublié. »

Alexandre souleva sa manche, sur l'avant de son bras gauche, était gravé la marque de reconnaissance des mangemorts. D'un simple geste, il se l'enleva comme s'il s'agissait d'un passement. En vérité la marque avait été faite sur une bande adhésive. C'est donc sur cette dernière que la marque avait été posée.

- « Vous n'avez jamais eu l'intention de me suivre, et de m'aider à conquérir le monde. »

- « Tu as mis le temps. Bien sûr que je ne voulais pas te suivre. »

- « Pourquoi alors avez vous fait semblant? »

- « Pour te rendre plus faible, détruire ton organisation de l'intérieur et que tu deviennes vulnérable, afin que Potter puise te tuer. »

- « C'est donc ma mort que vous vouliez, pourquoi? »

- « Je ne t'aime pas, c'est tout. De plus je n'ai pas oublié que tu as assassiné ma belle sœur et mon neveu. »

- « Je croyais que vous n'aimez pas les moldus? »

- « C'est le cas, mais Thomas était heureux avec sa femme. Ce que tu as fait est immonde, s'il n'y avait pas cette prédiction, tu serais mort il y a longtemps. Puisque tu tiens tant à commander ces lâches qui se cachent le visage, je te rends bien volontiers ce poste. Tes amis ne sont pas très intéressants. Tu es content, c'est bien ce que tu veux. Je t'ai assez vu, va-t'en. »

- « Certes je m'en vais, je ne tiens pas à vous voir mourir. Je vous rassure votre frère vous rejoindra bientôt en enfer. Mais avant de le tuer, je profiterais un peu de lui. »

- « Je t'interdis de le toucher! »

Voldemort, sans tenir compte de son cousin, se tourna vers son ami.

- « Je t'ordonne de le tuer! »

- « Bien maître, répondit l'inconnu. »

A ce moment, l'étranger enleva sa capuche, laissant apparaître au grand jour son visage. Ce fut un choc terrible pour Managua, il devait avoir une hallucination, ce ne pouvait pas être autre chose.

- « THOMAS, NON, ça ne peut pas être toi? S'écria ce dernier. »

- « Je vais te tuer comme me l'a ordonné mon maître. »

Sur ce il s'avança, mais à la place de sa béquille, il avait un katana. Sa démarche était pourtant peu assurée, et il boitait à cause de son genou droit, qu'il ne pouvait pas plier. Il s'avança jusqu'à sa victime, là Thomas sorti le sabre de son fourreau. D'un geste assuré, il l'enfonça directement dans le ventre de son frère, et le ressorti aussitôt immaculé de sang.

- « Tu vas payer pour tout le mal que tu m'as fait. »

Alexandre ne fit aucun geste pour se défendre, et s'était laissé transpercer le ventre sans rien dire. Il tomba à genou, sa blessure était profonde, et il perdait beaucoup de sang.

- « Si cela peut soulager ta peine, alors tue-moi. Je ne ferais rien pour me défendre. Mais jure-moi de veiller sur Séverus à ma place. »

- « Je m'occuperai de ton petit ami, il va vite t'oublier. »

Thomas avec sa main gauche attrapa la chevelure de son frère, et lui tira la tête en arrière, et tenait de son autre main le sabre. Après avoir pris son élan, il fit s'abattre l'arme, qui faute d'élan suffisant ne coupa que les cheveux, qui se répandirent au sol.

- « Tu ne m'en veux pas de faire un peu traîner les choses au moins, ironisa l'homme armé »

Ce dernier se préparait à donner un deuxième coup, qui sera fatal. Après avoir pris cette fois, plus d'élan, Thomas fit s'abattre le sabre sur sa victime. Du sang jaillit, l'épée venait de pénétrer de la chair humaine, et sa course s'était subitement arrêtée. Pourtant la cible n'avait pas été touchée, en effet un troisième homme s'était interposé entre le bourreau et sa victime, recevant le coup à la place de Managua. Malgré la douleur, il lança un sort d'expulsion, sur le tueur au sabre, qui se cogna sur l'un des murs de la salle, et s'écroula sur le parquet.

- « Albus, Cria Alexandre, ne lui faites pas de mal. »

- « Vous vous rendez compte qu'il a faillit vous tuer, s'exclama Dumbledore, dont le bras gauche était en sang. »

- « J'ai récolté ce que j'ai semé, il m'en veut. »

- « C'est pour cela que vous n'avez rien fait pour vous défendre? Ouvrez les yeux, vous savez bien que votre frère n'aurait jamais fait une telle chose. »

Le directeur se pencha sur Managua, et voulu lui soigné la blessure qu'il avait sur le ventre, mais ce dernier ne voulait pas se laisser faire, et le repoussa violemment.

