kikou
voila le chapitre 18, je tiens juste a dire que je mets les chapitres en meme temps que sur ff, ce qui explique le temps d'attente plus long, et que j'ai du mal à écrire le 19 je ne sais pas quand je pourrais le mettre.
sinon, merci de me lire...
Chapitre 18: Une seule vie ( Depalmas)
« -Papa ? Répéta Draco qui ne comprenait plus rien. Comment se pouvait il que le professeur d’animagus soit le père du survivant ? Cela n’avait aucun sens. Mais celui qui est parti est le professeur Océan et non ton père. »
Dans sa douleur Harry avait oublié qu’il n’était pas seul dans le hall de l’aéroport quand il s’était mis à hurler « Papa je t’en prie reviens. Je te pardonne » puisque son époux était parti avec lui. Comme le Gryffondor en avait trop dit, ou pas assez, il décida de tout avouer au Serpentard, plus rien ne justifiait qu’il garde encore le secret, qui n’en était plus vraiment un.
« -C’est mon père ! Son véritable nom est James Potter. »
«- Harry c’est impossible, ton père est mort. »
« -Je sais ce que je dis, et je viens de le prendre pour la seconde fois. »
« -C’est parce que c’est un être de lumière que tu crois que c’est ton père ? »
«- Non, il me l’a dit lui-même. »
« -Il aurait pu te mentir, rien ne le prouve, surtout que j’ai vu des photos de lui, et il n’y a aucune ressemblance. »
« -Il a du changer son apparence, les êtres de lumière n’ont pas le droit de revoir leur famille. De plus j’ai vu son nom sur la carte des maraudeurs, et elle ne ment jamais. »
«- Comment tu l’as su ? S’il ne devait pas te revoir, il ne devait pas te le dire non plus. »
«- Le jour où Sirius m’a demandé de sortir de sa classe, j’ai surpris une conversation entre lui et Thomas, c’est là qu’il lui a dit qu’il était mon père. »
«- C’est pour ça que tu avais mis toutes ses affaires au feu ? »
«- Je lui en voulais, je ne pouvais pas croire que c’était mon père qui était devant moi, et qu’il faisait tout pour que je ne puisse pas être fondateur, et qu’il passe ses colères sur Thomas, et aussi de m’avoir mentit tout ce temps, alors je lui ai dit des méchancetés, je voulais que lui aussi souffre pour m’avoir abandonné à mon sort. Tu ne peux pas savoir à quel point je le regrette à présent. »
«- Pourquoi tu ne m’en as pas parlé ce jour là ? »
« -Parce que je croyais que tu ne comprendrais pas pourquoi je rejette mon père, que tu imaginerais que je suis qu’un égoïste, qu’à aucun moment je n’ai pensé à ce qu’il a pu ressentir en étant obliger de me cacher le fait qu’il soit un être de lumière. »
« -Cesse de dire n’importe quoi, tu as souffert et je comprends ton attitude, plus que tu ne la comprends toi-même. Mais pas que tu n’aies pas eu le besoin de te confier à moi, tu peux tout me dire. »
«- Merci mon cœur, répondit Harry qui avait vraiment besoin d’une épaule pour pleurer. »
Draco se baisa et prit son époux dans ses bras, tout le lui caressant gentiment la tête.
«- Je suis là, murmura t’il, nous ferions mieux de rentrer au collègue, nous n’avons plus rien à faire ici. »
« -Non, cria Harry qui se releva. Toi tu y retourne si tu veux, pas moi. »
« -Que comptes tu faire ? »
« -Le rejoindre. »
«- Pardon ? Tu ne vas pas tout laisser tomber pour aller le rejoindre ? »
«-C‘est pourtant ce qu‘il a fait lui. Je vais prendre le prochain avion et vais le rejoindre au Canada. »
« -Tu crois que je vais te laisser y aller tout seul ? »
«- Oui, à moins que tu ne viennes avec moi. »
«- Et pour y aller on va devoir monter dans cette machine étrange ? »
«- Oui ! »
«- Non…non…non….non… »
«- Non ? Tu ne veux pas venir avec moi ? »
«- Si, mais pas avec cette chose, et si elle s’écrasait, après tout ce sont des moldus qui l’ont fabriquée. »
«- L’avion est le moyen de transport le plus sur au monde. »
« -Mais comment allons nous montrer dedans, tu as bien vu tout à l’heure, il nous faut des papiers que nous n’avons pas, à moins que tu compte figer tout le monde ? »
« -Non, je vais les fabriquer moi-même. Tout ce qu‘il me faut c’est des vieux journaux, et un peu de temps.»
