kikou.
ola, que tu es cruel cybelia, le pauvre fudge lui faire écouter Lorie, et en regardant la groniasse danser avec sa belle robe de princesse. il est vrai que le ministre forcément incompétant de la magie là bien chercher, mais il ne touchera pas plus jamais à Sirius, ni a personne d'autre, tu sais pourquoi? bah il va bientôt recevoir une jolie plante de la part de voldy lui même.
bonne lecture a tous.
Chapitre 15: Je t'emmène où je t'aime ( Calogéro)
- « Pourquoi m'offrez-vous une plante? Demanda le ministre »
- « C'est évident, pour vous tuer mon cher, répondit l'inconnu. »
- « Pourquoi voulez vous me tuer, vous n'êtes pas sérieux. Savez vous qui je suis? »
- « Bien sur que je le sais. C'est vous qui avez assassiné mon seul et véritable ami. Aujourd'hui je vais venger sa mort. »
- « Votre ami? Je ne vois pas de qui vous parler. »
- « Lucius, cela ne vous dit rien? »
- « Vous êtes… vous êtes… »
A ce moment l'inconnu enleva sa capuche, laissant à jour son visage, celui de Voldemort.
- « Savez vous que par votre faute, j'ai du faire alliance avec Managua. Grave erreur de ma part. Non seulement il ne me suit pas, mais en plus il me tient tête. J'ai même du subir sa colère par deux fois, et ce uniquement parce que j'ai touché à son frère. »
- « Excusez-moi, mais Managua n'a pas de frère. »
- « Je ne suis pas fou. Il est actuellement professeur de défense contre les forces du mal à Poudlard. »
- « Vous voulez parler du professeur Salinger. »
- « Je vois que vous connaissez mon cousin. En effet Thomas est bien son frère. »
- « Dans ce cas, dites plutôt qu'il était professeur dans cette école. »
- « Dumbledore ne serait pas assez imprudent pour le renvoyer. »
- « Il a démissionné. »
- « A cause de quoi? »
- « Grâce à vous. Il n'a pas était capable de vous empêcher de tuer l'un de ses élèves. »
- « Enfin une bonne nouvelle. »
- « Bonne nouvelle? Salinger n'était pas un mangemort? Il ne vous a pas suivi? Mais pourquoi a t il refusé de me dire la raison de son absence. »
- « Bien sur que non. Il a même fait une tentative de suicide. La raison de son absence vient du fait qu'il était mortellement blessé. Le temps presse, je vais vous tuer. »
- « Croyez-vous que je vais me laisser faire? »
- « Vous avez accepté ma plante. »
- « AIE, s'écria le ministre. »
Il avait senti comme une piqûre, il regarda son bras, c'était la plante qui venait de le piquer. Après lui avoir ouvert la peau, elle commença à pénétrer dans la chair du ministre.
- « C'est quoi cette plante, hurla Fudge, prit de panique. »
- « C'est un Sassérius Blastèrium parasitose. »
- « Un quoi? »
- « C'est une fleur parasite qui se nourrit de sang. Du votre pour être plus précis. La mort est lente et douloureuse. »
- « Lente? »
- « Environ une semaine. Vous allez vite regretter d'être encore en vie. »
- « Vous n'allez pas me laisser endurer une telle souffrance, tuez-moi. »
- « Non. »
- « Je vous en supplie. S'il vous reste un peu de charité, tuez-moi. »
- « Ce que vous n'avez fait subir, mérites que vous ayez une morte lente. De plus je suis privé de mes pouvoirs, je ne peux rien pour vous, sauf vous souhaitez que la semaine passe vite. »
- « Vous les aviez, quand vous avez lâchement tué ce jeune homme. »
- « Si je les avais encore, je peux vous assurer que je n'aurais pas laissé qu'une victime derrière moi. »
Avant de partir, Voldemort s'approcha de Fudge, il lui prit une lettre qui dépassait de sa poche.
- « Je vois que vous avez du Courier à poster. Permettez-moi de le faire à votre place. Adieux, ministre incompétent de la magie. »
Le ministre voulut courir, il voulait chercher de l'aide. Il ferait une croix sur sa dignité, sa vie était en jeux. Mais il n'arriva pas à bouger, ne serais ce qu'un orteil. En effet le végétal avait déjà prit possession de tout son corps. La plante bien que vorace, prenait tout son temps, elle savait parfaitement qu'elle était en train de tuer son ôte. Elle but le sang lentement, et la vie de Fudge s'en allait de lui, avec le contenu de ses veines, qui était un vrai délice pour la fleur. Quand le ministre sera vidé de son liquide vital, l'arbuste deviendra un magnifique arbre de la mort, d'un rouge pourpre.
