Forum - Le Monde du Slash

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MessagePosté: 15 Aoû 2004 20:37 
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Le slash, kesako ?
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou :ange:

merci a cybelia , j espère que tu n'es pas la seule a lire ma fic? :roll:

oui, fudge est immonde, mais t'as pas tout vu, il va être encore PIRE, dans le chapitre 13 et 14. :shock: :shock: :shock: :shock: :shock: :shock: :shock: :shock: :shock: :shock: :shock: :shock: 8)

voila si vous lisez ma fic, dites le moi, que je le saches au moins, pitiez ne me laissé par l'ignorance. :mouchoirs:

lecture... :harrydraco:
Chapitre 10 : Devant toi ( Calogèro )

Le baiser devient plus sensuel, quand le blond commença à caresser les lèvres si fines du brun avec sa langue. Le Gryffondor, honorer et flatter, ouvrit la bouche, ce qui permit à la langue du Serpentard d'entrer. Les deux langues des deux amants jouer, dans la bouche d'Harry. A bout de souffle, ils durent mettre fin à leur tendre baiser.

- Tu n'étais pas obligé de faire ça. Dit Harry.

- Si, il le fallait.

- Pourquoi?

- Parce que je t'aime.

- N'oublie pas que c'est moi qui l'ai dit le premier.

- Dis-moi la vérité pour hier, tu n 'es pas tombé dans les escaliers? Et pourquoi Thomas boite, lui aussi il est tombé dans les escaliers?

- Non, répondit Harry, la tête baissé. Quand tu n'avais dit que tu ne ressentais rien pour moi, j'ai eu si mal, que je me suis enfui dans la forêt interdite. Là je me suis fait attaquer par les centaures. Thomas m'a protégé et a reçu les flèches à ma place.

- C'est pour ça qu'il boite. Je suis désolé mon amour, je ne voulais pas te faire de la peine. Tu sais quand tu m'as avoué que tu m'aimais, ça ma fait un choc, je ne m'attendais pas a ce que tu me dises ça. Je ne savais pas quoi dire, j'avais peur de t'aimer à mon tour, et de te perdre comme j'ai perdu mon père.

- Ne te justifie pas, embrasse-moi encore.

- Tu aimes ça, gourmand va.

Draco se remis à embrasser Harry.

***************************************

Pendant ce temps Ron dansait avec sa future petite amie Maêlisse, du moins c'est ce qu'il espérait. Son regard s'attarda un peu trop longtemps sur Harry et Draco qui s'embrassaient. Choqué par un tel spectacle, il y a des chambres pour ça, il s'arrêta de danser, obligeant sa partenaire à faire de même.

- Ron, lui demanda t'elle, il y a un problème?

- Oui, répondit il avec un dégoût visible sur le visage.

- Que se passe t'il?

- Malefoy est en train d'embrasser Harry sur la bouche. Par merlin, il lui roule même un patin. Mais c'est dégueulasse. , Devant tout le monde en plus.

- Je ne vois pas où est le mal?

- Tu te rends compte, il lui nettoie la bouche avec sa langue.

- Tu as voulu faire la même chose avec moi.

- Ce n'est pas pareil tu es une fille.

- Et? Que veux tu dire?

- C'est normal qu'un garçon embrasse une fille, mais un autre garçon, ah! Ça non.

- Il est normal d'embrasser la personne qu'on aime. Harry est ton ami?

- Oui, enfin je crois. On s'est disputé, quand il m'a avoué qu'il était amoureux de Malefoy.

- Alors tu devrais te réjouir de son bonheur au lieu de le juger. Viens.

- Où?

- Le voir, afin que tu t'excuse de l'avoir rejeté.

Sous la contrainte, et en raillant, Ron suivi Maêlisse. Ils arrivèrent près d'Harry et de Draco, coller l'un sur l'autre. Ces derniers s'interrompirent se sentant observer de trop près.

- C'est pourquoi? Demanda méchamment Harry à Ron, tout en le regardant de travers.

- Je suis désolé Harry, dit il en regardant ses chaussures. Tu as le droit d'aimer qui tu veux. Ce n'est pas à moi de te juger. Tu me pardonnes?

- Bien sur. Tu ne m'as pas présenté la charmante cavalière, c'est ta petite amie?

- Euh! …Dit Ron, rouge, n'osant dire oui.

- Oui, répondit Maêlisse, tout aussi rouge que Ron.

- c'est génial, s'exclama Harry, très heureux pour son ami.

************************************

Pendant ce temps, le groupe Aédé enchaînait tubes sur tubes, actuellement ils chantaient au-del, un slow très romantique, ce qui était profitable à Clémentine qui dansait dans les bras D'olivier. Tout en dansant, ce dernier parlait de Quidditch, et la jeune fille buvait ses paroles. Dans le but de pouvoir parler dans un endroit plus calme, les deux jeunes gens s'éclipsèrent discrètement de la salle de danse. Ils se rendirent sur le terrain de Quidditch. La nuit était fraîche, dans le but de réchauffer Clémentine, Olivier la prise dans ses bras, et sans s'en rendre compte l'embrassa.

- Tu vas rester encore un peu, supplia la jeune fille.

- Il n'y a pas de match avant l 'année prochaine, je vais rester encore un peu.

***************************************************

Après avoir, chanté plus de deux heures le groupe Aédé fit une courte pause. Draco alla chercher quelque chose dans sa chambre, ce qui permit à Harry de faire plus ample connaissance avec la nouvelle petite amie de son ami Ron.

Quant à Thomas, il n'avait pas beaucoup dansé avec Virginie, qui était très déçue, bien qu'elle comprenait. Il se dirigeât vers la sortie, sa blessure lui faisait trop mal pour qu'il puisse danser encore. Devant la porte de sortie, il croisât Draco, qui avait une canne noire, surmonter d'un serpent à la main.

- Thomas, c'est pour toi, lui dit en lui tendant la canne.

- Pourquoi me donne tu la canne de ton père?

- C'est un peu de ma faute si tu boites.

- Pas du tout, j'ai fait une chute dans les escaliers.

- Harry m 'a tout dit, pour les centaures. Si je ne l'avais pas repoussé jamais il ne serait partit dans la forêt.

- Je ne peux pas accepter un tel présent. C'est le seul souvenir qu'il te reste de ton père.

- Ce n'est pas grave. Tu en as besoin pour marcher.

- J'ai une béquille.

- Accepte s'il te plait.

- D 'accord, je te remercie de ce si beau cadeau.

La pause finie, le bal allait recommencer, mais il y avait un problème de taille, Cindy la chanteuse avait perdu sa voix, elle était aphone. Le bal allait finir plutôt que prévue, a moins de trouver un remplaçant. Fred le guitariste demanda s'il y avait un volontaire, mais personne ne se présentât. Sauf Crabbe, mais personne ne voulait qu'il ne chante. Sirius prit la parole, et demanda à Thomas qui était sur le point de sortir de le faire.

- Thomas Tu vas où? Viens chanter un peu.

- Moi? Dit il étonnait.

- Oui, toi. Rends-toi utile.

- Je ne sais pas chanter.

- C 'est ça, ne soit pas si modeste, tu chantes très bien.

- Tu crois?

- Aussi bien qu'une batterie de casseroles, dit Crabbe, mort de rire.

Ce dernier ne rit pas longtemps, il fut victime d'une attaque de filles, amoureuses malgré d'elles du beau professeur de défense contre les forces du mal. Mais cette dernière remarque avait réussit à persuader Thomas d'aller chanter, comme des casseroles, quand même.

- J'ai entendu Vincent répondit Thomas vexé. La batterie de casseroles va chanter ce soir.

Il me mit pas longtemps à arriver sur scène. La musique reprit, et Thomas se mit à chanter, non seulement il connaissait tous les titres de groupe, mais en plus, il chantait très bien. Ce qui valu à Crabbe d'autres coups des jeunes filles, encore plus amoureuses du professeur.

Draco en profita pour inviter Harry à danser. Depuis qu'il l'avait embrassé devant tout le monde, il ne voyait pas l'intérêt de se cacher.

Ron retourna danser avec Maêlisse. Hermione avec Sirius.

Clémentine ne revena pas au bal, trop occupé avec Olivier.

Virginie seule, alla inviter Séverus à danser, sous le regard réprobateur de Rémus, qui était toujours en froid avec le professeur des potions.

Crabbe voulue a son tour invité une fille à danser, mais il n'eu que des refus.

A minuit le bal dut finir. Bien que certaines jeunes filles ne le voulaient pas vraiment. Dumbledore dut se fâcher, pour qu'elles arrêtent de réclamer une autre chanson de Thomas. Ce dernier après avoir remercier les musiciens descendit de l'estrade. En bas l'attendait Virginie.

- Je ne savais pas que tu chantais si bien dit elle admiratif.

- Je chante mieux que je ne danse, répondit gêné de recevoir un compliment de sa collègue.

Trop pressé de descendre Thomas rata une marche et tomba sur virginie. Cette dernière profita de la situation pour l'embrasser.

- Aide-moi à me relever, s'exclama Thomas, qui craignait le châtiment que pourrait lui reverser Rémus, s'il le voyait embrasser sa petite sœur.

- Non. Répondit Virginie décidé de profiter encore un peu de sa position de force.

Ce fut Séverus qui du aider Thomas à se relever.

- Merci Séverus, dit il.

- Je t'en prie. Il serait dommage que Rémus tu tue ce soir, pour avoir osé touché à sa sœur.

Remus n'était pas loin en effet, et avait tout vu. Mais contrairement à ce que l'on cru, il avait l'air content de voir sa sœur avec Thomas. De plus virginie n'était plus une gamine, elle pouvait sortir avec qui elle voulait, tant que ce n'était pas avec Rogue.

Thomas se rendit dans sa chambre. Virginie assistât pour l'accompagner, on ne sait jamais, avec de la chance, il pourrait tomber de nouveau.

Harry et Draco étaient déjà repartis, afin de finir en privé ce qu'ils avaient commencé en publique.

*******************************************

Au même moment, dans le repère de Voldemort. C'était ce soir que Managua devenait un mangemort accomplie, c'est à dire qu'il allait recevoir la marque des ténèbres sur le bras gauche, et devenir un allié de poids face à Dumbledore et Thomas.

Les mangemorts qui restaient, et ils étaient peu nombreux avaient formé autour des deux hommes un cercle, et regardaient avec joie. Il est vrai qu'un nouveau membre ferait le plus grand bien à l'organisation, qui était plus que moribonde depuis la mort de Lucius.

Managua était grand, très mince, avait de longs cheveux blonds, et un visage très efféminé. Ses yeux n'étaient pas de la même couleur, l'un était verts pâles, l'autre marron foncée. Ce qui lui donnait un air mystérieux. Il n'y avait aucune ressemblance avec Thomas, dont il était le frère jumeau. Des faux bien sur, c'est pour cela qu'ils ne se ressemblaient pas. Détaille qu'ignorait Voldemort, puisqu'il ne le connaît que sous le nom de Managua, et non sous son vrai nom Alexandre Salinger.

Quand la marque fut bien imprimée sur le bras d'Alexandre, Voldemort lui dit.

- Managua, tu es désormais des notre.

Les autres mangemorts applaudir pour monter leurs joies. Mais ils ne purent rester, et chacun a sont tours s'en alla. Ne restait que Voldemort, Managua, et Queudver planqué dans un coin.

- Je crois que tu m'as manqué de respect ce soir Tom, s'écria Alexandre. Ce n'est pas parce que je t'ai rejoints que tu as le droit de me tutoyer. Pour qui tu te prends, tu es loin d'être mon égal.

- Je vous prie de m'excuser mon égard, maître Managua, répondit, le seigneur des ténèbres en tremblant. Je ne voulez pas vous offenser.

- C'est pourtant ce que tu as fait, misérable sang de bourbes.

- J'avais pensé que puisque vous avez acceptez de le suivre, que je pouvais vous tutoyer

- Tu pense maintenant? C'est nouveau, serais tu intelligent. Saches que je ne permets pas à n'importe qui de me tutoyer, et rare ceux qui ont ce privilège. Ils ne sont que deux, bien sur tu n'en fais pas parti.

- Que dois je faire pour remonter dans votre estime, pour que vous me considériez comme un semblable.

- Tuer Potter, mais apparemment c'est au-dessus de tes forces.

- Resteriez vous dans ma modeste demeure cette nuit? Maître.

- Non, j'ai mieux à faire. Je vais te laisser.

Managua commença à s 'en aller, mais il revint sur ses pas.

- A j'ai faillit oublier, ta punition. Endoloris S'exclama t'il, sans avoir pris la peine de sortir sa baguette.

Voldemort se tordit de douleur. Le sort qu'avait lancé Alexandre était très puissant, bien plus que ceux de sa victime, qui se retrouvait allongé, en se tordant de douleur. La douleur dura un temps interminable, le seigneur des ténèbres avait l'impression que chaque parcelle de sa peau se détaché de son corps. Que chaque os de son squelette se brisaient, et que son sang se figé dans ses veines. Au bout de dix minutes de souffrances, la douleur s'estompa.

- Pour cette fois ci, je serai clément envers toi. Ce ne sera pas le cas, si tu me manque à nouveau de respect. Je sais torturer des heures entières sans tuer.

Cette fois ci Alexandre repartit.

Queudver, qui avait tout vu sans intervenir, se précipita près de son maître, encore affaiblit par le sort.

- Je vous l'avez bien dit Maître, que ce n'était pas une bonne idée.

- Au contraire, il est fort, bien plus que je ne le l'aurais cru.

- Vous avez vu comment il vous a méprisé. Il vous a lancé le doloris uniquement parce que vous l'avez tutoyé?

- Je l'ai mérité. Je n'aurais pas du me montrer aussi familier avec lui.

- Ce n'est pas une raison, il avait l'air ravie de vous faire du mal.

- Ce qui fait de lui un allié précieux. Vois tu comment il traite ses amis, alors ses ennemis. Mais j'ai une idée qui peut me permettre de lui montrer à quel point je suis puissant. J'aurais besoin de ton aide.

- Bien sur, mais que voulez vous faire?

