kikou a tous et merci de lire
voila la suite
a cybélia; tu fais trop rire toi, tu dois être la seule à préfèrer Thomas à Harry,
, moi aussi dans un sens, mais c'est normale suis l'auteur, et moi aussi j'adore Daniel
, toi par contre sais pas si tu vas continuer.... va savoir
j'arrête de dire n'importe quoi, voila la suite
Chapitre 4: Une folie de plus ( Obispo)
Après son arrivée à l’hôpital saint Mangouste Daniel disparut comme il était arrivé. Sirius et Rémus voulurent le remercier, mais il avait déjà disparut.
Quant aux malades, grâce aux bons soins du docteur Philippe Lasouris, étaient hors de danger et récupéraient doucement.
Black expliqua brièvement à son filleul ce qu’il s’était passé chez son oncle, et repartit chercher Draco afin de le rassurer et de le ramener.
Rassuré et heureux de pouvoir enfin revoir son amant, Harry se rendormit, dans sa chambre, qui n’avait rien à voir avec celle qu’avait eu Arthur, c’était une chambre individuelle, avec une salle de bain privé. Bien sur ce privilège lui avait accordé, uniquement parce que Thomas l’avait exigé.
******************
Deux jours après Harry se réveilla, il sentit comme une présence amicale et protectrice à ses cotés. A cause de la faible luminosité de la pièce, il ne put distinguer clairement le visage de la personne, tout ce qu’il voyait c’était de magnifiques cheveux blonds. En pleure il se blottit dans les bras de l’homme, qu’il pensait être Draco, afin de trouver chaleur et réconfort.
- « Tu ne peux pas savoir à quel point j’ai eu peur de ne plus jamais te revoir. »
- « Tout va bien, tu es en sécurité ici, plus personne ne te fera du mal. Repose-toi encore un peu. »
- « J’ai déjà trop dormit, je n’ai plus sommeil. »
- « Tu devrais, je vais te laisser, je reviens. »
- « Non reste avec moi, s’il te plait, j’ai envie de toi, fais-moi l’amour. »
Le survivant n’attendit pas d’avoir une réponse, il commença à déboutonner la chemise de celui qu’il prenait toujours pour son amant, après il s’attaqua à la ceinture du pantalon.
- « Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. »
- « Laisse toi faire. »
- « Arrête, je ne suis pas c… »
Le Gryffondor ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase, il captura ses lèvres dans un baiser un peu trop passionné.
- « Potter, que faites-vous là? Veuillez cesser immédiatement ! cria un homme qui avait la même voix que le maître des potions. »
Harry ne comprit pas pourquoi Rogue ne voulait pas qu’il embrasse Malefoy. Il ouvrit les paupières, et là au lieu de voir des yeux gris, comme il s’y attendait, il en vit un vert clair et l’autre marron foncé.
Réalisant son erreur, le brun, se recoucha dans son lit, rouge de honte et de confusion.
- « Désolé Mr, je vous ai pris pour quelqu’un d’autre. »
- « Je m’en suis bien rendu compte. »
- « Vous devez m’en vouloir, je me suis montré trop entreprenant. »
- « Non ce n’est pas grave. »
- « Si, c’est grave, s’écria Séverus en colère. Et toi Alexandre tu n’étais pas obligé de te laisser faire, et fais moi le plaisir de te rhabiller. »
- « Mais tu es jaloux? Demanda Managua. »
- « Tu es à moi, personne n’a le droit de te toucher. »
Comme Alexandre ne fit pas ce que son époux lui avait demandé, Rogue alla le faire lui-même et reboutonna la chemise.
- « Alexandre, s’exclama Harry, c’est vous le frère de Thomas Salinger? »
- « Oui je suis bien son jumeau. »
- « Pourquoi étiez vous dans ma chambre? »
- « Thomas m’a demandé de veiller sur toi pendant ton sommeil. »
- « Pourquoi n’est-il pas venu lui-même, si mon cas l’intéresse tant. Il a sûrement mieux à faire. »
Le ton sur lequel Harry avait parlé était dur, il ne se rendit pas tout de suite compte de la méchanceté de ses paroles, ce n’est qu’après qu’il réalisa que si son professeur n’était pas avec lui, c’est que lui aussi avait du être hospitalisé, et qu’il ne pouvait pas sortir de sa chambre.
- « Je suis désolé, murmura le survivant, je ne voulais pas, c’est juste que… »
Des cris provenant du couloir lui coupèrent la parole.
