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MessagePosté: 12 Nov 2005 14:01 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 02 Nov 2005 14:13
Messages: 305
Localisation: Quelque part dans les rues de la Nouvelle Orléans
Magnifique suite pour une magnifique fic!! J'ai tous lu a la suite presque...je suis fan....cette histoire est vraiment superbe et je regrette presque que Thomas et Alexandre n'existent pas dans le vrai livre....dommagevraiment car ces deux personnages sont excellents

_________________
"I'm very lustful. I'm in this fortunate, or unfortunate, position being bisexual in that I have twice as many people to lust over. So it can get hard on tour. I don't think lust is a sin - people should have sex as much and in as many situations as possible. Then they'd be less uptight. "

"What I couldn't live without? Steve and Stefan. "


Brian Molko


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 Sujet du message:
MessagePosté: 21 Nov 2005 22:06 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 03 Juin 2004 21:24
Messages: 99
Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
Désolée pour le retard, pour me faire pardonner un chapitre un peu plus long que d’habitude. ( c’est un chapitre non béta, je ne pouvais pas vous faire attendre plus longtemps, ne m’en voulez pas.) :cry:


mais d'abord je remercie Cybélia et oups, quel faute horrible, je partirais me cacher après avoir mis le chapitre. et un gros bisous :biz: a Pandora suis contente que ma fic te plaise, si tu aimes thomas et alexandre ne manque surtout pas " le droit à l'erreur' c'est la première fic de cette trilogie et se passe 20 ans avant la prétention de rien... :biz:

bisous a tous ceux qui lisent aussi, prenez du plaisir à lire .....

Chapitre 23: Le jour viendra ( Depalmas)

L’Organisation Mondiale de la Sorcellerie est un centre de règlement des problèmes auxquels le monde de la magie doit faire face, fondée dans le but de maintenir la paix et la sécurité, développer les relations amicales entre les ministères de la magie et lutter pour le respect et l’application des droits des Sorciers et toutes autres créatures magiques. Elle contrôle le travail des ministres de la magie et veille à ce qu’aucun mage mal intentionné ne prenne le pouvoir. Voilà ce que doit fait tout fondateur digne de ce nom. Quelle noble cause, n’est ce pas ?

Pourtant l’Histoire allait retenir une autre version des choses: de par leur immobilité les soit disant « sauveurs de l’humanité » ont laissé Voldemort devenir le seigneur des ténèbres, bien sur ils envoyèrent les aurors afin de mettre un terme à la folie destructrice de Celui Dont On Ne Doit Pas Dire Le Nom, mais aucun d’entre eux ne participa de façon significative à la bataille finale. Seuls les frères Salinger avaient pris part à se combat, le premier Thomas en aidant Harry à devenir plus fort, le second Alexandre en affaiblissant Voldemort.

Dans ce cas on peut comprendre la haine si farouche que pouvait éprouver Maugrey envers les fondateurs, qui s’étaient contenté de donner des ordres, tout en restant bien à l’abri dans leurs bureaux.

« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »

Si Harry désirait tant devenir fondateur et travailler pour O.M.S, c’était bien pour cette cause. C’est la raison qu’il l’avait forcé à tout faire pour réussir son concours, afin de pouvoir faire le bien et aider tous ceux qui en avaient besoin. Il était loin de se douter dans quel monde il allait bientôt entrer, et c’est confiant qu’il se rendit pour la seconde fois au concours afin d’intégrer la prestigieuse École des fondateurs.


Il ne fut pas vraiment étonné de revoir Ludovic le casseur de nouveaux. Ce dernier fidèle à lui-même, essayait de démolire le moral de ses camarades, s’assurant ainsi qu’aucun nouveau ne réussi là où il a encore échoué l’année dernière en finissant à une pitoyable centième place. Sauf que cette année son petit numéro, de moi j’ai eu une lettre du célèbre McCléod, ne fit aucun effet sur l’une de ses interlocutrices. C’était une jeune fille dont l’apparence était assez spéciale, elle avait les cheveux blonds et très sales, portait des boucles d’oreille en forme de carottes, et un collier de pommes de terre. Cette dernière ne semblait nullement impressionné par ce discours de pacotille, bien au contraire, devant autant de bêtises elle ne put se retenir plus temps, et explosa de rire.

- « McCléod ? S’exclama t’elle, vous parlez d’Adam McCléod ? »

- « Oui répondit Roberts, vexé que cela puisse rendre quelqu’un hilare. »

- « Jamais le fameux McCléod n’aurait pu vous écrire la moindre lettre. »

- « Bien sur que si, vous dites cela parce que vous êtes jalouse et qu’aucunes de vos lettres ne parviennent de professeurs mondialement réputés. »

- « Non, je dis ça parce qu’il est impossible que vous soyez en possession d’une lettre de se McCléod. »

- « Sachez Melle qu’avec de l’argent, l’impossible devint possible. »

- « Même faire ressusciter un mort, afin qu’il puisse écrire une lettre ? »

- « Ressusciter ? Répéta Ludovic, mais pourquoi faire? »

- « Parce que votre fameux McCléod est mort, vous ne le saviez pas ? »

- « McCléod est vivant! Je l’ai vu, il a peu de temps, et je peux vous assurer qu’il était en parfaite santé, et n’avait rien d’un mourant. »

- « Vous devriez avoir deux ans dans ce cas, puisqu’il est mort il y a plus de dix huit ans. A cette époque cela a fait la une des tous les journaux. »

- « Lesquels je vous prie ? »

- « Le chicaneur par exemple. »

- « Le chicaneur est tout sauf un journal, c’est une poubelle de l’information, dans laquelle ne sont publiés que des articles mensongers, seuls les moldus seraient assez bêtes pour croire ce que dit ce torchon ! »

- « Un torchon ! S’indigna la nouvelle candidate. Comment osez vous dire cela du journal de mon père ! »

- « Parce que c’est la vérité, et moi à votre place je ne serais pas fière d’être la fille de cet escroc qui ose publier n’importe quoi, du moment que ça rapporte un peu d’argent. »

- « Sachez que le chicaneur est un journal sérieux, et que tous les articles qui y sont ont été vérifiés avant leur publication. »

- « Même celui qui parle du cheval à une patte, ou celui sur les Harbingers? Vous allez me dire qu’eux aussi ont été vérifiés? Si cela avait été le cas jamais ils n’auraient été dans ce torchon, tout comme celui qui parle de la mort de McCléod. »

Ludovic venait de manquer un point décisif, en effet qui croirait qu’un journal comme le chicaneur pouvait une seule fois dans toute son existence avoir eu raison sur un point, McCléod était décédé dix huit ans plutôt, assassiné pour être précis, mais qui s’inquiétait du sort de cet ex fondateur qui par soif de pouvoir s’était rangé au coté de Voldemort ? Personne évidemment, et sa mort se fut dans l’indifférence la plus totale.

Malgré le fait que tout désignait la jeune fille comme une menteuse, elle continua à affirmer qu’elle avait raison, mais les autres candidats ne la crurent pas, et commencèrent à se moquer d’elle en la traitant de folle. Scandalisé par l’attitude des autres concurrents Harry décida d’agir, et sans se servir de sa baguette, ni même dire un mot, il réussit à lancer un sort de silence si puissant que plus aucun son ne sortit de leur bouche.

- « Laissez la tranquille, s’écria t’il. Vous devriez avoir honte de vous comportez de la sorte, ce n’est pas parce que … »

Potter ne finit pas sa phrase, car à cet instant il vit la jeune fille en question.

- «… Luna ! Mais que fais-tu ici? »

Le fait d’avoir pris la défense de la folle ne fut pas bien vue des autres candidats qui décidèrent d’ignorer Harry, et les deux représentants de Poudlard se retrouvèrent isolés du groupe. Ils furent cependant rejoint par Jéremy qui arriva que quelques secondes avant le début de l’épreuve, et contrairement aux autres, il ne fût ni choqué ni effrayé par Luna, bien au contraire, il semblait lui trouver un certain charme, et préféra être en sa compagnie plutôt qu’avec les autres, qui continuaient de regarder avec mépris celle qui avait mis en doute la parole de Ludovic.

« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »

À vouloir trop bien faire, on risque de se tromper et de faire des erreurs, et c’est ce qui arriva à Harry lors de son exercice de potion. Il avait pourtant suivit scrupuleusement les instructions, mit chaque ingrédient dans un ordre précis, avaient pesé et repesé chaque élément du remède, mais il oublia complètement de mettre le feu sous son chaudron, et ce n’est qu’après avoir mis la touche finale à sa potion des feuilles de menthe, qu’il se rendit de sa bavure, il était trop tard pour recommencer. Cette petite étourderie dut à un manque de concentration serait malheureusement irrécupérable, et la note serait de zéro. Plus rien ne pourrait réparer cette maladresse, en effet l’échec à une épreuve qu’elle soit écrite ou pratique, était obligatoirement éliminatoire.

« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »

Deux semaines, cela ne fait que quatorze jours, ce n’est pas beaucoup, mais terriblement long quand on appréhende le jour fatal, celui où les résultats du concours seraient connus. Harry n’était pas pressé de les recevoir, il ne pouvait se résigner à annoncer son échec à tous ceux qu’ils l’avaient aidés dans ses révisions. Et surtout il n’aurait pas le courage de retenter l’examen, il ne pouvait pas continuer à courir derrière un rêve impossible, le mieux serait d’accepter la proposition que lui avait faite son père, c’est à dire d’étudier à l’Académie du beau rocher, ainsi il ne serait pas séparé de Draco.

Il était très tôt ce matin lorsqu’un hibou vint taper sur la vitre de la fenêtre de la chambre d’Harry, trop fatigué, ce dernier n’eu pas la force de se lever, et il préféra rester bien au chaud dans son lit, mais au moment où il ferma les yeux quelque chose de lourd se jeta sur lui, quelque chose de suffisamment assez lourd pour écraser le pauvre endormit.

- « Mais ça ne vas pas de faire ça ? Quel est le crétin qui m’a confondu avec son matelas ? Je……. Maman ! …Je peux savoir ce que tu fais dans ma chambre ? »

- « Je voulais être la première à te féliciter. »

- « Pardon ! Me quoi ? »

- « Te féliciter. Je suis si fière de toi. »

- « Mais pourquoi ? Je n’ai rien fait. »

- « Ne sois pas si modeste. Tu vas pouvoir réaliser ton rêve. »

- « Hein ! »

- « Oui je sais, tu vas me dire qu’il te reste trois ans d’étude pour y arriver. Mais j’ai confiance en toi, tu peux réussir. »

La peur remplaça la surprise, Harry se demanda ce qui pouvait mettre sa mère dans un tel état, qu’est ce qui pouvait la pousser à venir le réveiller si tôt, et pourquoi tenait-elle à être la première à le féliciter?

- «Maman, s’indigna le jeune homme. Je peux savoir les raisons qui te forcent à me complimenter? »

- « Ne me dis pas que tu ne le sais pas ! »

- « Savoir quoi ! »

- « Que tu as réussit ton concours ! »

- « C’est impossible, je n’ai pas pu le réussir. »

- « Mais si, tu es même troisième. »

- « Ah tu me fais une farce ! C’est ça ? Permet moi te dire que ce n’est pas drôle! Mais pas drôle du tout! Maintenant laisse-moi, je voudrais dormir, j’ai sommeil. »

- « Mais je suis sérieuse, pourquoi refuse-tu de me croire ? »

- « Parce que tu es venu un peu trop tôt, les résultats ne seront connus que dans une semaine. »

- « Officiellement oui, mais pas officieusement. Dès que Thomas à eu connaissance des résultats, il a jugé bon de nous prévenir, ton père et moi, et nous a envoyé une lettre. »

- « Et il n’a pas jugé bon de le faire avec moi, cria Harry hors de lui, qu’est ce que cela lui aurait coûté de m’en envoyer une à moi aussi ! Rien ! Mais non, Monsieur a préféré ne rien me dire, peut être parce qu’il avait peur que je refuse…. »

- « Pourquoi aurais-tu refusé ? »

- « Parce que le jour de l’examen il s’est passé quelque chose de terrible: les exercices étaient trop durs, et je les ai tous ratés, par conséquences je ne me mérite pas d’intégrer cette école. Il est hors de question que j’accepte l’aide de quelqu’un pour obtenir ce que je veux, c’est grâce à mon travail et mes connaissances que je voulais y aller, et non pas parce que Thomas à cru qu’il était de son devoir de me pistonner ! »

- « Je peux t’assurer que ton oncle n’a rien fait de tel, et pourquoi aurai-il fait une chose pareille ? »

- « Peut être parce que j’ai échoué à l’épreuve de potion. »

- « Comment peux-tu être aussi catégorique, si ça se trouve, tu l’as faite parfaitement, sinon je ne vois pas comment tu aurais été troisième. Harry cesse de te rabaisser constamment, tu as plus de talent que tu sembles le croire. »

- « Je sais ce que je dis. Comment veux-tu que je puisse réussir à faire une potion si j’oublie d’allumer le feu ? Répondit le jeune homme les larmes aux yeux et dans un murmure à peine audible. Et là tu me dis que je suis troisième, cela ne peut être possible, sauf si quelqu’un décide de fausser les résultats. Je refuse, il est hors de question que j’accepte, je ne ferais pas mes études dans cette école ! »

- « Tu ne veux plus devenir fondateur ? »

- « Je le veux, mais pas de cette façon. Pas en trichant. »

- « Il ne pensait pas à mal, il a voulut d’aider c’est tout. »

- « Je ne veux pas de ce genre d’aide. Je croyais qu’il l’avait compris, mais apparemment non. Il est bien le frère de mon père, il se permet de décider de ce que sera ma vie, sans ce soucier de ce que je veux ! »

Lily prit son fils dans ses bras, et tout en lui caressant les cheveux lui disant « Ne le juge pas si sévèrement, je ne crois pas qu’il voulait te faire souffrir, il … », mais un TOC-TOC de plus en plus fort, l’empêchant de finir sa phrase. Excédée la femme se leva en direction de se bruit si énervant, il s’agissait d’un hibou qui se trouvait derrière la fenêtre de la chambre, et ce dernier semblait être impatient de livrer son courrier. Une fois la fenêtre ouverte l’oiseau se contenta de tendre la patte, tout en donnant des coups de bec de mécontentement, une fois la lettre prise, le hibou poussa un cri d’indignation et s’envola aussitôt.

- « C’est une lettre pour toi mon chéri, s’exclama Lily. »

- « Ah ! De qui est-elle ? »

- « Thomas salinger. »

- « Dans ce cas je ne veux pas la lire. Tu peux la jeter. »

- « Tu ne veux pas savoir ce qu’il te dit? »

- « Non. »

- « Moi je veux le savoir. »

Et sans tenir compte des protestations de son fils, la femme ouvrit le courrier et le lut, et à haute voix afin de s’assurer que son fils sache ce qu ’il y avait sur ce parchemin.

« Harry.

Ne m’en veux pas si je te communique les résultats de ton concours avec un peu d‘avance, je ne pouvais pas te laisser patienter plus longtemps. C’est donc avec plaisir que je t’annonce que tu es reçu, et que tu es le troisième de ta promotion. Félicitations, tu en as étonné plus d’un, surtout Séverus qui a enfin eu la satisfaction de voir que tu t’es souvenu de ses cours de potion, et que tu n’aies pas fait chauffer tes feuilles de menthe. Nombres de candidats on était recalé, car ils avaient mis le feu à leur chaudron, et comme tu le sais, si la menthe chauffe on obtient un poison des plus mortels.

J’espère donc te voir bientôt diplômé, si tu as des questions, n’hésites pas à m’écrire.

Prends bien soins de toi, et salue Draco de ma part.

Thomas.

Ps: Ne te préoccupes pas des frais de scolarité, je me suis arrangé avec James et Alexandre, tu n’auras rien à payer. »

- « Maman, pourquoi tu ne m’as pas lu ce qu’il y avait écrit sur la lettre ? Demanda Harry en colère. »

- « C’est exactement ce que je viens de faire. Pourquoi aurais-je inventé ce que je viens de dire ? »

- « Parce que tu voulais me remonter le moral, et la seule solution était de me mentir quant au contenu de cette lettre. Ceci dit: tu as beaucoup d’imagination, le coup de la plante qui devient toxique en chauffant, c’est bien trouvé ! »

- « Je n’ai inventé du tout, s’exclama Lily tout en s’approchant de son fils, lis la, tu verras bien que j’aie raison. »

C’est à contre cœur qu’Harry lu son courrier, mais il n’en crut pas un traite mot. Afin de prouver à sa mère- ainsi qu’à lui-même -qu’il n’existait aucune plante qui en chauffant serait capable de transformer un remède en poison, il prit son livre de potion, celui que Hermione c’était servit afin d’aider son ami dans ses révisions, et alla directement à la page de la potion qu’il avait fait le jour de l’examen. A haute voix, il lut toutes les instructions, du découpage des plantes, en passant par la pesé des ingrédients jusqu’à la dernière étape, les feuilles de menthe, qui devaient absolument se mettre dans un liquide à température ambiante, et que si jamais le contenu du chaudron était chaud, que l’antidote deviendrait une toxine très puissante, l’une des plus mortel même.

Ce n’est qu’à ce moment qu‘Harry réalisa ce qu‘il avait accomplit : il avait bien réussit son examen, et sans l’aide de personne il pourrait intégrer l’une des écoles les plus prestigieuses. Comme quoi, la chance est aussi un facteur essentiel lorsque que l’on passe un concours, et celle du jeune homme était vraiment extraordinaire, car s’il n’avait pas oublié d’allumer le feu sous le chaudron, il aurait été recalé. Certaines erreurs se révélèrent avec le temps être des coups de génies. Celle d’Harry ne lui permit que d’être le troisième, mais au vu du niveau exigé, c’était un exploit. On peut donc comprendre pourquoi sa mère ne pouvait attendre que son fils se soit réveillé de lui-même pour aller le féliciter.