- Puisqu'il tient à tuer Thomas, lui-même, je vais lui donner satisfaction. Je vais le faire venir ici.

- Maître n'avez pas besoin de lui aussi?

- De son sang seulement.

- Vous ne voulez pas faire cette potion quand même. Elle est trop dangereuse, si vous la loupez, vous pourrez en mourir.

- Si je la réussis, je serai plus fort. Je pourrai tuer Harry, et Managua me parlera avec respect.

- A condition que Thomas veuille bien venir à vous. Ce que je doute.

- C'est pour ça que j'ai besoin de ton aide. Approches toi je vais t'expliquer mon plan.

Voldemort avait mis sur pied un plan machiavélique, qui devait à coup sur marché. De toute façon il n'avait pas le choix. De plus en donnant à Managua la possibilité de tuer Thomas, comme il semblait y tenir particulièrement, il devrait marquer un point dans son accession dans l'estime de son nouvel allié. La mort d'Harry serait le second point. Et bientôt, il pourrait régner sur le monde entier, comme il l'avait toujours voulu.

A suivre, Chapitre 11, Danser sur les braises. A ne pas manquer, surtout si vous voulez connaître le plan de Voldemort, et enfin le passé de Thomas.


le chapitre 11, très long sera mis en 2 fois... :ange:

pas de suite si pas de messages, oki?
:arwen:

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MessagePosté: 15 Aoû 2004 20:53 
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Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
Ah ! Ron retrouve enfin un peu de bon sens, même s'il y a été forcé par sa copine... :D

Hermione qui danse avec Sirius, ça me fait bizarre... dis, y'a un slash Sirius/Remus dans cette fic ou pas ? :siriusremus:

Bon, alors maintenant, j'ai hâte de connaitre l'histoire de Thomas... c'est vrai que je le trouve beaucoup plus sympathique !

:suite:

Cybelia.


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MessagePosté: 16 Aoû 2004 10:30 
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou :lol:

désolée cybelia pas de slash sirius/remus dans cette fic, mais un autre slash est prévue, severus/ x, non je dis pas avec qui, pour l'instant personne, sauf moi, ne le sais, je suis justement en train de faire ce couple dans le chapitre 17, faudra attendre. :slashvaincra: :sevy:

bon chapitre 11, première partie.

Chapitre 11(a) : Danser ses les braises. ( Calogéro)

Dimanche matin, Draco se réveilla avant un horrible mal de tête. Le bal avait été une réussite, il avait enfin avoué à Harry les sentiments qu’il éprouvait, et ils avaient passé ensembles une bonne partie de la nuit. Ce ne fut qu’au petit matin qu’Harry était reparti dans son dortoir.

A peine fut t’il levé qu’il reçu une lettre d’une chouette, croyant qu’elle venait d’Harry, il s’empressa de la lire.

« Draco,

Si tu veux connaître le nom de l’assassin de ton père, rends-toi aux trois balais, à onze heures ce matin. Mais attention, tu dois être seul, un des mes fidèles serviteur t’y attendra afin de te conduire à moi. Si jamais tu parles de cette lettre à quelqu’un, ou si tu viens accompagner, le rendez vous sera, purement et simplement annulé.

Signé, un ennemie qui te veut du bien. »

A ce moment, il ne venait pas à l’esprit de Draco que cette lettre anonyme était un piège, une partie du plan de Voldemort, dans le but de piéger Harry, et de lui faire venir à lui Thomas, dont le sang, si précieux l’aiderait à faire la potion interdite. Son désir de connaître enfin la vérité sur la mort de son père, lui fit perdre toute notion de danger. Sans plus attendre, il sortit du château, et se rendit à son rendez-vous.

A cette heure si matinale, il n’y avait qu’un seul client dans le pub. Un homme très petit, grassouillet, peu chevelu et particulièrement laid. Il se leva quand Draco entra dans le café.

- Vous êtes Mr Malefoy junior? Dit il d’une voix très aiguë et peu agréable.

- Oui, et vous vous êtes?

- Je suis le serviteur de celui qui a vous à envoyé la lettre. Je vois que vous avez eu la sagesse de venir seul.

- Qui êtes vous, s’énerva Draco, qui n’avait pas eu de réponse à sa question.

- Vous n’avez pas à le savoir. Suivez-moi maintenant.

- Pas tant que je ne serai pas le nom de la personne que j’ai devant moi.

- Je suis celui qui va vous amener à l’auteur de la lettre. Vous avez le choix, soit vous me suivez gentiment sans me pauser des questions, et vous connaîtrez enfin le nom du meurtrier de votre père, soit vous faites demi-tour, mais vous ne saurez jamais qui la lâchement assassiner. Alors que choisissez-vous?

- Je vous suis!

- Voilà qui est une sage décision. Venez.

Après une heure de marche Draco, et le serviteur, arrivèrent enfin au véritable lieu du rendez-vous. Se tenait debout avec un sourire diabolique Lord Voldemort lui-même.

- Merci Queudever, dit il. Tu as enfin réussit à faire quelque chose de bien. Tu peux t’en aller je n’ai plus besoin de tes services.

Peter s’en alla donc, non sans une certaine fierté.

- Draco, reprit le seigneur des ténèbres, je suis content que tu sois venu.

- C’était un piège, dit l’adolescent en colère.

- Bien sur, que croyais tu?

- Je ne serai pas votre esclave, je ne deviendrai pas mangemort.

- C’est courageux de ta part de me dire ça, mais vois tu j’ai d’autre projet. Tu vas me servir à le faire venir.

- Le? Harry? Il me déteste, jamais il ne se déplacera pour moi. Vous avez fait une erreur en me faisant venir. Je ne vous suis d’aucune utilité.

- Il viendra. Je sais qu’hier soir vous vous êtes embrassés devant tout le monde. Grave erreur. Il tient trop à toi pour ne pas venir, mais ce n’est pas de lui non plus dont j’ai besoin.

- Qui? Personne d’autre ne viendra pour me sauver.

- Tu seras de qui je parle en temps voulu.

- Alors vous m’avez menti, quand vous n’avez dit que vous me diriez qui a tué mon père.

- Si je le sais, mais seras tu assez fort pour l’entendre?

- Je suis venu ici pour le savoir.

- C’est Fudge!

- Comment, le ministre de la magie? Pourquoi, il était son ami.

- Qu’est ce une amitié? Fudge n’est l’ami de personne. Mais ton père était devenu une menace pour lui, surtout depuis qu’il avait été reconnu comme étant un mangemort. Un ministre de la magie, ami avec un mangemort, cela lui aurait terni son image de marque. Quand ton père est allé en prison, dans le but de protéger ses arrières. , Il a affirmé qu’ils n’avaient jamais été amis. Le problème est que je l’ai fait s’évader. Fudge à eu peur que Lucius revienne le voir, histoire de lui rappeler leur, soit disant, amitié.

- Vous en êtes sur?

- Certain. Je te rassure, je vais le punir pour avoir fait une telle chose. Dans le fond j’aimais bien Lucius, il m’était dévoué lui.

**************************************

Pendant ce temps à Poudlard. Harry qui venait de se lever, et qui avait une folle envie d’embrasser son Draco à lui, il alla dans sa chambre pour le chercher. Mais il n’y était pas. Il alla dans la grande salle, espérant le trouver, mais là non plus il ne le trouva pas. Déçu, il commença à le chercher ailleurs quand il eu une lettre, d’une chouette, la même qui avait amené la lettre à Draco.

« Harry.

Tu dois te demander où est ton petit ami, Draco Malefoy. Saches qu’il est avec moi. Si tu ne viens pas vite, je vais le tuer. Tu sais ce qu’il te reste à faire. »

- NON, hurla Harry en pleure.

- Que se passe t’il Harry ? Demanda Ron qui venait d’arriver.

- Draco,…, il… il …il….il……il….

- Il quoi?

- Kid…na……ppé…..

- Par Merlin. Comment le sait tu ?

Harry n’arrivait pas à parler, il montra à Ron la lettre qu’il venait de recevoir. Ce dernier le pris gentiment dans ses bras, afin de lui apporter son soutient.

- Ca va aller, lui murmura t’il à l’oreille. Je vais t’aider, on va le retrouver. Arrête de pleurer.

- Comment? Il n’y a aucun indice dans cette lettre, même pas un rendez-vous.

- On va aller voir Thomas, il saura quoi faire lui.

- Tu crois?

- Bien que je ne l’apprécie guère. Je crois qu’il est le seul à pouvoir faire quelque chose.

*************************************

Chambre du professeur Salinger.

Après avoir frappé à la porte, Ron et Harry entèrent dans la chambre. Thomas était levé et déjà habillé, il regardait avec le même dégoût la potion de Rogue, breuvage qu’il devait pendre plusieurs fois par jour, afin de calmer les douleurs que lui faisaient subir son genou.

- Thomas, dit Ron, sans prendre la peine de dire bonjour avant. Harry a un problème. Peux tu l’aider?

- Bien sur, en quoi puisse je être utile, répondit Thomas. Voyant qu’il c’était forcément passé quelque chose de grave, puisque Harry était en pleure.

- Il a reçu une lettre ce matin. D’après ce que j’ai lu, Malefoy aurait été kidnappé. Mais on n’en sait pas plus.

- Je vois. As tu cette lettre avec toi?

- oui.

- Puisse je la voir?

- Bien sur, répondit Harry, qui était de plus en plus désespérer. Draco lui manquait tellement, il ne pourrait plus vivre sans lui à ses côtés.

Après avoir lu la lettre, Thomas la jeta dans sa chemisée, où un feu ardent était en train de brûler.

- Ca ne va pas de faire ça, s’indigna Harry. Ma lettre.

- Calme-toi Harry, répondit Thomas. C’est une méthode pour faire apparaître le vrai message.

- Le vrai message?

En effet la lettre n’avait absolument pas brûler, et le message qui était écrit dessus avait changé. Le professeur la reprit du feu, grâce à un sort d’attraction bien sur, et la rendit à Harry. Ce dernier lu à voix haute le nouveau message qui était inscrit dessus.

- Rendez-vous aujourd’hui à treize heures, près de la falaise du rocher mort. Si tu veux que je te rende ton petit ami en vie, tu dois me livrer le dragon. Si tu viens sans qu’il soit avec toi, je serai dans l’obligation de tuer Draco.
Voldemort. »

- Le dragon, s’exclamèrent Harry et Ron.

- C’est de moi qu’il parle. S’exclama Thomas.

- De toi? Comment ça? Reprirent les deux adolescents.

- C’est mon surnom. Je suis un animagus, l’une de mes formes animales est le dragon.

- whaou, fit admiratif Ron. Quel dragon?

- Je crois que le moment est mal choisit pour parler de ça. Viens Harry, on y va. Répondit Thomas, qui n’avait pas trop envie de parler de ça.

- D’accord, dit Harry, impatient de sauver l’homme de sa vie.

- Je fais quoi moi, demanda Ron.

- Tu donne la lettre à Albus. Tu lui dis bien de ne rien faire, que je suis partie avec Harry au rendez-vous. Surtout tu ne la montres à personnes d’accord? .

- Tu peux compter sur moi.

Harry est Thomas était déjà parti quand Ron murmura un bonne chance Harry, avant de se rendre dans le bureau du directeur.

************************************

Lieu du rendez-vous un peu plus tard. Voldemort était impatient de voir Harry et Thomas. Il avait prit la peine d’attacher Draco, et le tenait bien fort afin d’éviter que ce dernier ne puisse s’enfuir. Il allait enfin avoir le dernier ingrédient pour faire sa potion. En effet il était stipulé qu’il fallait le sang d’un sorcier, mais pas n’importe lequel, il fallait que celui ci aie la possibilité de se transformer en Dragon. Ce qu’il ne savait par contre, c’était que la recette de cette potion était fausse. En aucun cas il ne fallait y mettre du sang dans celle ci. Au risque de la rater, et d’en subir les regrettables conséquences. Comment aurait il su cela, il n’avait jamais fait cette potion avant. Il avait trouvé la formule dans un vieux livre qu ‘il avait trouvé par le plus grand des hasards, dans son manoir. Livre que Managua avait pris la peine de mettre dans la bibliothèque personnelle du seigneur des ténèbres, mais en ayant pris la peine de modifier les ingrédients de la fameuse potion.

Il fut coupé dans ses pensées par l’arrivée tant attendue de ses deux invités. Telle ne fut pas sa surprise quand il vit Salinger marcher avec difficultés, devant s’aider d’une canne.

- Je suis là Voldemort, tu peux lâcher Draco, dit Thomas.

- Pas tout de suite. Au faite depuis quand tu as besoin d’une canne pour marcher, mon cher cousin.

a suivre chapitre 11, deuxième partie.

:hola:

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MessagePosté: 16 Aoû 2004 16:23 
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Localisation: Brest pour le moment
EHHH mais ça va pas non tu vas pas non laisser la en plan!!!!!!!!!!
Je veux la suite moi!!!!! ( pas raleuse la fille je vous jure)
:harrydraco: :sevy:
:sourire: enfin bon continueuh sinon ça va pas allersdu tout


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MessagePosté: 16 Aoû 2004 17:58 
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Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
Même chose ! Je veux :suite:

Et puis, c'est quoi cette histoire ? Voldemort est le cousin de Thomas ? Ouh là...

Vite :suite:

Cybelia.


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MessagePosté: 16 Aoû 2004 19:59 
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou :ange:

merci a valmont, j'ai coupé ce chapitre au mauvais endroit, hein, c'est fait expres, sinon tu en aurais trop su d'un coup lol. :P

merci a cybelia, oui voldemort est cousin avec thomas, mais entre les 2 hommes, on est loin de l'amour fraternel, n'en dis pas plus :wink:

chapitre 11(b) Danser sur les braises ( Calogèro)

:harrydraco:

- Je suis là Voldemort, tu peux lâcher Draco, dit Thomas.

- Pas tout de suite. Au faite depuis quand tu as besoin d’une canne pour marcher, mon cher cousin.

- Cousin, cria Harry. Comment ça cousin ?

- Harry, S’exclama Voldemort. Tu ne savais pas que Thomas était mon cousin?

- Thomas, s’indigna Harry. Pourquoi tu ne me l’as pas dit?