Après avoir prit des magazines dans une poubelle, Harry emmena Draco avec lui dans les toilettes, pour faire sa magie, valait mieux qu’ils soient à l’abri des regards indiscret. Après avoir bien verrouillé la porte, et jeté un sort de silence, le survivant se prépara à créer les documents nécessaires pour son voyage. Bien sur la falsification de papier d’identité n’était pas au programme des cours de métamorphoses du professeur McGonagall, mais ce n’est pas un détail aussi insignifiant qui allait arrêter le survivant. Le plus simple aurait été de passer par les voies légales, mais c’était bien trop long pour l’adolescent, qui n’avait plus qu’une seule idée en tête, retrouver son père et coûte que coûte.
Le Gryffondor prit donc un journal dans les mains et récita des formules assez complexes, et petit à petit l’hebdomadaire changeât de forme pour devenir un vrai faux passeport, qui était d’une telle perfection qu’il ferait pâlir de jalousie tous les faussaires du monde. Afin que Draco ait lui aussi des papiers d’identité il recommença l’opération. Ensuite, il créa des vrais faux billets d’avion et carte d’embarcation. Le Serpentard était très impressionné par les progrès qu’avait fait son amant en si peu de temps.
« -Mais comment sais tu faire tous ça ? s’écria t’il. »
« -Disons que j’ai eu le meilleur professeur de métamorphose du monde. »
«- McGonagall ! Non je ne dirais pas que… »
« -Je pensais plutôt à Alexandre Salinger, j’ai plus appris avec lui en deux mois, qu’avec le professeur McGonagall en six ans. »
Tout en parlant Harry regarda son mari de la tête au pied, il venait de se rendre compte qu’il avait les habits de son collège, une chose était sur, ils avaient une tenue qui ne passerait pas inaperçu, bien au contraire, mais aucun des adolescents n’avaient pris avec eux des habits plus classiques, ni étaient en possession d’argent moldu qui leur aurait permis d’en acheter de nouveau.
«- Pourquoi tu me regardes comme ça, demanda Draco. »
« -Déshabilles toi! »
« -Tu crois que c’est le moment de penser à ça ? »
«- Je dois lancer un sort sur tes vêtements afin qu’il change de formes. »
«- Ma tenue ne te plait pas ? Pourquoi devrais je en changer ? »
« -Parce qu’on est censé être deux étudiants moldus qui se rendent au Canada pour un voyage scolaire. »
«- Et pour ça je dois me déshabiller ? »
« -Oui, mais tu peux garder tes sous-vêtements. »
Cinq minutes plus tard le blond avait de nouveau vêtements, un pantalon de cuir noir moulant, une chemise noire aussi et un manteau marron foncé avec un peu de fourrure sur le col et le bout des manches. Quant au brun, il avait un jean délavé, un polo beige et un manteau noir.
Mais pour arriver à monter dans l’avion les deux adolescents devaient passer de nouveau à la douane. La chance semblait être de leur coté, puisque ce n’était pas le même employé, il prit les passeports et les regarda très attentivement. Le temps passa lentement bien trop lentement, et plus il passait, plus Harry craignait de ne pas pouvoir passer, il savait que s’il ne partait pas tout de suite, jamais il n’aura le courage de le faire plus tard.
« -Messieurs, vous avez… »
Le Gryffondor éclata en sanglot avant même que l’employé ne finisse sa phrase, il croyait que ce dernier allait lui dire que le passeport était faux, et qu’il devait appeler la police pour qu’elle les emmène en prison.