Pourtant malgré cela, le jeune homme semblait contrarié, il ne s’était pas attendu à ce que ses études lui soit payé. Bien sur il voulut contester cette décision, il ne voulait pas que James, Thomas et Alexandre ne versent la moindre Noise pour ses études, puisqu’il avait assez de pièces dans son coffre à Gringotts, enfin c’est ce qu’il crut, car quand il vit les tarifs: 20.000 Gallions, il s’aperçut qu’il n’avait pas assez d‘argent, surtout que c’était par année d’études. Et même s’il avait eu la somme nécessaire, jamais son père et ses oncles ne l’auraient laissés dépenser ses économies pour ça.

Il accepta donc ce présent comme un cadeau de sa famille pour sa réussite au concours, mais il se jugera de les rembourser un jour.

« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »

En intégrant l’école des fondateurs, Harry pénétrait dans un monde obscur, où le désir de briller était omniprésent. Gloire et fortune, était ce qui motivé la plupart des étudiants, dont l’unique but était d’acquérir l’ordre de Merlin. Pour preuve de ce fait, les couloirs de l’établissement étaient recouverts de tableaux, les portraits de grand fondateur- pour être précis- qui avaient par leur travail et leur dévouement pu accéder à cette gratification. Mais était-elle méritée ? Pas pour tous en tout cas, certains avaient fait plus preuve d’arrogance que de bravoure, et tout ceci révoltait Potter au plus haut point. Dire que tous les jours quand il faisait le chemin du dortoir aux salles de classe, il était obligé de voir toutes ces têtes. La galerie de l’horreur, voilà comment il avait pris l’habitude d’appeler ce sinistre passage, tout en se félicitant d’avoir refusé la récompense suprême.

Ce matin, comme tous les autres, il se dépêcha afin de passer le moins de temps possible dans ses lieux, mais aujourd’hui un élève s’était planté en plein milieu du couloir, et pas n’importe lequel Ludovic, toujours aussi crétin et boutonneux.

- « Roberts pourrais-tu me laisser passer ? Demanda Harry très pressé de s‘en aller. »

- « Non ! »

- « S’il te plait, je ne voudrais pas arriver en retard aux cours. »

- « Dans ce cas, prends un autre chemin. »

- « C’est le seul qui conduit aux salles de classes. »

- « Alors tu devras attendre que j’ai finit, et ne me déranges plus en me parlant. »

- « Non je n’attendrais pas, bouge un peu tes fesses. Tu n’as rien d’autre à faire que de rester planté devant CE tableau ? »

- « Sais-tu au moins qui c’est ? »

- « Probablement un abrutit puisque tu es en admiration devant lui. »

- « Comment oses-tu dire ça du Grand Sébastien Dwan. »

- « Qui ? »

- « Ne me dis pas que tu ne le connais pas ? »

- « Pourquoi, je devrais ? »

- « Bien sur, c’est le plus grand fondateur qui existe. »

- « Grand comment ? »

- « Pardon? »

- « Combien mesure t’il ? »

- « Je ne sais pas ! »

- « Alors pourquoi affirme-tu qu’il est le plus grand si tu ne le sais pas ? »

- « Ce n’est pas par sa taille qu’il est grand ! »

- « Ah! Oui et pourquoi ? »

- « Il combat contre les forces du mal, il protége les faibles, et il lutte pour maintenir la paix dans le monde. »

- « Ah bon !!! Il fait tout ça !»

- « Ne te fous pas de moi. Il est mon idole, et c’est grâce à lui que j’ai toujours voulut être fondateur afin de faire comme lui. De plus ses exploits sont connus de tous, enfin de tous ceux qui ont un peu d’ambition comme moi ! Ce qui n’est pas ton cas apparemment ! »

- « Désolé de ne pas partager les mêmes desseins que toi. Pour moi c’est un imbécile qui n’a rien fait pour mériter d’être récompensé par l’ordre de Merlin. »

- « Rien fait ? Mais tu n’as pas le droit de dire ça ! »

- « Si justement. Tu peux me dire où il était quand Voldemort semait la terreur ? Pas sur le champ de bataille en tout cas, sinon je l’aurais vu. Si tu cherche tant à admirer un mage, prends en un qui a fait quelque chose de bien, au moins une fois dans sa vie. »

- « Ah oui ! S’écria Ludovic vexé que quelqu’un pouvait dire autant de mal du génial Dwan. Personne ne lui arrive à la cheville, même pas le grand Dumbledore. C’est bien a lui que tu pensais ? »

- « Non, je pensais à l’un de mes anciens professeurs. »

- « Un professeur !!!! Je me demande ce qu’il a fait pour que le vénère à ce point. Rassure-moi, il est bien un fondateur ? »

- « Oui, mais … »

- « Dans ce cas montre le moi. »

- « Je ne peux pas. »

- « Pourquoi ? »

- « Parce qu’il n’est pas ici. »

- « Mon pauvre Potter, décidément tu me fais pitié, s’il n’est pas ici, il ne mérite même pas que l’on parle de lui. Seuls ceux qui ont reçu l’ordre de Merlin méritent d’être des exemples. »

- « S’il n’est pas ici, s’écria Harry, c’est parce qu’il a eu la décence de refuser cette récompense. »

- « Ca vois tu c’est ce qu’il t’a dit pour expliquer le fait qu’il ne l’ait pas, mais en vérité, elle ne lui a jamais été proposée, sinon je peux t’assurer que jamais il n’aurait dit non. »

- « Serais-tu en train de me traiter de menteur ? »

- « Non, ce n’est pas toi le menteur dans l’histoire mais LUI. »

- « Il ne m’a jamais mentit, et de plus je t’interdis de dire du mal de lui en ma présence, tu m’as bien compris ! »

- « Ah! Et que feras-tu si je ne t’obéis pas ? »

- « Ceci. »

En un éclair, Ludovic se retrouva projeté sur le tableau qu’il aimait tant, comme si une force invisible l’avait poussé, et l’obligé à rester coller contre le mur.

- « D’accord Potter, s’exclama Roberts, j’ai compris, libère-moi maintenant. »

- « Non, je n’en voudrais de devoir te séparer de ton idole, et puis j’ai pas le temps, je vais en cours. »

- « Tu ne peux pas me faire ça, après tout on est dans la même classe. »

- « Dans ce cas, au revoir mon cher petit camarde. »

Ludovic resta seul debout toute la journée devant le portrait qu’il aimait tant, il ne fut libéré que lorsque les cours prirent fin. Comme il avait séché, il fut punit par ses professeurs aussi. Depuis ce jour, plus jamais il ne regarda les tableaux, il essaya même de ne plus trop se faire remarquer, et ne parla plus à Harry de peur de se retrouver de nouveau collé contre un mur.

« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »

Après cet incident Potter resta seul isolé du groupe, et plus personne n’osait lui adresser la parole, mais cela ne l’affecta pas, il n’était pas venu dans cette école pour se faire des amis, mais pour devenir fondateur.

Le temps passa lentement et vint enfin le jour de la remise des diplômes. La cérémonie devait avoir lieux dans les locaux de l’O.M.S. Le bâtiment était très grand, bien plus que le ministère de la magie, et bien plus beau aussi. Le sol était recouvert d’un marbre gris clair et les murs étaient de couleurs verts pales. Les couloirs formaient un véritable labyrinthe dans lesquels il était aisé de se perdre. Harry se demanda comment son oncle pouvait se retrouvait dans ce dédale de route.

Quand on parle du loup, on en voit la queue, justement Thomas venait d’arriver. Par contre il n’avait pas une tenue très réglementaire, il portait un jean, des baskets et sa chemise était mal boutonné laissant entre voir un peu de son ventre. Et C’est dans le mépris et l’indifférences les plus totales qu’il passa devant les étudiants, ces derniers le regardèrent même comme s’il s’agissait d’un sous humain et pensèrent qu’il devait être le concierge ou le portier des lieux, mais en aucun cas un fondateur. Celui qui eu le plus de mépris et de dégoût fut Ludovic qui le détailla de la tête au pied, avec un air de répugnance. Seul Harry alla spontanément vers son ancien professeur de défense contre les forces du mal. Il essaya bien de faire comprendre à son oncle que quelque chose n’allait pas dans ses vêtements, sans aucun succès.

- « Harry, cesse de faire tous ces gestes, s’exclama Salinger, je ne comprends rien à ce que tu veux me dire. »

- « Ta chemise. »

- « Ma chemise ? Qu’est ce qu’elle a ma chemise ? »

- « Tu ferais mieux de la reboutonner, tout le monde voit ton nombril. »

C’est rouge de confusion que Thomas se décida à arranger un peu sa tenue.

