Forum - Le Monde du Slash

Bonjour(ou plutôt bonsoir à l'heure à laquelle je vous écris...bref)! Parce que je me suis montrée si vilaine en demandant à ma cousine de publier une partie de sa suite non terminée sur le site avant son départ pour la fin de semaine, j'ai pensé me faire pardonner en vous offrant le prologue de ma première fic HP/DM. C'est un prologue, donc le début n'est pas trop long, mais les autres parties le seront. Dites ce que vous en pensez!

Une volée d’astres brillants irradiait invariablement l’immatérielle obscurité nocturne au-dessus de la tête bénite du Survivant, celui dont le sort était écrit qu’il devrait vivre pour vaincre. Si cette magnificence recelait une partie de son histoire, présente, passée et avenir, il n’en était rien du plus profond de ses secrets, abject désir, condamné inéluctablement à un douloureux oubli. Un sentiment si profondément intense que quiconque l’aurait voulu n’aurait pu l’extirper du cœur où il avait trouvé refuge, s’amplifiant à chaque parcelle de vie consumée. Pourquoi une entité de cette rarissime pureté devait-elle être en même temps si mortelle? Car oui, s’il devait un jour périr comme tous, ce serait de la main de l’amour même, indissociablement lié aux raisons que l’on a de vivre et à celles que l’on a de mourir. Il était si douloureusement inaccessible, l’ange démon, magistrale créature, errant entre le ciel et l’enfer, n’ayant que pour seul maître obligé, l’insurmontable mur au devant de ses yeux. Jamais amour n’avait été autant inspiré de vénération, muse d’une irrécupérable perdition…Un naufrage longuement annoncé, dont la victime attendait impatiemment les impitoyables vagues, comme un espoir de libération. -Draco…Un infime murmure prononcé dans le pesant silence de cette nuit brumeuse. Un seul nom, léger souffle, portant avec lui le terrible fardeau d’une âme mille fois excisée.

Le grand Harry Potter, le seul et unique, tête offerte aux cieux, aurait été cible de choix pour toute personne ne trouvant pas le sommeil à cette heure, car nulle pluie ne peut être crée par les yeux pour immerger le vide. Le fait ayant été porté à sa conscience, que le froid automnale s’affairait à engourdir ses membres, il s’extirpa de ses sombres pensées pour regagner son dortoir.

Une obscure et sibérienne nuit s’annonçait là pour Harry, car lumière n’est-elle pas synonyme de chaleur? Or, le jour ne se lèverait jamais véritablement pour lui au réveil. Cela ne serait jamais qu’illusion, la seule vérité, étant hélas condamnée à être cruellement feinte…à jamais.

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Tu vas te décider de faire quelque chose du temps qu'il t'est à parti!!!

tu sais ses toujours mieu de lire sans etre couper en plein milieu d'une pharse!! loll je trouve cette fic merveilleusement ecrite! ton style decriture est vraimetn tres sublime, mais jai une petite critique... loll jespere que tu va updater vite pcq je veux la a vie rebonne fete en avance ou en retard.. (je ne sais plus loll...)

bisou xxx
orlidom

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Je trouve ça bien écrit et interressant mais beaucoup trop court (comment ça c'ets normal pour un prologue ?).
Enfin bref

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"outside the government, beyond the police"
"Captain Jack: Nice to meet you, Martha Jones.
The Doctor: [Irritated] Oh, don't start!
Captain Jack: I was only saying 'hello'!"

Non non je ne suis pas monomanique en ce moment

Même chose que les copines !

Cybelia.

je-veux-la-suite!!!!!

:suite::suite::suite::suite::suite::suite: etc, etc, etc....

A par ça, j'aime énormément beaucoup!!!!! ^^

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«-Tu es un drôle d'animal, Forster Tuncurry. Fou le soir, malade le matin, normal le midi. Et l'après-midi?
-Tout à la fois. Ou autre chose... Qui sait?»
L'escalier C, Elvire Murail.