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A Poudlard tout était revenu comme avant. Neville eu droit à de belles funérailles. Les cours après une semaine, reprirent normalement, tous, non sauf un, celui de défense contre les forces du mal, qui était d'un ennuie. Ce matin, c'était à la classe d'Harry et de Draco d'avoir cour avec le vieux.
Harry se mit à côté de Draco, Ron à côté d'Hermione.
Le professeur Roberts était à son bureau, essayant de lire les notes laissaient par son prédécesseur, cherchant désespérément à savoir comment il devait faire son cour.
Quand tous les élèves furent assis, Maurice leva la tête. Après avoir regardait tous ses yeux braquaient sur lui, il prit enfin la parole.
- « Je suis votre nouveau professeur de défense contre les forces du mal. Je vous rassure, contrairement au bellâtre, qui avait ce poste avant moi, je suis compétent. »
Personne n'écoutait ce qu'avait dit Maurice, sauf Harry et Draco, qui le regardait de travers. Thomas était leur meilleur professeur, et il n'y avait aucun doute, que son replacent, choisit par Fudge, n'avait les capacités à assuré un tel cour.
- « Vous allez pendre votre livre page 10, reprit Roberts, sans même s'apercevoir que personne n'avait sorti de livre. Nous allons étudier les Harbingers. »
Seule Hermione ouvrit son livre. La seconde d'après elle avait le doigt levé.
- « Oui, Melle, demanda Roberts, étonné de voir un élève lui poser une question. »
- « Le chapitre est page 77, non page 10. »
- « Vous croyez? »
- « Oui, de plus les Harbingers, font partir d'une légende locale, ils n'existent pas. »
- « C'est créatures sont plus que réels Melle. Doutez-vous de me connaissance? »
- « Je ne me permettrai pas professeur. »
- « Dans ce cas lissez, et en silence. »
Un ronflement, plus que sonore, sorti la jeune fille de la lecture de son chapitre, si passionnant.
- « Aie, cria Ron. Hermione ça te prends souvent de me pincer aussi fort? »
- « C'était pour te réveiller, tu n'as pas honte de dormir en classe. »
- « Je ne dormais pas! »
- « Si ce n'est pas toi, qui dort? »
Les ronflements étaient de plus en plus bruyant. Dans le but de connaître l'identité de celui ou celle qui osait rêver en cour, Hermione chercha du regard qui s'était assoupi. Aucun de ses camarades de classe, n'avaient les yeux fermés. En écoutant plus attentivement, le bruit venait de devant.
Le professeur Roberts, avait la tête renversé, la bouche ouverte, un filet de bave coulait doucement le long de sa joue, pour finir dans son cou. A la fin du cour, les élèves s'en allèrent, et ne prit pas la peine de réveiller le vieux professeur.
Séverus qui devait faire son cour de potion, était plus intéresser par le cour de son collègue. Il se plia en deux, à l'écoute du récit que lui fit Draco, et ne pu faire son cour normalement.
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Ministère de la magie. La mort de Fudge fut un grand choc pour ses collègues. Le ministre avait retrouvé agonissant, et malgré les soins intensifs des meilleurs guérisseurs de St Mangouste, il s'était éteint dans les pires souffrances possibles.
Des élections furent donc organisées afin de trouver un remplaçant. Les volontaires étaient peu nombreux. Beaucoup n'avaient pas osez posé leur candidature, de peur de subir le même sort que leur prédécesseur. Celui qui gagna les élections était inconnu de tous, un certain Christian Ngamv.
Ombrage dans le but de s'en faire un allié, il est toujours utile quand on a de l'ambition, d'être ami avec un ministre. Elle se rendit dans le bureau, de Ngamv, dans le but de pratiquer son sport favori, le léchage de bottes. Pour l'occasion elle mit ses plus beaux habits, verts fluo, qui feraient pâlir d'envie toutes les grenouilles de la terre. C'est avec un sourire, aguicheur, et un regard bovin, qu'elle pénétra dans le bureau de son nouveau supérieur.