- Tu ne vois te dire, je suis Thomas Salinger, professeur de défense contre les forces du mal, et cousin de Voldemort avant tout. Aurais tu eu confiance en moi, si tu avais su la vérité?

- Tu n’es pas responsable de ce qu’il a fait. Tu m’as prouvé que tu étais quelqu’un de bien, en qui on peu avoir confiance. Si tu étais mauvais tu ne m’auras pas sauvé la vie dans la forêt, tu ne serais pas ici avec moi.

- Merci Harry, dit avec reconnaissance Thomas.

Ce qui déplut grandement Celui Dont On Ne Doit Pas Dire Le Nom, qui était mis à l’écart, comme s’il n’était pas présent. D’une voix termes et sombre, il dit.

- Au fait Thomas, comment va ta charmante femme Mélinda, et ton fils Mathieu si adorable? Cela fait un moment que je n’ai plus de leurs nouvelles. Ils vont bien au moins?

- Comment ose tu me parler d’eux, hurla Thomas.

- Ah! Oui, j’avais oublié qu’ils étaient morts. Je suis désolé avec l’âge on a tendance à oublier.

- OUBLIER? TU TE FOUS DE MA GUEULE ? COMMENT PEUX TU OUBLIER CE QUE TU AS FAIT ?

- Ah! Oui, c’est vrai. C’est moi qui les ai tués. Veux tu que je te raconte comment elle est morte? Comment elle m’a supplié de ne pas la tuer ? Tu savais qu’elle était enceinte à ce moment?

- QUOI ?

- Tu ne le savais pas? Il n’était peut être pas de toi, après tout.

- Comment avez vous osez faire ça, cria à son tour Harry.

- Demande le à Thomas. Il l’a bien cherché.

- Cherché? Mais de quoi parler vous?

Thomas c’était mis à pleurer, tant de souvenir lui revenait à l’esprit. Il ne savait pas que sa femme attendait un deuxième enfant. Voldemort avait le chic de remuer le couteau dans la plaie.

- Puisque Thomas n’a pas l’air d’être en état de parler, je vais tout te dire, reprit le seigneur des ténèbres. Quand j’ai fini mes études à Poudlard, j’ai fait croire à Dumbledore que je voulais être auror, ce qui était faux bien sur. Mais ce crétin de directeur a cru à mon mensonge, et a même demandé à mon cousin de me donner des cours de magie noire, afin que je puisse être plus fort. Au début Thomas ne s’est pas méfié, mais il a vite compris que j’avais menti. Il a refusé de m’aider, il m’a traité de fou, et a refusé de devenir mangemort, comme je lui avais demandé si gentiment. Pour le punir de m’avoir quitté, je voulais le tuer, mais je me suis dit que si je m’y prenais à sa femme et de son fils, il en souffrirait bien plus.

- Vous êtes un monstre. Hurla Harry.

- Tu crois? Mélinda était une simple moldue, elle ne méritait pas de vivre.

- Elle était enceinte.

- Et ? Je n’épargne les gens pour des détailles aussi peu significatifs. De plus si c’était pour pondre un autre cracmol, ce n’était pas nécessaire qu’elle le mette au monde, il y en a assez dans ce monde. Ce n’est pas que je n’ennuie, mais il y a un échange à faire Thomas contre Draco. Alors demande-lui de venir me rejoindre.

- NON.

- Dans ce cas je tue Draco. Tu sais ce que je suis capable de le faire.

Toujours en pleure Thomas se mit en marche. Mais n’ayant pas eu le temps de prendre sa potion, sa blessure le fit souffrir, et il marcha lentement.

- Peux tu marcher plus vite, demanda Voldemort.

- Je ne peux pas. Tu vois bien que je boite.

- Ne fais pas semblant d’être blessé pour ralentir ta marche.

- Je ne fais pas semblant, j’ai mal.

- C’est ça. Bon je te laisse dix secondes pour me rejoindre. A dix je tue Draco. Dix, neuf, huit…

Pendant que Voldemort commençait son compte à rebours morbide, Thomas lui alla directement vers le bord de la falaise. Tom comprit tout de suite ce que son cousin avait l’attention de faire. Il arrêta de compter, lâcha Draco, et se précipita vers lui.

- Thomas, non, ne fait pas ça. Tu es fou? Cria t’il

- Tu ne me forceras pas à te suivre. Soit tu libère Draco et tu le laisse partir avec Harry, soit je saute. Que choisis tu?

En voulant empêcher Thomas de s’approcher de plus près du bord, Voldemort l’attrapa par le bras. Comme c’était celui qui tenait la canne, Thomas perdu l’équilibre et la fit tomber.

- Je ne peux pas te laisser mourir. Si jamais tu saute, Managua va me tuer.

- Managua? Il est avec toi?

- Oui, je savais que cette nouvelle te ferais plaisir. Alors fait comme lui.

- Sais t’il ce que tu fais en ce moment?

- Bien sur que non.

- Tu sais qu’il ne serait pas content de savoir que tu me forces à te suivre.

- Il ne le saura jamais.

- Oui puisque tu es trop lâche pour lui tenir tête.

- Ca se vois que tu ne le connais pas. ( nda: voldy ne sait toujours pas que Managua est le jumeau de Thomas, pas encore.)

- Plus que tu ne le crois.

- En attendant ne reste pas aussi près du bord, viens.

En voulant l’obliger à marcher, Voldemort se rendit compte que son cousin n’avait pas fait semblant d’être blessé. Enervé, il fit un geste brusque. Ce qui eu pour effet de faire le faire tomber.

- Relève-toi!

- Je ne peux pas.

A ce moment ma partie de la falaise sur laquelle se trouvait Salinger, qui n’était qu’en équilibre précaire, s’effondra emportant avec elle, la personne qui était encore dessus. Tom eu le réflexe de rattraper Thomas par le bras avant qu’il ne tombe, lui aussi.

- Thomas, non, hurla Harry. Je ne veux pas que tu ne meures.

- Je n’ai pas le choix Harry. Si Voldemort me ramène dans son château, il fera de moi un mangemort. Je préfère la mort plutôt que d’être son allié.

Justement Voldemort paniquait, il n’avait pas prévu ce retournement de situation. Si Thomas venait à mourir, il pourrait dire adieux à sa potion. Et cela il refusait de le faire. Il voulut l’obliger à remonter, mais n’en avais pas la force.

- Fais quelque chose Thomas, remonte.

- Même si je l’avais voulue, je ne pourrais pas le faire.

- Alors transforme-toi. Tu es si beau quand tu es un dragon.

- Tu sais bien que je ne le ferais pas. Lâche-moi.

- Sûrement pas, j’ai besoin de ton sang.

Mais la résistance de Voldemort avait ses limites, il ne pu tenir plus longtemps, et du lâcher, malgré lui Thomas, qui fit une chute dans le vide sans fond.

Harry qui sous le choc et la surprise n’avait eu le temps de faire quelque chose, tout ceci était passé si vite. Sorti sa baguette et la pointa sur Voldemort.

- Assassin, je vais vous le faire payer.

- Adieux, dit le seigneur des ténèbres avant de transplanter.

Harry se précipita sur le rebord de la falaise dans le but de voir s’il pouvait y voir quelque chose, mais non il ne vit rien. De dépit, et en pleure, il alla libérer Draco de ses liens. Ce dernier le prit dans ses bras affectueusement, mais n’arriva pas à le consoler.

- C’est de ma faute si Thomas est mort.

- Ce n’est pas toi qui l’as poussé, c’est à cause de Voldemort qu’il est tombé.

- Si j’avais été plus fort rien de tout cela ne se serait passé.

- Ne dis pas ça Harry. Tu sais bien que tu n’y es pour rien. Tu as été courageux de venir me sauver.

- Cela n’a pas suffit. J’aurais du être avec toi, il ne t’aurait pas kidnappé si j’avais été là. Aide-moi, on doit l‘aider à remonter.

- Harry. On ne peut plus rien faire pour lui.

- NNNNNNNOOOOOOOOONNNNNNN. Il ne méritait pas de mourir.

- Personne ne mérite de mourir.

Draco ramena de force Harry à Poudlard. Ce dernier avant de partir ramassa la canne de Thomas, c’était la seule chose qu’il restait de son professeur.

************************************************

Ron fut soulager de voir Harry avec Draco, mais il ne comprenait pas pourquoi Thomas n’était pas avec eux. Avant qu’il n’ai eu le temps de dire quelque chose, le directeur et Séverus, qui venaient d’arriver emmenèrent les deux adolescents encore sous le choc dans une pièce isolée.

- Harry, ça va demanda inquiet Dumbledore? Que c’est il passé, pourquoi Thomas n’est pas avec vous?

Harry voulu parler, les mots ne voulaient pas sortir de sa gorge. Ce fut Draco qui du expliquer ce qu’il s’était passé.

- Tu es sur Draco, demanda Séverus. Tu as bien entendu Voldemort dire à Thomas que Managua était devenu un mangemort?

- Oui professeur.

- Dans ce cas, nous pouvons espérer que Thomas soit encore en vie.

- Je ne pense pas dit Dumbledore. Pas après la chute qu’il a du faire.

- Albus, vous savez parfaitement qu’Alexandre ne le laissera pas mourir. Il a du intervenir.

- Pour mieux le tuer par la suite. Il veut le pouvoir est Thomas est un obstacle. Ne l’a t’il pas toujours détesté?

- C’est ce qu’il aime à faire croire. La vérité est tout autre.

- Vous croyez?

- C’est son frère.

- Ce n’est pour ça qu’il va l’épargner.

- Je sais ce que je dis. Avez vous oubliez que j’étais très proche d’Alexandre.

- Un peu trop, si vous voulez mon avis.

- Que voulez vous dire par-là?

- Vous le savez parfaitement. En attendant, il faudrait mieux que la disparition de Thomas reste entre nous. D’accord Séverus.

- Oui, monsieur le directeur. Mais comment faire, demain il devait donner des cours.

- Nous dirons qu’il est malade.

- Comme vous voulez.

- Harry, Draco, reprit le directeur à l’intention de ses jeunes élèves, je compte aussi sur vous pour garder le secret.

****************************************

Des recherches furent effectuées près de la falaise du rocher mort, il n’y avait aucune trace du corps de Thomas. Dans un sens c’était rassurant, il n’était pas mort, du moins c’est ce qu’ils crurent. Harry du pendre une potion de sommeil avec de se coucher, et il ne parla pas de la disparition de Thomas aux élèves. Ce qui était inutile puisque que malgré tout, tout le monde était au courant. Ron ne savait pas quoi dire, Hermione non plus.

A suivre, Chapitre 12, Qui parlait ? À ne pas manquer.

pour la suite demandé, pas compliqué :hola:

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MessagePosté: 16 Aoû 2004 20:24 
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Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
Bon, la pieuvre, c'est pas que j'aime pas ta fic, mais bon, j'en ai un peu marre d'être la seule à réclamer la suite à chaque fois... :? alors si tu vois un chapitre où je demande rien, tu peux quand même mettre la suite ! :D Je la lirai, mais c'est vrai que parfois, j'ai pas grand chose à dire...

Donc, encore une fois :suite:

Cybelia.


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MessagePosté: 17 Aoû 2004 13:11 
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou :hola:


merci cybelia de me dire ce que tu pense de ma fic :slashvaincra:

je m'adresse a ceux qui ne me laissent pas de messages, vous n'aimez pas ?
c'est juste pour savoir :bye:

voila un chapitre tout mimi :sanscorde:

bonne lecture :P

Chapitre 12: Qui parlait ? ( Calogèro)

Thomas était accroché aux rebords de la falaise, sa chute aussi inévitable qu'imminente, lui serait fatale. Harry courait en sa direction dans le but de le sauver, mais plus il courrait, plus il s'éloignait de son professeur. Il assista impuissant à la chute de ce dernier.

- Thomas nnnnnnnnnnnnnnooooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnnn; hurla Harry en pleure, tout en sortant de son cauchemar.

Ses hurlements nocturnes réveillèrent ses camarades de chambre. Ron fut le premier à se lever, il alla directement voir son ami. Il le sera fort dans ses bras.

- C'est ma faute, tout est de ma faute, articula le survivant entre deux hoquets.

- Tu n'y es pour rien, lui répondit Ron.

- Tu n'étais pas présent. Tu ne sais rien du tout.

- Tu crois qu'en culpabilisant, il va revenir, s'indigna le roux excédé par le comportement de son ami. Tu ne seras jamais assez fort pour battre, qui tu sais, si tu te laisse abattre et que tu renonces à te battre.

- Mais, à cause de moi tous ceux qui m'approchent finissent par mourir.

- Déjà on n'a aucune preuve qu'il soit mort. Et si c'était bien le cas, crois tu qu'il serait content de te voir comme ça? Il ne s'est pas sacrifié pour que tu pleures, mais pour que tu puisses vivre et accomplire la prophétie.

- Tu crois?

- J'en suis sur, oui!

- Tu as sans doute raison.

- C'est mieux, tu devrais te rendormir maintenant. Je vais rester à côté de toi.

- Merci tu es gentil.

**************************************

Les cours reprirent normalement, Rogue fut chargé de rependre les cours de défense contre les forces du mal. En effet Sirius, qui était encore au château ne pouvait le faire, n'étant toujours pas réhabilit

Comme a son habitude, Séverus voulut faire un cour théorie et peu passionnant.

- Ouvrez votre livre page 22, dit il sans même accordé à ses élèves le moindre regard.

Personne n'ayant pris la peine d'empoter leur livre, il n'y eu donc aucune réaction.

- Qu'attendez-vous? S'énerva le professeur remplaçant. Ouvrez votre livre.

- Excusez-moi, professeur, intervena Hermione, sans avoir levé la main avant. Mais Thomas nous avait fortement déconseillé de venir avec notre livre.

- En attendant Melle je-sais-tout, je ne suis pas Thomas, et dans mon cour on se sert du livre. On doit aussi demander l'autorisation de parler avant d'intervenir. Dix points de moins à Gryffondor. Puisque aucun d'entre vous n'a pris la peine de venir en cour avec un livre, je vais vous faire faire une interrogation surprise. Cela me permettra de vérifié votre niveau, qui doit être comme je le crois peu élevé. Je ne veux entendre aucune protestation.

