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 Sujet du message: Rien ne me changera partie I Chapitre 1 à 15.harry/dracopg13
MessagePosté: 29 Avr 2005 17:28 
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Le slash, kesako ?
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
rekikou à tous :ange:

Voila la suite de la prétention de rien: souvenez vous, Harry a finalement réussit à combattre le mal et tuant Voldemort. De plus, il vit une très belle histoire d'amour avec Draco, cependant la mère de ce dernier n'apprècie guère cette relation, et à ménacé son fils. :verysad: :injuste:

Tout devait bien ce passer cependant, pour une raison mystèrieuse Vernon va chercher son neveu à la gare. Dans quel but ? Harry arrivera t'il à rejoindre son jeune amant chez Sirius? deviendra t'il fondateur malgré que McGonagall s'y oppose farouchement? :devil:

Et enfin qui est ce Daniel Océan ? Pourquoi quitte t'il le Canada si précipitament? :shock:

cette fic est en 2 parties, la première du chapitre 1 à 15( elle est finit depuis hier)
la seconde ( en cours d'écriture) du chapitre 16 au 25.

bref afin de ne pas vous faire trop attendre, je fais comme pour la prétetion de rien, je vais la mettre en 2 fois afin que ce ne soit pas trop long.

sinon a part ça je travail sur la fic amour et amnésie version Rémus/Sirius, pour cybélia, elle sera en exclusivité sur ce site avant d'aller sur ff, voila :siriusremus:


Chapitre 1: Sans recours ( De palmas)

Sirius regarda son filleul partir, impuissant. Il ne pouvait pas demander à être le tuteur légal d’Harry, puisque pour les moldus, il était toujours un criminel, et même si cela n’avait pas été le cas, il ne pouvait pas dire, qu’il était professeur de potion dans une école de sorcellerie.

Bien sur, il irait chercher Harry chez son oncle, mais il devait attendre au moins une semaine, et seul merlin sait ce que le jeune Potter pourrait subir, en sept jours.

Sirius repartit donc square Grimmault, en compagnie de Draco et d’Hermione.

***********************

Courageusement Harry suivit son oncle, la tête haute, il se força de ne pas pleurer, il ne voulait pas lui donner le plaisir de s’effondrer en larmes.

Le fait de retourner chez Mr Dursley lui brisait le cœur, non seulement il serait obligé de vivre avec des gens qui le déteste, mais en plus il serait séparé de ses amis, et de Draco. Jamais il n’avait autant hait son oncle, qui le gardait chez lui uniquement par intérêt financier. Sa famille le traiterait comme un chien, un moins que rien, et uniquement parce qu’il était différent d’eux.

Dans sa colère, il ne fit pas vraiment attention au fait que son oncle était souriant, ni qu’il avait une nouvelle voiture, il se contenta de mettre les bagages dans le coffre et de monter dedans, ce n’est pas qu’il était pressé de rentrer, mais une fois arrivé il pourrait s’isoler dans sa chambre.

Le voyage se fit dans le silence le plus absolu, Harry n’avait rien à dire à son oncle, qui lui avait toujours un sourire aux lèvres, comme s’il avait le gros lot au loto, ou qu’un de ses clients s’était montré particulièrement généreux envers lui.

Dés qu’ils furent arrivés à destination, Harry prit ses bagages, et monta directement dans sa chambre, dans le but de n’y sortir que pour les repas, et faire sa toilette. Il espérait que Sirius vienne le chercher rapidement. En montant les escaliers, il croisa son cousin. Ce dernier l’empêcha d’aller plus loin.

- « Harry, que je suis content de te revoir. Comment vas tu? Tu dois être content d’être en vacances, les cours ne sont pas trop durs, tu as pensé à ce que tu allais faire plus tard? »

- « Laisse-moi tranquille, et pousse-toi, tu ne vois pas que tu me gênes. »

- « Tu pourrais être poli, et où vas tu? »

- « Dans ma cellule. »

- « Ta cellule? Tu n’es pas en prison ici. Je vais monter tes bagages le repas va être servit. »

- « Je n’ai pas faim, je ne serais pas présent. »

- « Dire que je me faisais une joie de te revoir, allez donne-moi tes bagages. »

Comme Harry n’était pas décidé à lui donner, Dudley du les lui arracha des mains, et les monta, ensuite il redescendit les escaliers et poussa son cousin afin de l’emmener de force dans la salle à manger.

