Forum - Le Monde du Slash

Au cas ou tu n'aurais pas comprit, ca veut dire sourire beat.
Pas d'autre mots.

La suite ?

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(I live you)

Renaud est mort, Vive Renaud !
Co-présidente et membre honoraire des Anti-Proantiliberté
Co-présidente du club du Tampax.

merchi!!! oui, oui, elle arrive la suite, ds pas trop longtemps, jespere...^^

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«-Tu es un drôle d'animal, Forster Tuncurry. Fou le soir, malade le matin, normal le midi. Et l'après-midi?
-Tout à la fois. Ou autre chose... Qui sait?»
L'escalier C, Elvire Murail.

non, ceci n'est pas un chapitre entier. mais comme je n'écrirais plus avant un bon bout de temps, à mon avis, je vous met déjà ça!!!... ne vous gêner pas pour mettre des commentaires!! (si toutefois vous avez lu. c'est malin!)

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Rentré à la maison, j'ai la surprise de trouver un petit comité d'accueil dans mon salon. Neville, Dean, Parvarti, Ginny, Fred et Georges, Luna, Hermione et Ron, avec Maria.
-Harry !
-Ca faisait longtemps !
-Ca va bien ?
Les exclamations fusent, on me salue, on m'embrasse... Tous mes anciens amis de Poudlard. Tous ceux qui ont survécu... Etrange retour en arrière.

Je m'assied entre Ginny et Luna. L'ambiance est joyeuses, le rire facile. Je me sens moi-même grisé, tant par l'alcool que par ma joie teintée de nostalgie. Je n'ai aucune idée de l'heure qu'il est, ni de depuis combien de temps je parle avec Neville de son poste de chercheur botanique. Il est resté timide et maladroit, mais pourtant sa présence impose désormais le respect. Peut-être est-ce grâce au rôle qu'il a joué pendant la guerre, peut-être est-ce parce que son nouveau poste lui donne une autre assurance.

-Mes amis, j'aimerais faire une déclaration.
Ron s'est levé, son verre à la main.
-Voilà. Cela va faire un an que Maria et moi sommes ensemble. Et je voulais vous annoncer... Vous annoncer...
Ses yeux brillent, de joie, de fierté, de tristesse contenue, je ne peux le déterminer.
-... La naissance prochaine d'un autre bébé Weasley.
Silence. Tous le regardent, bouche bée. Ainsi, ils ont décidés de le garder... C'est bien... Ron fera un bon père...
-Cependant... Cet enfant n'aura pas la chance d'avoir des parents mariés. Maria et moi avons, d'un commun accord, décidé de nous séparer.
Maria se recroqueville au fond de son fauteuil, je sens son envie de disparaître... Je l'aime bien, Maria. C'est une chouette fille.

Ron se rassoit, on pourrait cuire un oeuf sur ses joues. Alors, doucement, Luna applaudit. Ses deux mains claquent l'une dans l'autre, trois battements, elle est bientôt rejointe par Neville, Parvarti, Dean, moi... La magie de ce moment dépasse de loin celle qui sort d'une baguette. Maria pleure toujours, mais de joie, je crois, Ginny étreint son frère à l'en étouffer, Hermione ne semble pas en revenir, et je ris, je ris sans pouvoir m'arrêter.

Je me sens vivant. Complet.

Après l'annonce de Ron, nos amis sont repartis les uns après les autres, Neville en dernier. ça m'a fait plaisir de les revoir. Après avoir passé deux ans à les éviter... Même si cela me remémore des souvenirs douloureux. Les blagues pas drôles de Seamus, les discussions futiles de Lavande, l'agaçante admiration de Colin Crivey... Le sourire doux et un peu triste de Remus Lupin...

Je retrouve Ron et Hermione sur le balcon du bureau, en haut. Il donne sur notre... jardin n'est pas le bon mot. Ce n'est que quelques mètres carré de gazon mal entretenu. On a pas besoin de parler, par vraiment. Encore une fois, je réalise la chance que j'ai de les avoir à mes côtés, vivants, et heureux.