Après avoir distribué les copies, Séverus retourna s'assoie derrière son bureau. Ron, comme la plupart des autres élèves commençant à regretter les cours, plus vivants et plus instructifs de Thomas.

Au milieu du cours, un intrus entra dans la salle. C'était Thomas, ce qui ravie les jeunes filles. Mais intrigua Rogue, en effet la personne qui venait d'entrer, n'éprouver aucune difficulté à marcher.

- Je te remercie Séverus, s'exclama Thomas, d'avoir eu la gentillesse de me remplacer pendant mon absence. Mais étant revenu, je vais reprendre ce cour.

- Je t'en prie Thomas, c'est pour moi, un plaisir de te rendre ce service. Tu n'as pas été blessé lors de ta chute? Tu reviens si rapidement.

- La chute n'était pas si terrible que ça.

- Je dois avouer que tu m'étonnes quand même. Tu as l'ai bien pressé de rependre tes cours. Tu aimes enseigner à ce point ?

- Je ne veux surtout pas que tu ai trop de travail par ma faute.

- Mais ici, on ne dispense pas de cour de magie noire. Juste de défense contre les forces du mal.

- Pourquoi? La défense contre les forces du mal et d'un ennuie.

- C'est bon, je t'ai reconnu. Tu n'es pas Thomas, mais Alexandre.

- Non, je m'appelle Thomas. Aurais tu déjà oublié mon nom? Je ne suis pas absenté suffisamment assez longtemps pour que tu ne saches plus comment je m'appèle.

- Ne joue pas ce petit jeu avec moi. Bien que tu ai pris l'apparence de ton frère, tu dégages une aura bien différente de la sienne. De plus tu as oublié un accessoire dans ton déguisement du parfait petit Thomas professeur à Poudlard.

- Un accessoire?

- Oui, ta canne

- Pourquoi devrais je avoir une canne?

- Pour marcher.

- Je peux marcher sans cela. Je ne suis pas si vieux que ça.

- Thomas en as besoin, il boite. Tu ne le savais pas?

- Depuis quand mon frère a t'il besoin d'une canne pour marcher? Cria Alexandre hors de lui.

- Il y a eu un regrettable incident dans la forêt, il a reçu une flèche dans un genou.

- Regrettable en effet!

- Alexandre, maintenant que je t'ai reconnu, peux tu reprendre ta véritable apparence. J'ai la pénible impression de parler avec un mort.

- Crois tu que j'aurais laissé, ce crétin de, Voldemort tuer mon frère sans rien faire. Thomas est vivant, il se repose actuellement dans ma demeure.

- Alors tu savais ce qu'il allait se passer hier?

- Un petit sorcier bien laid, m'a tout raconté.

- Queudver?

- Oui c'est lui. Il est très utile pour la trahison.

- Pourquoi a tu prit la peine de venir ici? Ce n'était pas dans le but de donner un cour. Tu as autre chose en tête.

- Que va tu imaginer, je voulais me rendre utile, rien de plus. A ce que je vois tu continues à donner des cours peu passionnant, oublie un peu tes livres, et décoince-toi. Tes étudiants ne t'aimeront que d'avantage.

- Ce n'est pas à toi de me dire comment faire mes cours. Dis-moi plutôt où est Thomas?

- Je viens de te le dire, chez moi. Je ne vais pas te déranger plus longtemps. Continu donc ton cour.

*************************************

L'échec de son plan avait rendu Voldemort de forte mauvaise humeur. Non seulement il n'avait pas réussit à ramener son coussin à son maître, mais en plus il n'avait pas non plus le dernier ingrédient qui lui faisait défaut pour faire sa potion. De plus il n'y avait personne avec lui, il ne pouvait pas se calmer sur Queudver. Sa solitude fut de courte durée, en effet Peter venait d'arriver, et d'après la blancheur de sa peau, il n'avait pas l'air très sur de lui.

- Maître, murmura t'il. Vous avez de la visite.

- Peux tu me dire de qui il s'agit?

Mais queudver n'eu pas le temps de répondre à cette question. Managua venait d'arriver, visiblement il était très en colère. Ses yeux reflétaient parfaitement son état de fureur.

- J'espère que tu es fière de toi, dit il, d'une voix d'outre tombe, envers Celui Dont On Ne Doit Pas Dire Le Nom.

- Bonjour Maître Managua, répondit, le seigneur des ténèbres. Comment allez-vous ce matin?

- Je t'ai pausé une question. J'aimerais que tu y répondes au lieu de détourner la conversation. Je sais ce que tu as fait hier.

- Hier? Je ne vois pas de quoi vous voulez me parler?

- Ne me prends pas pour un imbécile. Hier tu as pris Draco en otage dans le but de faire venir Thomas à toi. Comme ce dernier à refuser de te suivre, tu l'as fait tomber dans un gouffre. Ce n'est qu'avec de la chance qu'il a survécu à cette chute, bien qu'il ai eu de sérieuses blessures. Je croyais t 'avoir intredit le toucher.

- Maître je peux vous assurer qu'en aucun cas je n'ai voulu intenter à sa vie. C'est lui qui a pris la décision de sauter.

- Uniquement parce que tu l'as poussé à le faire.

- Mais ne souhaitez-vous pas sa mort?

- Certes, c'est mon désir le plus cher. Mais c'est à moi de le tuer. Je vois que tu as besoin d'une petite correction.

Alexandre, cette fois ci sorti sa baguette qu'il pointa directement sur Voldemort.

- Maître, non. Je vous en supplie, ne me faites pas ça. Je ne voulais pas vous contrarier.

- Je n'ai aucune pitié envers ceux qui lèvent la main sur mon frère.

- Votre frère? C'est impossible Thomas ne peut avoir de frère. Sa mère est morte après l'avoir mis au monde.

- Nous sommes jumeaux, bien que je déplore le fait de ne pas lui ressembler. Tu ne savais pas que je m'appelais en vérité Alexandre Salinger? Managua n'est que le surnom que n'avait donné Thomas lorsque nous étions enfant. Alors je te préviens, je ne me répèterais pas une seconde fois. Si jamais il t'arrive de toucher de nouveau à mon frère, je n'hésiterais pas à te tuer. Me suis je bien fait comprendre? Endoloris.

Cette ci le sort fut terrible pour Voldemort. Ce dernier était pris de spasme tellement qu'il souffrait. C'était comme ci il brûlait vive sans pour autant qu'il n'y ai aucune flamme autour de lui.

Au bout de deux heures, la douleur ayant disparu, le seigneur des ténèbres, après s'être relevé, se rendit dans son laboratoire. Il allait faire la potion, même s'il manquait le sang de Thomas. Il avait décidé d'utiliser le sien, après tout il était de la même famille. Il ne voulait plus subir les colères de Managua, il devait être plus fort afin de lui tenir tête. Décidé et déterminé, il se mit à faire la potion interdite, que personnes hormis Merlin, n'avait réussit.

*******************************

Après les cours Harry et Draco décidèrent de se retrouver tous les deux. Ils se rendirent dans la salle sur commande, afin de ne pas être dérangé. A peine fut ils entraient que le Serpentard embrassa fougueusement le Gryffondor. Pendant que les langues des deux amants jouer ensembles, les mains du blond, explorer le corps du brun. Il ne lui fallut pas longtemps à enlever le pull qui le gênait, et ou enfin voir le torse musclé de son amant. Les caresses de Draco ne firent qu'augmenter le désir d'Harry, qui se senti un peu trop à l'étroit, au niveau de l 'entrejambe, dans son pantalon. Détail qui n'échappas pas à Draco. Dans le but de soulager son amant, il mis sa main dans le caleçon d'Harry, et lui caressa le pénis avec des mouvements doux et tendres. Ce qui eu pour effet d'accentuer le désir du brun. Il avait de plus en plus envie de faire l'amour a son tendre et cher.

Ce dernier le senti, et enleva au Gryffondor ce qui lui restait comme vêtement. Il fit de même pour lui. Quand les deux amants se retrouvèrent nus, ce fut le brun qui prit les devants. Il commença à introduire dans l'intimité du blond un doigt, afin que ce dernier s'habitude à une présence étrangère dans son corps. Quand Draco fut prêt, Harry le pénétra tout doucement, il ne voulait pas lui faire du mal.

Les deux amants décidèrent de ne pas se rendre au repas du soir, et restèrent ensembles tout le reste de la nuit, couchés sur l'un des canapés.

- Je t'aime, Harry, avoua Draco. Si seulement on pouvait rester tout le temps ensembles.

- Je voudrais ne plus te quitter moi aussi, mais tu sais que ce n'est pas possible.

************************************

Quand Thomas reprit connaissance, il était allongé dans un lit. Ses blessures avaient été soignées, et il avait un pyjama bleu nuit. La chambre dans laquelle il se trouvait lui était étrangère. Le jour était levé depuis longtemps, mais il régnait dans la pièce une pénombre, qui empêchait de voir les détails. En voulant se lever, il se rendit compte qu'il était attaché au lit.

Un elfe de maison entra et déposa sur la table, proche du lit un plateau, sur lequel était pausé une fiole. En se retourna il s'aperçu que l'invité ne dormait plus.

- Je suis content de vous voir réveillé, lui dit il.

- Où suis je? Demanda Thomas encore plus ou moins endormit.

- Dans le manoir des Salinger.

- Depuis combien de temps suis je ici?

- Je ne saurais vous le dire, je n'ai pas la même notion du temps que vous. Je vais vous laisser, afin d'aller prévenir le maître de votre réveille.

Le maître en question arriva quelques minutes après le départ de l'elfe.

- Je suis content que tu sois réveillé Thomas, murmura t'il.

- Moi aussi je suis heureux de te revoir Alexandre, ironisa Thomas. J'en aurais même sauté de joie, si je n'avais pas été attaché. Tu avais peur que je m'enfui?

- Mais non, que vas tu imaginer. Tu avais un sommeil très agité, je ne voulais pas que tu te fasses du mal.

- Tu peux me détacher maintenant?

- Je ne sais pas, tu pourrais partir en courant.

- En boitant je n'irais pas très long.

- Alors c'est vrai, tu boites? Je te détache, mais tu dois me promettre de pendre ton médicament.

- Arrête de te moquer de moi, dépêche-toi un peu.

Alexandre détacha donc Thomas, et l'aida à se relever afin qu'il puisse pendre sa potion.

- La prochaine fois ne fait pas ce genre de bêtises. Tu ne peux pas savoir comment j'ai eu peur. J'ai cru que tu étais mort. Tu es la seule famille qu'il me reste.

- tu oublies notre cher cousin Voldemort. Il m'a affirmé que tu l'avais rejoints, c'est vrai?

- Bien sur que non. Je fais semblant. Tu me vois me mêler avec un sang de bourbe.

- Pourquoi lui faut tu croire le contraire?

- Ca m'amuse un peu. De plus je sais qu'il a assassiné ta femme et ton fils. Je lui ferais payer plus de mille fois tout le mal qu'il t'a fait.

- Soit prudent, il est fourbe.

- Je sais c'est pour ça que je lui ai fait croire que je voulais te tuer moi-même, pour pas qu'il essaye de le faire.

- Ta compassion me touche. Tu vas rester avec lui encore longtemps?

- Non, dés qu'il fera un pas de travers, je pendrais sa place.

- Tu risque d'attendre.

- Je ne pense pas, il est en train de faire la potion interdite.

- Comment a t'il eu la formule?

- Je lui ai laissé livre des potions oubliées.

- Tu sais ce que tu risque s'il la réussit?

- Comment pourrait il la réussir alors que j'ai modifié tous les ingrédients? Quand tes blessures auront guéri, je te ramènerais à Poudlard. Pas avant.

Thomas se rendormit, il avait pris une potion de sommeil. Quant à Managua, il alla faire un tour dans la forêt interdite, histoire de rappeler aux centaures qui y vivaient ce qu'il en coûte de touché à son frère.

A suivre chapitre 13, Un monde en équilibre, à ne pas manquer.

alors dois continuer a mettre cette fic, ou elle n'est pas assez bien?

:|

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MessagePosté: 17 Aoû 2004 15:52 
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Slash ou non, telle est la question...
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Localisation: Brest pour le moment
C est quoi cette question ?? hein ?????????
non mais ca va pas
tu vas me faire le plaisir de continuer!!!!! * suate partout en trepignant de rage*
JE veux la suite
j adore ta fics *oui je me calme*
*prend un air supliant* tu veux bien mettre la suite dis ?
:bravo:


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MessagePosté: 17 Aoû 2004 20:51 
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou :delire:

il suffit de demander, puisque valmont veut que je continues, je mets la suite, chapitre 13.

bonne lecture a tous. :harrydraco:

Chapitre 13: Un monde en équilibre ( Calogèro)

La saison de Quidditch venait de rependre. Les entraînements intensifs aussi. Harry avait quelques difficultés à conjuguer son poste d’attrapeur et de capitaine de l’équipe. Heureusement Olivier était là pour l’aider.

Il s’occupa surtout des poursuiveuses à qui il donnait des conseilles. Bien que Clémentine, fut au détriment des deux autres, la plus regardée par Olivier.

Il n’était pas le seul à suivre l’entraînement avec intérêt, Maêlisse aussi, elle n’avait que yeux pour son, beau et séduisant rouquin, Ron. Quant à Draco, la seule personne qui l’intéressait était son superbe brun, répondant au doux nom d’Harry.

Les deux nouveaux batteurs de l’équipe n‘étaient pas très adroits, Harry devait sans cesse éviter les cognards que ses deux crétins, Andrew et Jack renvoyaient dans le plus grand désordre possible et imaginable.

A la fin de l’entraiment, Draco alla voir Harry.

- Tu ne pourrais pas changer tes batteurs, ils sont si nuls.

- Ce sont les meilleurs.

- Ils ont faillit te faire tomber de ton balai, et ceux plusieurs fois.

- Je ne suis pas tombé.

- Ce n’est pas une raison. Je vais….

Mais le brun ne permit pas au blond de finir sa phrase. Harry avait mis ses lèvres sur celle de Draco. Ce dernier ne s’en plaignat pas, au contraire.