Allo! Voici la suite de cette fic, suite aux commentaires très constructifs de votre part lolll j'espère que vous aimerez tout autant!

Le crépuscule avait été lourd pour Harry, ressassant une multitude de souvenirs aussi euphoriques que cruels et déchirants. L’objet de son amour étouffé, bien qu’étant la plus majestueuse des créatures vivantes foulant cette terre, n’en demeurait pas moins irrémédiablement impérieux et froid. Jamais, jamais il n’avait osé s’en prendre à l’ange démon lorsque celui-ci lui envoyait quelques absurdes insanités à la figure, crachant nombre de venin, telle une véritable vipère. Il avait feint l’indifférence, étouffant les nouvelles plaies dans les plus profonds abysses. Jamais? Une fois, une seule fois il n’avait pu se contrôler, Draco ayant dépassé les bornes. Et il s’était meurtrit de mille coups au cœur, qui ne se cicatriseraient jamais totalement. De toute sa vie, rien n’avait été plus regretté que ce simple geste. La seule opportunité qu’il avait eu de toucher cette peau, ce vénérable visage, il l’avait frappé encore et encore, le maudissant de lui inspirer tant de faiblesses…mais il n’avait pas encore compris à cette époque, que les virulentes réponses étaient truffées du sentiment le plus pur et le plus puissant de tous les temps. L’amour. L’amour désespéré et impuissant, perdant bataille contre lui-même.

Le soleil gorgea le dortoir de lumière d’un seul coup, éveillant les membres de la joyeuse et si précieuse bande de Griffondor de sixième année, chacun y allant de sa routine de réveil particulière. Le premier prix selon Harry, revenait à son meilleur ami Ron, qui se pelotonnait en une petite boule serrée, avant de la relâcher en une grande explosion et d’étirer chaque membre de son corps à la manière d’un paresseux félin. Il se précipitait ensuite vers son lit et l’entretenait sur les nombreux voyages fantastiques que la nuit lui avait prêtés. Cette jeune matinée n’y échappa pas.

-Bonjour Harry! Tu as bien dormi?

-J’aurais bien aimé.

-Encore ces cauchemars?!

-Si on veut.

-Moi j’ai fais un rêve merveilleux! Nous étions toi, moi et Hermione à bord d’un immense ballon volant moldu et nous traversions le désert sous les étoiles du Nord. Je n’avais jamais vu un spectacle pareil! Je me sentais si bien! En fait, il n’y a qu’une chose qui clochait….

-Laquelle?

-Malfoy était avec nous…et il souriait…je dirais de manière franche….c’est assez effrayant si tu veux mon avis. Si cette fouine vient nous hanter même en rêve, il aura réussi à nous pourrir la vie sur tous les plans!

-Je crois que tu devrais aller consulter madame Pomfresh Ron. Toute cette haine envers Draco…ça commence à être malsain.

-Heu….je crois que c’est plutôt toi qui devrais aller consulter Pompom aujourd’hui Harry.

-Pourquoi?

-Parce que tu viens d’appeler Malfoy, Draco!

-Et alors? C’est bien son prénom!

-Et bien…oui…mais…je ne vois pas pourquoi nous devrions l’appeler par son prénom alors que lui trouve tellement d’affreuses alternatives aux nôtres. Mais qu’est-ce qui te prends voyons Harry!??

-Non oublie ça…je crois que je ne suis pas encore totalement éveillé.

-Alors prends garde ou tu seras malade le reste de la journée lorsque tu réaliseras comment tu l’as commencée.

-(petit sourire)Oui tu as raison. Aller! Debout!