«- Ne vous mettez pas dans cet état uniquement parce que vous avez oublié de signer votre passeport. »
«- Signer ? Répéta Harry. »
«- Oui votre passeport ne peut être considéré comme valide si vous ne le signez pas. »
«- Excusez-moi Mr, j’ai oublié. »
« -Ce n’est pas grave, vous n’êtes pas le premier à avoir oublié. »
Le reste du parcours se passa sans incident, et les deux adolescents purent montrer dans l’avion, et dans quelques heures ils seraient tous les deux au Canada, lieux où se trouvait James Potter. Peu de temps avant le décollage, le pilote fit son annonce, ce qui inquiéta Draco, en effet il ne voyait pas la personne qui parlait. Il se retourna dans tous les sens, afin de savoir qui pouvait dire toutes ces choses, ce qui fit rire Harry.
« -Tu cherches quelque chose ? Demanda t’il. »
«- La personne qui parle en ce moment. »
« -Dans ce cas tu ne regardes pas où il faut. »
«- Ah! Oui, tu sais où elle est ? »
« -Bien sur, derrière cette porte, répondit Harry tout en désignant la porte du cockpit. »
«- Mais on ne devrait pas l’entendre aussi bien, il se sert de la magie ? »
«- Non de la technologie. »
«- La…. »
Draco ne finit pas sa phrase, en effet l’avion venait de démarrer, et commençait à rouler de plus en plus vite. Mort de peur, il eut la force de regarder par le hublot, et il vit la terre se pencher dangereusement. L’avion venait de quitter le sol, ce qui n’était pas très rassurant aux yeux du jeune sorcier, il s’agrippa à son fauteuil et ferma les yeux, tout en espérant que le voyage ne durait que peu de temps. Mais une nouvelle annonce du commandant de bord, lui fit réaliser que le voyage serait bien plus long qu’il ne l’aurait cru.
« -Nous survolons actuellement l’atlantique, notre vitesse est de 800 nœuds et notre attitude est de 5000 pieds. La température extérieure est de zéro degrés centigrade, nous arriverons à l’aéroport international de Montréal dans précisément six heures. Je vous souhaite à tous et à toutes un agréable voyage et je vous remercie d’avoir choisi notre compagnie. » ( nda: Excusez-moi si les donnés sont erronées, mais je ne me souviens plus de ces données. Merci de votre tolérance envers l’auteur qui a prit l’avion en septembre 2001, mais qui n’avait pas noté ces informations.)
« -Six heures ? Cria Malefoy, mais ils ne peuvent pas aller plus vite ? »
« $$$$$$$$$$$$$ »
Six heures plus tard, les deux adolescents étaient enfin arrivés au Canada, c’est là que cela se compliqua, ils n’avaient aucun moyen d’entrer en contact avec James Potter, et ne savaient absolument pas où se trouvait son école, hormis qu’elle était dans la petite ville de Papineauville, inconnu de tous, même des Québécois. L’Académie du beau rocher était pratiquement introuvable, et n’apparaissait sur aucune des cartes.
Dehors le temps était glacial, il y avait même une tempête de neige, Harry et Draco décidèrent de rester à l’abri dans l’aéroport. Il fallait se rendre à l’évidence ils étaient perdus et sans argent. Ce qui décourageât le Gryffondor, mais il ne voulait pas retourner à Poudlard sans avoir vu son père, il ne pouvait pas se faire à l’idée d’avoir échoué si près du but.
«- Harry tu te fais du mal, on ne le trouvera jamais, il serait mieux que nous rentrions. »
«- Non. »
«- Ne fais pas l’enfant, tu sais bien que l’on ne pourra jamais trouver son école. »
«- Je le sais, mais je ne…. »
Le brun les larmes aux yeux ne put finir sa phrase, son mari avait raison.
« -D’accord, reprit il, on rentre. »
Avant de partir, Harry se retourna une dernière fois, et c’est à ce moment qu’il vit son père qui sortait de l’aéroport avec ses bagages.
« -Papa, cria le survivant. »
Aucune réponse….
«- James Potter! »
Toujours aucune réponse…
«- Cornedrue ! »
Cette fois ci l’homme eu une réaction et arrêta de marcher. Étonné, il se retourna pour voir qui l’avait appelé par son surnom. Il vit son fils courir en pleure à sa rencontre, suivit de Draco.