- « Je ne veux pas de votre pitié, murmura Alexandre. »

- « Ce n'est pas de la pitié que j'éprouve envers vous. Laissez moi vous aider, votre plaie est profonde. J'ai promis à Séverus de vous ramener vivant au château. Je le dois aussi pour Thomas, il se fait du souci pour vous, même s'il ne veut pas me le montrer. »

- « Pourquoi avez vous tuez mon frère? Vous me réservez le même traitement? »

- « La personne qui vous a attaqué, est juste assommé, elle n'est pas morte. Mais ce n'était pas Thomas. »

- « Ah! Oui, il lui ressemble pourtant, et c'était qui? Vous qui êtes si fort, pouvez vous me le dire? »

- « C'est un démon illusoire, un Pingoulard. »

- « Mais ils n'existent pas, c'est juste une légende. »

- « Non seulement ils sont bien réels, mais leurs pouvoirs sont terrifiants. Il a su lire dans votre cœur, et a vite comprit, que la personne que vous aimez le plus était votre frère. Ensuite, il a juste pris son apparence. Vous ne vous êtes même pas aperçu que vous aviez à faire, à votre plus grande peur, que Thomas vous en veuille pour lui avoir caché la vérité sur la mort de votre père, et qu'il décide de se venger. »

L'animal en question, venait de se relever, et il se dirigeât vers les deux hommes. Dumbledore, alla à sa rencontre, dans le but de l'éliminer. Le Pingoulard changeât de forme, il était devenu un homme d'âge mur, avec les cheveux châtains foncés, aux yeux verts Managua le regarda se transformer, pour une surprise, c'était une surprise. Alors c'était cet homme que Albus aimait le plus au monde. Non, ce n'était pas possible, ce ne pouvait pas être lui.

- « Papa? Dit il. Je ne comprends pas pourquoi le Pingoulard devant vous prend l'aspect de mon père? »

- « Votre père Jonathan, était mon meilleur ami. Mais je ne partageais pas ses idées, et il commençait à devenir cruel et arrogant. Je craignais que vous ne fassiez la même chose. »

- « Vous saviez bien que j'étais assez fort pour lui résister, je n'aurais pas fais les même bêtises. »

- « Vous oui, mais qu'en est il de Thomas? Vous savez qu'il était faible étant enfant, et influençable, il l'aurait suivi, sans même se rendre compte de ce qu'il ferait. En le dénonçant j'avais espéré que vous et votre frère, pourriez grandir sans à avoir à subir, son influence néfaste. Il ne devait rester en prison, six ans au plus, le temps que vous soyez majeurs, et libre de prendre vos décisions J'ai fais une erreur, je n'avais pas pensé qu'il se tuerait en tentant de s'échapper. »

Ensuite Dumbledore se dirigeât vers le Pingoulard, la baguette prête à lancer, l'un des trois sorts interdits, celui de la mort.

- « Je suis désolé, mais avec moi cela ne prend pas. Je sais bien que vous êtes un démon, et mon devoir est de vous tuer. »

- « Non, Albus, ne le tuez pas, supplia Alexandre. »

- « C'est une créature abjecte qui ne mérite pas de vivre. Ne vous faites pas piéger par une illusion. Il a tenté de mettre fin à vos jours. »

- « Je le sais, mais ce n'est pas de son propre chef qu'il a agit. Epargnez le, s'il vous plait! »

- « Je lui laisse la vie, puisque vous me le demandez. »

Le directeur sans accorder un regard à la créature, retourna aux chevets du blessé. Alexandre avait perdu beaucoup de sang. Albus fit donc un pansement de fortune, en déchirant des morceaux de tissu de son manteau. Etrangement le coup qui avait été porté, bien que profond, n'avait atteint aucun organe vital, comme si l'animal avait voulu préserver la vie de sa victime. Ce qui était contraire aux habitudes des Pingoulard, qui tuaient leur cible en un seul coup.

- « Vous pourriez dire à Séverus que je l'aime, et dites bien à Thomas que je suis désolé, vous le ferez? »

- « Je ne leur dirais rien du tout. Vous le leur direz vous-même, je ne vais pas vous laisser mourir. »

Dumbledore, se servit d'une table pour faire une civière, et parti avec Alexandre, qui avait perdu connaissance.

Seul le Pingoulard, reprit sa forme habituelle, un pingouin. Il avait les larmes aux yeux, et murmura un « pardon, je ne voulais pas » entendu par personne. Avant de partir, il prit les cheveux qui étaient resté au sol.

*********************

Dimanche matin à Poudlard, tous dormaient encore du sommeil du juste, enfin on devrait plutôt dire du fêtard qui s'est couché tard, ou tôt.

Harry et Draco avaient passé la nuit ensemble, et ne s'étaient quittés qu'à l'aube, pour aller dormir une ou deux heures.

Maêlisse avait accepté la demande en mariage de Ron, et eux aussi, avaient passé une bonne partie de la nuit éveillée.

Pansy, pleura toutes les larmes de son corps, au point de détrôner Cho, au rang de la plus grande pleurnicheuse de Poudlard, voir de tout le royaume uni.

Rogue était inquiet, il n'avait pas revu Thomas de la matinée, et quand il avait été voir dans sa chambre, c'était pour trouver Hagrid cuver, en toujours endormi. Mais où pouvait être le professeur Salinger ?

