Voila, c'est un tit délire de mon cerveau pas tout à fait en bonne état...lol
Un léger sourire ornait les lèvres du professeur Snape. Un sourire diaboliquement sadique et sadiquement diabolique, genre celui que l’on ne voudrais jamais voir apparaître sur le visage d’un de nos professeur. Un sourire qui fait claquer les genoux au point de transformer les élèves ici-présent en castagnettes vivants et je vous jure que c’est pas marrant de se rendre comptes que l’on est un instrument tout petit et rond, divisé en deux partie. LE sourire de Snape quand il est de bonne humeur (si, si, cela arrive ... d’accord c’est rare, mais quand même...). Et quand Snape était de bonne humeur, c’était généralement pas bon signe pour les élèves, sinon pour les serpentards, mais même eux sentaient leurs cheveux blanchir à une allure assez impressionnante (les élèves sont d’ailleurs arrivés à la conclusion, après mûre réflexion, et oui, contrairement au tribulations de la terreur incontesté de poudlard, les élèves savent réfléchir, qu’il valait mieux qu’il soit de mauvaise humeur). Et vlan! Gagné! La potion Prodidiprivatus! Une potion extrêmement compliquée, qui a pour effet de révéler à celui qui l’utilise quelques petites révélations croustillantes sur la personne de son choix, avec en prime, et seulement si l’on tourne une fois de plus que ce qui est indiqué dans le sens des aiguilles d’une montre qui tourne à l’envers, entre l’ajout de pattes de scorpions siberiales découpées en rondelles fines et de la poudre de licorne verte à pois rose fuchsia, ce qu’elle pense à un certain moment. Mais cela, aucun élève n‘était censé le savoir, sauf, si comme par enchantement, ils s’étaient retrouvés dans la réserve et que le seul livre sur je-ne-sais-combien-et-je-veut-pas-le-savoir qui parle de cette potion et de ses effet, soit arrivé entre leur mains innocentes ..( quoi? j’ai dis qu’ils étaient arrivés là comme par enchantement!) La préparation devait durer trois mois. Trois long mois où les élèves devront supporter le regard ... ils ne voulait pas savoir comment. C’était pour leur santé mental, Snape n’était décidément pas quelqu’un à fréquenter trop souvent. Tant qu’à faire, pas du tout, mais les élèves de la célèbre école de Poudlard n’avaient pas cette chance inouï que la plupart des habitants de ce monde en proie au affres de Voldy-je-me-la-joue-plus-fort-que- tout-le-monde-mais-je-ne-me-suis-jamais-regardé-dans-une-glace, ignoraient. En effet, la surveillance de Snape s’apparentait plus à celle d’un chat qui attend que la souris se trompe pour la manger que celle d’un professeur guettant le moindre danger que pourrait encourir un de ses élèves. Élèves en question qui déglutirent péniblement quand le maître des potions s’avança presque joyeusement (presque hein, faut pas exagérer non plus, c’est Snape quand même!), vers le tableau pour y inscrire les instructions, mais qui se dépêchèrent de prendre une plume et un parchemin pour tout noter. On ne pouvait pas se permettre de compter les plis que faisait la robe de snape quand il marchait dans un cours dirigé par celui-ci. Surtout s’il souriait. Le élèves n’était pas suicidaire (m ’enfin, avoir pris comme option les potions avec Snape, franchement ... c’est pas légèrement suicidaire ça?) aussi les retrouvaient-on en train d’écrire soigneusement sur leur copie ... avec précipitation, Snape avait décidé que ne pas effacer le tableau à l’instant, relèverait du crime. À prendre au second degré, hein, le crime en lui-même ... cela ne le dérange pas ... surtout si c’est pour faire du pâté d’élèves aux abricots bleus. C’est bon ça. À présent, il était temps de commencer. Ils n’avaient plus que 1 heure, 22 minutes et 4 seconde, chrono en main, pour faire le début de la première partie avant la fin du