- « Monsieur Ngamv, s'exclama t'elle. Je suis contente de faire votre connaissance. Je suis Melle Ombrage, mais vous pouvez m'appeler Dolorès. »
- « Ombrage, murmura Christian, j'ai déjà entendu parler de vous. »
- « En bien j'espère. »
- « Vous étiez très proche de Fudge à ce qu'on m'a dit. »
- « Je peux aussi être proche de vous Christian. Cela ne vous dérange pas que je vous appelle par votre prénom? Vous semblez vouloir faire de grande chose. Je peux vous aider dans le chemin de la grandeur. »
- « Je sais faire mon travail, c'est pour cela que j'ai été élu. Votre aide ne m'est pas nécessaire. Cependant je suis content que vous soyez venue me voir ce soir. J'avais à vous parler. »
- « Je vous écoute Christian. »
- « Je suis Mr Ngamv, nous n'avons rien gardé ensembles. Je ne vais pas pouvoir vous garder à mon service. »
- « Comment? »
- « Vous êtes relever de vos fonctions, renvoyez si vous préférez. »
- « Vous ne pouvez pas me faire ça. »
- « J'ai besoin de personne compétente dans mon entourage, pas d'hypocrite telle que vous. Vous pouvez disposer. »
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Harry, Draco, Ron et Hermione se rendirent dans la grande salle afin d'y pendre leur déjeuner. Le repas avait à peine commencé qu'un individu entra sans avoir été invité à le faire. C'était un homme grand, sa peau était noir, il avait le crâne rasé, et avait un petit bouc. Il portait un costume bleu nuit.
- « Bonjour Monsieur, s'étonna le directeur. Pouvez me dire qui vous êtes. »
- « Je suis le nouveau ministre de la magie, Christian Ngamv. »
- « Je ne comprends pas, Fudge serait il malade? »
- « Vous ne savez pas qu'il est mort. »
- « Pas merlin, non. Comment est ce possibles? Je l'ai vu il y à peine une semaine. Savez vous comment cela est arrivé? »
- « Personne ne le sait vraiment. Il a été victime d'une plante parasite. »
- « Pouvez vous me dire, ce qui nous vaut l'honneur de votre visite? »
- « Bien sur, je suis venu voir un certain Black Sirius. »
- « Dans mon école? »
- « C'est bien ici qu'il se cache. »
- « Pas du tout, vous devez faire erreur »
- « Je vous prie de ne pas me pendre pour un imbécile. Je sais parfaitement qu'il se cache ici. Il ne pourra pas échapper à la justice longtemps. »
- « Je suis là, s'exclama Sirius. Que me voulez-vous? »
- « J'ai un document à vous remettre. »
Sirius regarda d'un mauvais œil le ministre. Ne sachant pas ce qu'il pouvait y avoir écrit sur le parchemin, mais se doutant de son contenu, il ne le pris pas. Les élèves qui avaient cessé de manger, regardaient la scène avec inquiétude. Surtout Harry, qui avait peur pour son Parrain. La tension était palpable, et personne n'osait faire le moindre geste.
- « Je ne vais pas vous manger, s'indigna le ministre. Prenez ce parchemin tout de suite. »
- « Je ne sais pas ce que c'est. »
- « Lisez le, c'est la seule façon de le savoir. »
D'une main tremblante, Sirius prit le document et le lis, enfin il essaya.
- « Comment osez vous me faire ça, s'indigna l'animagus. »
- « Faire quoi, avez lu au moins? »
- « Je sais parfaitement que c'est un papier pour me remettre en prison. Vous êtes aussi abjectes que Fudge. »
- « C'est votre réhabilitation, vous l'auriez su si vous l'aviez lu. »
- « Ma quoi? »
- « J'ai eu reçu aujourd'hui la preuve de votre innocence, je suis venu sans plus tarder, afin de vous communiquer cette bonne nouvelle. »
- « Je suis désolé Mr Ngamv. »
- « Ce n'est pas grave. »
- « Comment avez vous su? »
- « J'ai reçu un gros rat comme cadeau de bienvenu. C'est un certain A.S qui me l'a envoyé. »
- « Un rat? Queudver? »
- « En effet, et il s'est montré très bavard. »
Harry se leva de sa chaise, et se jeta dans les bras de Sirius qui était un homme libre. Il avait les larmes aux yeux. Il remercie le nouveau ministre.
- « Je ne fais que mon travail. »
Dumbledore se montra plus amicale, et invita Christian à pendre place à table.