Si le professeur de potion ne le savait pas, Melle Lupin, elle le savait, puisqu'il était avec elle, dans son lit. Ce matin en se réveillant, Virginie se demanda si elle n'avait pas rêvé cette nuit, que Thomas ne l'avait pas suivi dans sa chambre, et qu'ils n'avaient pas fait l'amour. Mais tout ceci s'étaient bien passé, elle fut prise d'un doute, et s'il ne l'aimait pas, s'il l'avait suivi uniquement pour satisfaire ses envies. Après tout, il était veuf, et avait peut être juste envie de s'amuser un peu. Son frère lui avait bien dit, de ne pas se laisser faire dès le premier soir. Pourtant la vieille au soir, quand elle avait ramené le professeur Salinger dans ses appartements, La jeune fille avait oublié les conseils de Rémus, et s'était laissé faire quand l'homme l'avait embrassé, elle enleva même la chemise de son collègue, avant de le déshabiller entièrement. Ensuite, elle s'était couché et avait laissé Thomas, la dévêtir, et la pénétré. Virginie lui avait, bien sûr, demandé s'il aimait avant, mais il n'avait pas répondu à la question, et lui avait caressé les lèvres avec sa langue, avant de l'embrasser.

Un bruit sec la fit sortir de ses pensées, qui pouvait venir la voir dans sa chambre, elle mit un peignoir, et se leva dans le but de demander, à celui ou celle qui osait la déranger de partir. Thomas risquerait de se réveiller, et la jeune fille appréhendait ce moment, où toute la magie de cette nuit risquée de disparaître.

- « Bonjour sœurette, cria Rémus. Tu étais encore couchée? J'espère que tu as bien suivit mes instructions, et que tu as dormi seule cette nuit? »

- « Oui, mentit Virginie. J'ai juste dormi. »

- « Et Thomas? »

- « Quoi Thomas? »

- « Je t'ai vu hier quand tu es parti avec lui. Ne me dis pas que tu le ramenais dans sa chambre, elle est de l'autre coté. J'espère qu'il n'est pas resté longtemps, et qu'il a rejoint sa chambre, avant que tu ne fasses une bêtise. »

- « Remus, arrête. J'ai vingt cinq ans, je suis assez grande pour savoir ce que j'ai à faire. »

- « Je ne veux pas que tu souffre, as tu oublié ce Julien? Il s'est bien moqué de toi, après t'avoir promis le mariage, et t'avoir mis dans son lit, il t'a lâchement laissé tombé. Je ne doute pas des sentiments que tu as envers Thomas, mais connais tu les sentiments qu'il éprouve pour toi? »

- « Ne parles pas de ce que tu ne connais pas. Je vais, si tu me le permets le retrouver dans mon lit. »

- « COMMENT? DANS TON LIT? »

Virginie se rendit compte qu'elle avait gaffé, elle avait dit à voix haute, ce qu'elle pensait. A ce moment le loup-garou entra dans une colère noire, et sans ménagement entra dans la chambre. Thomas malgré les cris de Mr Lupin, ne s'était même pas réveillé, dormant encore. Par contre, les couvertures avaient un peu glissé, et on devinait la nudité de l'homme.

- « ON SE LEVE, ON MET SES VETEMENTS, ET TOUT DE SUITE. Hurla Rémus. »

- « Ne crie pas si fort, protesta le professeur Salinger. J'ai mal à la tête. »

- « Peux tu me dire ce que tu fais dans le lit de ma sœur, et nu de surcroît ? »

- « Avant que tu me réveille, je dormais. »

- « Ca c'est bon je l'ai vu, mais avant qu'as tu fais? Je veux bien que tu embrasses ma sœur, mais pas que tu passes la nuit avec elle. Si tu veux sortir avec elle tu dois me le demander avant!»

- « Pourquoi? Ta sœur est grande, elle sait ce qu'elle fait. Ce n'est pas parce que tu es son frère, que tu as le droit de décider pour elle. »

- « Je veux la protéger des hommes. Je te préviens, si tes sentiments ne sont pas sincères, que tu l'as fait pleurer, je m'occuperais personnellement de ton cas. »

- « Je n'ai pas l'intention de lui faire du mal. Pour qui me prends tu? En ce moment celui qui est le plus cruel envers elle, c'est toi. »

Effectivement, Virginie avait les larmes aux yeux. Son frère avait été loin, en plus de lui avoir fait la morale, il essayait de faire fuir, l'homme qu'elle aimait, et peu importe si ses sentiments n'étaient pas partagés, l'amour ne se commande pas.

Rémus ne savait pas quoi faire, il ne voulait pas faire pleurer sa sœur; mais il ne voulait pas non plus, qu'elle ai un nouveau chagrin d'amour. Thomas se couvrit du drap, se leva et pris la jeune fille dans ses bras.

- « Ne pleures pas mon amour, dit il. Je sais que je n'aurais pas du rester avec toi cette nuit, mais je ne regrette pas de l'avoir fait. Je suis désolé de ne pas avoir répondu à ta question cette nuit. Je ne voulais pas gâcher ce moment si beau, par des paroles. Je t'aime, et je suis d'accord pour t'épouser, si tu le veux encore. »

- « Bien sûr que je suis d'accord, répondit Virginie, avec un sourire. »

Rémus se sentit un peu de trop, sans rien dire, il sortit de la pièce, et prit soin de la verrouiller, afin que les amoureux puissent rester tous les deux sans être dérangé.