-C'est dommage qu'on ne puisse pas voir les étoiles...
-La lumière des moldus.

Quelques phrases, suspendues en l'air, comme figées dans le temps. Juste pour le plaisir d'entendre les voix résonner à travers le silence étouffant de la nuit. Je sens mes paupières se fermer de fatigue, doucement, imperceptiblement, je me laisse glisser sur le sol...

-Bonjour, Harry. Bien dormi.
J'ouvre les yeux péniblement. J'apperçois deux perles grises qui me fixent avec tendresse.
-Draco !
Je me relève, très réveillé tout d'un coup. Je me trouve dans ma chambre, Draco posé tel un moineau sur le bord du lit. Un moineau... Cette comparaison me fait sourire.
-Qu'est-ce que tu fais là ?
-Visite matinale. Granger m'a ouvert.
Il m'agace, avec la manière qu'il a de prononcer le nom d'Hermione...

Je fixe mes pieds nus de l'autre côté du lit, un peu mal à l'aise. C'est bizarre, d'avoir son regard posé sur moi dès mon réveil... Je n'ai jamais aimé mes pieds. Trapus, petits. Informes.

-Jolie chambre.
Il s'est levé, scrute la pièce avec son habituel air de propriétaire. Comme s'il s'appropriait ma chambre. Venant d'une autre personne, je ne l'aurais pas supporté, mais lui... C'est presque naturel.

Je vois ses yeux s'arrêter, juste au coin de mon oreiller... Je retiens mon souffle. La lettre...
-Qu'est-ce que c'est ?
-Rien...
J'attrape le bout de papier, me lève en hâte. J'hésite devant la corbeille, fini par le poser sur mon bureau. Je sens la curiosité de Draco, mais m'abstient de commentaire.
-Tu as déjà déjeuné ?
-Non... Je voulais t'inviter dans un endroit de ma connaissance.

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«-Tu es un drôle d'animal, Forster Tuncurry. Fou le soir, malade le matin, normal le midi. Et l'après-midi?
-Tout à la fois. Ou autre chose... Qui sait?»
L'escalier C, Elvire Murail.

je sais pas si ça en vaut la peine mais je met quand même une chtite suite....

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J'imagine déjà le restaurant chic, les plats exquis et le goût bourgeois. Il attrape ma main et on transplane. Cela va bientôt devenir familier, cette main dans la mienne, cette présence à mes côtés...

Le soleil est éblouissant. Il flotte dans l'air une odeur d'été. La canicule est pesante. Cela ne me dérange pas, j'aime la chaleur. Draco lâche ma main, comme à regret. Nous nous trouvons devant un établissement à l'air modeste et propret. Une petite cour pavée, une pancarte indiquant un nom en français.

-Draco...
Il m'entraîne à l'intérieur. Il fait frais, comme dans une cave. Un comptoir, avec derrière des bouteilles de vins. Une hôtesse un peu âgée, un peu grassouillette... Elle s'exclame en français, je n'ai jamais compris cette langue... Le ton est respectueux, mais empreint d'un familiarité tendre. Je devine que Draco vient ici depuis très longtemps... Il me présente, visiblement, dans un français impeccable.

La femme nous indique une petite table, dans le fond. La salle est déserte, un couple de petit vieux et c'est tout. Il fait sombre et bon, le soleil filtre un peu à travers les petites fenêtres rondes. Draco a l'air... Détendu. Vraiment détendu, je ne parle pas de son masque imperturbable. Il me regarde, un sourire en coin, il remonte une mèche rebelle derrière son oreille...