La pièce était richement décorée, sur la table il y avait la vaisselle des grands jours. Harry resta devant la porte, incapable de faire le moindre pas, son oncle devait attendre un visiteur.

- « Allons mon garçon s’exclama Vernon, ne reste pas planté comme un piquet, entre donc. »

- « Vous attendez du monde, je ne veux pas vous déranger. »

- « Oui, c’est toi que nous attendions, afin de fêter tous ensemble ton retour. Tu nous as manqué, dépêche-toi, nous avons tant à nous dire. »

A peine fut il entré, que Pétunia lui tendait un paquet.

- « C’est pour toi. »

- « Pour moi? Pourquoi vous me faites un cadeau? Ce n’est pas mon anniversaire aujourd’hui? »

- « Tu es mon neveu préfère, je n’ai pas besoin de prétexte pour te faire un cadeau. »

- « Je vous remercie. »

Harry ouvrit son cadeau, non sans une certaine crainte, il s’attendait à un paquet de mouchoir, des contons tiges, ou des vieilles chaussettes trouées.

C’était une horrible figurine, avec une patineuse hideuse, qui était sur un glacier. La seule de jolie était les montagnes qui servaient de décors, elles brillaient comme des diamants.

- « C’est très joli, murmura t’il »

Bien sur il ne le pensait pas, mais il ne voulait pas vexer sa tante et lui disant que c’était la chose la plus moche qu’il n’avait jamais vu.

- « Je suis contente que mon cadeau te plaise, va t’assoire je sers le dîner. »

Le repas était excellent, et Harry eu le droit de prendre tous ce qu’il voulait, c’était bien la première fois qu’il mangeait à sa faim. Le plus étonnant Vernon semblait s’intéresser aux études de son neveu.

- « Alors Harry, tu as passé une bonne année? Tu as bientôt fini tes études à Poudlard. Je suppose que tu vas continuer tes études. »

- « Oui. »

- « C’est bien que tu ai de l’ambition. Que compte tu faire comme métier plus tard ? »

- « Je voudrai être fondateur. »

- « Ta mère serait fière de toi, s’exclama pétunia. Elle aussi aurait aimé faire ce métier, par contre je sais que ton père n’aimait pas trop les fondateurs, et qu’il aurait préfère te voir auror. Mais c’est ta vie, tu as fait un bon choix. »

Harry était étonné, comment sa tante pouvait elle savoir autant de chose sur le monde de la sorcellerie.

- « Vous savez ce qu’est les fondateurs? »

- « Bien sur, ma sœur m’en avait parlé un jour. Elle m’avait dit qu’elle souhaitait travailler à l’O.M.S, mais par amour pour ton père, elle avait renoncé à ce projet, pour te mettre au monde. Elle aurait du reprendre ses études, mais malheureusement elle est morte avant. Je ne pourrais pas t’aider pour les révisions, nous te laisserons partir plus tôt si tu veux retrouver tes amis. »

- « Mes professeurs doivent me faire réviser au mois d’août, je dois aller vivre chez l’un d’eux. »

- « Je te souhaite de réussir. »

- « Merci. »

Harry ne savait plus quoi penser de sa famille, et ne comprenait pas pourquoi tout le monde était si gentil avec lui. Même Dudley qui lui proposa de jouer avec sa nouvelle console, la play game 3001. Il lui conseilla d’essayer le nouveau jeu à la mode, l’île de tous les périls, dont l’héroïne était une blonde à forte poitrine. Mais Harry commença à avoir très chaud, sa vue se troubla, et il avait des vertiges. L’envie de dormir était de plus en plus fortes, et il ne pouvait plus garder les yeux ouverts.

- « Il est très bien ton jeu, dit il a son cousin, mais je ne me sens pas bien. J’ai chaud, et la tête me tourne. Je monte me coucher. »

Avant de partir, il eu la force de prendre son cadeau, il monta avec difficultés les marches qui le séparé de son lit, et après avoir posé sa figurine sur son bureau, il s’écroula dans un sommeil profond et sans rêve.