*****************

Voldemort était le plus heureux du monde, son plan avait fonctionné. Le Pingoulard était revenu avec les cheveux de sa victime, et un sabre ensanglanté, preuve indiscutable de la mort d'Alexandre. Il se rendit à son repère, les mangemorts y étaient présents, attendant leur chef. Avec fierté et arrogance, le seigneur des ténèbres exhibât, une mèche de cheveux rougit par le sang.

- « Voilà le sort que je réserve à ceux, qui comme Managua, ose se rebeller contre moi. Alors si comme lui, vous voulez perdre la tête, continuer à ne plus me considérer comme votre chef. Je ne laisserai la vie sauve qu'à ceux qui me jugeront fidélité absolue. »

Cette démonstration de force impressionnant les lâches à cagoule. Si Voldemort avait réussit à vaincre leur chef, c'est qu'il devait être puissant, très puissant même. Aucun d'entre eux ne souhaitant subir le même sort funeste, que Salinger. Tous comme un seul homme, s'inclinèrent afin de montrer leur soumission à Celui Dont On Ne Doit Pas Dire Le Nom.

- « Veuillez nous pardonner notre égard de conduite, dit Crabbe. Nous avons été aveuglés par la prestance de Managua. »

- « Je ne sais pas, vous avez retourné votre veste si vite. Rien ne me prouve la sincérité de vos excuses. »

- « Je peux vous assurer, que je pense tout ce que je viens de vous dire. »

- « Endoloris, cria Tom Jedusor. »

Les mangemorts se tordirent de douleur sous ce coup, si puissant. Voldemort fut étonné de pouvoir lancé un sort si fort, il s'attendait presque que cela ne fonctionne à peine sur Crabbe, mais sur tous cela dépassa toutes ses espérances. Une chose était sur, aucun d'entre eux n'aura envie de le trahir de nouveau.

- « Je vous pardonne, pour cette fois ci. Je vous préviens, si jamais vous avez envie de me trahir, pensaient à Managua, qui a été tué, dans la douleur. »

Avant de partir, Voldemort qui avait toujours le sabre à la main, décida de se débarrasser de son arme fatale. On ne sait jamais, elle pourrait se retourner contre lui, si jamais elle arrivait à découvrir la personne qu'il aimait le plus. La créature était encore sous sa forme initiale, c'est à dire, un pingouin, mais cela risquerait de changer, et cela le seigneur des ténèbres, le refusait. Avec le katana, il tua l'animal, qui l'avait si bien servit. Ce qu'il ne savait pas, c'est qu'Alexandre, n'était pas mort, bien sûr, il était dans un état critique, mais grâce à l'intervention de Dumbledore, il n'avait pas été décapité.

A suivre chapitre 21, Juste un peu de silence.

_________________
Image

kuroro la pieuvre du désert alias kurapika ou klpdd


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 31 Déc 2004 12:18 
Hors ligne
Pas encore atteint(e)... mais presque
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 09 Juil 2004 14:22
Messages: 1288
je trouve que c'est toujours aussi bien.
:suite: :suite: :suite:

_________________
"Tout ça c'est que des conneries. Moi je suis une vraie lesbienne, j'aime que les filles"
Boris Jardel.
_____________________________
http://www.fanfiction.net/u/1191461/


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 31 Déc 2004 13:36 
Hors ligne
Le slash, kesako ?
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 03 Juin 2004 21:24
Messages: 99
Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou :)

voila je tiens a préciser que black sirius est mon personnage préferée, pour ceux qui se demande pourquoi je dis ça, en lisant ce chapitre vous verrez bien pourquoi. 8) :o :P

voila, la suite et merci a siriana de la demander aussi vite... :wink:

Chapitre 21: juste un peu de silence.( Calogèro)


Bien que Dumbledore avait réussit à faire stopper l’hémorragie, Managua était dans un état critique, et s’il ne recevait pas rapidement des soins, il pourrait en mourir. Poudlard étant plus proche que saint Mangouste, le directeur décida de s’y rendre, de plus le collège serait une meilleure cachette pour l’ancien mangemort.

Le chemin du se faire à pied, transplanter serait certes plus rapide, mais trop dangereux pour le blessé, qui n’aura pas supporté le choc.

Dés qu’il fut arrivé, Albus, se dirigeât directement à l’infirmerie, elle était déserte, comme le reste de Poudlard, la plupart des occupants étant encore au lit. Après avoir mis le blessé sur un lit, Dumbledore alla dans le bureau de l’infirmière en chef.

- « Professeur Dumbledore, vous êtes enfin de retour. , Je me faisais du souci. Par Merlin, votre bras, vous êtes couvert de sang, asseyez-vous, je vais vous soigner, s’exclama Mme Pomfresh. »

- « Cela PEUT et DOIT attendre. Je vous ai amené un blessé qui a plus besoin de vous que moi. Venez avec moi. »

L’infirmière ne put s’empêcher de pousser un cri en voyant l’état d’Alexandre. Il était très pâle, et ne respirait que faiblement, il était dans le coma. Elle lui enleva sa chemise, la plaie était nette, mais profonde, et il y avait eu une perte importante de sang. A moins d’un miracle, il y avait peu de chance de rester en vie.