- « Que faites-vous ici Mr? Vous ne devriez pas être levé, retournez immédiatement dans votre lit. »
- « Puisque je vous dis que je me sens bien, je n’en peux plus de rester allonger sans rien faire. »
- « C’est à moi de décider ou non si vous allez bien, pas à vous, ici c’est moi le docteur. »
- « Cinq minutes, laissez-moi juste cinq petites minutes, j’ai besoin de marcher un peu, après je me retourne dans ma chambre. »
- « D’accord, mais si vous n’êtes pas couché, je me verrais dans l’obligation de vous y amener par la peau des fesses. »
Thomas s’exclamèrent d’une seule voix Séverus et Alexandre tout en levant les yeux au ciel, ce qui fit rire l‘adolescent, décident son professeur de défense contre les forces était têtu, très têtu.
- « Harry, je vois avec bonheur que tu vas mieux. Je suis désolé, dit Thomas qui venait d’entré dans la chambre. »
- « Pourquoi es tu désolé? »
- « A cause de moi tu as…. »
- « Non cesse de t’excuser tout le temps, tu n’es pas responsable de mon état. Je sais que tu as tout essayé pour me faire sortir de chez mon oncle. Comment te sens tu? Tu as une mauvaise mine. »
- « Un peu de fatigue, mais ça va. Je vais prévenir Draco que tu es réveillé. »
Mais le professeur Salinger, trop faible, perdit l’équilibre, il fut rattraper avant de toucher le sol par Séverus.
- « Tu vas surtout retourner dans ton lit, c’est moi qui vais aller le chercher. Quant à toi je te ramène dans ta chambre. »
**************
Dés qu’Harry fut rétablit, il emménagea avec Draco dans une des nombreuses chambres du manoir Salinger. Sirius retourna chez lui avec Hermione.
Tout avait l’air parfait, mais en apparence seulement, car le jeune Potter sentait bien que quelque chose en lui avait changé, qu’il n’était plus vraiment le même qu’avant. Plus les jours avançaient et moins il contrôlait ses pouvoirs, il essaya tant bien que mal de dissimuler son état à son entourage, pensant que cela passerait vite, et que bientôt, il serait comme avant.
Ses efforts afin de cacher son état furent vains, et un jour, tout lui échappa, il ne contrôlait plus rien et toutes les vitres de la salle à manger volèrent en éclat.
- « Désole, s’écria t’il sous les yeux exorbités de amant qui était dans la même pièce que lui, c’est un accident. »
- « Ce n’est pas grave, répondit Draco. Il suffit juste que tu les répares. »
- « D’accord, reparo; cria le survivant. »
Mais au lieux de réparer les dégâts, il y eut d’autres explosions, bien plus forte que précédemment.
- « Harry tu nous fais quoi la? Quelque chose ne va pas. »
- « Tout va bien. »
- « Tout va mal oui, tu ne maîtrises plus te pouvoirs, c’est ça? »
- « Oui, avoua le brun. »
- « Depuis combien de temps? »
- « Deux semaines. »
- « Tu comptais me le dire un jour? Hurla le blond en colère. »
- « Je pensais que tout redeviendrait normal. »
Potter eu soudainement très mal à la tête, il se sentait comme pris dans un feu ardent. La douleur déformant son visage. Apeuré Draco voulut le prendre dans ses bras, mais il fut arrêté par Alexandre qui venait d’arriver, attiré par les bruits de verres cassés.
- « Reste où tu es, tu ne dois pas le toucher, laisse moi faire. »
Managua se rapprocha de Potter, lui mit la main sur l’épaule.
- « Tu vas te calmer oui. »
Tout redevint normal. Harry ne sentait plus aucune douleur.
- « Heureusement que vous étiez là, s’écria Draco. »
Mais ce n’était pas Alexandre qu’il regardât, mais Thomas qui était resté près de la porte d’entré et qui n’avait rien fait, se contentant de regarder.
- « Heureusement que ton frère était là, reprit Malefoy, en colère contre son professeur. Pourquoi tu n’as rien fait? »
- « J’ai essayé figure-toi. »
- « Ah oui? Vraiment? »
- « Oui vraiment, je vais réparer les dégâts. »
Mais rien ne se passa, les bris de verres étaient restés au sol.