*******************

Au même moment dans le salon, Vernon discutait avec une femme, elle était blonde, très maigre, et toute de noir vêtue.

- « vous lui avez donnez les cristaux comme je vous l’avez demandé? »

- « Oui Mme Malefoy. »

- « Comment a t’il réagit? »

- « Il a eu chaud, sa tête lui a tourné, et il est monté se coucher. »

- « Excellent. »

- « Vous êtes bien sur que nous ne risquons rien? »

- « Absolument, il n’agisse que sur les sorciers, dans quelques jours, il sera privé de tous ses pouvoirs. Cependant veuillez à ce qu’il ne casse pas la statue. »

- « J’y veillerai personnellement. Mais vous ne risquez rien, après tout vous êtes aussi une sorcière? »

- « Ne vous en faites pas pour moi, j’ai une protection. Une dernière chose, avant que je ne parte, si quelqu’un vient le chercher, faites le entrer, et arrangez vous pour qu’il ne sorte pas, et prévenez-moi immédiatement, je peux compter sur vous? Vous serez récompenser comme il se doit bien sur. »

- « Mais je n’ai pas de chouette, comment ferais je? »

- « Avec le téléphone. »

Puis la femme repartie, contente d’elle, puisque son fils aimait ce Potter à ce point, elle ferait tous ce qu’elle pourrait pour les empêcher d’être à nouveau ensemble.

*******************

Quelque part au Canada. Le directeur de l’Académie du beau rocher venait de recevoir une lettre de Potter, ce dernier le remercier de sa proposition, mais l’avait refusé, prétextant qu’il voulait être fondateur. Cela eu pour effet de le mettre en colère, personne avant n’avait osé lui dire non, personne ne lui avait tenu tête, comment pouvait-on refuser la chance de faire ses études dans la meilleure école du monde? Décidé à avoir des explications, le directeur décida de se rendre à Londres afin de voir le survivant, et l’obliger à changer d’avis.

C’est ainsi qu’il alla faire ses bagages, sous les yeux ébahit de son épouse.

- « Peux tu me dire où tu vas? Tu ne comptais pas partir sans rien me dire? »

- « Je dois aller en angleterre. »

- « Tu sais bien que tu n’as pas le droit de te rendre là bas. L’aurais tu oublié? »

- « Pas du tout, mais je dois y aller. »

- « Tu es vraiment inconscient du danger. Tu m’éprises toujours le règlement. Tu sais pourtant ce que tu risques en y allant. Si quelqu’un te reconnaissait? Je ne supporterai pas de te perdre une seconde fois. »

- « Je ne prends aucun risque, je vais changer d’apparence et de nom. »

- « Dumbledore n’est pas stupide, il te reconnaîtra quand même. »

- « Rien ne m’empêchera d’aller voir Potter. »

- « Harry? Mais pourquoi ? »

- « Il a refusé mon invitation. Je dois le faire changer d’avis. »

- « Pour qui te prends tu pour décider ainsi de son avenir? »

- « Pour quelqu’un qui se fait du souci pour lui, et qui veut son bien. Ne souhaites tu pas toi aussi qu’il vienne, tu ne veux pas le revoir? »

- « C’est mon désir le plus cher. »

- « Alors viens avec moi. »

- « Non, je respecte le règlement moi. Tu compte y rester longtemps ? »

- « Autant de temps qu’il faudra, je compte devenir professeur dans son collège. »

- « Tu es vraiment fou, je me demande comment j’ai fait pour tomber amoureuse de toi. »

Le directeur se fit une potion de changement et la bu, l’avantage de cette potion c’est qu’elle était permanente, et que pour stopper ses effets, il suffisait de prendre une autre potion.

Son apparence changeât radicalement, il avait l’apparence d’un homme d’une quarante d’année, ses cheveux étaient devenus gris, et ses yeux marrons, il était bien plus beau qu’avant, et ferait sûrement tourné la tête a plus d’une jeune fille, ou d’une femme.