- « Je vais faire ce que je peux. Vous auriez du me l’amener plutôt. J’ai bien peur qu’il soit trop tard pour le sauver. »

- « Je peux vous aider? »

- « Savez comment à t’il reçut cette coupure. »

- « Il a été blessé par un sabre. »

- « Une chance que le coup soit mal porté, deux centimètres plus haut, il aurait rendu l‘âme. C’était comme s’il voulait que sa victime meure lentement. Mais pourquoi me l’aviez vous amené ici, dans un hôpital il aurait de meilleurs soins. »

- « Il vaut mieux pour l’instant qu’on le croit mort. »

- « J’ai bien peur que ce soit bien le cas. J’aurais besoin de l’aide de Mr Black. Pouvez vous aller me le chercher. »

- « Bien sur. »

Cinq minutes plus tard, Dumbledore était de retour avec un Sirius, encore un peu endormit, et un peu de mauvaise humeur. Lui aussi avait passé une nuit très courte, et il n’avait pas envie de se lever si tôt. Mais le directeur avait insisté, Mme Pomfresh avait besoin de lui.

- « Mr Black, dit l’infirmière, venez m‘aider. »

Sirius regarda le blessé, avec mépris et dégoût. Dumbledore devait être inconscient d’avoir amené cet homme ici. Un mangemort, voilà qui il devait guérir, non, il ne pouvait pas s’abaisser à faire ça, et puis vu l’état de l’homme, pâle, inconscient, il allait bientôt rendre son dernier souffle, il était donc inutile de lui prodiguer le moindre soin. Le décès de Managua ne serait de toute façon ni une perte, ni une mauvaise chose. Au contraire, le pire ennemi de l’ordre du phénix, serait enfin hors état de nuire, et ça se serait une bonne nouvelle.

- « Managua, c’est lui que vous voulez que je soigne? Cria l’animagus, sans tenir compte du fait qu’il était dans une infirmerie. »

- « Oui, faites vites, il est assez mal. »

- « Vous vous rendez compte de ce que vous me demandez? Je refuse de le faire, demandez le à quelqu’un d’autre. »

- « Vous êtes le seul à pouvoir lui éviter de mourir. Vous ne pouvez pas refuser. Vous êtes un être de lumière, en tant que tel, vous ne pouvez pas le laisser souffrir sans rien faire. »

- « Vous savez bien ce qu’il va se passer dés qu’il ira mieux. Il veut tuer Thomas. Je ne veux pas qu’un fondateur, se fasse assassiner, par ce fou sanguinaire, et en plus par ma faute. »

- « Je n’ai pas risqué ma vie, pour le voir succomber à ses blessures maintenant. »

- « Je me demande qui a eu le courage de lui faire ça. »

- « Il a été la victime d’un Pingoulard. »

- « J’imagine que le Pingoulard a dû rester, sous sa forme originelle. A part lui-même Managua m’aime personne, et personne ne doit l’aimer non plus. Vous auriez du le laisser sur place, à cette ci, il serait déjà dans l‘autre monde. Ce qui ne serait pas plus mal, à qui cela ferait de la peine? »

Dumbledore ne supportait pas de voir Sirius, ne rien faire. Pire encore, la mort de Managua semblait lui faire plaisir.

- « Pour l’amour de Merlin, dit Albus en pleure. Faites quelque chose, Mme Pomfresh ne pourra rien faire seul, avez vous du cœur? »

- « Je regrette, mais je ne ferais rien pour lui venir en aide. »

- « S’il meurt, je vous tiendrai pour responsable. Je m’arrangerais pour vous expulser de Poudlard, et de vous faire couper les ailes. Fudge avait raison, vous ne méritez pas d’être un être de lumière. »

- « Vous me menacez maintenant? »

- « Oui, s’il faut en arriver là, alors je le ferais. »

- « Désolé, je n’ai que faire de vos menaces, faites ce que bon vous sembles. J’ai encore sommeil, je retourne dormir dans ma chambre. Veuillez ne pas me déranger, sauf si bien sur, si c’est pour m’annoncer sa fin. »

Black, s’en alla et claqua violemment la porte.

- « Revenez, Black, je vous ordonne de revenir. »

Mais Sirius ne revint pas. Dumbledore, voulut lui courir après, il allait bien finir par le rendre raisonnable. Mais des qu’il marchât, sa vue devint flou, ses jambes tremblèrent, et il s’écroula au sol, sans connaissance.

***********************

Tout en marchant Sirius marmonnait des paroles incompréhensibles, il était en colère. Lui soigner un mangemort, pourquoi Dumbledore avait tant envie qu’il reste en vie? Tout dans ses pensées, il ne se rendit pas compte, qu’il bouscula quelqu’un au passage. Sans se retourner, il continua marcher, il avait encore sommeil.