« -Harry ? Mais que fais tu ici ? »
« -J’ai lu la lettre ce matin, et j’ai…. »
« -Ma lettre ? Quelle lettre ? »
« -Celle que tu m’as envoyée pour me dire que tu partais pour le Canada. »
Daniel ne comprenait pas comment son enfant ait pu avoir entre les mains une lettre qui n’avait jamais pu écrire. Mais il préféra ne rien dire.
«- Tu es venu pour vérifier que je partais bien, s’écria l’être de lumière. »
« -Je suis allé à l’aéroport, je devais te dire quelque chose avant que tu ne partes, mais je suis arrivé trop tard. »
« -Je n’étais pas dans l’avion, je suis arrivé trop tard aussi, j’ai été obligé de prendre le suivant. Que voulais tu me dire de si important ? »
«- Je te pardonne. »
A l’entente de ces mots le professeur Océan ne put retenir ses larmes, jamais il n’aurait cru que son fils puisse lui dire ces trois mots. Ce dernier se jeta dans les bras de son père.
« -Mais comment tu as fait pour venir jusqu’ici ? Tu avais un passeport ? »
« -Non, je me suis servit de mes pouvoirs pour en faire un. »
« -Tu as réussit à faire de faux papiers? Tu sais que c’est très difficile, peu de sorcier y arrive. Que comptes tu faire à présent ? »
«- J’aimerais rester un peu avec toi, si tu es d’accord. »
«- Avec ton mari aussi? »
«- Oui, répondit Harry, si tu es d’accord. »
« -Bien sur, mais dès que nous arrivons, tu enverras une lettre à ton collège afin qu’il sache où tu es. »
«- Oui papa. »
Enfin Daniel et son fils s’étaient retrouvés, et en compagnie de Draco, ils se rendirent à Papineauville. Mais avant de sortir de l’aéroport Océan lança un sort aux adolescents afin qu’ils n’aient pas trop froids dehors.
« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »
Au même moment à Poudlard, Harry et Draco étaient parti si précipitamment qu’ils n’avaient pris le temps de le dire et à personne. Inquiet le directeur demanda à ce que l’on cherche les deux adolescents, mais le soir venu, ils étaient introuvables. Craignant pour la sécurité de ses élèves, il voulut lancer un avis de recherche, tout en espérant que ce n’était pas la veuve Malefoy qui avait fait kidnapper les deux époux. Le professeur de défense contre les forces du mal, alla le rejoindre dans son bureau pour lui déconseiller de le faire.
«- Vous savez où ils sont ? cria Dumbledore en colère. »
«- Oui, et je peux vous assurer qu’ils ne courent aucun danger. »
« -Vous en êtes bien sur ! »
«- Oui. »
«- Dans ce cas dites-moi où ils sont. »
« -En sécurité. »
«- Donc vous ne le savez pas! »
Pourtant Thomas le savait puisque c’est lui qui avait envoyé la lette à Harry, afin que ce dernier puisse se rendre à l’aéroport, et surtout parce qu’il venait de recevoir un message de son frère dans lequel il lui disait que Harry et Draco étaient avec lui au Canada.
« -Je le sais, ils sont avec Daniel. »
«- Le professeur Océan, mais pourquoi iraient ils avec lui ? »
«- Vous le savez parce que c’est le père d’Harry. »
« -Alors il le savait ! »
«- Oui. »
«- Pourquoi m’avoir menti ? »
«- Parce que si vous l’aviez su, vous aurez demandé à Daniel de partir. »
« -Daniel ? Comment se fait il que vous l’appeliez par son prénom ? »
« -J’ai fait ça ? ….. J’ai du me tromper, ……je voulais dire le professeur Océan. »
Dumbledore se doutait que le professeur Salinger lui cachait quelque chose au sujet de Daniel, mais quoi ? Il y avait une raison pour laquelle Thomas avait utilisé le prénom de son collègue à la place du nom.
«- Vous semblez savoir beaucoup de chose à son sujet, des choses qu’apparemment j’ignore. »
«- En effet, mais ne comptez pas sur moi pour vous les dire. »
«- C’est ce qu’on va voir. »
Dumbledore n’aimait pas le ton si arrogant qu’avait pris Thomas pour lui répondre, personne hormis James et Alexandre n’avaient eu l’audace de lui tenir tête. Le directeur décida de sonder l’esprit du professeur Salinger, afin d’y trouver la réponse à sa question. Pour un maître tel que lui c’était un jeu d’enfant, sauf que cette fois ci, il se trouva bloqué incapable de lire les pensées de l’homme qui était devant lui.