- « Merci. »

- « De rien. Mais que fais-tu ici ? Ne me dis pas que tu es perdu ? »

- « Bien sur que non ! Répondit il avec un air faussement vexé. Je me promène un peu. »

- « Mais bien sur, dis plutôt que tu ne sait pas comment retourner dans ton bureau. »

- « Non ça je le sais, j’ai toujours un plan des lieux sur moi. »

Roberts qui avait suivit la conversation de loin, se rapprocha et après avoir lancé un regard glacial à l’inconnu, il s’adressa à son camarade de classe.

- « Potter, tu connais cet énergumène ? »

- « Bien sur. »

- « C’est un de tes amis ? »

- « Non. »

Bien que très déçu de la réponse de son neveu, Salinger ne le laissa pas montrer, il pensa sur le coup qu’Harry devait avoir honte d’avouer à « ses copains » qu’il avait une relation amicale avec lui.

- « Alors pourquoi lui parles-tu ? »

- « Parce que c’est mon oncle. Et si tu tiens à te rendre à la cérémonie, je te conseille de ne plus de lui manquer de respect ! »

- « D’accord, que tu es susceptible. Je ne savais que ton oncle était concierge à l’O.M.S. »

Sous la colère le Gryffondor, sortit sa baguette de sa poche, et mit Ludovic en joug. Mais avant qu’il n’ait le temps de lancer le moindre sort, sa baguette lui fut arracher des mains.

- « Harry ! Tu arrêtes tes bêtises tout de suite, s’écria le fondateur. »

- « Il t’a insulté. »

- « Ce n’est pas une raison pour perdre ton sang froid. Tu te rends compte que si jamais tu l’avais blessé maintenant que tu aurais été expulsé ? Après tous les efforts que tu as fait, cela en vaut-il vraiment la peine ? »

- « Je sais mais … »

- « Pas de mais. Maintenant je te rends ta baguette mais promets moi de ne pas t’en servir. »

- « Oui je te le promets. »

- « Bien. Je vais te laisser, je dois me changer. On se retrouve pour la cérémonie. »

- « D’accord. »

« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »

Une fois que tous les élèves furent assis dans la salle qui servirait pour la remise des diplômes, que les chefs de l’O.M.S entrèrent dans la salle. Ils étaient aux nombres de quatre, en silence ils allèrent s’installer sur l’estrade, tout en laissant les deux fauteuils du milieu vide. L’un d’entre eux prit la parole.

- « Je vous souhaite à tous et à toutes la bienvenue. Et vous félicite de votre réussite à votre examen final. Les prix seront desservis par les sieurs Thomas et Alexandre Salinger. A présent veuillez vous lever ! »

Étrangement le regard des élèves envers Thomas n’était plus le même, cette fois il y avait du respect et de l’admiration. Quant à Ludovic il eut un choc, il ne s’était pas attendu à ce que l’oncle de Potter soit un fondateur, et pas n’importe lequel, l’un des dirigeants.

Une fois la cérémonie terminer Roberts décida d’aller voir ceux qui seraient désormais ses supérieurs.

- « Mr Salinger, dit-il de façon hésitante, je tiens à m’excuser pour vous avoir confondu avec un vulgaire concierge. Si j’avais su qui vous étiez, jamais je ne vous aurai manqué de respect. »

- « Vous pouvez garder vos excuses pour vous, Mr, s’indigna Thomas. Et sachez que tout être vivant mérite que vous les respectiez ! Pour qui vous prenez-vous pour juger les autres? Sur ce, je vais vous laisser réfléchir sur votre attitude, et j’espère qu’à l’avenir vous serez moins arrogant. Ce n’est pas parce que vous êtes diplômé de l’école des fondateurs que vous devez vous croire supérieur aux autres »

« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »

Au même moment à Poudlard, Sirius venait d’être avertit des résultats de son filleul, qui avait finit à une très honorable cinquième place, il s’empressa de les mettre sous le nez de sa collègue le professeur McGonagall. Cette dernière du s’incliner et avoua bien malgré elle qu’elle s’était trompée au sujet de Potter, et que l’étudiant avait eu raison de se battre afin d’intégrer l’école des fondateurs.

A suivre, chapitre 24, si tu veux, à ne pas manquer ….

Merci de lire, et au fait si quelqu’un connaît l’anime « Angel’s leather » qu’il me contacte, bisous bisous …..

See you

klpdd :dance: :bye:

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MessagePosté: 21 Nov 2005 23:45 
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j'aime toujours autant cette fic!!!!
Bravo Harry!!!!

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MessagePosté: 22 Nov 2005 17:29 
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je trouve pas le droit a l'erreur...dommage j'adore ton style j'aurais bien aimé la lire...

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MessagePosté: 22 Nov 2005 17:33 
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou...

message a Pandora, ah excuse moi j'ai mal expliqué, je fais une trilogie dont l'ordre est 1 ) le droit à l'erreur 2 ) la prétention de rien 3) rien ne me changera.

par contre j'ai commencé par la 2 j'ecris la 3 et je finit par la 1 donc il est normale que tu ne la trouve pas puisqu'elle n'est pas écrite, donc inutile de la chercher meme sur ff. Des que rien ne me changera est terminé je commence à faire le plan de la dernière fic qui est la première, euh tu suis ?

bon pour résumé dés que j'ai écrit le premier chapitre tu le trouvera, sinon si tu veux je t'enverai un mail pour te prévenir

rendez vous en attentant pour le chapitre 24, si tu veux ( c'est le titre du chapitre) lol

see you

klpdd

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MessagePosté: 22 Nov 2005 23:12 
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ok!!!! J'attendrais avec impatience alors!!!!!

En attendant vivement le 24!!

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MessagePosté: 23 Nov 2005 19:27 
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Merci d'avoir posté un nouveau chapitre!!!!!!!!!!!!!!!!
J'adore ta fic, depuis le début d'ailleurs :lol:

:suite: :suite: :suite:


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MessagePosté: 25 Déc 2005 21:22 
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
****** Joyeux noel à tous ******



:ange:

voila un petit chapitre que je crois être assez drôle :delire: c'est un peu mon cadeau de noël, j'espère qu'il va vous plaire

merci à:

pandora: contente de voir que mes fics te plaise voila la suite et aussi l'avant denier chapitre

Cybélia : voila la suite

Bastet: mais de rien, voila la suite j'epère que ce chapitre te plaira malgré sa petite longueur ( ça sa dit petite longueur ? enfin il est assez court)

Les yaourts Bia, les préservatifs Dybex ainsi que la pieuvre vous souhaitent un noyeux joel ……. Et une bonne lecture

Merci de votre fidélité à tous ….

Chapitre 24 : Si tu veux… ( Depalmas)


Une fois leurs diplômes en poche, Harry et Draco se rendirent directement au manoir des Salinger afin de voir et surtout demander à l’ex-professeur Rogue de leur préparer la fameuse potion, qui permet aux hommes d’avoir des enfants. Mais ce dernier refusa catégoriquement, sans ne donner aucune explication, il se contenta de dire un « non » ferme et définitif.

Ce « non » n’allait pas décourager Potter, bien au contraire, il ferait tout pour convaincre Séverus et ne le laisserait tranquille que lorsqu’il aura un « oui » à sa requête.

- « S’illllll vooooousssssss plait Mr, supplia Harry le regard larmoyant. »

- « Potter cessez d’insister, je vous ai dit non, et je ne reviendrais pas sur ma parole. »

- « Pourquoi refusez-vous Mr. »

- « Je ne sais pas faire cette potion. »

- « Dites plutôt que vous ne voulez pas. »

- « Pardon ? Pouvez vous répéter ? »

- « Ne faites pas semblant de ne pas avoir compris, vous ne voulez pas la faire, ne me dites pas que vous ne le savez pas, parce que c‘est faux. »

- « Faux ! Seriez vous en train de me traiter de menteur ? »

- « Oui c’est ça Mr. »

- « Écoutez Mr Potter, j’ai été professeur de potion pendant dix sept longues années, alors ce n’est pas vous qui pouvez me dire ce que je sais faire ou non. »

- « Mais Mr, on m’avait pourtant assuré que vous étiez en mesure de la faire. »

- « Et peut on savoir qui est ce « on » »

- « Le docteur Dulac. »

- « Dulac ? Répéta Séverus, tout en prenant un air réfléchit…. Connais pas. Qui est ce ? »

- « C’était votre professeur de potion quand vous étiez élève à Poudlard, et vous l’avez même remplacé à ce poste quand il a eu son diplôme de docteur. Ne me dites pas que vous ne vous souvenez pas de lui. »

- « Ah! Vous parlez de François Dulac. Mais je ne vois pas pourquoi vous me parlez de lui. »

- « C’est vous qui lui aviez permis d’avoir un enfant, en lui faisant la potion, celle que vous niez savoir faire. »

- « C’était il y a plus de vingt ans, et depuis j’ai oublié la recette. »

- « Vous n’avez rien oublié du tout. Pourquoi vous avez accepté de lui faire cette potion à lui et que vous refusez pour moi ? »