- « Je suis aussi venu voir votre professeur de défense contre les forces du mal, pouvez vous me dire où il se trouve. »
- « Bien sur, il est tout a la votre droite, répondit le directeur, tout en se demanda pourquoi le nouveau ministre avait tant besoin de parler au professeur Roberts. »
Ngamv se rendit devant le veil homme et lui dit.
- « Je ne comprends pas pourquoi vous voulez démissionner. Vous devez vous ressaisir mon vieux. Ne baisez pas les bras à la première difficulté, je suis sûr que vous finirez par vous habituer à votre poste. »
- « Comment? Pourquoi vous me parlez de demi-sommier? »
- « Non pas de demi-sommier. Je vous parle de votre lettre de démission. »
- « Des visions? Si vos avez des visons vous ferez mieux d'en parler au professeur Trelawney, elle sera mieux placée que moi pour en parler. »
- « Professeur Salinger. Le moment est mal choisit pour ce genre de plaisanterie. »
- « Non, moi c'est Roberts. Ne m'insultez pas, je suis un professeur qui connaît son métier. »
Les élèves furent prit d'un fou rire. Christian ne comprenait pas la raison de cette hilarité si soudaine.
- « Qu'ai je dis de si drôle, demanda le ministre vexé. »
- « Ne le prenez pas mal, mais vous vous trompez de personne. Vous parler au remplaçant du professeur Salinger. Dit Dumbledore. »
- « Ah! Je comprends, mais entre nous, vous l'avez mal choisit, il me semble un peu trop vieux pour ce poste. »
- « A Qui le dites-vous ? C'est Fudge qui l'a choisit. »
- « Je comprends mieux. Mais où est le professeur qui a signé la lettre? »
- « Actuellement il est à l'infirmerie. Sirius va aller le chercher. »
Black ne mit pas longtemps pour revenir, accompagné de Thomas, qui ne savait pas pourquoi il devait se rendre dans la grande salle.
- « Professeur Salinger? Demanda Christian. Cette fois ci il voulait être sur de parler au bon interlocuteur. »
- « Oui? Vous êtes? »
- « Le nouveau ministre de la magie. C'est bien vous qui avez écrite cette lettre, demanda t'il en montrant le parchemin. »
- « Oui, en effet c'est mon écriture. »
- « Inadmissible. Je refuse. »
- « Je ne me suis pas montrer à la hauteur de ma tache. »
Christian prit la lettre et la déchira en deux.
- « C'est à moi d'en décider. Je vous le répète, votre démission est inadmissible. »
- « Je ne suis montré incapable de protéger l'un de mes élèves, je ne peux pas rependre mon poste. »
- « Demandons alors a vos élèves ce qu'ils en pensent. »
- « Ce ne sera pas nécessaire. Je connais la réponse. Je repars chez moi cette après midi. »
Thomas commença à sortir, a ce moment les élèves se levèrent, et applaudirent. Surpris Salinger s'arrêta de marcher, en ne sachant pas comment pendre cette attitude.
- « Thomas, je crois que vous avez votre réponse. Vos élèves souhaitent que vous restiez, je le souhaite également, s'exclama Dumbledore. Nous avons tous droit à une seconde chance. Vous mangerez bien avec nous ce midi? »
- « Avec plaisir, répondit Thomas avec le sourire. »
Le seul a ne pas être content, fut le professeur Maurice, qui s'en alla de la grande salle dans l'indifférence la plus totale.
C'est avec joie et bonheur que les cours de l'après midi reprirent.
Harry en profita pour rendre sa canne à Thomas.
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Repère des mangemorts. Après une semaine d'absence Voldemort était de rentré chez lui. Il ne fit pas un retour triomphal comme il l'aurait voulu. Dans un sens, il était content de n'avoir rien dit à personne, son échec resterait caché de tous, y comprit d'Alexandre. Ce dernier était assis à la place du seigneur des ténèbres, un livre à la main.