- « Je ne comprends pas, s’exclama t il. C’est comme si je n’avais plus mes pouvoirs. »
- « Tu ne les as plus, confirma Alexandre, c’est le jeune Potter qui les a. Il était le plus de près des cristaux quand ils ont explosés, et c’est vu remettre toute la puissance contenue dedans, y compris tes pouvoirs. »
- « Je ne voulais pas, s’écria Harry. »
- « Tu n’y es pour rien, mais en attendant que tout redevienne normal, essaye de plus faire de la magie, répondit Managua. »
**************
Harry aurait tant aimé que ses amis soit avec lui pour son anniversaire, il était déçu de n’avoir eu aucune nouvelle, ni aucune lettre, seul Draco devrait être avec lui en ce jour du 31 juillet. En effet Alexandre avait prétexte une course urgente à faire, et qui comme par hasard devait se faire avec son frère et son mari, comme s’il ne pouvait pas la faire un autre jour cette course.
C’est donc triste que le Gryffondor décida de ne pas bouger de son lit, il fallut toute sa force de persuasion au Serpentard pour faire sortir son amant, et le conduire dans le hall d’entrée.
Quand les deux adolescents arrivèrent dans le fameux hall, il y régnait une pénombre, donc la seule force de lumière provenait de bougies, dix sept exactement l’age que venait d’atteindre le survivant.
- « Fais un vœu, lui conseilla Draco, et souffle. »
- « Je veux que mes amis soient avec moi aujourd’hui, s’exclama Harry, avant des les éteindre d’un coup. »
La pièce fut plongé dans le noir total, mais pas longtemps, la lumière revient grâce comme par magie.
- « Surprise, Bon anniversaire Harry. »
Pour une surprise, elle était de taille, tous les amis du survivant étaient là, la famille Weasley, Hermione, Sirius, Rémus, Dumbledore, Séverus, les frères Salinger, Tonks, Maêlisse, Clémentine et Olivier. Potter regarda ses hôtes.
- « Une course urgente ? Vous m’avez bien eu oui. »
- « On voulait te faire une surprise, s’exclama Hermione. Tu n’avais quand même pas cru que l’on avait oublié ton anniversaire? »
- « Pas de nouvelles, pas de lettres, je croyais que vous ne vouliez pas me voir. »
- « Tu es notre ami, on se doit d’être avec toi. »
- « Tu ne peux pas savoir à quel point je suis content que vous soyez là, c’est toi qui en as eu l’idée? »
- « C’est ton parrain qui nous a demandés de venir te voir, et aussi de garder le secret, sinon tu n’aurais pas eu de surprise. »
Le survivant fut gâté, et avait eu beaucoup de cadeaux, ils auraient aimé les ouvrir en même temps, ce qui était bien sur impossible, mais il ne voulait pas faire attendre ses invités, qui avait faim, surtout Ron, qui le suppliait du regard, comme un chien battu qui aurait jeûné une semaine au moins.
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La salle à manger était immense, cela donna le vertige à rouquin peu habitué à un tel espace, ce qui fit rire Maêlisse.
- « Remets-toi Ron, tu ne vas pas rester la bouche ouverte quand même. »
- « Tu te rends compte, je suis sur que cette pièce, a elle seule est plus grande que la maison de mes parents. » ( nda, Ron a tendance à en rajouter un peu.)
Le repas commença bien, tous mangeaient de bon cœur les plats qui étaient sur la table, tous, non sauf Hermione, après avoir vu un elfe de maison, avait posé sa fourchette. Elle regretta d’être venue, et aussi de ne pas avoir pris les badges de son association. Ce n’est pas parce que la famille Salinger était une sang pur que c’est représentant devaient abuser de leur rang, et avoir des esclaves chez eux, a ça non.
- « Tu ne mange plus? S’inquiéta Ron. »
- « Tout cela me dégoûte. »
- « Tu n’aimes pas? C’est délicieux pourtant. »
- « Je ne parle pas de ça. »
- « Alors mange. »
- « Tu te rends compte de ce qu’il se passe ici? »
- « On fête les dix sept ans de notre ami. »
- « On contribue surtout au maintient de l’esclavage oui! Ce que tu dévores a été préparé dans la douleur et la sueur, et toi tu te goinfre comme si de rien n’était, insensible à la souffrance de ces pauvres elfes de maison surexploités. Voilà ce qui me dégoûte. »
- « Hermione tu en fais un peu trop là, s’indigna Thomas, tu me fais de la peine. »
- « Tu devrais plutôt avoir honte de toi. Je te croyais que tu valais mieux que ça. Je suppose que tu les fais travailler sans salaire ni repos. Comment fais tu pour te regarder dans un miroir, moi à ta place je ne pourrais pas. Que dis je, je ne serais jamais à ta place, j’ai trop d’estime pour les elfes de maison pour les exploiter… »
L’arrivée d’un elfe de maison interrompu la jeune fille dans son monologue interminable.