- Arrête de parler, mon cœur, murmura le Gryffondor à l’oreille de son amant.

Sur ce il reprit son baiser, en ouvrant un peu la bouche, ce qui permit au Serpentard d’introduire dans la bouche de son amant sa langue.

Ron alla rejoindre Maêlisse, qui était sous le charme de son nouveau petit copain.

- Tu es formidable Ron, lui dit-elle. Bien que je le déplore.

- Pourquoi?

- On risque de perdre le match samedi.

Clémentine n’alla pas aux vestiaires comme ses coéquipiers, elle alla rejoindre Olivier qui l’attendait.

- Tu es formidable quand tu es sur un balai, s’exclama t il, avant de m’embrasser.

- Je suis formidable ailleurs aussi, répondit la jeune fille, dont les joues avaient prit la même couleur que sa robe.

- Je suis impatient de voir ça. Allons discuter dans un endroit plus calme.

****************************************************

Cela faisait une semaine que Thomas avait disparut. Séverus fut chargé de donner en plus de ses cours habituelles, ceux de défense contre les forces du mal. La nouvelle de la disparition de Thomas était arrivée, on ne sait comment, aux oreilles du ministre. Ce dernier décida de venir en personne à Poudlard afin de vérifier le fondement de cette rumeur. Ce matin, il entra dans la grande salle, non sans une certaine fierté, suivi de près par Percy, et d’un deuxième homme, petit, gros, vieux et boutonneux. Il se rendit à la table des professeurs afin de parler au directeur.

- Bonjour Dumbledore, s’exclama t il. Savez vous qu’en ce moment circule une rumeur. J’ai entendu dire que votre professeur de défense contre les forces du mal était porté disparu, voir qu’il serait mort. Est ce vrai?

- Vous n’allez pas croire en ces on dit, Cornellus. Vous savez que les rumeurs ne sont en principe jamais fondées sur des faits réels.

- C’est possible. Mais en attendant je ne vois le professeur Salinger nul part. Pouvez vous me dire où il se trouve? .

- Thomas a eu un léger problème familial. Dimanche matin, il est venu me voir afin que je lui donne la permission de rentrer chez lui.

- Un problème familial vraiment? Rien de grave au moins?

- Sa mère à eu un malaise, il est parti afin d’être à son chevet.

- Sa mère? Il n’aurait pas plutôt pris ses jambes à son cou, par peur. Le professeur handicapé, n’est peut être pas si courageux que ça après tout.

- Que voulez vous dire par-là ? Thomas ne s’est pas enfui. Il va revenir quand ses problèmes seront réglés.

- Quand? Avez vous une date précise à me donner?

- Je ne sais pas.

- Si j’ai bien compris, vous n’avez plus de professeur pour donner les cours de défense contre les forces du mal. Bien sur vous ne vous êtes pas donné la peine de me prévenir. Vous savez que si vous n’êtes pas en mesure de proposer un professeur, que je dois le faire à votre place.

- Son absence devait être de courte durée, il aurait du revenir. De plus le professeur Rogue a eu la gentillesse de le remplacer. Je ne voyais pas l’utilité de vous embêter avec ce petit retard, et de convoquer un nouveau professeur pour seulement un ou deux jour.

- Cela fait une semaine. Sa mère doit être bien malade, pour qu’il soit SI longtemps retenu. A moins que ce soit une fausse excuse.

- Fausse excuse, s’indigna Dumbledore. Sa mère est souffrante, n’avais vous donc aucun cœur. Je ne pouvais pas lui interdire d’aller à son chevet.

- Vous savez parfaitement que cela n’est pas possible. Par contre il vous est difficile d’avouer, que le professeur, en qui vous aviez toute confiance puisse vous trahir et passer à l’ennemi. Rien d’étonnant, la famille Salinger a toujours été composée de lâche et de traître. Vous aurez beau le niez, cela ne changera rien à la triste vérité, Salinger est devenu un mangemort.

- Comment osez-vous, Cria Séverus, qui n’en pouvait plus d’entendre Fudge dire autant de mal de son ancien maître. Thomas est plus courageux que la plupart d’entre nous. Il aurait préférer mourir plutôt que de rejoindre Voldemort.

- Il est influençable, comme nous tous. De plus j’ai récemment appris qu’il était le coussin du seigneur des ténèbres. Ce sont des signes qui ne trompent pas.

Cette nouvelle eue l’effet d’un coup de canon. En effet mis à part Draco, Harry, Dumbledore, Séverus, personne ne connaissait le lien de famille qui lié Thomas à Voldemort. Surpris les élèves commencèrent à chuchoter entre eux, beaucoup avaient des doutes envers la fiabilité de leur professeur.

Fudge était au sommet de sa joie, après une telle nouvelle il pouvait être sûr que Salinger ne pourrait plus être professeur dans cette école, enfin s’il revenait un jour, ce que doutait plus que fortement le ministre, forcément incompétent de la magie. Douce vengeance envers l’homme qui avait osé lui tenir tête, lui empêcha de s’emparer de Sirius afin de le livrer aux détraqueurs, ce qui lui aurait permit à coup dur de garder son poste au sein du ministère, emploie qu’il s’efforçait de conserver malgré ses capacités proche du zéro absolu.

- Donc, continua Fudge, j’ai le plaisir de vous présenter le nouveau professeur de défense contre les forces du mal, le professeur Maurice Roberts.

Le professeur Roberts était bien évidement le petit gras boutonneux qui avait suivi le ministre.

Quant à Percy, fidèle à lui-même avait pris note de tous ce qui c’était dit, sans se rendre compte que ses deux benjamins, Ron et Ginny le fusillaient du regard.

La nomination d’un nouveau professeur ne déclencha aucune joie de la part des élèves, malgré les doutes qu’ils auraient pu avoir envers Thomas, il fallait avouer qu’il était un bon professeur.

***************************************

Match de Quidditch, Gryffondor Vs Serpentard. Percy qui n’avait jamais eu la chance de voir son frère et sa sœur jouer, demanda la permission auprès de Fudge de rester afin d’assister au match. Privilège qui lui fut accorder, en effet le ministre désirait lui aussi voir le match.

Les gryffondors avaient un avantage non négligeable, des poursuiveuses hors pairs, un gardien exceptionnel, le meilleur attrapeur, bon c’est vrai du coté des batteurs, notion peut mieux faire. Mais cela ne les empêchas pas de pendre de l’avance dans le jeu, et menèrent dès les dix premières minutes 50 à 0. Ron avait réussit à bloquer tous les tris des Serpentard, ce qui déclencha l’admiration de son frère Percy, qui ne manquait rien des exploits de son petit frère.

De sa hauteur Harry avait cessé temporairement la cherche du vif d’or, pour s’attarder à la contemplation de son bel amant. Les cheveux au vent, c’est vrai qu’il était agréable à regarder. Il fut interrompu dans ses pensées les plus intimes par un cognard qui était passé un peu trop près.

- Désolé Harry, cria Jack. Je ne volais pas te réveillé. Puisque tu ne dors plus cherche donc le vif d’or, c’est bien pour ça que tu es là, non?

A ce moment Harry le vit, cette petite boule doré bien capricieuse, il s’élança. Draco aussi l’avait vu, s’en suivit une course entre les deux attrapeurs. Celui des Gryffondor fut le plus rapide, empêcha son homologue des Serpentard de faire gagner son équipe.

- Désolé mon cœur, dit Harry il est pour moi.

- J’aurais ma revanche ce soir, murmura Draco. Tu verras qui est le plus fort.

- Mais j’y compte bien.

Pendant ce temps Ron avait été le premier à redescendre, Maêlisse se jeta sur lui afin de le félicité.

- Tu as été magnifique Ron.

- Tu crois?

- Oui. Répondit la jeune fille avant d’embrasser son beau rouquin.

Dans les tribunes Percy était ravi de la victoire des Gryffondor, bien que contrarié par le fait que son jeune frère puisse avoir une relation, des plus intimes avec une Serpentard. Il ne vit pas qu’Harry lui aussi avait une relation tout aussi intime avec un certain Draco.

************************************************

Thomas avait passé sa semaine chez son frère. Ce dernier avait réussit à soigner toutes ses blessures. Mais un effort brusque risquerait de les rouvrir. Ce matin, il eu enfin la permission de se lever de son lit. Trop faible il tomba dès qu’il mit un pied au sol. Alexandre se précipita afin de l’aider à se relever.

- Ce n’était peut être pas une bonne idée. Recouche-toi, tu n’es pas assez reposé.

- Ca fait une semaine que tu me fais dormir. Je voudrais pouvoir me lever un peu.

- je vais te chercher un marcheur, ça te va?

- Je ne suis pas handicapé à ce point, répondit Thomas mort de rire.

- Il va bien falloir que tu réapprennes à marcher, je vais bientôt de ramener à Poudlard.

- Donne-moi une canne, ça devrait me suffire.

- Comme tu veux. Au fait tu savais que Fudge t’avait trouvé un remplaçant?

- Quoi? Tu connais son nom?

- Maurice Roberts.

- Ce vieux croulant? Tu rigoles, il n’a pas pu le pendre.

- Pas du tout. Tu te rends compte tu te fais remplacer par un retraité. Reprit Alexandre mort de rire.

- Je ne vois pas ce qui tu fais rire.

- Tu perds ta place en profit d’un vieux débile, cracmol. Excuse-moi mais c’est trop drôle.

- Je devrais rentrer aujourd’hui. Aide-moi à me lever.

- Ce n’est pas prudent, tes blessures risquent de se rouvrir.

- Peut être, mais je ne peux pas laisser Harry seul avec ce vieux. Tu sais qu’il est capable de tout.

- Oui tu as raison, il serait en effet plus sage que tu y retourne aujourd’hui.

Alexandre demanda à son elfe de maison d’aller chercher une canne, et aida Thomas à s’habiller. Quand il fut prêt, il le ramena au collège.

*************************************************

Au même moment à Poudlard. Les gryffondors fêtaient comme il se doit leur magnifique victoire aux Quidditch. Draco et Maêlisse étaient bien sur de la fête.

Fudge était resté, mais juste le temps de pendre un rapide repas, il devait retourner à son ministère, il avait du travail.

Le silence se fut quand Thomas arriva dans la grande salle. Il se demandait bien pourquoi tout le monde le regardait avec autant d’intérêt. Il avait d’énormes difficultés à marcher, et avait dans sa main droite, une magnifique canne blanche, surmonter d’un dragon vert, emblème de la famille Salinger. Ce détail infime rassura la plupart des élèves, c’était leur professeur qui était de retour.

A la fois étonné et surpris, Fudge alla directement a la rencontre du professeur déserteur.

- Vous voilà de retour, professeur Salinger, s’exclama le ministre. Comment va madame votre mère? Mieux j’espère.

- Pourquoi me parlez-vous de ma mère?

- Elle n’était pas malade. C’est bien pour aller la voir que vous êtes partis?

- ….

- C’est bien ce que je pensais. Votre mère n’a jamais été malade, elle se porte comme un charme. Puisque vous êtes là, vous aller me dire où vous étiez?

- Cela ne vous regarde absolument pas.

- En ce moment je ne parle pas au fondateur, mais au professeur. En tant que tel vous avez le devoir de me rendre des comptes.

- Je ne vous le dirais pas.

- Vous avez fait un abandon de poste, et vous ne vous voulez pas vous justifier?

- ….

- Ce long silence en dit long. Vous avez rejoint le maître des ténèbres, c’est ça?

- PAS DU TOUT.

- Dans le but de me le prouver, pouvez vous me montrer votre bras gauche?

- Non.

- Montrez-moi votre bras gauche. Enlevez votre chemise.

- NNNOONNN

- Puisque vous le prenez comme ça. Je vais le faire moi-même.

Fudge lança un sort, qui enleva la chemise de Thomas, ce dernier se retrouva torse nu. Il n’y avait aucune trace de la marque des ténèbres, mais il y avait de nombreuses cicatrices, qui semblait être récente, car elle avait été causée par sa chute. Le ministre ne fut pas vraiment satisfait.

- Certes, vous n’avez pas la marque sur votre bras, mais il se peut que vous l’ailliez mise ailleurs. Reprit le ministre qui regardait en dessous de la ceinture.

Ce comportement peu digne d’un ministre suscita de la part des élèves des exclamations, de quel droit humilité t il le professeur Salinger. Fudge semblait être insensibles aux prestations des élèves. Il voulait une réponse à sa question, comme il n’en avait aucune, il décida de jouer un peu, au détriment de Thomas.

- Vous voulez aussi m ‘enlever mon pantalon? Cria ce dernier. Ca vous amuse de m’humilier devant tout le monde?

- Pas du tout, mais c’est la seule façon de vérifier que vous n’avez pas la marque des ténèbres sur vous.

- Pour cela vous me déshabillez en publique. Vous pourriez avoir la décence de le faire en privé.

- Cornelius, je crois que vous allez un peu loin, cria Dumbledore qui s’était levé, veuillez cesser immédiatement.

- Dés que j’aurai la certitude que le professeur Salinger n’est pas parti rejoindre qui vous savez.

- Je vous ai dit que Thomas était auprès de sa mère.

- Chose qu’il semblait ignoré en arrivant. Etrange, n’est ce pas? De plus a la vue de nombreuse cicatrice qu’il a sur le corps, je doute fort qu’il a été voir sa mère. Comme je n’aurais pas de réponse à ma question ce soir, je vais rester encore un peu. Cela vous donnera le temps de réfléchir, mon cher Salinger.

Fudge, sorti de la grande salle.

Harry indignait par ce qu’il venait de voir, se leva afin de ramasser la chemise qui était resté au sol, afin de la donner à son professeur, qui à cause de sa blessure au genou ne pouvait se baiser.

- Merci Harry, dit il

- Je t’en prie.

Après avoir remis sa chemise, qu’il ne prit pas la peine de reboutonner, Thomas se dirigea vers la sortie. Dumbledore qui était debout se pressa afin de le rejoindre.

- Thomas, vous n’allez pas repartir maintenant. Restez un peu pour le dessert.