Ensuite il se fit faire des vrais faux papiers, sous le nom de Daniel Océan, professeur de défense contre les forces du mal, bien décidé à avoir ce poste à Poudlard. Afin de ne pas dévoiler sa véritable identité il fit le voyage en avion, et après seize ans d’exil forcé, Daniel était de retour dans son pays natal.

******************

Sirius n’en pouvait plus déjà deux jours, et il était sans nouvelle de son filleul. Il le savait jamais il n’aurait du laisser Harry partir avec son oncle. De rage et de colère, il faisait les cents pas. Cela ne me mit pas longtemps à énerver Hermione et Draco.

- « Sirius, calme-toi, et assis toi. crièrent les deux adolescents à bout de nerf et de patience. »

- « Je me fais du souci pour Harry, je n’ai reçu aucun hibou, si ça se trouve il est mal traité. »

- « Ce n’est pas en ruminant que tu vas changer quelque chose, vas le chercher. »

- « Si je le pouvais, je ne serais pas là. »

- « Tu as prévenu Thomas? Tu lui as bien dit qu’Harry était repartit chez son oncle? »

- « Bien sur, je lui ai envoyé un hibou, il y a deux jours. »

- « Il s’est peut être perdu. »

- « Mais non le professeur Rogue a du lui proposer de partir avec lui »

- « Séverus ne devait il pas se marier? »

- « Oui je sais, mais le 2 juillet seulement. »

- « On est le 2 juillet. »

- « Déjà? »

- « Il se peut qu’il ne soit pas allé au mariage, après tout il est peut être pas assez intimes avec le professeur Rogue, dit Hermione, pour se rassurer. »

- « Bien sur qu’il y ait allé, il ne pouvait pas louper le mariage de son frère, quand même. »

- « Son frère? Il n’est pas le frère de Rogue? »

- « Tu ne savais pas que Séverus et le frère de Thomas étaient amants, et qu’ils allaient se marier? »

- « Non, s’écrièrent les deux adolescents sous le choc. »

Et Sirius reprit sa marche sans fin dans sa si grande maison, bien trop grande sans la présence de son filleul, et espérait que ce dernier serait bientôt de retour sain et sauf.

************************

Thomas qui ne se doutait de rien était parti au mariage de son frère et de Séverus. Cela provoqua une petite dispute entre les deux amants, car il ne voulait tous les deux comme témoin.

- « C’est mon frère, il doit être mon témoin, s’écria Alexandre. »

- « C’est mon ami, et moi aussi, je le veux comme témoin. »

Ce qui fit rire Thomas, les deux hommes étaient même pas mariés, et ils se disputaient comme un vieux couple.

- « Ce n’est pas drôle, crièrent les amoureux en même temps. »

- « Au moins vous êtes d’accord, sur une chose. »

Quand Dumbledore arriva, il trouva trois hommes morts de rire.

- « Les enfants, dépêchez-vous un peu, la cérémonie ne peut pas commencer sans les mariés. Je peux savoir ce qui vous retient aussi longtemps? »

- « Ils n’arrivent pas à se décider, répondit Thomas, malgré son fou rire. »

- « Se décider? Je ne comprends pas? »

- « Ils me veulent tous les comme témoin. »

- « je vois, alors c’est à vous de prendre la décision. »

Sous les regards anxieux des deux amants, Thomas se sentit mal quelle que soit la décision qu’il prendrait, l’un des deux serait vexé. Il finit par faire son choix, il serait le témoin de Séverus, et Dumbledore celui d’Alexandre.

- « Cela ne vous dérange pas au moins? »

- « Pas du tout, je vous dois la vie, ainsi que la liberté. Et j’ai finis par vous pardonner, je sais que ce que vous avez fait était pour notre bien à Thomas et moi. »

******************

Thomas rentra seul au manoir Salinger, Alexandre et Séverus étaient parti en voyage de noces. Un elfe de maison lui tendit une lettre.

- « Vous avez reçu du Courier Mr. »

- « Merci. Oh! Par Merlin ce n’est pas vrai. »

- « Vous avez un problème? »

- « Oui, je repars de suite, peux tu aller me chercher les clés de ma voiture, s’il te plait? »

- « Je me dépêche Mr. »

Thomas pria le ciel de ne pas se perdre en route, en effet la seule fois où il s’était rendu chez les Dursley il avait été accompagné et n’avait pas fait attention au chemin.