- « Sirius? S’écria la personne »

- « Harry? Je ne t’avais pas vu? Que fais tu par terre? »

- « Tu m’as fait tomber, tu ne regarde pas où tu marches? »

- « Désolé, je ne voulais pas, tu as mal ? »

- « Non, ça ira. Mais tu as l’air contrarié, quelque chose ne va pas? »

- « Tout va bien, ne te mêles pas de mes affaires. »

- « Sirius, s’indigna Harry. Ne passe pas ton agressivité sur moi, je ne t’ai rien fait. »

- « Excuse-moi, c’est Dumbledore qui m’a mis en colère. »

- « En colère, mais que t’a dit il? »

- « Tu te rends compte, il a amené Managua mourant, et m’a demandé de le guérir. »

- « Managua, tu étais sur que c’était lui? »

- « Oui, mais tu es trop jeune pour savoir tout le mal qu’il a fait. C’est un homme sans scrupule, il est prêt à tous pour accéder au pouvoir. C’est un être abject et immonde, même Voldemort en comparaison est un ange. »

- « Tu l’as soigné, il va mieux? »

- « Bien sur que non, je préférais me marier avec une fouine, plutôt que de toucher à cette crapule »

- « Tu rigoles? Après tout ce que j’ai fait pour le sauver, j’ai volé, mentit, et tout ça pour rien, il va quand même périr. Tu as pensé à Thomas, que va t’il devenir s’il Managua meurt. C’est pour lui éviter cette souffrance, que j’avais dit à Dumbledore que Managua était en danger. »

- « Thomas? Je ne comprends pas. Pourquoi aurait il de la peine? »

- « C’est son frère. »

- « Pardon? »

- « Thomas est le frère de Managua. »

- « Oui c’est ça, et moi je suis le ministre de la magie. »

- « Pourquoi tu me ne crois pas? »

- « Soit sérieux, comment veux tu qu’ils soient frères, ils ne se ressemblent pas. »

- « Tu ne savais pas que Managua s’appelait en vérité Alexandre Salinger? »

- « Tu … tu …en es bien sur? »

- « Absolument, tu te rends compte de la peine que pourrait avoir Thomas, si son frère venait à mourir? A cause de Voldemort il a déjà perdu sa femme et son fils. Il avait enfin retrouvé un peu de bonheur avec la sœur de Rémus, je crois qu’il a assez souffert. Je ne veux pas qu’il revive un autre enterrement, et par ta faute. »

- « Oui, je suis désolé pour Thomas. Mais son frère est un monstre, après tout le mal qu’il a fait, je ne suis pas sur qu’il mérite de vivre. »

- « Le mal? Il est vrai que je ne sais pas ce qu’il a fait dans le passé. Par contre, je sais que si Thomas est en vie, c’est à lui que je le dois. Comment peux tu le laisse dépérir sans rien faire. Tu vas à l’infirmerie, tu fais comme tu veux, mais si jamais il décède par ta faute, je ne te parlerais plus. Je croyais que tu aimais bien Thomas, mais la je vois que tu faisais semblant. Tu voulais juste avoir un allié chez les fondateurs, pour t’aider. N’oublie pas grâce à qui tu n’as pas reçu le baiser du détraqueur, et qui a pris ta défense face à Fudge. C’est comme ça que tu le remercie? »

Au fond de lui Sirius savait qu’Harry avait raison, il a jugé Managua un peu trop vite. Tout comme lui avait condamné pour un crime qu’il n’avait pas commis. Il baissa la tête, peu fière de lui, et murmura.

- « Je suis vraiment un imbécile. Je vais te laisser, je vais aller à l’infirmerie, mais j’ai bien peur qu’il soit déjà trop tard. »

***********************

Quand Dumbledore repris ses esprits, il était allongé sur un lit, son bras avait été soigné, et ne restait que trace de sa blessure que le sang qui avait taché sa chemise. Il voulut se lever, mais Mme Pomfresh l’en empêcha.

- « Restez encore allongé, vous êtes trop faible pour ça. »

- « Que c’est il passé? Pourquoi suis je couché? »

- « Vous avez eu un malaise, vous avez perdu beaucoup de sang. »

- « Alexandre, vous avez réussit à le sauver? »

L’infirmière ne répondit pas à la question, et détourna le regard. Ce qui énerva le directeur, il n’avait pas pris tous ces risques pour rien quand même. Déjà que Thomas ne lui parlait plus à cause de la mort de son père, mais si son frère venait à expirer. Albus n’osait pas pensé annoncer le décès de son jumeau au professeur Salinger.

- « Répondez-moi? Comment va t’il? »

- « Il est toujours en vie, mais il se peut qu’il ne passe pas la nuit, répondit une autre personne. »

- « Sirius? C’est vous? »

Black venait d’apparaître dans le champ de vision du directeur, et avait les larmes aux yeux.