- Non merci, je n’ai pas faim

- Vous semblez m’en vouloir Thomas, qu’ais je fais de mal?

- vous étiez obligé de lui parler de ma mère? Vous n’auriez pas pu trouver autre chose?

- Cela me semblait être la meilleure excuse, vous êtes en froid avec votre mère?

- Pas vraiment.

- Je suis désolé. Mais je ne vois pas ce qui vous choques.

- Ma mère est morte le jour de ma naissance. Le fait d’avoir parler d’elle me fait du mal. Chaque jour je me dis que c’est de ma faute si elle est morte, répondit Thomas les larmes aux yeux. Alors je vous prie de ne plus m ‘en parler.

- Oui je comprends. Voulez-vous que je vous raccompagne à votre chambre?

- ce ne sera pas nécessaire je connais le chemin.

Thomas reparti, mais affaibli par ses blessures, tomba lourdement au sol. Le directeur voulu l’aider à se réveiller, mais il eu un refus.

- Ne faites pas l’enfant, laissez moi vous aider.

N’ayant pas la force de résister Thomas dû se laisser faire.

- Voilà qui est mieux, reprit Dumbledore. Mais vous serez mieux avec nous. Vous avez tellement manqué à vos élèves.

- N’insistez pas. Je voudrai être un peu seul ce soir

- Acceptez au moins de l’aide pour rejoindre votre chambre. Vous n’êtes plus en état de marcher seul.

- D’accord, se résigna Thomas.

- Harry, peux tu le ramener à sa chambre? , Demanda Dumbledore à son jeune élève.

- Bien sur professeur, confirma le Gryffondor. Appui toi sur moi Thomas.

- Merci Harry.

Harry passa le reste de la soirée avec Thomas, il ne savait que trop bien ce que pouvait ressentir son professeur.

A suivre, chapitre 14, un peu de vent dans l’oubli, à ne pas manquer.


petite annonce, il y a des volontaires pour tuer Fudge?

:hola: :hola:

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kuroro la pieuvre du désert alias kurapika ou klpdd


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MessagePosté: 17 Aoû 2004 21:29 
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Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
Moi !! Je vais sortir mon Van Helsing du placard pour qu'il le trucide ! :evil:

Enfin, à part ça, contente de voir que le frère de Thomas n'est pas si méchant que ça...

:suite:

Cybelia.


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MessagePosté: 18 Aoû 2004 16:43 
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Slash ou non, telle est la question...
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Localisation: Brest pour le moment
Ils sont as tresd nett tes mechant je trouve.... Le frere est trop gentil c ets pas normal......
M enfin bon ça ne chaznger rien :suite: je veux la :suite:


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MessagePosté: 18 Aoû 2004 21:30 
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Le slash, kesako ?
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou

voila un autre chapitre très triste :verysad: :verysad: :injuste: :mouchoirs:

non je ne prends pas un malin plaisir a tuer tout le monde :maiseuh:

a cybelia; alexandre est pas si gentil que ça, tu veras dans le chapitre 15, et aussi dans la suite, je n'en dis pas plus.
ps; van hesling a perdu, fudge est encore vivant, il est pas fort, ^^

a valmont: trop gentil alexandre, bah tu veras toi aussi dans le chapitre 15; lol.

prenez des mouchoirs avant de lire, ^^

lecture :verysad:

Chapitre 14: Juste un peu de vent dans l'oubli. ( Calogèro)

Voldemort venait de finir sa potion, il lui a fallut une semaine afin de la préparer. Elle était d'une jolie couleur rouge pourpre, du à son sang qu'il avait mis, bien qu'il n'avait pas la possibilité de devenir un animagus dragon, il avait quand même la capacité de se transformer en serpent, de plus étant de la même famille que les Salinger, il devait avoir dans son sang, les mêmes principes actif.

Bien sur le mélange, s'il avait été réussit, aurait du être jaune. Donc le breuvage plus que raté, avait pour le seigneur des ténèbres la couleur d'une potion réussit. Plus qu'un remède, elle représentait pour lui, un moyen de se venger de l'infâme Managua. Avec ce nectar, Celui Dont On ne Doit Pas Dire Le Nom, allait être le plus puissant des sorciers, comme le fut jadis Merlin en son temps. Il ne pouvait pas se laisser mener par le bout du nez par l'un de ses mangemorts, sa crédibilité de chef des méchants en avait pris un coup.

Afin de prouver à tous qu'il était bien le chef incontesté et incontestable de cette bande de lâche à cagoule, il allait tuer Potter, et aussi Thomas. Puisque Alexandre tenait tant à la vie de son cher et tendre frère, il allait le tuer aussi. On ne fait pas subir le doloris, et ceux par deux fois, au seigneur des ténèbres sans à en avoir à subir le prix. Ce prix serait la mort du jumeau de Managua.

Donc avec courage, Voldemort bu la potion, dès la première gorgée, il se rendit compte à quel point son goût était infect, immonde même. Il dut se retenir pour ne pas la recracher à quel point c'était dégueulasse. Il voulut en boire une deuxième gorgée mais c'était au-dessus des ses forces, il ne put se résoudre. Tant pis, il serait de toute façon assez fort pour pouvoir tuer ses deux victimes.

Avec une dose aussi faible de potion raté, il n'en mourrait pas, cependant il serait dans les prochaines heures privé, d'abord du contrôle de ses pouvoirs, avant de les perdre temporairement. Sans rien dire à personne, il se rendit à Poudlard.

******************************

Grande salle, heure du petit déjeuner. Fudge mangeait tranquillement. Il était le seul à être parfaitement heureux et détendu. Il allait demander au professeur Salinger des comptes par rapport à son absence, et si la réponse ne le satisferait pas, il lui demanderait de démissionner, et le cracmol serait professeur. Il ne vit pas le regard si haineux de Séverus à son égard. Dumbledore quant à lui n'osa pas regarder Thomas, quand celui ci arriva dans la grande salle afin de n'y pendre qu'un café.

Que dire du professeur Roberts, qui avait fait le déplacement pour rien. En effet le directeur lui avait bien fait comprendre qu'il n'avait pas besoin de ses services, le véritable professeur de défense contre les forces du mal étant de retour.

Percy lui était à côté du ministre, il était visiblement déçu d'avoir était rejète par Ron et Ginny, qui refusèrent de lui parler. Discrètement il regarda Fudge, combien de temps arriverait il à le suivre.

**********************************

Harry avait rejoint Draco, ensembles ils se rendirent dans la grande salle pour pendre leur petit déjeuner. Mais la vue de Fudge, donna la nausée aux deux garçons, comment pouvait il être si serein après ce qu'il avait fait la veille? Dans le but de le voir le moins longtemps possibles, les deux adolescents décident d'emporter leurs repas afin de le déguster ailleurs.

Ils allèrent près du lac, et après avoir posé leur panier repas, s'assiérent.

Immédiatement après Harry commença à embrasser Draco, avec une passion et un enthousiasme très prenant.

- Tu ne voulais pas manger aussi, demanda le blond.

- On n'est pas pressé, c'est dimanche, et aujourd'hui je ne veux être qu'avec toi, répondit le brun avec un sourire charmeur.

Le tendre moment intime des deux amants ne dura pas longtemps, il fut interrompu par le venu d'une tierce personne.

- Mhh, je dérange? Demanda l'intrus.

- Pas du tout Neville, dit Harry.

- Je peux me joindre avec vous?

- Pourquoi pas répondit Draco. Mais pourquoi tu n'es pas resté avec les autres dans la grande salle?

- Je voulais pendre l'air. De plus, je ne voulais pas être dans la même pièce que Fudge. Quand je pense à ce qu'il a fait subir à Thomas. Il a été si immonde avec lui. C'est le meilleur professeur, avec Lupin, qu'on ait jamais eu.

- Tu as raison, Neville approuva Harry.

*******************************

Thomas qui avait fini son café, décida lui aussi de se rendre près du lac, afin d'être un peu seul. En chemin, il vit trois de ses élèves, et alla les voir.

- Bonjour les garçons.

- Bonjour Thomas, répondit Harry. Content de te revoir.

- Content aussi d'être enfin de retour. Séverus n'a pas été trop sévère en mon absence?

- Il a été égale à lui-même. Tu garde ton poste de professeur?

- Fudge n'a pas encore trouvé une raison valable de me le rependre. Il doit y réfléchir.

- Il ne trouvera pas, s'exclama Draco. Tu sais si le professeur Roberts va rester ici?

- Il doit partir dans la matinée. Le directeur lui a fait comprendre que sa présence n'était plus nécessaire.

- Tu reste avec nous? Demanda Harry.

- Je vais marcher un peu, je n'ai pas très faim ce matin.

- Tu devais manger un peu, reprit Harry. Déjà qu'hier tu n'as rien mangé.

- Ce n'est pas au professeur de dire aux élèves ce qu'ils doivent faire?

- Oui, mais on n'est pas en cours. De plus ça fait une semaine qu'on ne t'a pas vu. Reste un peu, on va discuter.

- Bon d'accord.

**************************

Voldemort venait d'arriver à Poudlard, il décida de pendre le chemin le plus sur, c'est à dire de passer par le lac. La chance étant avec lui, les deux personnes, qu'il devait tuer, était présentes, avec relativement peu de témoin, qu'il tuerait par la même occasion.

- Bonjour à vous tous, dit il d'une voix claire et forte. Thomas que je suis content de te voir encore en vie. As tu bien profité de tes derniers instant de vie? C'est une belle journée pour mourir, n'est ce pas ?

- Tu as l'air bien sûr de toi, ironisa Salinger.

- Je le peux. Ce matin j'ai pris une bonne potion multi vitaminées, au bon goût de fruit. ( Nda, fruit pourrit pour être précis).

- Ne me dis pas que tu as pris de la potion interdite?

- Je te le dis, j'en ai bu.

- Mais tu l'as raté.

- Comment ose tu me dire ça. Je sais faire des potions aussi dur soit-elles.

- Tu n'avais pas la bonne formule.

- « Sottise! N'essaierais tu pas de gagner un peu de temps? Je vais te tuer en premier, mais a petit feu, histoire que tu souffres. En..

- Attends.

- Quoi? Serais tu en train de me demander de t'épargner. Il est trop tard pour cela

- Pour qui me prends tu? Les enfants laisses les partir.

- Pour qu'ils ne te voient pas mourir?

- C'est moi que tu veux, laisses les en dehors de ça.

- Je veux aussi les tuer, alors ils vont rester. Petrifucus totalus, lança t'il sur les élèves qui furent automatique cloué sur place.

Puis fit un doloris très puissant sur Salinger.

La douleur fut elle que Thomas tomba à genoux, et du sang apparu sur la chemise au niveau du ventre.

- Je suis désolé cousin, ironisa Voldemort. A cause de moi une de tes blessures a du se réouvrir. Tu dois avoir mal? Ton frère ne t'a pas soignée? Je te rassure tes souffrances prendront fin, avec ta vie.

- Tu sais ce que tu risque en me tuant?

- Bien sur. Mais qui va lui dire. Toi? Non tu seras mort. Moi? Je ne suis pas fou. Tes élèves? Ils te rejoindront dans la mort. Donc ne te fais pas de souci pour moi.

- Tu n'es qu'une ordure.

- Merci du compliment. Mais s'il te plait ne te laisse pas tuer aussi facilement. Résiste un peu. Ce n'est pas glorieux de te tuer sans que tu m'oppose une résistance.

- Tu crois que c'est par plaisir que je me laisse faire?

- C'est bien ce que je pensais, tu n'as pas encore récupéré tes pouvoirs. Ta chute a du être pénible pour qu'une semaine après tu ne sois pas totalement guéris.

Le seigneur des ténèbres voulu lancer un autre sort, mais il avait des bouffées de chaleur, sa vue se troubla, il fut pris de vertige.

- Avada kedavra, cria t'il sans savoir sur qui le sort avait été jeté.

La victime de ce sort fut Neville, qui tomba raide mort en quelques secondes. Voldemort ne réalisa pas tout de suite qu'il s'était trompé de victime.

- Neville, Non, hurlèrent Harry et Draco en pleures.

- Neville? Mais non ce n'est pas lui que je voulais tuer en premier. Dit qui-vous-savez abasourdit.

Quand le seigneur des ténèbres voulu refaire le sort sur Thomas, qui n'avait pas bougé, et qui avait déjà perdu beaucoup de sang, rien ne se passa. La potion avait fait son effet, au lieu de rendre plus fort, elle retirait à celui qui l'avait bu l'usage de tous pouvoirs et ceux pour une période indéterminée. Paniqué il prit la fuite.

**************************************

Dumbledore, Séverus, Rémus, Virginie, Fudge et Percy qui raccompagnaient Roberts aux portes de Poudlard assistèrent de loin à la mort de Neville ainsi qu'à la fuite de Voldemort. Tous cela étant passé en moins d'une minute. Tous se rendirent sur les lieux, enfin sauf Roberts étant trop vieux pour courir.

Fudge fut le premier à prendre la parole, malgré le tournant tragique de la situation, avait le sourire aux lèvres. Il avait même l'air heureux. Tandis que Dumbledore lançait un « enervatum » sur Harry et Draco, qui se précipitèrent vers le corps de Neville

- Professeur Salinger, Voilà la preuve de votre incompétence, cria le ministre. Vous n'avez pas été en mesure d'empêcher Celui Dont On ne Doit Pas Dire Le Nom de tuer l'un de vos élèves.

- Je suis désolé, je ne pouvais pas savoir que son sort allait être dévié au dernier moment, répondit Thomas, en pleures.

- Vos excuses et vos pleures ne le rameront pas à la vie. Levez-vous afin que je puisse vous parler dans les yeux.

Séverus vit que son ami n'était pas en état de se lever seul, alla l'aider. C'est là qu 'il s'aperçu que Thomas se vidait de son sang.

- Par Merlin, tu es blessé.

- Ce n'est pas grave. C'est de ma faute si Neville est mort

- Ne dis pas n'importe quoi. Personne n'aurait pu devenir ce qu'il allait se passer. Je vais te conduire à l'infirmerie.