L’elfe de maison qui connaissait bien son maître, lui donna avec les clés de la voiture, une carte routière.

- « Faites attention de ne pas vous perdre Mr, dit il. »

- « Je vais essayer. »

- « Puis je faire autre chose pour vous? »

- « Oui, envoie un hibou à Sirius et dit lui que je vais tout faire pour faire sortir Harry de chez son oncle. »

- « Vous pouvez compter sur moi Mr, au revoir, et bonne chance. »

C’est sur, avec ce qu’il l’attendait, Thomas aurait bien besoin d’avoir de la chance.

A suivre, Chapitre 2, comme une ombre, à ne pas manquer.

Voilà j’espère que la suite de lpdr vous a plut…

See you again…. klpdd

_________________
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kuroro la pieuvre du désert alias kurapika ou klpdd


Dernière édition par lapieuvredudesert le 15 Juil 2006 01:18, édité 1 fois.

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MessagePosté: 29 Avr 2005 17:44 
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Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
J'adore !!! Quel suspense !! Au fait, Daniel Océan, c'est inspiré de George Clooney dans Ocean's 11 et 12 ??

:suite: :suite:

Cybelia.


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 Sujet du message:
MessagePosté: 29 Avr 2005 19:15 
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou

voila sans plus attendre le chapitre 2 8)

a Cybélia; oui tu as raison quand j'ai crée Daniel Océan c'était en pensant au beau George Clooney, dans le film océan 11 ( pas pu voir le 12) :? il est assez chameur, égnymatique, bref je trouve très bien, donc j'ai fais un petit clin d'oeil dans cette fic... :reviews:



Chapitre 2: Comme une ombre ( De palmas)
Quatre jours étaient passés, Harry ne s’était pas réveillé, il dormait toujours profondément. Pourtant il y avait du bruit ce matin, entre la tondeuse d’un voisin, la perceuse d’un autre, et les cris de Dudley sur son jeu vidéo, rien ne perturbait le sommeil du survivant.

La statue sur son bureau était de plus en plus brillante, mais elle ne se contentait pas de pendre les pouvoirs de l’enfant, elle lui prenait aussi sa vie, et petit à petit, le Gryffondor s’ombrait dans le coma.

*******************

Vernon lui était dans son salon, grâce à l’argent qu’il venait de gagner, était resté chez lui aujourd’hui, en effet il était inutile qu’il se rende à son travail. Assis sur son nouveau canapé en cuir, il comptait et recomptait son argent, des liasses de billets, dont il se servait pour se faire un peu de vent. Que pouvait il encore s’acheter, il avait déjà tout, une nouvelle voiture, de nouveaux meubles, un tableau de maître, non il manquait de rien.

Pétunia était un peu nerveuse, son neveu n’était pas ressortit de sa chambre, et n’avait rien mangé depuis son retour.

- « Tu es sur de toi? On n’est pas en train de faire une bêtise? Demanda t’elle faussement inquiète. »

- « Mais oui ma chérie. »

- « Tu te rends compte qu’il est dans sa chambre depuis quatre jours? »

- « De quoi te plaints tu, il n’est pas dans tes jambes? Et tu es bien contente que je te fasse tous ces cadeaux »

- « Je sais, mais il est peut être malade, qui sait? »

- « Il est juste affaiblit, il ne risque rien, la statue lui prend ses pouvoirs c’est tout. Dans quelques jours, il sera débarrassé de son anormalité, et nous un peu plus riche. »

- « C’est quand même bizarre »

- « Quoi? »

- « Que cette femme te donne autant d’argent, juste pour que tu le garde chez nous. Sais tu au moins pourquoi? »

- « Je n’ai pas besoin de le savoir, tant qu’elle paie, et elle est très généreuse, de quoi as tu envies? Je te l’offre. »

- « Une voiture neuve. »

- « Je viens de la changer. »

- « Non, une pour moi seule, je veux aller faire mes courses dans une belle voiture, je veux que les voisins en meurent de jalousie. »

- « D’accord, demain je te l’achète. »

- « Tu es un amour. »

- « Je sais. »

A ce moment elle oublia tous les scrupules qu’elle avait envers l’enfant, elle avait toujours rêvé d’avoir une voiture, et grâce au sacrifice, de son neveu, il allait enfin devenir réalité.