-Voilà. Je t'avais promis que je t'emmènerais en France, alors... J'ai découvert ce petit hôtel par hasard, au cours d'une ballade. J'y viens de temps en temps. J'aime bien. Personne ne me connaît, c'est moldu.
Il rit, je dois avoir l'air d'un poisson crevé, la bouche grande ouverte, stupéfait.
-Moldu ?
-Oui. On ne dirait pas tant c'est agréable, n'est-ce pas ?
Je fronce les sourcils, il ne plaisante pas.
-Les moldus font des endroits très agréables !
-Bien sur, bien sur...
Il n'a pas l'air très convaincu. Je n'insiste pas, aucune envie de me disputer avec lui. Cependant, mon humeur s'est un peu assombrie.
-On se trouve pas très loin de Monpazier, un petit village que j'aime beaucoup. Je t'emmènerais le visiter, après, si tu veux...
-Pourquoi pas ?
-Bon, on commande ! Il est déjà onze heure et je meurs de faim !

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«-Tu es un drôle d'animal, Forster Tuncurry. Fou le soir, malade le matin, normal le midi. Et l'après-midi?
-Tout à la fois. Ou autre chose... Qui sait?»
L'escalier C, Elvire Murail.

J'avais zappe la premiere partie et la je lis et... Cam' mit les larmes aux yeux tellement on ressent effectivement que Harry est... Vivant. Merci la teitefraise (j'ai mmoins aime la deuxieme partie mais faaut dire que c'est trop court pour laisser le temps d'etre apprecie)... !


See ya sur msn un de ces jours !

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Renaud est mort, Vive Renaud !
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Et voilà déjà la dernière partie de ma fic... Dernier chapitre, puis un épilogue déjà écrit mais que je dois relire...
Je vous prévient, la fin vient de manière inatendue et violente... Bref, je ne sais pas qui lit encore cette fic, mais laissez moi des reviews, je suis perplexe face à cette première fic achevée...!!!

Bon, ben....

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J'ai passé un après midi magique. Le plus bel après midi de ma vie. Toute ces souffrances, toutes ces pertes, ça valait le coup. Parce que je suis amoureux. Tellement amoureux que j'en crèverais volontiers. Je suis assis, dans l'herbe, Draco a la tête posée sur mes genoux. On est aux abords de Monpazier, le soir peint le ciel de mille couleurs... Le rose et le mauve se confondent à l'orange... C'est beau.

On a visité Monpazier. Enfin, visité... C'est si petit que le mot n'est peut-être pas exact. C'était jour de marché. Toutes sortes d'étals, de couleurs, d'odeurs... On a acheté des nems et des beignets de crevette à un petit marchand. C'était bon. Et puis, on est partis se balader en dehors. Le soleil tapait, alors on s'est allongé sur l'herbe, à l'ombre d'un arbre, à l'orée d'un bois. Et on a parlé. Draco m'a raconté sa vie, un peu. Sa peur envers son père, son admiration envers sa mère. Et la fierté de son nom l'empêchant de vivre depuis sa plus tendre enfance.

- Draco ?
-Oui ?
-Tu crois au bonheur ?
-Maintenant, oui. C'est toi, le bonheur.
J'approche mes lèvres des siennes, et les capturent... C'est délicieux, tellement délicieux que ça en deviendrait douloureux... Je sens ses mains se glisser sous ma chemise... Je sens l'herbe rugueuse me frotter le dos quand il m'allonge au sol... Je sens tout mon corps appelant le sien... Je sens sa langue qui me brûle le torse... Je sens ses cheveux qui me chatouille la peau...

Jouissance. Je comprend soudain le sens de ce mot. C'est comme si j'avais bu le soleil... La peur a disparue... Et maintenant, il est là, serré contre moi, fondu en moi, devrais-je dire. Je lui murmure "je t'aime..." avant de m'endormir comme une masse.

Mes yeux s'ouvrent sur un ciel infini peuplé d'étoiles... J'entend au loin un hibou... Tiens, c'est la pleine lune.

Je me lève péniblement, courbaturé... Draco est allongé sur le dos. Et soudain, je me rend compte de ce qui m'a réveillé. C'est l'absence de son souffle régulier... Je m'approche du corps inerte... Du corps inerte et froid...