- Il n'ira nulle part, cria Fudge. Je n'en ai pas fini avec lui. La preuve de son incompétence étant faite, je veux, ou non j'exige qu'il me signe une lettre de démission.

- Comment, hurla Dumbledore. Vous ne pouvez pas, il est l'un de mes meilleurs professeurs!

- En tant que ministre de la magie, je le peux, et je le fais.

- Vous êtes un monstre, s'exclama Harry. Neville vient de mourir, et vous tous ce qui vous préoccupe c'est d'accabler Thomas. N'avez vous pas vu ce qu'il s'est passé? Il est blessé.

Fudge ne teint même pas compte de l'intervention du jeune Potter. Il se retourna vers son assistant; et lui dit tout naturellement.

- Percy, pouvez vous pendre de quoi écrire. Ecrivez Monsieur le ministre, je reconnais être incompétent pour le poste de professeur de défense contre les forces du mal, et par conséquences je vous demande de bien vouloir accepter ma démission. Ensuite vous donnez cette lettre au professeur Salinger afin qu'il puisse la signer.

- Non, murmura Percy, la tête baisée.

- Comment ça non? Je ne vous demande pas votre avis, faites le, c'est tout.

Toujours la tête baisée, Weasley alla se mettre devant le professeur Salinger.

- Je suis vraiment désolé Thomas, dit il. J'espère que tu n'en voudras pas. Je n'ai pas le choix.

- Tu n'as pas à l'être, tu fais ce que tu veux.

- Merci. Je ne peux plus faire semblant d'être le gentil assistant de ce ministre de pacotille.

Puis il releva la tête et continua.

- Mr le ministre. Ne comptez pas sur moi pour écrire votre lettre. Faites le vous-même.

- Comment? Vous osez me trahir? Moi qui avais confiance en vous.

- Vous faites erreur, je n'ai pas pu vous trahir, je n'ai jamais travaillé pour vous.

- Pour qui travaillez-vous?

- Mais cela ne vous semble pas évident? pour les fondateurs, bien sûr!

- C'est donc vous qui avez effacé de nos registres ce qu'à fait Potter chez son oncle?

- En effet, c'était moi.

- Dans ce cas, je vous licencie.

- Pas la peine, je démissionne.

- Vous ne serez pas le seul.

Fudge prit de quoi écrire, alla se mettre devant Thomas.

- Ecrivez, lui cracha t'il au visage.

Salinger, qui se sentait responsable, écrivit la lettre et la signa avant de la donner au ministre.

- J'accepte, dit Fudge. Je vous laisse une heure pour faire vos bagages et partir.

- Comment ? hurla Séverus.

- N'étant plus professeur dans cette école, il n'a plus aucune raison de rester.

- Vous ne voyez pas qu'il est blessé et qu'il a besoin de soins.

- Il peut aller à l'hôpital pour ça.

- Il est hors de question qu'il parte sans avoir reçu des soins.

- Il ne peut rester. Il ne doit pas donner les cours.

Excédé Virginie alla directement devant le ministre afin de lui faire comprendre ce qu'elle pensait de lui. Les lames aux yeux, elle le gifla violemment. Rémus du intervenir avant que sa sœur ne décide à aller plus loin.

- Melle Lupin, je vous prie de vous calmer, s'indigna Dumbledore. Vous Cornelius il serait mieux que vous partiez.

- Vous avez raison. Mais je ne dois pas partir seul.

- Thomas peut rester, il est mon invité.

- Il ne devra en aucun cas donner le moindre cour.

- Bien sur

- Sa chambre doit revenir au professeur Roberts.

- Sa chambre?

- Oui, de plus étant malade, il doit aller à l'infirmerie. Lieu qu'il ne devra pas quitter, sauf le jour où il partira de Poudlard. Si j'apprends qu'il en est sorti pour une autre raison, vous devriez m'en rendre compte.

Fudge partit la tête haute, il avait enfin obtenu ce qu'il voulait. Quand Thomas aura quitté Poudlard, il pourrait revenir afin de chercher Sirius.

Dumbledore, Rémus et Percy s'occupèrent de ramener le corps sans vie de Neville au château.

Séverus porta Thomas à l'infirmerie, Virginie y alla avec eux.

Harry sous le choc, ne bougeât pas. Draco le prit dans ses bras.

- Je suis avec toi, murmura le blond à l'oreille de son amant.

- Je vais le tuer. Plus jamais il ne fera de mal, s'exclama le brun.

- Tu te rends compte de ce que tu dis?

- Oui.

- Tu ne vas pas te salir les mains pour lui.

- Il le faut, je ne peux pas le laisser en vie, pas après tout le mal qu'il a fait.

************************************

Maurice Roberts s'installa dans l'ancienne chambre de Thomas. Il demanda aux elfes de maison d 'enlever les affaires qui y étaient. En posant la valise sur le lit, il fit tomber un cadre qui était sur la table de nuit. Il mit ce dernier dans la poubelle.

********************************

A l'infirmerie Séverus laissa Thomas entre les mains expertes de Mme Pomfresh. La blessure était assez profonde, mais il était hors de danger. Virginie voulu rester, mais l'infirmière lui demanda de sortir. Elle ne voulait pas être dérangée pour soigner son blessé. De plus elle devait lui enlever ses vêtements tachés de sang, en échange elle lui donna un pyjama de l'infirmerie.

**********************************************

Harry et Draco restèrent le reste de la journée ensemble. Ils restèrent près du lac. Harry était plus que décidé à faire payer à Voldemort le meurtre de son ami. Il allait tout faire pour devenir plus fort.

********************************************

Quant à Fudge, malgré la trahison de son assistant était relativement content de sa visite à Poudlard. Sous peu, il reviendrait, et ce serait au tour de Sirius. Il vit qu'un homme l'attendait, un homme dont le visage était caché par une capuche.

- Fudge, je vous attendais, dit il.

- Qui êtes vous? Que me voulez-vous?

- Je viens vous offrir un présent.

- Pourquoi?

L'homme se dirigeât vers le ministre et lui remit un paquet. Curieux Fudge l'ouvrit. C'était une plante, particulièrement laide.

- Pourquoi m'offrez-vous une plante?

A suivre chapitre 15, je t'emmène où je t'aime à ne pas manquer.

:hola: :hola: :hola: :hola:

see you klpdd

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MessagePosté: 18 Aoû 2004 21:47 
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Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
:twisted: Gabriel ? Logan ? Brenan ? Vous pouvez venir les mecs, j'ai un Ministre de la Magie à faire assassiner ! :evil: Mais quel con, ce Fudge !! Et il a pas intéret à toucher à mon Sirius sinon je l'attache à un poteau et je l'oblige à écouter en boucle les CDs de Lorie en regardant Arwen se pavaner dans sa robe de princesse ! :twisted:

Pauvre Neville ! Il avait rien demandé lui ! :cry:

Enfin, :suite:

Cybelia.


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MessagePosté: 19 Aoû 2004 14:33 
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou. :ange:

ola, que tu es cruel cybelia, le pauvre fudge lui faire écouter Lorie, et en regardant la groniasse danser avec sa belle robe de princesse. il est vrai que le ministre forcément incompétant de la magie là bien chercher, mais il ne touchera pas plus jamais à Sirius, ni a personne d'autre, tu sais pourquoi? bah il va bientôt recevoir une jolie plante de la part de voldy lui même. :kiss:

bonne lecture a tous. :bye:

Chapitre 15: Je t'emmène où je t'aime ( Calogéro)

- « Pourquoi m'offrez-vous une plante? Demanda le ministre »

- « C'est évident, pour vous tuer mon cher, répondit l'inconnu. »

- « Pourquoi voulez vous me tuer, vous n'êtes pas sérieux. Savez vous qui je suis? »

- « Bien sur que je le sais. C'est vous qui avez assassiné mon seul et véritable ami. Aujourd'hui je vais venger sa mort. »

- « Votre ami? Je ne vois pas de qui vous parler. »

- « Lucius, cela ne vous dit rien? »

- « Vous êtes… vous êtes… »

A ce moment l'inconnu enleva sa capuche, laissant à jour son visage, celui de Voldemort.

- « Savez vous que par votre faute, j'ai du faire alliance avec Managua. Grave erreur de ma part. Non seulement il ne me suit pas, mais en plus il me tient tête. J'ai même du subir sa colère par deux fois, et ce uniquement parce que j'ai touché à son frère. »

- « Excusez-moi, mais Managua n'a pas de frère. »

- « Je ne suis pas fou. Il est actuellement professeur de défense contre les forces du mal à Poudlard. »

- « Vous voulez parler du professeur Salinger. »

- « Je vois que vous connaissez mon cousin. En effet Thomas est bien son frère. »

- « Dans ce cas, dites plutôt qu'il était professeur dans cette école. »

- « Dumbledore ne serait pas assez imprudent pour le renvoyer. »

- « Il a démissionné. »

- « A cause de quoi? »

- « Grâce à vous. Il n'a pas était capable de vous empêcher de tuer l'un de ses élèves. »

- « Enfin une bonne nouvelle. »

- « Bonne nouvelle? Salinger n'était pas un mangemort? Il ne vous a pas suivi? Mais pourquoi a t il refusé de me dire la raison de son absence. »

- « Bien sur que non. Il a même fait une tentative de suicide. La raison de son absence vient du fait qu'il était mortellement blessé. Le temps presse, je vais vous tuer. »

- « Croyez-vous que je vais me laisser faire? »

- « Vous avez accepté ma plante. »

- « AIE, s'écria le ministre. »

Il avait senti comme une piqûre, il regarda son bras, c'était la plante qui venait de le piquer. Après lui avoir ouvert la peau, elle commença à pénétrer dans la chair du ministre.

- « C'est quoi cette plante, hurla Fudge, prit de panique. »

- « C'est un Sassérius Blastèrium parasitose. »

- « Un quoi? »

- « C'est une fleur parasite qui se nourrit de sang. Du votre pour être plus précis. La mort est lente et douloureuse. »

- « Lente? »

- « Environ une semaine. Vous allez vite regretter d'être encore en vie. »

- « Vous n'allez pas me laisser endurer une telle souffrance, tuez-moi. »

- « Non. »

- « Je vous en supplie. S'il vous reste un peu de charité, tuez-moi. »

- « Ce que vous n'avez fait subir, mérites que vous ayez une morte lente. De plus je suis privé de mes pouvoirs, je ne peux rien pour vous, sauf vous souhaitez que la semaine passe vite. »

- « Vous les aviez, quand vous avez lâchement tué ce jeune homme. »

- « Si je les avais encore, je peux vous assurer que je n'aurais pas laissé qu'une victime derrière moi. »

Avant de partir, Voldemort s'approcha de Fudge, il lui prit une lettre qui dépassait de sa poche.

- « Je vois que vous avez du Courier à poster. Permettez-moi de le faire à votre place. Adieux, ministre incompétent de la magie. »

Le ministre voulut courir, il voulait chercher de l'aide. Il ferait une croix sur sa dignité, sa vie était en jeux. Mais il n'arriva pas à bouger, ne serais ce qu'un orteil. En effet le végétal avait déjà prit possession de tout son corps. La plante bien que vorace, prenait tout son temps, elle savait parfaitement qu'elle était en train de tuer son ôte. Elle but le sang lentement, et la vie de Fudge s'en allait de lui, avec le contenu de ses veines, qui était un vrai délice pour la fleur. Quand le ministre sera vidé de son liquide vital, l'arbuste deviendra un magnifique arbre de la mort, d'un rouge pourpre.

******************************************

A Poudlard tout était revenu comme avant. Neville eu droit à de belles funérailles. Les cours après une semaine, reprirent normalement, tous, non sauf un, celui de défense contre les forces du mal, qui était d'un ennuie. Ce matin, c'était à la classe d'Harry et de Draco d'avoir cour avec le vieux.

Harry se mit à côté de Draco, Ron à côté d'Hermione.

Le professeur Roberts était à son bureau, essayant de lire les notes laissaient par son prédécesseur, cherchant désespérément à savoir comment il devait faire son cour.

Quand tous les élèves furent assis, Maurice leva la tête. Après avoir regardait tous ses yeux braquaient sur lui, il prit enfin la parole.

- « Je suis votre nouveau professeur de défense contre les forces du mal. Je vous rassure, contrairement au bellâtre, qui avait ce poste avant moi, je suis compétent. »

Personne n'écoutait ce qu'avait dit Maurice, sauf Harry et Draco, qui le regardait de travers. Thomas était leur meilleur professeur, et il n'y avait aucun doute, que son replacent, choisit par Fudge, n'avait les capacités à assuré un tel cour.

- « Vous allez pendre votre livre page 10, reprit Roberts, sans même s'apercevoir que personne n'avait sorti de livre. Nous allons étudier les Harbingers. »

Seule Hermione ouvrit son livre. La seconde d'après elle avait le doigt levé.

- « Oui, Melle, demanda Roberts, étonné de voir un élève lui poser une question. »

- « Le chapitre est page 77, non page 10. »

- « Vous croyez? »

- « Oui, de plus les Harbingers, font partir d'une légende locale, ils n'existent pas. »

- « C'est créatures sont plus que réels Melle. Doutez-vous de me connaissance? »

- « Je ne me permettrai pas professeur. »

- « Dans ce cas lissez, et en silence. »

Un ronflement, plus que sonore, sorti la jeune fille de la lecture de son chapitre, si passionnant.

- « Aie, cria Ron. Hermione ça te prends souvent de me pincer aussi fort? »

- « C'était pour te réveiller, tu n'as pas honte de dormir en classe. »

- « Je ne dormais pas! »

- « Si ce n'est pas toi, qui dort? »

Les ronflements étaient de plus en plus bruyant. Dans le but de connaître l'identité de celui ou celle qui osait rêver en cour, Hermione chercha du regard qui s'était assoupi. Aucun de ses camarades de classe, n'avaient les yeux fermés. En écoutant plus attentivement, le bruit venait de devant.

Le professeur Roberts, avait la tête renversé, la bouche ouverte, un filet de bave coulait doucement le long de sa joue, pour finir dans son cou. A la fin du cour, les élèves s'en allèrent, et ne prit pas la peine de réveiller le vieux professeur. :image:

Séverus qui devait faire son cour de potion, était plus intéresser par le cour de son collègue. Il se plia en deux, à l'écoute du récit que lui fit Draco, et ne pu faire son cour normalement.