A force d’avoir tout cet argent si facilement, Mr Dursley avait pris goût à cette vie confortable, à se rendre dans les meilleurs restaurants, à conduire sa nouvelle voiture. Tout ça était devenu comme une drogue, il ne pouvait plus de se passer de ce luxe, il en voulait toujours plus. Après s’être servit un whisky, il alluma un cigare, tout en admirant son tableau, un Gauguin, il pensait à sa nouvelle vie, il allait se mettre au golf, tous les riches en faisaient, le fils apprendrait le piano et ferait de l’équitation ( nda, pauvre cheval), sa femme serait recouverte d’une rivière, non d’un océan de diamants.

Une sonnerie fort désagréable le fit revenir à la réalité, il l’ignora au début, mais cela devient plus agaçant à force, il du lever ses grosses fesses afin de voir qui c’était.

******************

Après plusieurs heures de route, Thomas arriva enfin chez les Dursley. Se doutant de rien, il sonna à la porte, mais n’obtenu aucune réponse, excédé il appuya encore plus fort. Il s’attentait à un accueil peu chaleureux, et savait qu’il ne serait pas le bienvenu, mais il était très loin de s’imaginer ce qu’il allait se passer.

La porte finie par s’ouvrir, laissant apparaître un homme de mauvaise humeur peu enclin à avoir une conversation aimable.

- « C’est pour quoi cria Vernon, je n’ai pas le temps, je n’achète rien. Veuillez repartir, ou j’appelle la police. »

- « Bonjour Mr Dursley, s’exclama le professeur, comme si de rien n’était. Ne vous inquiétez pas je ne resterai pas longtemps, je suis juste venu chercher Harry Potter. »

- « Je vous connais vous? Votre tête me dit quelque chose? »

- « Vous devez me confondre avec une autre personne. »

- « Pas du tout, je n’oublie jamais un visage. C’est vous qui avez eu l’audace de vous faire passer pour un cousin de ma sœur, Thomas Salinger. Pourquoi revenez-vous, pourquoi voulez-vous qu’Harry parte avec vous? Vous ne le connaissez pas. »

- « Je suis l’un de ses amis. »

- « Vraiment? Où l’avez vous rencontrez? »

- « Dans son collège »

- « Vous me semblez un peu trop vieux pour être l’un de ses camardes de classes. »

- « Je suis son professeur. »

- « Vous êtes donc vous aussi un sorcier? »

- « Oui, pourquoi me demandez-vous ça? »

- « Ne restez pas sur le pas de la porte, entrez donc, s’écria Vernon avec un sourire. »

En fermant la porte les yeux de Mr Dursley se posèrent sur une merveille, une magnifique Mercedes blanche. Son cœur s’arrêta de battre, c’était la voiture de ses rêves, celle qui avait toujours voulut avoir, et qu’il ne pouvait pas se payer.

- « Excusez-moi, c’est votre voiture? Demanda t’il avec convoitise. »

- « Oui. »

- « C’est bien, je vais…. »

- « Pardon? »

- « Non rien. Mais ne restez pas débout, allez vous asseoir, je vous fais un café? »

- « Ne vous donnez pas cette peine, je n’ai pas soif. »

- « Allons, vous n’allez pas repartir tout de suite, reposez-vous un peu avant. Vous devez avoir du mal à conduire avec votre jambe, vous arrivez à passer les vitesses? »

- « C’est une automatique. »

- « De mieux en mieux, ne bougez pas, je reviens le temps de faire un café. »

Tout en se frottant les mains, Vernon alla faire du café, et aussi passer un coup de téléphone très important. Dix minutes après il retourna dans le salon avec deux tasses et des gâteaux. Il devait retenir son invité le plus longtemps possible. Ce dernier n’était pas content de devoir attendre debout, et avait la tête de quelqu’un de pressé de partir.