- « Pour lui les choses sont différentes. »

- « Différentes ? »

- « Oui, si je l’ai faite c’était uniquement pour le remercier de m’avoir rendu un service. A vous je ne vous dois rien, ce serait même le contraire puisque vous me devez votre réussite. »

- « Je dois ma réussite à mon travail Mr… Mais je peux moi aussi vous rendre un service. Ainsi vous aurez une excuse pour me remercier. »

- « Il n’y a rien que vous puissiez faire pour moi. »

- « Vous en êtes bien sur ? »

- « Oui… Mais en y réfléchissant. Vous pouvez faire quelque chose pour moi. »

- « Oui ? Quoi ? »

- « Votre mission, si vous l’acceptez Mr Potter, sera de convaincre Alexandre de prendre lui aussi de cette potion. »

- « Et si j’échoue ? »

- « Dans ce cas, vous devriez trouver quelqu’un d’autre pour vous faire cette potion. »

- « Mais Mr ce n’est pas juste. »

- « Peut être, mais ce sont mes conditions. Alors que décidez-vous ? »

- « J’accepte ! »

- « Bonne chance. »

« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »

Malheureusement la chance ne fut pas vraiment du coté d’Harry et il ne réussit pas à convaincre son oncle de prendre lui aussi la potion, en effet Alexandre ne semblait ne pas partager le même enthousiasme que son neveu, et n’avait aucune envie de devenir l’heureux parent d’un enfant.

Persuadé que la cause de ce refus était due à la malédiction qui avait frappé la famille Salinger, le jeune homme décida de faire quelque chose afin de lever ce mal, ainsi son oncle n’aurait plus aucune excuse pour ne pas accepter de devenir « mère » de famille. Il passa toutes ses journées et toutes ses nuits dans la bibliothèque à la recherche d’une solution. Il prit tous les livres sur ce sujet, décidé à tous les lire, quitte à se priver de sommeil et de nourriture. Malgré ses recherches intensives, il ne trouvait rien, c’était comme si le maléfice n’avait jamais existé.

Après une semaine d‘investigation intensive, Harry finit par s’endormir la tête dans un livre. A son réveil il trouva posé devant lui une petite fiole et un mot.

« Mr Potter.

Je tiens à vous féliciter d’avoir réussit là où j’ai échoué. Pour ne rien vous cacher, je ne pensais pas que vous y arriverez, puisque cela fait plus de quinze ans que j’essaye en vain de lui faire prendre cette potion. Je ne sais pas ce que vous aviez pu dire à Alexandre afin qu’il accepte, mais sachez que je vous en suis reconnaissant. Une seule gorgée de ce breuvage devrait faire de vous une mère, gardez le reste de la potion si jamais vous désirez avoir d’autre enfant.

Cordialement professeur Rogue »

Si Harry avait réussit à convaincre son oncle de prendre la potion cela n’avait pas été grâce à ses paroles, mais plutôt à ses recherches. En effet attendrit par son neveu, qui avait été le seul à se soucier de la malédiction et aussi le seul à avoir tenté de faire quelque chose pour la conjurer, Alexandre avait finit par céder et avait accepté de prendre cette potion.

« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »

Après avoir bu une gorgée du précieux liquide, Harry alla rejoindre son époux dans leur chambre. Ce dernier se montra très doux et c’est à peine s’il osait touché à son amant, de peur de lui faire mal. C’est avec douceur et délicatesse que le blond entreprit de déshabiller le brun, et c’est avec précaution qu’il lui caressa le corps et le pénétra sans précipitation.

Afin de vérifier si la potion était bien efficace, Potter se rendit sans plus attendre dans la salle de bain afin de faire un test de grossesse. La joie d’avoir obtenue la potion fut de courte durée, de toute évidence elle n’avait aucun effet puisque le test donna un résultat négatif, il n’était pas enceinte.

Sans tenir compte des avertissements du professeur Rogue le Gryffondor décida de reprendre du breuvage, et retourna voir son époux. Draco lui n’en pouvait plus, il était fatigué et voulait se reposer un peu avant de recommencer, mais Harry lui ne voulait pas abandonner si près du but, et suppliait son amant de bien vouloir faire un petit effort de plus. Il en fit de même sept fois de suite et ce petit jeux ne prit fin que lorsque le flacon fut vide. Pourtant le brun en voulait encore, et ne serait satisfait que lorsqu’il serait enceinte.

Afin de pouvoir recommencer, il se rendit dans les appartements de son ancien professeur afin de lui demander une autre fiole. Ce dernier ne comprenait pas pourquoi son élève désirait avoir encore de la potion vu qu’il lui avait donné la potion la veille.

- « Ne me dites pas que vous avez tout bu ? S‘écria Séverus.»

- « Si Mr, mais elle n’a pas fonctionné. Vous êtes sur de ne pas avoir fait d’erreur ? »

- « Je ne fais jamais d’erreur, mais comment pouvez vous savoir que la potion n’a pas fonctionné, je vous l’ai donné qu’hier. »

- « Parce que j’ai fait des tests Mr et qu’ils ont étés tous négatifs. »

- « Comment ça des tests ? Vous en avez fait combien? »

- « Sept. »

- « Vous voulez avoir des septuplés ? »

- « Non. »

- « Alors pourquoi avez vous pris sept fois de cette potion ? »

- « Je viens de vous le dire, parce que les test étaient tous négatifs. »

- « Mais c’est normal, vous devez attendre deux semaines avant de les faire. »

- « Ah ? Alors j’ai gaffé. »

- « Oui c’est le moins que l’on puisse dire. Alors maintenant vous allez faire ce que je vous dis et ne plus en faire à votre tête. Vous attendez quinze jours avant de refaire un test, et si ce dernier est négatif, à ce moment là je vous redonnerai de la potion, pas avant. »

Mais Séverus n’eu pas eu à refaire de la potion, quand Harry refit son test deus semaines plus tard, il eu un résultat positif, il était bien et bel enceinte.

« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »

Afin de ne prendre aucun risque la grossesse d’Harry se fit sous surveillance médicale, et aussi dans le plus grand secret, et seule la famille fut au courant de la situation.

Petit à petit le ventre d’Harry se mit à grossir sous le regard bienveillant de son époux. L’accouchement se ferait dans la clinique privée du docteur Dulac et c’est ce dernier qui devrait pratiquer la césarienne.

Le miracle eu lieu le 14 février, le jour de la saint Valentin et de la fête des amoureux et aussi le jour de la naissance d’Océane Potter-Malefoy, fille d’Harry et de Draco.

Les plus heureux de tous ne furent pas les parents, mais les grands-parents, James courrait dans les couloirs de l’hôpital tout en remerciant tout le personnel de l‘hôpital pour avoir aidé son fils à accoucher, Lily eu beaucoup de mal à calmer son mari et le ramener dans la chambre d’Harry.

Une fois dans la pièce l’être de lumière n’oublia pas de féliciter le docteur Dulac pour son excellent travail, tout en ignorant la personne sans qui la naissance n’aurait pu être possible: le professeur Rogue. Vexé par cette attitude peu amicale, ce dernier décida de faire remarquer sa présence par une légère quinte de toux semblables à ceux d’Ombrage.

- « MhMh…. »

- « Séverus ? Tu voulais dire quelque chose ? »

- « Oui en effet. N’aurais tu pas oublié de remercier quelqu’un? S’écria le maître des potions, tout en fixant son beau-frère du regard. »

- « Ah! S’écria ce dernier, mais oui, je suis impardonnable. »

James se rendit directement vers son beau-fils et le pris dans ses bras.

- « Merci Draco, s’écria t’il. Je suis désolé, je n’avais pas pensé à toi. »

- « MHHHhh. »

- « Quoi encore, s’écria James. »

- « Ce n’était pas à lui que je pensais, mais à une autre personne qui se trouve elle aussi dans cette pièce. »

- « Je ne vois pas de qui tu parles. Tu penses à quelqu’un en particulier ? »

- « Oui ! Moi ! »

- « Toi ? Mais pourquoi ? »

- « Parce que si je n’avais pas été là pour faire une certaine potion, jamais ton fils n’aurait pu l’avoir son enfant, alors la moindre des choses serait de me remercier moi aussi. »

- « Tu es capable de faire une potion si compliqué toi ? »

- « Oui. »

- « Tu en sais des choses, tu m’impressionnes. Pourquoi tu n’en as pas donné à ton époux ? Tu ne veux pas d’enfant ? »

- « C’est ce que j’ai fait figure-toi. »

James se retourna pour jeter un regard sur son demi-frère Alexandre, ce dernier ne montrait aucun signe de grossesse et son ventre était toujours aussi plat.