* * * * *

Depuis la douloureuse découverte des sentiments maudits, Harry se contentait de laisser simplement couler les jours, tentant d’être ignoré de ceux lui portant un intérêt malsain. Le professeur Severus Rogue se situait dans cette catégorie. Bien qu’il n’eut maintenant plus de doutes de l’allégeance de celui-ci à Poudlard, le garçon aux cheveux de jais ne pouvait se résoudre à apprécier son professeur de potion. Pour lui, l’acharnement présent dû aux mauvaises expériences passées était un signe de faiblesse. Il ne respectait tout simplement pas cela. Il y avait moyens d’inspirer le respect sans imposer la crainte. Le peu d’efforts de Rogue en ce sens, était à son dit, un manque sévère de maturité. Un seul point commun liait ces deux être si différents, ils aimaient tous les deux Draco Malfoy…du moins, le professeur de potion semblait apprécier particulièrement la compagnie de son élève le plus doué…et Harry celle de son ennemi le plus coriace.

Une gigantesque vague de chaleur l’interrompit immédiatement dans ses pensées alors qu’il se rendait à la grande salle pour le petit déjeuner. Une sensation très désagréable couvrait l’entière région de son visage…une sensation de brûlure! Une vive douleur envahit alors le survivant et devint très bientôt insupportable. En un grand cri d’effroi, il s’effondra au sol, secoué de spasmes de douleur. Puis, la douleur disparût comme elle était venue. Harry ne pu rouvrir les yeux, craignant revivre le pire à tout moment. Des pas…des pas rapides, puis une voix se distingua à ses oreilles…une voix glaciale et menaçante.

-Lâche-le.

-Draco…je…je ne voulais pas lui faire mal…seulement lui faire peur…j’ai dû faire une erreur….

-Je m’en fiche. Si je t’y reprends, je te livre moi-même aux détracteurs. Fou moi le camp.

-….

-MAINTENANT!

-Malfoy….mais…

-Ron! Laisse tomber, il faut le conduire à l’infirmerie.

-Je crois qu’il a perdu connaissance.

-Harry? Harry!

Toutes les paroles devinrent à cet instant incompréhensibles, un mélange de jargon et d’écho….puis, plus rien.

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Tu vas te décider de faire quelque chose du temps qu'il t'est à parti!!!

hum hum dsl si cela parraît court aussi, mais j'ai 3 pages et demi de texte word

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Tu vas te décider de faire quelque chose du temps qu'il t'est à parti!!!

haa mais j'adooooreeuuu .. je te ferez un commentaire plus construtif demain matin.. pcq la je susi vrevez et que j'ai un mal de dos a mourir, promis! au fais j'ai envoyer un mail a iolas bref pour toi et elle.. mais javais la fleme den ecrire deux.. donc jai fais un deux en un... (comme les shampoing)*tien ca me donne une idée de pub ca... cest la faute a iolas ca.. jai lu sa review et bon je delire toute seul... loll* donc dit lui daller voire vite ses mail et donner moi votre avis sur la question... et dit lui que plus vite vous aurez repondu plus vite la suite sera ecrite (ne pas chercher a comprend.. sauf si vous voyer mon speudo msn-ien) dopnc voila.. a demain pour une review plus constructive!

bisou xxx
Orlidom

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Ma review sera pas très constructive... J'adore et je veux

Cybelia.

Moi j'aime beauccoup mais je suis desolee j'ai une remarque (s'il te plait te vexes pas !) : je trouve que bien que le texte soit sympa il est difficile a lire car surcharge d'adjectifs. A chaqe nom il y a un voir plusieurs adjectifs qui le definissent et moi ca m'a empeche de lire parce qu'a force ca m'a pris la tete et je les comptais sans faire attention a ce que je lisais... Bon, je sens que tu vas etre vexe. Desolee.
Allez, la suite quand meme, ca ne m'empechera pas de lire vu que j'aime bien comme ca coule... (dites, je m'enfonce, la ?)...


La suite ?

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(I live you)

Renaud est mort, Vive Renaud !
Co-présidente et membre honoraire des Anti-Proantiliberté
Co-présidente du club du Tampax.