- « Déjà de retour? Ta petite promenade c'est bien passé? »
- « Promenade? Je ne vois pas de quoi vous voulez parler maître? »
- « Celle que tu as faite, dans le plus grand secret, afin d'aller tuer Potter. Tu as échoué n'est ce pas? Pourquoi a tu fais cela? »
- « Dans l'unique but de vous faire plaisir, et de vous prouver à quel point je suis puissant. »
- « J'ai surtout vu à quel point tu es mauvais en potion. »
- « En potion? »
- « Ne fais pas l'étonné, tu es un piètre acteur. Je te parle de la potion interdite. Celle la même dont tu as pris la recette dans le livre que j'ai dans la main. Ouvrage que j'avais pris soin de mettre à ta disposition, mais j'ai pris la peine de changer la formule de ce breuvage. Tu l'as raté je crois? Tu sais que si tu en avais bu plus de deux gorgées, que tu en serais mort. »
- « je n'ai fait cette potion que dans le but de vous faire plaisir. Ne souhaitez-vous pas la mort de Potter? »
- « Je ne t'ai jamais demandé de faire une telle chose. J'ai juste dit que si tu arrivais à le tuer, je te considérais comme étant mon égale. Tu as du mal interprété mes propos. »
- « Vous ne souhaitez pas sa mort? »
- « C'est toi qui ai intérêt à ce qu'il disparaisse, pas moi. »
Alexandre se leva, en regardant d'un air méprisant, Celui Dont On Ne Doit Pas Dire Le Nom. Il passa devant lui, et s'adressa aux mangemorts présent.
- « Mes amis, il est temps que vous choisissiez un nouveau chef. Un qui va vous conduire à la victoire. Voldemort ici présent, ne vous a pas beaucoup aidé dans ce sens. Qui voyez-vous, qui voulez-vous comme meneur? »
- « C'est moi votre chef, s'indigna le seigneur des ténèbres. »
- « Plus maintenant répondit un mangemort. Je suis désolé, mais je pense que Managua à raison, vous avez fait votre temps. Laissez votre place à ceux qui savent ce qu'il fasse. »
Il fut approuvé par la majorité des mangemorts présent.
- « C'est avec plaisir, que je serai votre nouveau chef. Reprit Alexandre. Venez mes amis, je vous invite chez moi. Toi aussi Voldemort. »
Ce dernier rechercher une certaine personne dans la foule.
- « Si c'est ton ami que tu cherches, saches qu'il n'est plus des nôtres. J'en ai fait cadeau au nouveau ministre de la magie. »
- « Pourquoi? »
- « Il t'avait trahit. Il ne sait faire que ça, je ne voulais pas qu'il fasse de même avec moi. De plus, ça me faisait de la peine pour Sirius, le pauvre en cavale pour un crime qu'il n'avait pas commis. »
De dépit l'ex seigneur des ténèbres suivit, mais il se promit de se venger. Il allait tout faire pour récupérer son pouvoir, il n'avait plus rien à perdre. Cela ferait de lui un homme dangereux.
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Les vacances de Noël approchaient, Harry proposa à Draco de les passer avec lui.
- « Viens avec moi, je ne veux pas que tu reste seul. Dit le brun. »
- « Où? Je ne pense pas que je sois le bienvenue chez ton oncle. »
- « Chez moi, enfin chez Sirius. Il a une maison à Londres. »
- « Mais on ne sera pas que tous les deux. »
- « Il va nous laisser la maison, pour toutes les vacances. Il ne viendra que pour fêter Noël avec nous. Ca te vas? »
- « C'est parfait mon cœur. »
Seuls dans l'une des nombreuses chambres de la maison. Les deux adolescents comptaient bien du fait qu'ils ne seraient que tous les deux pour faire l'amour. Le Serpentard commença à embrasser, son bien aimé. Il se sentit un peu à l'étroit dans son pantalon. Détail qui n'échappas pas au Gryffondor. Ce dernier, se lésa faire quand le blond le déshabilla, tout en continuant à le couvrir de baiser. Le brun poussait des gémissements de plaisir, ce qui augmenta encore plus le désire de son amant.
Dans le but de le soulager, Harry entreprit d'enlever le pantalon de Draco, le caleçon aussi par la même occasion. Le sexe de ce dernier était gonflé par l'envie et le désir. Le Gryffondor s'allongea sur le lit, les jambes légèrement écartés. Cette invitation au bonheur, n'échappas pas au Serpentard. C'est avec douceur, mais sans assurance que le blond pénétra le brun.
Harry du se montrer patient, et aida son jeune amant, encore très inexpérimenté. Ils finirent par s'endormir, fatigués mais heureux de pouvoir partager des moments aussi intimes, et précieux.
Fin de la première partie
j'écris la deuxième partie; pour la suite faudras être patient
see you
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