- « Voilà du café bien chaud. Mais que faites-vous encore debout, prenez un siège. Nous avons tout notre temps. »

- « Harry est dans sa chambre, pourquoi n’allez-vous pas le chercher? Dites-moi où elle est, je vais y aller moi-même. »

- « Vous ne voulez pas manger de cette délicieuse pâtisserie, c’est une forêt noire, vous aimez les gâteaux au chocolat? »

- « Je n’ai pas faim. »

- « Ca se mange sans faim, buvez votre café au moins. »

- « Je croyais vous avoir dit que je n’avais pas soif. Pourquoi ne voulez-vous pas que je vois Harry? Pourquoi le retenez-vous chez vous? »

- « C’est mon neveu, je l’aime vous savez. C’est dur pour moi de savoir qu’il va être loin de sa famille. »

- « Ne me prenez pas pour un imbécile, vous ne l’aimez pas. C’est bien vous qui l’avez chassez de chez lui l’année dernière? N’oubliez pas que j’étais présent ce jour là. Ne me mentez pas, vous n’aimez que votre petite personne. »

- « Comment osez vous dire cela, Mr. Salinger. Vous êtes un monstre, vous voulez me séparer de mon neveu, s’écria Vernon en larmes. »

- « Cessez de faire semblant d’avoir de la peine. »

- « Mais si j’avais une petite compensation, peut être consentirai je à le laisser partir. »

- « Vous voulez combien? »

- « Je vois que vous comprenez vite. Je ne serai pas gourmant, je me contenterai de 50.000 livres sterling. ( nda 75.000 euros environ.) »

- « Pardon? Vous plaisantez j’espère? »

- « Non, je suis sérieux. »

- « Vous me vendez votre neveu. Vous croyez que je vais vous donner tout cet argent? »

- « Si vous voulez repartir avec Harry, oui. Et ne me dites pas que vous ne pouvez pas, avec la voiture que vous avez. Elle est estimée à combien? »

- « Je ne sais pas. C’est un cadeau de mon frère. »

- « Il est très généreux votre frère. Dépêchez-vous de me payer maintenant, à moins que vous ne vouliez plus repartir avec Harry. »

- « Vous êtres vraiment abject. »

- « Merci du compliment, j’attends. »

- « D’accord, je vais vous faire un chèque. »

- « Non, pas de chèque. »

- « Vous ne voulez quand même pas que je vous paye en liquide. »

- « Pourquoi pas? »

- « Je n’ai pas une somme pareille sur moi. »

- « Dans ce cas, donnez-moi votre voiture. »

- « Pardon? J’ai peur de ne pas avoir compris. »

- « Votre voiture, donnez la moi. »

Thomas commença à avoir un peu chaud, sa tête lui faisait mal, et il avait des vertiges. Il ne pouvait plus rester debout, et du s’asseoir.

- « Vous ne vous sentez pas bien? Voulez-vous un peu d’eau? »

- « Je suppose que vous aller me la faire payer? »

- « Voyons, je vous en fait cadeau. Mais en échange n’oubliez pas de me donner vos clés de voiture. »

- « Si vous la voulez tant que ça je vous donne ma voiture, mais avant je veux voir Harry. »

- « Non, ici c’est moi qui décide. Je vais vous chercher de l’eau. »

Vernon se précipita dans la cuisine, Mme Malefoy y était aussi.

- « Vous avez faites vite Mme dit Vernon apeuré. »

- « Où est il? »

- « Dans le salon. »

- « Ne le laissez pas seul, il pourra montrer chercher Potter. »

- « Pas dans l’état où il est, il a du s’asseoir. Il m’a demandé de l’eau. »

- « C’est étonnant, il n’est pas en contact avec les cristaux, il ne devrait pas en subir les effets. Pouvez vous me dire de qui il y s’agit? »

- « Thomas Salinger, d’après ce que je sais. »

- « Pardon? Vous en êtes sur? »

- « Oui, pourquoi? »

- « Dans ce cas, je vais lui apporter moi-même son verre d’eau. »

Narcissa avait enfin la possibilité de voir le seul homme qui avait osé tenir tête à son époux, et ainsi pouvoir le venger. Elle prit un verre d’eau et se rendit dans le salon. Elle regarda Thomas, qui sombrait bien malgré lui dans le sommeil, ne pouvant lutter contre les cristaux.