- « Tu en es sur, apparemment cela ne marche pas bien, tu ne te serais pas trompé en faisant la potion ? »

- « Comment ose tu dires ça ? Je te signale que ma potion marche parfaitement, puisque ton fils a pu être enceinte. »

- « Ah ! Je vois où est le problème. »

- « Tu ne vois rien du tout, et saches que je n’ai aucun problème. »

- « Si puisque tu es stérile. »

- « Mais NON pas du tout. »

- « Mon pauvre Séverus comme je te plains. »

- « Me plaindre ? Mais de quoi ? »

- « Tu es impuissant ! »

- « Pourquoi tiens tu tant à ce que cela vienne de moi ?»

- « Parce que dans ma famille, personne n’a jamais eu ce genre de souci. »

- « Figures toi que moi aussi je n’ai pas ce genre de souci, mais que la potion n’est pas fiable à cent pour cent. »

- « Ah bon ? Même si elle a été faite par le spécialiste des potions ? Allons n’aies pas honte de l’avouer. Si tu tiens à avoir un enfant, le mieux serait que ce soit toi qui la prennes cette potion. »

Le conseil si judicieux de James ne semblait pas plaire à Séverus, mais enchanta Alexandre, qui serait ravi de voir son époux avec un gros ventre. Bon gré mal gré, Rogue dû faire ce que son beau-frère lui avait conseillé, et c’est lui qui bu la solution qu’il avait faite pour son amant.

Deux mois plus tard, Séverus s’aperçu que non seulement il n’était pas impuissant puisque Alexandre attendait un enfant, mais que lui-même aussi porté la vie dans son ventre, ce qui ferait de lui un père et une mère.

A suivre chapitre 25 et dernier, rendez-vous près du ciel, à ne pas manquer.

See you

Klpdd :biz: :dance: :hola:

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MessagePosté: 25 Déc 2005 21:32 
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Ouh là, va y'avoir une grande famille du côté des Snape-Salinger !! :D

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Cybelia.


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MessagePosté: 25 Déc 2005 23:18 
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Citation:
Deux mois plus tard, Séverus s’aperçu que non seulement il n’était pas impuissant puisque Alexandre attendait un enfant, mais que lui-même aussi porté la vie dans son ventre, ce qui ferait de lui un père et une mère.


Excellent j'était pliée de rire à la lecture de cette phrase!!

ERn tout cas c'est tout mimi comme chapitre!

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MessagePosté: 05 Avr 2006 21:52 
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kikou

me voila avec beaucoup de retard désolée, désolée :verysad: :verysad: :verysad: :verysad: :verysad: :verysad: :verysad: :verysad: :verysad: :verysad: :verysad: :verysad: j 'espère que vous m'en voudrez pas trop

a cybélia, oui une très grande famille pour Alexandre et sévy

a Pandora: vi je suis d'accord avec toi...

Chapitre 25: rendez-vous près du ciel ( Obispo)

De grands yeux marrons, de beaux cheveux châtains, de bonnes petites joues roses, le moins que l’on puisse dire c’est que Océane Potter Malefoy ne ressemblait pas à sa mère et encore moins à son père.

Ne le cachons pas ce petit détail ne faisait pas vraiment plaisir à Harry. Bien sur, il était vraiment très content d’avoir pu donner la vie, mais il aurait tellement voulut que sa fille ait la beauté fascinante de Draco en ayant en outre les même yeux gris, voir la même chevelure blonde.

Cette petite déception n’empêchât pas les heureux parents de monter le fruit de leur amour à leurs amis, et tous étaient sous le charme envoûtant du bébé. La plus enjouée de tous fut Hermione, dès qu’elle prit l’enfant dans ses bras ne put s’empêcher de faire des gouzou gouzou à la limite de la débilité profonde, comme si on était obligé de prendre les nouveaux nés pour des attardés mentaux.

- « Hermione ! S’écria Harry en colère. Tu fais quoi là ? »

- « Je parle à ta fille, ça ne se voit pas ? »

- « Pourquoi ne le fais-tu pas normalement ! »

- « Tout le monde parle comme ça au nouveau né ! »

- « Je te prierais de ne pas prendre Ma fille pour une imbécile. »

- « Ce n’est pas vraiment ta fille puisque tu l’as adoptée. »

- « Pardon ? Comment ça ce n’est pas vraiment ma fille ? C’est parce qu’elle ne me ressemble pas que tu oses me dire ça ? »

- « Si je le dis, c’est parce que les hommes ne peuvent pas physiquement avoir d’enfant, et quoi que tu puisses dire c’est la réalité ! Cesse de te complaire dans le mensonge. »

- « Je n’ai hélas aucune preuve de ma grossesse à te fournir, ce qui ne joue pas en ma faveur. Pourtant Océane et bel et bien notre fille à Draco et à moi, et, quoi que tu puisses dire, rien ne pourra changer ce fait. Je peux néanmoins te raconter tout ce que j’ai vécu pendant ces si long mois avec les nausées matinales, les coups de pieds, les vertiges, la fatigue ; bref ce n’était pas de tout repos, et ce n’était pas le paradis tous les jours. Cependant c’est la plus belle chose qui me soit arrivé, sentir la vie grandir dans son ventre est une expérience merveilleuse que les mots ne pourraient d’écrire, et si j’avais la possibilité de recommencer, je le referais sans la moindre hésitation. »

- « Ce que tu me dis est très beau. J’en ai presque la larme à l’œil tellement c’est touchant. C’est grâce à une intervention divine que tu as pu l’avoir ton bébé ? Tu en as de la chance ! »

- « Je ne dois pas ma grossesse à une quelconque intervention du ciel, mais grâce à une potion. »

- « Une potion ? Allons Harry il n’y a aucun breuvage capable de réalisé un tel miracle. »

- « Bien sur qu’elle existe ! Répondit froidement Harry blessé dans son amour propre »

- « Mais bien sûr, et moi je suis la directrice de Poudlard ! »

- « Tu ne me crois pas ? »

- « Comment veux-tu que je crois en un mensonge aussi gros ? Personne ne peut pas faire une potion qui n’existe pas. »

- « Non seulement elle existe, mais j’ai trouvé quelqu’un capable de la réaliser. »

- « Je me demande de qui il peut bien s’agir. »

- « Le professeur Rogue. »

- « Vraiment!… Ce n’est pas que je doute de ses capacités, mais de là à admettre qu‘il ait pu réaliser un tel prodigue.»

- « Aussi invraisemblable que cela puisse te paraître, je te jure sur ce que j’ai de plus cher que c’est bien le cas. »

- « Et tu vas aussi me dire qu’il l’a faite uniquement pour toi. »

- « Pourquoi ne l’aurait-il pas fait ? »

- « Peut être parce qu’il t’a toujours détesté ! Et s’il savait vraiment la faire, je crois qu’il l’aurait réalisé pour lui avant de la préparer pour toi ! »

- « C’est ce qu’il a fait figure toi ! »

- « Et tu vas me dire que lui aussi à un enfant ? »

- « Non il n’en a pas encore. »

- « Tu vois ! »

- « Voir quoi ? »

- « Que j’ai raison voyons ! Car si cette potion existait bien et bel, il en aurait déjà un enfant. »

- « Mais cela ne serait tarder, et ce ne sera pas un mais deux. »

- « Deux ! Comment ça deux ? »

- « Actuellement il en est à son cinquième mois de grossesse, et Alexandre à son sixième. »

Bien que cela soit la vérité, il est difficile pour quelqu’un, qui comme Hermione est assez étroite d’esprit, d’y croire. Pour elle, tout ceci n’était qu’une mascarade inventée de toute pièce par son camarade de classe de Poudlard, et dans le seul et unique but : ne pas avouer à son amie qu’il a adopté sa fille, ou acheté pour être précis, car aucun organisme spécialisé dans l’adoption n’aurait pu confier un nouveau né à un couple homosexuel.

Granger trouvait cela scandaleux, non parce qu’elle n’aimait pas Harry et Draco, ni parce qu’elle ne se réjouissait pas du bonheur du couple, et encore moins parce qu’elle avait des idées homophones, loin de là. Le problème, car oui il y en avait un, venait plutôt de la difficulté que rencontre la plupart des couples hétérosexuels à adopter, procédure longue et difficile, qui pouvait soit prendre plusieurs années, soit ne jamais aboutir.

- « Ne me prends pas pour une idiote ! S’écria t’elle. Tu ne t’imagines quand même pas que je vais avaler tes salades ? Je croyais que tu avais plus d’estime pour moi pour ne pas me mentir aussi ouvertement. »

Les cris de la jeune fille avaient finit par effrayer le petit bout de chou qu’elle avait dans ses bras, et l’enfant se mit pleurer. Afin de le rassurer, Hermione le berça sans le moindre succès et dû se résoudre à rendre le nouveau né à sa « mère biologique ». Une fois dans les bras d’Harry Océane se calma immédiatement et fit même un sourire avant de s’endormir paisiblement.

- « Évite d’hurler comme ça ! s’indigna Harry, tu lui as fait peur. »

- « Désolée, mais contrairement à toi je suis incapable de m’occuper d’un bébé! »

- « Tu apprendras. »

- « Ah oui, quand ? »

- « Le jour où tu en auras un toi aussi. »

Hermione ne dit plus rien, des larmes commencèrent à se former dans ses yeux, et sans aucune explication, elle quitta la pièce en courant, sous le regard étonné de ses amis.