********************************************

Ministère de la magie. La mort de Fudge fut un grand choc pour ses collègues. Le ministre avait retrouvé agonissant, et malgré les soins intensifs des meilleurs guérisseurs de St Mangouste, il s'était éteint dans les pires souffrances possibles.

Des élections furent donc organisées afin de trouver un remplaçant. Les volontaires étaient peu nombreux. Beaucoup n'avaient pas osez posé leur candidature, de peur de subir le même sort que leur prédécesseur. Celui qui gagna les élections était inconnu de tous, un certain Christian Ngamv.

Ombrage dans le but de s'en faire un allié, il est toujours utile quand on a de l'ambition, d'être ami avec un ministre. Elle se rendit dans le bureau, de Ngamv, dans le but de pratiquer son sport favori, le léchage de bottes. Pour l'occasion elle mit ses plus beaux habits, verts fluo, qui feraient pâlir d'envie toutes les grenouilles de la terre. C'est avec un sourire, aguicheur, et un regard bovin, qu'elle pénétra dans le bureau de son nouveau supérieur.

- « Monsieur Ngamv, s'exclama t'elle. Je suis contente de faire votre connaissance. Je suis Melle Ombrage, mais vous pouvez m'appeler Dolorès. »

- « Ombrage, murmura Christian, j'ai déjà entendu parler de vous. »

- « En bien j'espère. »

- « Vous étiez très proche de Fudge à ce qu'on m'a dit. »

- « Je peux aussi être proche de vous Christian. Cela ne vous dérange pas que je vous appelle par votre prénom? Vous semblez vouloir faire de grande chose. Je peux vous aider dans le chemin de la grandeur. »

- « Je sais faire mon travail, c'est pour cela que j'ai été élu. Votre aide ne m'est pas nécessaire. Cependant je suis content que vous soyez venue me voir ce soir. J'avais à vous parler. »

- « Je vous écoute Christian. »

- « Je suis Mr Ngamv, nous n'avons rien gardé ensembles. Je ne vais pas pouvoir vous garder à mon service. »

- « Comment? »

- « Vous êtes relever de vos fonctions, renvoyez si vous préférez. »

- « Vous ne pouvez pas me faire ça. »

- « J'ai besoin de personne compétente dans mon entourage, pas d'hypocrite telle que vous. Vous pouvez disposer. »

************************************************

Harry, Draco, Ron et Hermione se rendirent dans la grande salle afin d'y pendre leur déjeuner. Le repas avait à peine commencé qu'un individu entra sans avoir été invité à le faire. C'était un homme grand, sa peau était noir, il avait le crâne rasé, et avait un petit bouc. Il portait un costume bleu nuit.

- « Bonjour Monsieur, s'étonna le directeur. Pouvez me dire qui vous êtes. »

- « Je suis le nouveau ministre de la magie, Christian Ngamv. »

- « Je ne comprends pas, Fudge serait il malade? »

- « Vous ne savez pas qu'il est mort. »

- « Pas merlin, non. Comment est ce possibles? Je l'ai vu il y à peine une semaine. Savez vous comment cela est arrivé? »

- « Personne ne le sait vraiment. Il a été victime d'une plante parasite. »

- « Pouvez vous me dire, ce qui nous vaut l'honneur de votre visite? »

- « Bien sur, je suis venu voir un certain Black Sirius. »

- « Dans mon école? »

- « C'est bien ici qu'il se cache. »

- « Pas du tout, vous devez faire erreur »

- « Je vous prie de ne pas me pendre pour un imbécile. Je sais parfaitement qu'il se cache ici. Il ne pourra pas échapper à la justice longtemps. »

- « Je suis là, s'exclama Sirius. Que me voulez-vous? »

- « J'ai un document à vous remettre. »

Sirius regarda d'un mauvais œil le ministre. Ne sachant pas ce qu'il pouvait y avoir écrit sur le parchemin, mais se doutant de son contenu, il ne le pris pas. Les élèves qui avaient cessé de manger, regardaient la scène avec inquiétude. Surtout Harry, qui avait peur pour son Parrain. La tension était palpable, et personne n'osait faire le moindre geste.

- « Je ne vais pas vous manger, s'indigna le ministre. Prenez ce parchemin tout de suite. »

- « Je ne sais pas ce que c'est. »

- « Lisez le, c'est la seule façon de le savoir. »

D'une main tremblante, Sirius prit le document et le lis, enfin il essaya.

- « Comment osez vous me faire ça, s'indigna l'animagus. »

- « Faire quoi, avez lu au moins? »

- « Je sais parfaitement que c'est un papier pour me remettre en prison. Vous êtes aussi abjectes que Fudge. »

- « C'est votre réhabilitation, vous l'auriez su si vous l'aviez lu. »

- « Ma quoi? »

- « J'ai eu reçu aujourd'hui la preuve de votre innocence, je suis venu sans plus tarder, afin de vous communiquer cette bonne nouvelle. »

- « Je suis désolé Mr Ngamv. »

- « Ce n'est pas grave. »

- « Comment avez vous su? »

- « J'ai reçu un gros rat comme cadeau de bienvenu. C'est un certain A.S qui me l'a envoyé. »

- « Un rat? Queudver? »

- « En effet, et il s'est montré très bavard. »

Harry se leva de sa chaise, et se jeta dans les bras de Sirius qui était un homme libre. Il avait les larmes aux yeux. Il remercie le nouveau ministre.

- « Je ne fais que mon travail. »

Dumbledore se montra plus amicale, et invita Christian à pendre place à table.

- « Je suis aussi venu voir votre professeur de défense contre les forces du mal, pouvez vous me dire où il se trouve. »

- « Bien sur, il est tout a la votre droite, répondit le directeur, tout en se demanda pourquoi le nouveau ministre avait tant besoin de parler au professeur Roberts. »

Ngamv se rendit devant le veil homme et lui dit.

- « Je ne comprends pas pourquoi vous voulez démissionner. Vous devez vous ressaisir mon vieux. Ne baisez pas les bras à la première difficulté, je suis sûr que vous finirez par vous habituer à votre poste. »

- « Comment? Pourquoi vous me parlez de demi-sommier? »

- « Non pas de demi-sommier. Je vous parle de votre lettre de démission. »

- « Des visions? Si vos avez des visons vous ferez mieux d'en parler au professeur Trelawney, elle sera mieux placée que moi pour en parler. »

- « Professeur Salinger. Le moment est mal choisit pour ce genre de plaisanterie. »

- « Non, moi c'est Roberts. Ne m'insultez pas, je suis un professeur qui connaît son métier. »

Les élèves furent prit d'un fou rire. Christian ne comprenait pas la raison de cette hilarité si soudaine.

- « Qu'ai je dis de si drôle, demanda le ministre vexé. »

- « Ne le prenez pas mal, mais vous vous trompez de personne. Vous parler au remplaçant du professeur Salinger. Dit Dumbledore. »

- « Ah! Je comprends, mais entre nous, vous l'avez mal choisit, il me semble un peu trop vieux pour ce poste. »

- « A Qui le dites-vous ? C'est Fudge qui l'a choisit. »

- « Je comprends mieux. Mais où est le professeur qui a signé la lettre? »

- « Actuellement il est à l'infirmerie. Sirius va aller le chercher. »

Black ne mit pas longtemps pour revenir, accompagné de Thomas, qui ne savait pas pourquoi il devait se rendre dans la grande salle.

- « Professeur Salinger? Demanda Christian. Cette fois ci il voulait être sur de parler au bon interlocuteur. »

- « Oui? Vous êtes? »

- « Le nouveau ministre de la magie. C'est bien vous qui avez écrite cette lettre, demanda t'il en montrant le parchemin. »

- « Oui, en effet c'est mon écriture. »

- « Inadmissible. Je refuse. »

- « Je ne me suis pas montrer à la hauteur de ma tache. »

Christian prit la lettre et la déchira en deux.

- « C'est à moi d'en décider. Je vous le répète, votre démission est inadmissible. »

- « Je ne suis montré incapable de protéger l'un de mes élèves, je ne peux pas rependre mon poste. »

- « Demandons alors a vos élèves ce qu'ils en pensent. »

- « Ce ne sera pas nécessaire. Je connais la réponse. Je repars chez moi cette après midi. »

Thomas commença à sortir, a ce moment les élèves se levèrent, et applaudirent. Surpris Salinger s'arrêta de marcher, en ne sachant pas comment pendre cette attitude.

- « Thomas, je crois que vous avez votre réponse. Vos élèves souhaitent que vous restiez, je le souhaite également, s'exclama Dumbledore. Nous avons tous droit à une seconde chance. Vous mangerez bien avec nous ce midi? »

- « Avec plaisir, répondit Thomas avec le sourire. »

Le seul a ne pas être content, fut le professeur Maurice, qui s'en alla de la grande salle dans l'indifférence la plus totale.

C'est avec joie et bonheur que les cours de l'après midi reprirent.

Harry en profita pour rendre sa canne à Thomas.

************************************************

Repère des mangemorts. Après une semaine d'absence Voldemort était de rentré chez lui. Il ne fit pas un retour triomphal comme il l'aurait voulu. Dans un sens, il était content de n'avoir rien dit à personne, son échec resterait caché de tous, y comprit d'Alexandre. Ce dernier était assis à la place du seigneur des ténèbres, un livre à la main.

- « Déjà de retour? Ta petite promenade c'est bien passé? »

- « Promenade? Je ne vois pas de quoi vous voulez parler maître? »

- « Celle que tu as faite, dans le plus grand secret, afin d'aller tuer Potter. Tu as échoué n'est ce pas? Pourquoi a tu fais cela? »

- « Dans l'unique but de vous faire plaisir, et de vous prouver à quel point je suis puissant. »

- « J'ai surtout vu à quel point tu es mauvais en potion. »

- « En potion? »

- « Ne fais pas l'étonné, tu es un piètre acteur. Je te parle de la potion interdite. Celle la même dont tu as pris la recette dans le livre que j'ai dans la main. Ouvrage que j'avais pris soin de mettre à ta disposition, mais j'ai pris la peine de changer la formule de ce breuvage. Tu l'as raté je crois? Tu sais que si tu en avais bu plus de deux gorgées, que tu en serais mort. »

- « je n'ai fait cette potion que dans le but de vous faire plaisir. Ne souhaitez-vous pas la mort de Potter? »

- « Je ne t'ai jamais demandé de faire une telle chose. J'ai juste dit que si tu arrivais à le tuer, je te considérais comme étant mon égale. Tu as du mal interprété mes propos. »

- « Vous ne souhaitez pas sa mort? »

- « C'est toi qui ai intérêt à ce qu'il disparaisse, pas moi. »

Alexandre se leva, en regardant d'un air méprisant, Celui Dont On Ne Doit Pas Dire Le Nom. Il passa devant lui, et s'adressa aux mangemorts présent.

- « Mes amis, il est temps que vous choisissiez un nouveau chef. Un qui va vous conduire à la victoire. Voldemort ici présent, ne vous a pas beaucoup aidé dans ce sens. Qui voyez-vous, qui voulez-vous comme meneur? »

- « C'est moi votre chef, s'indigna le seigneur des ténèbres. »

- « Plus maintenant répondit un mangemort. Je suis désolé, mais je pense que Managua à raison, vous avez fait votre temps. Laissez votre place à ceux qui savent ce qu'il fasse. »

Il fut approuvé par la majorité des mangemorts présent.

- « C'est avec plaisir, que je serai votre nouveau chef. Reprit Alexandre. Venez mes amis, je vous invite chez moi. Toi aussi Voldemort. »

Ce dernier rechercher une certaine personne dans la foule.

- « Si c'est ton ami que tu cherches, saches qu'il n'est plus des nôtres. J'en ai fait cadeau au nouveau ministre de la magie. »

- « Pourquoi? »

- « Il t'avait trahit. Il ne sait faire que ça, je ne voulais pas qu'il fasse de même avec moi. De plus, ça me faisait de la peine pour Sirius, le pauvre en cavale pour un crime qu'il n'avait pas commis. »

De dépit l'ex seigneur des ténèbres suivit, mais il se promit de se venger. Il allait tout faire pour récupérer son pouvoir, il n'avait plus rien à perdre. Cela ferait de lui un homme dangereux.

*********************************************

Les vacances de Noël approchaient, Harry proposa à Draco de les passer avec lui.

- « Viens avec moi, je ne veux pas que tu reste seul. Dit le brun. »

- « Où? Je ne pense pas que je sois le bienvenue chez ton oncle. »

- « Chez moi, enfin chez Sirius. Il a une maison à Londres. »

- « Mais on ne sera pas que tous les deux. »

- « Il va nous laisser la maison, pour toutes les vacances. Il ne viendra que pour fêter Noël avec nous. Ca te vas? »

- « C'est parfait mon cœur. »

Seuls dans l'une des nombreuses chambres de la maison. Les deux adolescents comptaient bien du fait qu'ils ne seraient que tous les deux pour faire l'amour. Le Serpentard commença à embrasser, son bien aimé. Il se sentit un peu à l'étroit dans son pantalon. Détail qui n'échappas pas au Gryffondor. Ce dernier, se lésa faire quand le blond le déshabilla, tout en continuant à le couvrir de baiser. Le brun poussait des gémissements de plaisir, ce qui augmenta encore plus le désire de son amant.

Dans le but de le soulager, Harry entreprit d'enlever le pantalon de Draco, le caleçon aussi par la même occasion. Le sexe de ce dernier était gonflé par l'envie et le désir. Le Gryffondor s'allongea sur le lit, les jambes légèrement écartés. Cette invitation au bonheur, n'échappas pas au Serpentard. C'est avec douceur, mais sans assurance que le blond pénétra le brun.

Harry du se montrer patient, et aida son jeune amant, encore très inexpérimenté. Ils finirent par s'endormir, fatigués mais heureux de pouvoir partager des moments aussi intimes, et précieux.

Fin de la première partie :arwen:
j'écris la deuxième partie; pour la suite faudras être patient :hola:

see you :bye:

klpdd :hola:

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