cours et ainsi pouvoir s'arrêter à un moment où l’on pouvait s'arrêter sans danger d’explosion. Tout d'abord allumer le feu. C’est le plus important, après on met les ingrédients que l’on veut, cela fait toujours une potion même si un BOUM importun vient troubler le bon fonctionnement du cerveau. Je dis cela, car il m’est arrivé de voir des personnes qui attentait que leur potion chauffe alors que le feu était éteint. Enfin, revenons à nos moutons. Donc les élèves avaient à peine commencés leurs potions que déjà, un obstacle surgissait. Que pouvait bien signifier la première phrase? Pour les élèves en mal de facilité, ce morceau de charabia ressemblait plus à du chinois mélangé à l'arabe traduit du russe qu’à une quelconque langue qu’ils était aptes à comprendre. En faite, c’était tout simplement le langage Snapien, un trésor de mots compliqués, de tournures incompréhensibles et de vents spectaculaires. Cependant, alors que notre cher professeur ironique se gaussait intérieurement, un élève sentit la lumière divine illuminer son cerveau trop souvent critiqué. La réponse avait été donnée par son professeur honni il y a quelques mois, juste avant que... enfin, qu’il soit expulsé du cours encore une fois. Le survivant, car c’était lui, se mit donc au travail, ignorant les échanges de regards terrifiés qu’il sentait peser. Et pendant que chacun patouillait dans la mélasse (de qui je sais pas, et j’ai pas vraiment envie de savoir), il découpa, trancha, écrasa, mélangea, il passait (pour une fois) inaperçu dans la terreur générale. Enfin, inaperçu oui, sauf pour trois personnes, qui, eux, avaient remarqués l’étonnant événement que de voir Harry Potter réussir quelque chose en potion. Le premier était notre blondinet national, Draco Malefoy. Deux de ses derniers neurones qui avait survécu aux syndrome voldemorien , avait raté une connexion importante quand il avait vu “Potty” continuer sa potion sans se poser plus de question, il en avait d'ailleurs la bouche grand ouverte de façon élégante bien entendu, c’est un malefoy après tout (tentons d’oublier la mouche qui est rentrée...). La deuxième, Miss-je-sais-tout en personne, se trouvait être Hermionne Granger. Ses jolis yeux avait pris la taille de deux ballon de football, pendant que son cerveau se rejouais encore une fois d’un bouquin de potions qu’elle avait lue y a six mois. Et le troisième, et celui qui en était le plus bouchée bée mais bon cela ne se voyait pas, j’ai nommé le grand, l’illustre Severus Snape. Celui-ci s’approcha à une vitesse impressionnante, à grand renfort de tourbillonnement de robe noir effrayante d’ailleurs, pour arriver devant le gamin qui osait lui gâcher son plaisir, c’est à dire de voir tous ses élèves paniquer en silence (oui, parce qu’en plus, o a pas le droit de faire du bruit). Son sourire méprisant numéro trois sur le lèvres, il se pencha vers la potion, pour découvrir, avec horreur, qu’elle était parfaite. Malheureusement, son attitude avait attirer le regard de tous les élèves vers eux et tous le monde avait pu voir la fiole contenant un ingrédient non identifié mais également réponse à leur problème. Et le cours ne fut plus interrompu que par le tintement des fioles et des couteaux utilisé avec plus ou mois d’adresse selon les personne. Du moins pour la demi-heure qui suivie, car le cauchemar de tout professeur de potion se mit à l’oeuvre. Neville Longbottom. La terreur des chaudrons, avec sa petite bouille toute ronde, ses cheveux châtain et ondulé, et ses yeux apeuré. Une aile de souris des sables en plus et c’est la catastrophe: un magnifique BOUM, à faire pâlir les jumeaux weasley ( et franchement c’est pas rien, les connaissant), retentit dans les cachots, habituellement si calme.
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