- « C’est quoi son problème s’exclama Harry froidement, tout en fixant son parrain. »

- « Elle est jalouse. »

- « Jalouse ! Mais de quoi ? »

- « Que tu aies un enfant et pas elle ! »

- « Rien ne l’empêche d’en avoir un aussi. »

- « Justement elle ne peut pas. »

- « Pourquoi ? »

- « Elle est stérile. »

- « Tu en es sur ? »

- « Oui malheureusement il n’y a aucun doute sur ce point. »

- « Il doit bien y avoir une solution ? »

- « Non. Il y en a aucune. Elle ne pourra jamais avoir d’enfant, répondit l’être de lumière sans aucun enthousiasme dans la voix et avec une évidente résignation. »

- « Tu es sur d’avoir tout essayé ? »

- « Bien sur que j’ai tout essayé ! »

- « C’est ça ! »

- « Pourrais-je savoir ce que tu insinues ? »

- « Tu le sais très bien, ne fais pas l’étonner. »

- « Désolé non je ne vois pas. »

- « Tu n’as rien fait du tout et tu es resté tranquillement sans bouger dans ton coin, complètement insensible aux souffrances qu’éprouve ta femme. »

- « Pourquoi aurais-je fais une chose aussi cruelle ? »

- « Parce que tu ne veux pas d’enfant ! »

- « MAIS PAS DU TOUT ! Comment oses-tu dire ça ? J’aime Hermione comme un fou, et mon désir le plus cher serait de pouvoir élever un enfant avec elle. »

- « Alors prouve-le ! »

- « Comment ? »

- « En agissant plutôt qu’en parlant. C’est pourtant bien toi qui m’as appris que vouloir c’est pouvoir ! L’aurais-tu oublié ? »

- « Bien sur que non! Mais les choses ne sont pas aussi faciles que tu le croies ! Nous avons tout essayé : l’insémination artificielle, la procréation assistée, aucune de ses méthodes n’a donné de résultats. Que veux-tu que je fasse de plus ? Seul un miracle pourrait nous aider, et je ne crois pas en ce genre de phénomène. »

- « Tu as pensé à lui faire prendre une potion ? »

- « Ce n’est pas une bonne idée! »

- « Cela a bien fonctionné pour moi. »

- « Je te répète que ce n’est pas une bonne idée ! »

- « Pourquoi ! Peux-tu me dire en quoi ce n’est pas une bonne idée? »

- « Parce qu’il n’existe aucune potion. Voilà tu es content. Ma réponse te convient ? »

- « Non, je suis sur qu’il existe une potion. »

- « Pardon ! Comment peux-tu affirmer une telle chose alors tu as toujours eu des lacunes dans cette matière ? »

- « Et toi comment oses-tu affirmer qu’elle n’existe pas alors que ce n’est pas le cas. »

- « Harry, s’écria Sirius hors de lui, tu vas un peu loin. La médecine tout comme la magie à ses limites ! Crois-tu vraiment que s’il y en avait une que je ne l’aurais pas faite ? Tu crois que je ne souffre pas moi aussi de cette situation ? Que je suis un égoïste qui reste à ne rien faire face à sa douleur ? »

- « Je ne dirais pas les choses de cette façon, mais si comme tu le prétends : il n’existait aucune potion, pourquoi ne l’avoir pas dit directement au lieu d’affirmer que ce n’était pas une bonne idée ? »

- « C’est à cause de ça que tu crois que la potion existe ? »

- « Oui ! Mais peut être que tu ne sais pas la faire ? »

- « Je sais la faire…. »

Black s’arrêta de parler, de par ses questions Harry avait réussit à le piéger et l’avait forcée à avouer bien malgré lui que non seulement la potion exister bien et bel, mais qu’en plus il savait la réaliser. Mais la raison pour laquelle Sirius avait nié son existence était ni parce qu’il ne voulait pas d’enfant ni parce qu’il en était incapable, mais pour d’autres raisons bien plus terribles.

- « Alors fais là, au lieu de te plaindre ! Ordonna Potter. »

- « Non, il est hors de question que je le fasse ! »

- « Je ne te comprends pas, tu peux aider Hermione à avoir ce qu’elle désire le plus au monde et tu refuses de le faire ? »

- « Je pensais avoir été clair à ce sujet : parce que ce n’est pas une bonne idée! »

- « Mais encore… »

- « Que veux-tu que je te dise de plus ? »

- « La vérité ! »

- « Je viens de le faire ! ET je n’ai aucun compte à te rendre à ce que je sache ! »

- « Et à Hermione ? »

- « … »

- « C’est ta femme n’est ce pas ? »

- « Oui ! »

- « Et à elle tu lui as lui dit pourquoi tu refuses de l’aider ? Tu lui dois des comptes à elle, c’est ton rôle d’époux ! »

- « Non je ne lui ai rien dit ! »

- « Pourquoi ? Tu ne tiens même pas compte de son avis, elle veut peut être la prendre cette potion ? »

- « Elle ne sait pas qu’elle excite. »

- « Pardon, tu lui en as bien parlé ? »

- « Non ! »

- « Tu vas le faire ? »

- « Non! »

- « Dans ce cas, c’est moi qui vais lui dire ! »

- « Comment! Tu vas faire quoi ? »

- « Lui dire : qu’il existe une potion qui lui permettrait d’avoir un enfant puisque tu es en incapable ! »

Avant de rejoindre son amie, Harry confia sa fille à son père, et d’un pas aussi bien déterminé que rapide, il se dirigerait vers la porte. Mais avant qu’il puisse franchir le seuil de la pièce, il fut agrippé sans ménagement par une main ferme ce qui eu pour effet de l’immobiliser. Incapable de bouger, le jeune homme commença à se débattre dans le but de se dégager de cette emprise et de pouvoir repartir. Malgré ses efforts non négligeables, il ne put se défaire de l’étreinte de celui qui le privait de sa liberté.

- « Sirius pourrais-tu me lâcher s’il te plait ? »

- « Non, tu ne sortiras pas d’ici ! »

- « Ne m’oblige pas à me fâcher. Si tu ne me relâche pas, tu risques de le regretter ! »

- « Tes menaces ne me font pas peur. Et c’est de ta faute si je suis obligé de te retenir contre gré! »

- « Pardon ! De ma faute ? Peux-tu m’expliquer en quoi je suis responsable du fait que tu me retiens prisonnier ? »

- « Tu le sais parfaitement. »

- « Si j’en avais la moindre idée, je ne t’aurais jamais posé la question ! »

- « Parce que je ne veux pas que Hermione soit au courant. »

- « Tu ne vas pas me retenir éternellement, et quoi que tu fasses rien ne pourras m’empêcher de tout de lui dire. »

- « Je t’en prie… ne lui… dis rien, répondit Sirius d’une voix abattue et aux bords des larmes. »

Étonné de voir autant de faiblesse dans l’intonation de son parrain, Harry se retourna, ce qu’il vit était loin de ce qu’il avait imaginé, Black était vraiment triste et pour la première fois il paraissait vraiment sincère dans ses paroles. Voir Sirius dans cet état fit de la peine au jeune homme qui resta sans voix, incapable de demander les raisons qui forçaient son ancien professeur de potion à le supplier de ne rien dire à Hermione.

Le silence s’invita d’elle-même dans la pièce, et l’atmosphère était devenue aussi bien oppressante qu’insupportable. Pourtant aucune des personnes présentes n’osaient dire un mot de peur d’aggraver les choses, et que la situation se transforme en mauvaise tragédie grecque.

Le bras d’Harry commença à prendre une couleur d’un bleu des plus inquiétantes, et Sirius conscient de faire mal à son filleul finit par lâcher son étreinte.