«- Je peux savoir ce que vous cherchez à faire ? demanda Thomas. »
«- Rien. »
« -Vous n’essayez pas d’entrer dans mon esprit ? »
«- Pourquoi diable ferais je une telle chose ? »
« -Parce que vous êtes curieux et que vous voulez savoir ce que je sais sur Daniel. »
«- Je n’y avais pas pensé. »
«- C’est ça, n’oubliez pas que c’est moi qui ai enseigné l’occlumancie à Séverus. Alors ne vous fatiguez pas inutilement. Il se fait tard, je vais me coucher, bonne nuit Mr le directeur. »
Malgré tous ses efforts Dumbledore ne sera jamais que James est le demi-frère de Thomas et d’Alexandre, puisque aucun des trois frères ne jugera bon de lui dire.
« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »
Malgré l’absence de Potter, le match de Quidditch opposant Gryffondor et Poufsouffle eu quand même lieu. En effet, Marine jouait à ce sport dans son ancienne école, au poste d’attrapeur. Grâce à elle, son équipe remporta la victoire, et prirent la tête de la compétition, juste devant l’équipe des Serpentard.
Les rouges et or passèrent une soirée très arrosée, et se couchèrent très tôt dans la matinée.
C’est dans un état semi-comateux qu’ils se rendirent à leur premier cours de la matinée, camouflage avec Rémus. Ce dernier avait lui aussi fêté l’événement comme il se devait, puisqu’en absence du professeur McGonagall, il était le directeur de maison des Gryffondor, mais lui c’était contenté de jus de citrouille, il n’aimait pas l’alcool. Ce qui n’était pas le cas de ses élèves, eux avaient beaucoup bu de bièreaubeurre, surtout Marine qui avait toujours aimé cette boisson, peut être un peu trop.
Bien sur le cours ne se passa pas exactement comme l’aurait aimé le professeur Lupin, il avait du mal à obtenir de ses étudiants un peu d’attention.
« -Veuillez vous calmer ! cria t’il pour la centième fois de la matinée. Ici vous êtes en cours, faites au moins l’effort de m’écouter. »
Mais personne ne l’écoutait vraiment, les adolescents étaient plus occupés à parler du match de la veille, sauf Melle Andrés qui s’était rapproché de son professeur, et avant que ce dernier n’aie le temps de lui demander quoi que ce soit, elle s’était assise sur ses genoux.
« -Je vous trouve si sexy quand vous êtes en colère. »
«- Pardon ? »
« -Vous êtes sexy quand vous êtes en colère. »
«- Melle reprenez-vous, vous êtes ivre ! Et veuillez vous lever. »
«- Non. »
«- Pourquoi ? »
« -Parce que je ne pourrais pas vous embrasser. »
«- Me quoi ! Mais…. »
Marine dans un état second ne laissa pas le temps à son professeur de finir sa phrase, elle lui captura ses lèvres dans un baisé. Rémus ne fit rien pour se défendre, jusqu’à ce qu’il réalise ce qu’il était en train de faire, à ce moment il repoussa l’étudiante qui le collait d’un peu trop près.
«- Melle vous vous rendez compte de ce que vous venez de faire, cria t’il plus rouge que la jeune fille. »
«- Oui, je vous ai embrassé, cela vous pose un problème ? »
«- Non….. Oui ! Je suis votre professeur ! »
«- Et ? Le professeur Black sort bien avec Hermione. »
«- Je ne… »
Marine n’avait pas envie d’entendre son professeur parler, et elle reprit son baiser, sous les yeux de ses camarades, qui eux non plus ne comprenaient pas tout ce qu’il se passait, mais aucun ne semblait choqué de cette relation. Après tout, ils ne faisaient rien de mal. Ils étaient eux aussi dans un état second, et ne réalisaient pas vraiment ce qu’il se passait.
A suivre chapitre 19, Vivre ici ! À ne pas manquer…
see you