- « Je suis désolé. Je me suis comporté comme un imbécile, j’ai refusé de le soigner uniquement à cause de son nom. Pourquoi vous ne m’avez dit que Managua était le frère de thomas ? »

- « Vous ne m’en avez pas laissé le temps. Vous l’avez soigné? »

- « J’ai fais ce que j’ai pu, maintenant tout dépend de lui , et de sa volonté de vivre. Pour être franc, il a peu de chance de se réveiller. Thomas sait il que son frère est ici? »

- « Non, je suis venu directement à l’infirmerie. »

- « Avez vous l’intention de lui dire. »

- « Non. »

- « Pourquoi? »

- « Je n’aurais pas le courage de lui parler. »

- « Vous ne lui parlez plus beaucoup ces derniers temps. »

- « J’ai fais une bêtise envers sa famille. Je ne tiens à en dire plus. »

- « Et si Managua venait à mourir, vous irez lui dire? »

- « Je n’ai pas encore songé à cette éventualité, je ne pense pas. »

- « Il a le droit de savoir, je vais le chercher. »

- « Dans ce cas, prévenez aussi Séverus. »

- « Le professeur Rogue connaît Managua? »

- « Oui, il est son ama…ami. »

- « Je n’aurais jamais cru ça de lui, murmura Sirius, avant de partir. »

***************************************

Cela faisait une semaine qu’Alexandre était à l’infirmerie, il n’avait toujours pas repris connaissance, ce qui devenait inquiétant. Mme Pomfresh permis à Thomas de rester avec lui, mais refusa que Séverus reste.

Black fut chargé de donner les cours de défense contre les forces du mal, en remplaçant le professeur Salinger, qui avait en ce moment d’autre préoccupation que de donner ses cours.

Sirius venait voir son patient tous les matins, mais il n’y croyait pas trop, bien qu’il ne le montrait pas. Albus faisait semblant d’être optimiste sur les chances de guérison, mais personne n’était dupe, sauf Thomas, qui passait ses journées, et ses nuits, au chevet de son frère. Mais après tout ce temps, il avait finit par s’endormir. Avant de quitter la pièce Séverus, mit sur son ancien maître une couverture.

- « Professeur Dumbledore, dit ce dernier. Vous croyez vraiment qu’Alexandre va se réveiller? »

- « Plus le temps passe, moins il a de chance de sortir de son coma. »

- « Pourquoi dites-vous le contraire à Thomas? Pourquoi vous le laissez attendre en vain ? »

- « Il a besoin de croire. Et qui sait, peut être que si Alexandre arrive à sentir la présence de son frère, il aura peut être envie de revenir parmi nous. »

**************************

Virginie n’avait pas revu Thomas depuis que Sirius était venu le chercher. Elle avait bien sur essayé de le revoir, mais il était cloîtré à l’infirmerie et avait refusé de voir quiconque. Elle se sentit délaissé, et se mis à déprimer. Rémus vit bien que quelque chose n’aller pas. Le nouveau petit copain de sa sœur, était un parfait goujat, après avoir obtenu ce qu’il avait voulu, c’est à dire un peu de bon temps, il ignorait celle qui prétendait aimer, celle à qui il avait promis le mariage.

Ce matin Melle Lupin, était un peu malade, elle avait mal au ventre, et avait des nausées. Heureusement on était dimanche, elle pourrait rester un peu au lit. C’était sans compter, sur son grand frère, un peu trop collant. Ce dernier ne la voyant pas au petit déjeuner, avait décidé d’aller la voir dans sa chambre.

- « Bonjour Vivi. Tu es encore au lit, tu ne te sens pas bien? »

- « Ca va, j’ai un peu mal au cœur. J’ai du manger quelque chose de pas frais. »

- « La nourriture de Poudlard est toujours bonne, ce doit être autre chose. »

- « Autre chose, non je ne vois pas. »

- « Moi si. Mais ce ne peut pas être ça, tu as pris tes précautions ? »

- « Heu… Non.»

- « Quoi? Tu as fait l’amour avec ce dragueur, sans te protéger? Tu es inconsciente? »

- « Je n’ai pas pensé à ça. »

- « Tu es tombé trop vite dans ses bras. Combien de fois je t’ai dit, jamais le premier soir. »

- « Il était si tendre, si doux. Je l’aime, je n’ai pas eu la force de lui dire non. »

- « Tu aurais dû, s’il t’aimait, il aurait pu attendre. Je savais que ce n’était pas un homme pour toi. »

- « Tu dis ça à chaque fois que je sors avec un garçon. »

- « Cette fois si, j’ai raison. Il t’a laissé dès le lendemain. J’espère qu’il a pris du plaisir avec toi, quand j’en aurais fini avec lui, il risque de ne plus faire de genre de chose, pendant un bon moment. »

- « Rémus, je ne veux pas que tu lui fasses du mal. »

- « Et lui, il ne t’en a pas fait du mal? Il mérite une punition exemplaire. C’est à moi de lui donner. »

Virginie voulut répondre, mais elle eu une autre nausée, et du aller aux toilettes. Rémus inquiet de la santé de sa sœur, décida d’attendre un peu, avant de corriger son collègue. Il alla à l’infirmerie chercher un médicament pour sa sœur.

Là sur une chaise, dormait le professeur Salinger, la tête reposant sur un lit vide. Rémus alla voir sa victime. Sans ménagement, il réveilla Thomas, en le secouant.