Pour cette suite, j'ai tenté d'éliminer les adjectifs superflus comme il me l'a été conseillé. Bonne lecture!

Lorsque Harry reprit conscience, il n’eut pas besoin d’ouvrir les yeux pour savoir que l’heure était déjà très avancée dans la journée. La légère brise qui devait entrer dans la pièce de par une fenêtre mal fermée vint caresser le visage encore confus du survivant. Il prit une grande inspiration, goûtant et appréciant l’air frais du coucher de soleil et ouvrit lentement les yeux.

-Alors Potter, vous daignez enfin nous faire l’honneur de votre présence.

-Professeur Rogue….que s’est-il passé? Que faites-vous ici?

-Qu’il ne suffise de dire que vous avez été victime d’un mauvais tour de l’un de vos camarades d’école qui a mal tourné Potter. D’autre part, je suis ici pour empêcher votre insupportable visage de m’as-tu vu de garder des séquelles de cet incident, quoi que cela ne pourrait que l’améliorer. Je vous ai administré un antidote, il prendra quelques heures avant de vous guérir complètement. Dormez maintenant.

-Puis-je vous poser une question auparavant professeur.

-Je sens qu’elle ne fera pas avancer la science, mais ma foi, allez-y!

-Quelle est la personne qui m’a lancé ce sort?

-Vous me surprenez Potter. Je croyais que vous vous seriez empressé d’accuser monsieur Malfoy de ce genre de coups bas.

Et c’était vrai. Dans le passé, Harry se serait empressé de soupçonner et d’accuser Draco Malfoy de ces actions. Mais il avait appris à connaître son ennemi et savait maintenant que s’il avait vraiment voulu lui jeter un sort, il se serait tout d’abord porté à sa vue, pour être bien certain que celui-qui-a-survécu n’ait aucun doute de la provenance de cette attaque. Harry ferma les yeux, lâchant un long soupir.

Severus Rogue en resta septique. Pourquoi le survivant n’avait rien répondu à cette remarque? Pourquoi ne l’avait-il pas faite lui-même?

-Répondez Potter. Pourquoi diable n’avez-vous pas accusé monsieur Malfoy? Et regardez-moi lorsque je m’adresse à vous!

-(En ouvrant les yeux et en les tournant vers son professeur) Parce que n’est pas comme cela qu’il procède lorsqu’il s’attaque à moi.

-Et depuis quand êtes vous au fait de ses « méthodes » d’attaque?

-Je vous rappelle que c’est moi sa principale cible depuis six ans. Laissez-moi maintenant. Je suis fatigué.

-Bien.

Rogue se leva d’un seul geste de la chaise sur laquelle il avait veillé Harry Potter et quitta la pièce, de sa démarche féline et silencieuse. Le survivant n’avait que la nuit pour se reposer. Non pas par le sommeil, car celui-ci lui faisait défaut depuis bien longtemps maintenant, mais dans cette ambiance sombre et silencieuse où ses larmes, son cœur et ses plus fous espoirs avaient le droit d’exister.

* * * * *

Harry avait pu assister au lever du soleil, comme à chaque jour. Et comme à chaque jour, il avait vu la lumière lever le voile étoilé qui protégeait ses rêves éveillés pendant un si court mais si essentiel moment. Madame Pomefresh était venue lui donner son congé tôt dans la matinée et l’heure du petit déjeuner n’était pas encore arrivée lorsqu’il se glissa dans le dortoir de sa maison où Ron et Neville se trouvaient encore.