- « Melle, ne parlez pas à mon maître de cette façon. Je suis fier de travailler ici, et pour rien au monde je ne voudrais partir. Que je ne vous entente plus dire du mal de Mr. »
- « Tu n’as jamais voulut être libre, avoir un salaire, du temps pour des loisirs. »
- « J’ai tout ça Melle, j’ai un gallion… »
- « Quoi? C’est tout? Thomas comment peux tu être aussi radin, avec un tel salaire, il ne pourra même pas aller au cinéma, sauf si bien sur, leur statut leur permet d’avoir des tarifs réduit. »
- « Un gallion de l’heure, cria l’employé, fort mécontent de ne pas avoir pu finir sa phrase. Maintenant finissez votre assiette avant que je la débarrasse, à moins que vous croyiez que nous mangions les restes des repas. »
Hermione ne se laissa pas impressionner, et plus que jamais décider à faire la grève de la faim, regarda avec horreur les plats, et tant pis si son professeur avait de la peine de la voir jeûner.
Harry était furieux contre Granger fasse un scandale.
- « Thomas, dit il fort afin d’être sur que tout le monde entente, c’est très bon. »
- « Tu es gentil, mais ne te force pas si tu n’aimes pas. »
- « Je le pense, tu cuisines très bien. »
Sous le choc Hermione regarda son professeur, elle n’avait pas imaginé qu’il pouvait avoir fait le repas lui-même. Le seul fait d’avoir vu des elfes de maisons lui avait suffit pour tirer des conclusions actives.
- « C’est toi qui as tout fait, demanda t’elle? Pourquoi tu ne l’as pas dit? »
- « Je ne vois pas ce que cela change. »
- « Tout, je n’aurais pas refusé de manger. »
- « Même si je te dis, que j’ai travaillé dans la douleur et la sueur? »
- « je…je…je…. »
- « Je blaguais Hermione. »
Quant à Ron, lui était resté sur le gallion de l’heure, son père n’avait qu’un demi gallion de l’heure.
- « Thomas murmura t’il, aurais tu besoin d’un elfe de maison de plus. »
Ce qui fit le silence autour de lui.
- « Ben quoi? C’est super bien payé comme travail. »
- « Tu as si peu d’ambition que ça, lui demanda le professeur Salinger. »
- « Si j’ai de l’ambition, je voudrais être auror, mais aussi je suis réaliste, les études sont trop cher. »
Peu avant la fin du repas, Draco se leva.
- « Harry, dit il, veux tu m’épouser? »
Le Gryffondor ne s’attendait pas à une demande en mariage de la part de son petit ami, et encore moins devant tout le monde. Il se leva à son tour, et embrassa le Serpentard.
- « Dois je prendre cela pour un oui? Demanda ce dernier. »
- « Rien ne pourrait me faire plus plaisir. »
Ce n’est que bien plus tard dans l’après midi que Potter ouvrit ses cadeaux, plus beaux les uns que les autres. Il eu un livre sur les fondateurs célèbre de la part d’Hermione, un pull de la mère de Ron, un étui a Baguette de Ron, une plume à triche de Fred et Georges, pour que tu réussisse ton examen avaient ils dit pour justifier leur cadeau.
Thomas fut le dernier a lui faire un présent, une enveloppe des plus simples, mais qui contenait deux places pour la finale de la coupe d’Europe de Quidditch.
- « Je ne peux pas accepter, s’indigna le survivant, c’est trop. »
- « Tu y vas avec Draco, tu as besoin d’être un peu seul avec lui. Ramène-moi un souvenir, et surtout amuse-toi. »
- « Mais quand même 4 000 gallions la place, c’est un peu cher. »
- « Fais-moi plaisir accepte. »
- « D’accord, je te remercie. »
- « Pourquoi on n’a pas de place nous? s’indigna Ron, qui lui aussi aurait tant aimé y aller lui aussi. »
- « Parce que Harry et Draco ont besoin d’être seul, lui répondit Maêlisse, sans que tu sois continuellement derrière eux. »
A suivre chapitre 5, besoin de rêver, à ne pas manquer.
See you klpdd