-Draco ?
Je le secoue vainement. Mais ne laisse pas la panique montée en moi. Pas encore. Il subsiste la fragile barrière de ma raison... Mais je la sens céder, petit à petit, se fissurer, et l'horreur se déverse en moi, emportant tout ce qui me fait humain. Le long hurlement que je pousse doit me faire ressembler à quelconques bêtes sauvages... Alors j'inonde le visage paisible de mes larmes salées... Et je l'embrasse, je caresse sa peau opalescente, je murmure des serments d'amour éternels, et en quelques minutes je rattrape tout ce que je n'ai pas vécu...

Draco. Draco. Draco.

Mon cher, si cher ennemi, je n'ai même pas compris pourquoi je t'aime que tu t'en vas déjà...

Pourquoi ? Et de quel droit on me l'enlève ? Je suis Harry Potter, le garçon à la cicatrice ! Et j'ai sauvé le monde ! Je ne mérite pas cela... Je ne mérite pas cela...

J'ai vécu, il y a quelques heures, ce pour quoi je suis venu sur terre. L'amour. ça ne dure pas plus longtemps ? Une fois, et puis c'est fini, ténèbres à nouveau ? N'est-ce pas injuste ? Vous n'aviez qu'à me laisser dans ma torpeur ! Dans mon hibernation ! Je n'était pas heureux, ça non, vous auriez pu me laisser me lamenter ! A quoi ça sert d'entrevoir le bonheur si c'est pour qu'il s'envole à peine étreint ?

Je soulève péniblement le corps. Je ne sais où me rendre, alors je marche. Je marche, droit. Et les larmes qui coulent sur mes joues finissent de rouler dans le cou de Draco Malfoy.

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C'est un lourd cercueil, serti de diamants. Un magnifique cercueil, qu'on ne reverra pourtant plus. On le voit disparaître, recouvert d'une pelletée de terre, puis d'une autre. Les quelques personnes qui sont là se recueillent, ou font semblant. Il y a un représentant du ministère, qui pense au ragoût de bouf qui l'attend chez lui. Il y a une vieille dame qui pleure bruyamment. Il y a un couple hargneux dont la figure ne reflète que mépris. Il y a un grand homme noir, si maigre qu'on dirait que le vent va l'emporter. Il y a un jeune homme, que tout le monde dévisage, car il ne devrait pas se trouver là.

C'est tout.

Le temps est doux, quelques gouttes de pluie tombent, comme pour un ultime adieu. Le couple, le représentant et la vieille dame s'en vont. C'est fini, rideau. Mais l'homme en noir et celui qui ne devrait pas être là restent. Face à la tombe. Adressant au mort, par la pensée, tout ce qu'ils n'ont pas pu lui dire.

-Professeur... Vous saviez, vous qu'il était malade ?
-Oui...
-Oh...

-Potter... Je voudrais... Vous remercier. Il est mort heureux.
Sourire un peu triste de la part du jeune homme. Aucun des deux ne pleurent, l'un par fierté, l'autre parce qu'il l'a déjà trop fait.
-Vous me raconterez sa vie ?
-Pardon ?
-Il n'a pas eu le temps... Je ne sais que des brides de son passé... Et ça me manque... Je sais qu'on se hait. Et que c'est irrémédiable. Mais j'aimerais que vous me transmettiez son histoire. S'il vous plait.
-Je suppose qu'il aurait voulu que je le fasse.
Soupir résigné de l'homme en noir.

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«-Tu es un drôle d'animal, Forster Tuncurry. Fou le soir, malade le matin, normal le midi. Et l'après-midi?
-Tout à la fois. Ou autre chose... Qui sait?»
L'escalier C, Elvire Murail.

T'es vilaine !! C'est trop triste !!

Enfin, quand même parce que ça change des autres fics que j'ai lu sur ce couple jusqu'à présent !!

Cybelia.

C'est très émouvant, trop trop triste et bien écrit. Sincèrement . Sois pas dubitative, cette fic était superbe.

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Voila, je chiale.
Je chiale.

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Merci à toutes les trois!
Cybelia, ça me touche beaucoup, parce que le danger, avec le HPDM c'est de tomber dans le déjà-vu, y en a tellement...
Merci beaucoup, Gâ-L!!
et Pinec, je voulais aps te faire pleurer... Bon, si, un peu... ... Mais y a encore l'épilogue, qui sera plus joyeux, promis!
bizzooo!!!