- « Ca t’amuse de jouer avec les sentiments de ma sœur? Je vais t’appendre moi. Lève-toi si tu es un homme! »

- « Rémus, mais tu n’es pas bien de me réveiller comme ça? Je n’ai rien fait de mal. »

- « Rien de mal? Tu couches avec ma sœur, et après tu l’ignore, pour toi ce n’est pas quelque chose de mal? »

- « Je suis…. »

- « Non, je ne veux pas entendre tes excuses bidons. Tu sais ce que tu es? »

- « Mais, je… »

- « Laisse moi finir, tu es un gigolo, un obsédé, un défonceur de sommier, un lapin à la fleur de l’âge serait moins cavaleur que toi. »

- « Ca y est tu as fini? Ca t’as fait du bien? Je peux parler? »

- « Oui, vais y. Mais si tu n’as pas une excuse valable, je te ferais regretter le jour de ta naissance. »

C’est à ce moment que Thomas réalisa que le lit, celui dans lequel était censé dormir son frère était vide. Il devint pâle, et avait les larmes aux yeux, il faut se rendre à l’évidence, si Alexandre n’était plus couché, c’est qu’il était, non, il ne pouvait pas. Rémus cru que ses menaces avaient eu effet sur le professeur Salinger lorsqu’il le vit pleurer. Cela ne changerait rien, comme ce dernier n’avait rien à dire pour sa défense. Il attrapa son collège par le col de sa chemise, et se prépara à lui envoyer un coup. Mais il fut interrompu dans ses actes, par la venue de Mme Pomfresh.

- « Professeur Lupin, veuillez le lâcher immédiatement. Comment osez-vous, porter la main sur lui? »

- « Il a … »

- « Je ne veux rien savoir, vous le lâchez. »

Rémus, lâcha donc sa victime, mais ce n’était qu’un sursit.

- « Voilà qui est mieux. Thomas, je n’ai pas voulut vous réveiller tout à l’heure, vous dormiez si paisiblement. Votre frère s’est réveillé, il va bien. »

- « Mais où est il? Pourquoi il n’est plus dans son lit? »

- « Il a voulut prendre un bain. »

- « Vous l’avez laissé seul? »

- « Bien sur que non. Je suis allée chercher le professeur Rogue, pour qu’il l’aide à se laver. »

- « Frère? S’exclama Rémus. Je ne comprends pas? De quoi parlez-vous? »

- « Si tu m’avais laissé le temps de parler au lieu de m’insulter. Mon frère a été attaqué par un Pingoulard la semaine dernière. Quand Dumbledore, l’a amené, il était entre la vie et la mort, je ne pouvais pas le laisser seul, je suis resté avec lui. Je ne voulais pas délaisser ta sœur, mais j’avais tellement peur pour lui. »

- « Oui je comprends, je n’aurais pas du m’emporter si facilement, mais je croyais que tu l’avais laissé tombé. »

- « Je l’aime, je croyais que tu l’avais compris. Que fais tu ici? »

- « Virginie ne se sentait pas bien, je suis venu lui chercher un médicament. »

- « Ecoutes, là je vais voir mon frère, tu dis à ta sœur que j’irais la voir cette après midi, d’accord? »

- « Je suis désolé, je n’aurais pas du m’emporter. Je t‘ai dit des méchancetés, j‘ai même faillit te frapper. Tu dois m‘en vouloir. »

- « Je sais maintenant le sort que tu me réserves, si je fais de la peine à ta sœur. Mais la prochaine fois que tu m’en voudras, tu me laisseras le temps de parler. D’accord? »

- « oui. »

Rémus reparti avec un cachet pour sa sœur, et Thomas alla rejoindre Alexandre et Séverus dans la salle de bain.

_________________
Image

kuroro la pieuvre du désert alias kurapika ou klpdd


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 31 Déc 2004 15:49 
Hors ligne
Pas encore atteint(e)... mais presque
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 09 Juil 2004 14:22
Messages: 1288
oui!!! la suite est là! comment tu fais pour publier aussi vite? tu as fini d'écrire toute ta fic?
Citation:
Je suis allée chercher le professeur Rogue, pour qu’il l’aide à se laver.

je suis pas sûre qu'il ait fait que l'aider a se laver lol

:bravo: :bravo: :bravo: :suite: :suite: :suite: :sevy:

Citation:
voila, la suite et merci a siriana de la demander aussi vite...

mais de rien c'est normal

_________________
"Tout ça c'est que des conneries. Moi je suis une vraie lesbienne, j'aime que les filles"
Boris Jardel.
_____________________________
http://www.fanfiction.net/u/1191461/


Haut
 Profil  
 
Afficher les messages postés depuis:  Trier par  
Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 27 messages ]  Aller à la page 1, 2  Suivante

Heures au format UTC + 1 heure


Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 25 invités


Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets
Vous ne pouvez pas éditer vos messages
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages


Rechercher:
Aller à:  
cron
Powered by phpBB © 2000, 2002, 2005, 2007 phpBB Group
Traduction par: phpBB-fr.com