- « Désolé, murmura l‘être de lumière, je ne voulais être aussi brutal avec toi…. Mais c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour t’empêcher de faire une bêtise en allant tout dire à ma femme. Jure-moi de ne jamais lui en parler. »

- « Mais en quoi ce serait une bêtise? Je ne…. »

- « Parce que la potion peut avoir certains effets secondaires, et je tiens trop à elle pour lui faire courir le moindre risque. »

- « Tu entends quoi par « effets secondaires » ? »

- « Dans le meilleur des cas une fausse couche, et dans le pire…. la mère meurt le jour de l’accouchement. »

- « Mais ce n’est pas systématique ? Sur toutes les femmes qui ont prit ce traitement, il y doit y en avoir qui ont pu avoir un enfant, tout en restant en vie après la naissance ? »

- « En effet, la plupart ont réussit, mais pas toute. Alors aussi infime soit le risque : il est hors de question que Hermione prenne une potion aussi dangereuse. »

- « Tu aurais pu le dire plutôt ! Dire que j’ai faillit l’avertir. Telle que je la connais, je suis sur que son désir d’avoir un enfant serait plus fort et qu’elle l’aurait prise. Mais tout espoir n’est pas perdu, pourquoi n’essayez-vous pas l’adoption ? »

- « Nous avons fait une demande. Elle a été refusée ! »

- « Pourquoi ? »

- « Parce qu’elle est trop jeune, elle doit avoir vingt huit ans pour avoir le droit d’adopter. »

- « Je suis vraiment désolé pour ton couple. Tu peux compter sur mon silence, je serai muet comme une tombe, jamais je ne lui en parlerais. »

Mais avant de rejoindre son mari et son enfant il rajouta:

- « Qu’est ce que tu fais encore là, dépêche-toi un peu ! »

- « Me dépêcher ? »

- « D’aller réconforter ta femme! C’est ton rôle. Dans le meilleur comme dans le pire, l’aurais-tu déjà oublié ! »

Le temps était passé sur les belles années du directeur de Poudlard : Dumbledore. Ce dernier victime des ravages de la vieillesse avait fini par prendre la décision qui s’imposer d’elle-même, celle qui avait tant remise à plus tard sans jamais avoir eu le courage d’aller jusqu’au bout. Mais ce matin en se regardant dans un miroir, il se rendit compte qu’il était grand temps de faire un régime. En effet Albus avait ces derniers jours abusé des tartes aux citrons, des sorbets du même fruit et tout autre chose qui ne font que faire prendre du poids. Il est vrai que se lever toute les nuits pour se donner à son seul et unique plaisir dans la vie: manger, avait fini par le faire grossir, donc il avait décidé de ne plus se nourrir la nuit, et ne le ferait que le jour.

Accessoirement, il avait aussi pris sa retraite du collège, laissant dans l’établissement un grand vide au près des élèves et surtout au près de ses collègues, notamment chez une dame d’un âge assez avancée, le professeur McGonagall qui était devenue la première femme directrice de Poudlard. Cette dernière fut remplacer par le professeur Lupin en tant que directeur de la maison des Gryffondor et le professeur Black qui était aussi directeur de la maison des Serpentard en tant que sous directeur.

Ce ne fut pas les seuls changements, le poste de professeur de métamorphose ne revient pas à Hermione mais à son ex camarade de classe Marine Andrès, qui de par la même occasion ne s’était pas éloignée de son premier amour, et ne désespérait pas de l épouser un jour. Au début Rémus voyait tout ceci d’un bien mauvaise œil, mais après tout se faire draguer par une jolie fille n’était pas si désagréable que ça, il avec le temps, il finit par se rendre compte que lui aussi ressentait quelque chose de fort pour son ancienne élève, et avait accepté cette relation malgré la différence d’âge.

Serpentard et Gryffondor ne se faisant plus la guerre et avaient enfin prit conscience que la rivalité légendaire entre ses deux maisons n’avait plus lieux d’être, hormis pendant les matchs de Quidditch. Là le naturel, et le désir de gagner, rendaient les élèves un peu chauvins, mais ça c’est la nature même humaine, et il faudra du temps pour la changer.

Mais pour ça on peut compter sur la nouvelle génération de sorcier qui allait bientôt faire leur classe dans le fameux collège. Notamment sur les nombreux enfants de Ron et de Maêlisse qui en avaient déjà cinq après seulement six ans de mariage. Quant à la famille Potter- Malefoy, elle s’était aussi agrandit d’un nouveau membre, cette fois-ci se fut à Draco d’avoir le privilège de le porter en son ventre, et donna à Océane une petite sœur Cynthia sosie parfaite d’Harry si elle n’avait pas eu les yeux gris de sa « mère ».

Mais en ce qui concerne le record de naissance, personne n’égala le nombre historique de quatre enfants dans la même journée détenu par le couple Alexandre-Séverus qui avaient mis chacun naissance à des jumeaux. Le premier eu une fille Sabrina et un garçon Sébastien, le second accoucha prématurément de deux garçons, Nathan et Lucas, mais cette fois ci se fut de vrais jumeaux parfaitement identiques.

Sans oublier Laurent, le fils de Thomas et de Virginie, cette dernière devrait sous peu donner un petit frère ou une petite sœur à son premier fils.

Hermione continua à se battre afin de pouvoir adopter un enfant, en attendant, elle était la marraine de cœur des charmants bambins de ses amis, et cela lui rendit le sourire.

*************

Après la naissance de ses enfants, Harry n’entra pas tout de suite en fonction à l’O.M.S. Il enseigna tout d’abord la défense contre les forces du mal pendant cinq ans, avant de se décider à devenir un fondateur.

Ensuite il fit une carrière des plus prestigieuse dans l’établissement, il prit de grandes décisions, qui changèrent le monde de la sorcellerie, surtout au niveau de la sécurité et de la présomption d’innocence que chaque accusé devait bénéficier, en s’assurant que la justice serait la même pour tous, y compris pour les plus pauvres, et que plus personne n’aille en prison sans avoir eu auparavant un procès équitable. Il révoqua la peine de mort, et interdit les détraqueurs de se servir de leur pouvoir en embrassant leur victime. Il ferma la prison d’Azkaban, lieu où avait séjourné son parrain et son grand-père, pour en faire ouvrir une autre, qui pourrait accueillir les pensionnaires de façon plus humaine. Il s’arrangeât à ce que ceux qui avaient été prisonnier sans raison, soit dédommagés, enfin pour ceux qui étaient en vie, à défaut à leur famille.

Sirius refusa l’argent, et demanda à ce que la somme soit donné à la recherche médicale. Il supprima toute forme de mariage arrangé. Bref il ne travailla pas pour sa propre gloire mais pour le bien de tous, et devient, peu de temps après, l’un des cinq grands chefs.

***************

Draco grâce à ses études au Canada trouva tout naturellement une place en tant qu’assistant du ministre de la magie, avant de le devenir lui-même un jour quelques années plus tard. Sa première décision fut de rétablir le nom du grand-père de son époux, Jonathan Salinger. Non parce que ce dernier avait une victime de la justice, d’une part parce que ses descendants ne devaient pas payer pour une faute qu’ils n’avaient pas commise, d’une autre part parce qu’il savait que Thomas y tenait particulièrement.

******************

Les douleurs de Vernon se firent de moins en moins souvent, et au bout de plus de cinq ans, elles finirent par s‘arrêter ; le même jour que les cristaux, qu‘il avait en sa possession, cessèrent de briller, alors qu’ils devaient ne jamais s’éteindre. Alexandre avait peut être fini par avoir pitié de sa victime et il n’était pas si monstrueux que ça, à moins qu’il n’y mit pas assez de puissance ? Mais La vie de Mr Dursley était foutue, car sa femme demanda le divorce, elle ne pouvait plus vivre tous les jours avec une grosse limace rose. Bien sur elle demanda à recevoir une pension alimentaire pour elle et Dudley qui travaillait dans la restauration rapide, mais elle ne put l’obtenir puisque son ex mari était non seulement au chômage, mais considéré comme un handicapé. Elle finit sa vie de façon assez misérable. Elle, qui aimait tant le luxe, devait vivre dans un studio délabré avec pour seule compagnie, son fils qui ne savait plus rien dire qu’autre que « sur place ou à emporter ? »

************

Personne ne su vraiment si la malédiction qui pesait sur la famille Salinger avait ou non était annulée, bien qu’il soit peu probable que ce soit le cas, à moins d’un miracle. Alors faisons comme c’était le cas, puisqu’il n’y eu plus de décès ni de séparation, et puis c’est mieux de voir les choses ainsi.

Et en y réfléchissant, peut être est ce que le maléfice n’a jamais vraiment existé et que tout fut inventé de toute pièce le jour de la naissance de jumeaux ? Dans ce cas, tous les évènements qui en suivirent ne seraient que le fruit du hasard ? Pourquoi pas ? Après tout rien ne prouve que ce mal fut jeté, la preuve, chacun avait une version différente de l’histoire et surtout sur la façon de la conjurée. Seul le temps pourra nous donner une réponse précise à cette question, qui est pour l’instant sans réponse….

FIN

Tout ce qui finit doit commencer, je vous propose un voyage dans le temps, pour revenir vingt ans avant, afin de connaître le début, le passé de Séverus.

A lire dans le droit à l’erreur

See you à tous

Kuroro la pieuvre du désert alias Kurapika :biz:

a tres bientot, ^^

_________________
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kuroro la pieuvre du désert alias kurapika ou klpdd


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MessagePosté: 05 Avr 2006 22:01 
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J'aime beaucoup comment tu nous racontes le futur de tout le monde, mais quelle nombreuse progéniture !! :lol:

Cybelia.


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MessagePosté: 05 Avr 2006 22:12 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Une super fin, bien qu'un peu triste pour Hermione...

Mais quand même super super fin pour une super super histoire!!!

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"I'm very lustful. I'm in this fortunate, or unfortunate, position being bisexual in that I have twice as many people to lust over. So it can get hard on tour. I don't think lust is a sin - people should have sex as much and in as many situations as possible. Then they'd be less uptight. "

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Brian Molko


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