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-Tout à la fois. Ou autre chose... Qui sait?»
L'escalier C, Elvire Murail.

Je te reviwerais plus correctement la prochaine fois mais j'etias pas dans le mood. QUand tu met sl'epilogue je te reviewe les deux oki ? et bon theatre !

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T'avais pas le droit! ça devait finir bien! *pleure comme une fontaine*

Bouuuuuuuuuuuuh

Veux l'épilogue pour me remonter le moral!

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La barbe fait l'homme

Proverbe taoïste: Si demain, après ta victoire de cette nuit, te contemplant nu dans ton miroir, tu te découvrais une seconde paire de testicules, que ton coeur ne se gonfle pas d'orgueil, ô mon fils, c'est tout simplement que tu es en train de te faire enculer

Tu crois que ca ve le remonter ? Je crains pour mon ame !

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Ok Pinec... ^____^ *se grouille d'écrire l'épilogue pour pouvoir le poster et avoir les reviews...*

Ben mailine, au début ça devait bien se finir, et puis j'avais pas l'inspi pour un happy end, alors que pour la mort de draco, je l'ai écris trop facilement! Mais l'épilogue sera plus joyeux, je le répète... Enfin, je crois... ...

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Hum *doute fortement*
Te presse pas non plus, je ne veux pas que tu bacle !


Mias tout le monde lit encore ta fic ! ... En tout cas bravo de terminer, meme si c'est innatendu et que l'on sent le tournant (enclenche au chapitre precedent si ma memoire ne se joue point de moi) par rapport au debut de la fic.

*va manger avant de relire et deprimer*

*est de retour*
Ra j'ai la flemme maintenant !


Apres coup quand tu lis ca tu te dis... "Mais pu**** quelle sadique ! Tu nous avais dit toute la fin la !


Tu te rapelle ce que tu m'a dit ? Que c'etait hors HP ? Ben pareil... C'est un monde a part que tu leur a cree. C'est superbe ! Ca resplendit. ca me rapelle Avignon, lEspagne, le soleil, le Maroc... C'est tellement beau...


C'est tellement hors-Draco et tellement juste, la...


Pardon, mais ca ne serait pas "et les capture" ? ... Je sais plus je perds mon francais...


La aussi c'est superbe. L'elusion est splendide de clarte et de soleil, encore. Tout luit. Ton texte est joussif en fait.


C'est tres beau encore, un detail qui ne semble servir a rien, pour le plaisir d'entendre les bruits du monde... Puis...


Oh my gosh !!!!!! Traumatisant, le grand coup de froid dans les dents, se recevoir comme ca un pain de glace en plein ventre, alors qu'ona encore le gout du soleil qui nous brule la peau des joues... C'est tout a fait ce que ressent Harry, surement, et c'est splendide de tristesse.


Trop tard pour moi. D'ailleurs a la premiere lecture j'ai un peu zappe ce passage, trop choquee pour realiser que lui aussi realise...


Quelle horreur ! Pas d'autres mots meme si ce n'est pas ce que je veux dire...


Draco, Draco, Draco !!


J'aime bien cette soudaine mise en avant de ce qu'il est. Tout pour recuperer ce qu'il aime. Plus de gryffondorisme a l'exces. C'est tres Butffyesque je trouve.


Image superbe, je vois l'image de la lune dans les yeux de Draco...


J'adore. C'est un peu hors-fic et tellement realiste...


Les Charognards, de Renaud, non ? pas vraiment en fait. Mais... J'aime le contraste en tout cas...


Ca pourrait etre le mot de la fin. Soupirer la. Et aussi, vu que ca ne l'est pas, ca semble l'annoncer.


Beaucoup de choses...


C'est telllement realiste encore. En fait, meme si ca ne l'est pas, avec toi ca sonne juste...


J'aime la facon dont meme en adorant Sevy tu peux le retranscrire. Tu pourrais le modifier. Mais non. Enfin pas pour moi...[/quote]

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