Ron : HARRY!! Comment tu te sens?
Harry : Ça va! Je me sens bien je t’assure…mais j’ignore ce qui est arrivé.
Neville : Tu nous as fait une de ces peurs!
Ron : Attends. Tu veux dire que tu ne te souviens d’absolument rien!?
Harry : Non. Je ne me suis réveillé qu’hier en début de soirée à l’infirmerie avec aucun souvenir de ce qui s’était passé. C’est le professeur Rogue qui m’a dit que quelqu’un m’avait jeté un sort…mais il ne m’a pas dit qui…
Neville : C’est Blaise Zabini qui t’a jeté un sort de magie noire apparemment….il a dit que c’était un malentendu! Tu parles!
Ron : Dumbeldore était furieux! Zabini est en retenue pour le prochain mois et il sera surveillé par un sort jusqu’à la fin de l’année.
Harry : Je vois. Alors toi et Hermione m’avez amené à l’infirmerie?…
Ron : Oui c’est ça…mais Harry, il y a quelque chose que….en fait, sûrement que ça t’est égal mais c’est Malfoy qui a stoppé Blaise. Je l’aurais bien fait crois-moi! Mais…je ne savais pas ce que tu avais… s’il ne l’aurait pas fait, les résultats auraient été irréversibles.
Harry : (pensif) Alors il était derrière tout ça…
Ron : Non Harry, il est arrivé juste à temps en fait.
Neville : Il a menacé Zabini de le livrer aux détracteurs s’il recommençait.
Ron : Et avant de repartir, il t’a jeté un sort de lévitation. Moi et Hermione, on t’a amené à l’infirmerie après ça…
Harry : J’ai beaucoup de difficulté à vous croire sur le moment les gars.
Neville : Oui hé bien si toi ça te fait un choc maintenant, imagine celui qu’on a eu hier!

* * * * * *

Le groupe des trois griffondors se dirigeait vers la grande salle pour prendre le petit déjeuner lorsqu’il arriva nez à nez avec le prince des serpentards en personne et les nombreux membres de sa cour. Harry fit comme il le faisait d’habitude. Il cacha son amour pour l’ange blond au plus profond de lui-même et se prépara à recevoir coups et insultes sans broncher. Hors, lorsqu’il posa ses yeux vers Draco Malfoy, celui-ci ne lui accorda aucun regard et passa à côté du survivant pour entrer dans la grande salle, laissant la bande de serpentards complètement immobile, les yeux exorbités de surprise ou les sourcils froncés de curiosité.

Pansy : Vous n’aurez pas autant de chance la prochaine fois les nullités sur pattes.
Goyle : (en se dépêchant de suivre Draco) Ça doit être quelque chose qui n’a pas passé…..

Ron : Mais qu’est-ce qui lui prend depuis hier!!? Harry? Harry!!!

Mais Harry ne l’écoutais pas. Il était paralysé par la surprise devant la porte de la grande salle, incapable de rassembler quelque idée raisonnable qui aurait pu expliquer le comportement plus qu’étrange de-celui-qui-était-né-pour-gâcher-la-vie-de-celui-qui-a-survécu.

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Pas ;a tete a une review, ce ne serait pas constructif, masi bravo !!! !!!

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Renaud est mort, Vive Renaud !
Co-présidente et membre honoraire des Anti-Proantiliberté
Co-présidente du club du Tampax.

De plus en plus intéressant...

Cybelia.

Alors! Me revoilà avec la suite de cette fic qui flottait quelque part sur le forum depuis un temps *Mais non mas précieuse, je ne t'abandonnerai plus*

Il fallut encore quelques secondes à Harry avant que les échos des voix de ses amis ne le fassent finalement réagir. Il n’avait pas quitté Malfoy des yeux, le fixant d’un air ahuri de l’entrée de celui-ci dans la grande salle, jusqu’à ce qu’il prenne place à la table des serpentards de sa gracieuse démarche qui lui était si connue. Il y avait en Harry, plusieurs sentiments se mêlant ensembles. Depuis leur toute première rencontre, leur regard s’était obstinément accroché l’un à l’autre, singe d’un respect et d’un intérêt invisibles, que seuls les deux ennemis pouvaient sentir. En cet instant précis, l’assurance presque sécurisante qu’il en serait toujours ainsi venait de se briser pour le survivant, qui se sentait tout à coup tellement seul et déchiré. L’unique chose au monde qui le faisait se sentir spécial aux yeux de Draco avait disparue.

Ron : Mais bon sang Harry! Est-ce que ça va?
Neville : Ça va vieux?
Harry : Ou…oui, ne vous en faites pas…je viens juste de me rendre compte que j’ai fais une erreur dans mon devoir de potion.
Ron : T’en fais pas Harry, même si tu n’en avais pas fait, il serait parvenu à en trouver.
Neville : Oui tu vois, c’est mon lot quotidien!


Sur ce les trois amis partirent à la rencontre du groupe de gryfondors qui étaient déjà tous attablés. Mais Harry n’était pas totalement là, il cherchait les yeux de Malfoy et bien qu’il sût cette expérience extrêmement dangereuse, il ne pût s’empêcher de le fixer à plusieurs reprises durant le repas.

Hermione : Harry tu m’écoutes?
Harry: Non Hermione, je suis désolé, j’étais ailleurs. Tu disais?
Hermione : Je disais que Malfoy est encore très étrange ce matin.
Ron : Tu ne sais pas? Il est passé devant Harry sans l’insulter.
Neville : Il ne nous a même pas lancé un regard depuis tout à l’heure! C’est inquiétant! Moi je dis qu’il prépare un mauvais coup.

Un silence très très pesant se fit peu à peu dans la grande salle, comme si quelque chose d’extrêmement effrayant était en train de se passer. Plus un son d’ustensile, plus un bruit de chaise et surtout, plus un mot, excepté à la table des gryfondors où un groupe d’amis n’avaient vraisemblablement pas senti le changement.

Ron : Harry, tu crois qu’il pourrait agir quand?
Draco : Ha mais tout bon serpentard se doit habituellement d’agir pendant la nuit, lorsque de pauvres petites âmes sans défense rêvent d’une autre vie où nous n’y serions pas.

Tout le groupe sursauta. Premièrement, la surprise de trouver Draco Malfoy à la table de cette maison aurait pût tuer Dumbeldore en personne d’une attaque cardiaque irréversible. Celui-ci semblait en effet très pâle. Deuxièmement, le ton employé avait été certes sarcastique, mais en même temps très calme et étonnamment dénué de toute méchanceté. Malfoy semblait définitivement sur une autre planète. Ce qui se produisit par la suite, acheva ceux qui avaient encore un semblant de raison à apporter à toute cette histoire.

Draco : Hum…Potter je peux te parler?
Harry : Je t’écoute.
Draco : Seul à seul.
Ron : Hors de question! Harry!!!!
Harry : Qu’est-ce qui me dit que tu ne me feras pas un sale coup Malfoy?
Draco : Ça. Prends-là.

Lorsque Draco Malfoy tendit sa baguette au célèbre Harry Potter, on entendit des grands cris d’exclamations retentir dans toute la pièce…et quelques rires, pour ceux qui observaient le professeur Rogue s’étouffer avec son bacon.

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Tu vas te décider de faire quelque chose du temps qu'il t'est à parti!!!

tu sais moi jetai pas dacord avec pinec pour les adjectif supreflux.. bon c vrai que le permier chapitre en avais bcp mais cetai pour lambiance qui sois dit en passan etai vrai tres bien defini.. je sais pas pk mais le dernier chapite .. il manque quel que chose .. il est pas a la hauteur des autre ca se peux?? et mon pauve maitre des potion.. tu va le martiriser longtemps?? pcq moi je veux bien aller le reconforter et heu tu as fais un truc bizzard.. tu as fais Goyle intelligent heu... non pas que je doute de son intelligence mais .. heu vi quel intelligence en passan.. hihi... bon on reparlera de ce chapitre quand tu sera sur msn

bisou xxx
Orlido

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