- « Votre eau, s’exclama t’elle avant de le poser le verre avec violence sur la table. »

Mme Malefoy se prépara à lancer un sort, endoloris cria t’elle, sous les yeux effrayés de Vernon, qui l’avait suivi.

- « Que faites-vous? Murmura t’il aussi blanc qu’un cadavre. »

- « Je le torture un peu avant de le tuer. »

- « Vous n’allez pas faire ça dans mon salon? Vous ne pouvez pas le faire ailleurs. Je ne veux pas d’un cadavre chez moi. »

- « Vous n’avez aucun ordre à me donner. Je dois tuer celui qui a osé s’opposer à mon mari, mais je vous rassure, je vous débarrasserai du corps. Estimez-vous heureux que je vous laisse à vous et à votre famille la vie. Ne me dérangez plus. »

Trop lâche pour s’interposer, Mr Dursley décida de ne plus rien faire, il s’éloigna et regarda en silence l’horrible spectacle.

Salinger avait juste sentit une horrible douleur avant de perdre connaissance, le tuer serait facile, il ne pouvait pas se défendre. Au moment où Narcissa se prépara à lancer un autre sort, elle aperçut un objet familier dans la main de sa victime. La canne de son défint époux, comment se pouvait il que cet homme soit en procession d’un objet de Lucius? Elle s’approcha de l’homme endormis, et lui arracha voilement des mains l’objet en question, ce qui eu pour effet de le réveiller

- « Puis je savoir comment vous avez eu cette canne? Lui cracha t’elle au visage. Elle était à mon mari, je vous interdis de la toucher. »

- « C’est votre fils qui m’en avait fait cadeau. »

- « Il n’aurait pas du, je le reprends. Vous devez vous demander pourquoi vous avez eu chaud, pourquoi vous êtes si fatigué. Je vais vous le dire, il y a dans cette maison des cristaux. Ils ont comme capacités d’absorbés la puissance magique des sorciers. »

- « C’est vous qui les avez mis? »

- « Bien sur, cela n’a pas été difficile, il a suffit que je donne de l’argent à ces moldus. Vous avez bien vu à quel point ils aiment l’argent, à quel point il est facile de les amadouer. »

- « Pourquoi avez vous ça? »

- « Vous n’avez pas deviné? Je vous croyais plus intelligent. C’est pour empêcher mon fils de vivre avec ce Potter. Je lui avais bien dit qu’il paierait cher pour avoir osé me défier. Vous n’aurez pas du vous déplacer, Harry est resté quatre jours en contact avec les cristaux, et malgré sa résistance hors du commun, il doit être mort. Vous aussi vous allez périr, mais pas à cause des cristaux, je ne vais pas vous laisser le plaisir de ne pas souffrir un peu avant. Je comprends mieux pourquoi mon mari a eu peur de vous, vous devez avoir une grande puissance magique, pour que les cristaux vous aient atteint si vite. »

Même si l’avait voulu, Thomas n’avait plus la force de se défendre, il était comme un enfant qui venait de naître, tous ses pouvoirs lui avait été retiré d’un coup.

Afin de ne pas voir la femme assassiner le professeur de son neveu Vernon, c’était réfugié dans un coin de la pièce, et avait fermé les yeux, priant pour que tout finisse au plus tôt, et aussi pour que la femme parte après.

Il y eu un grand bruit, comme du verre qui venait de se casser. Narcissa, cessa de dévisager Salinger, et rechercha du regard, personne. Où pouvait se trouver l’individu capable d’un tel sort, comment avait t’il fait pour briser les cristaux aussi facilement? Elle entendit quelqu’un descendre l’escalier, et sentit sa puissance.

De peur, elle repartit avec la canne de son mari, laissant Vernon seul avec sur le dos le corps de Thomas.

- « Non, ne laissez pas ce cadavre chez moi Mme, et revenez vous m’avez pas donné mon argent. »

A suivre, chapitre 3, Silence, à ne pas manquer.


See you again

klpdd

:bye:

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MessagePosté: 29 Avr 2005 19:44 
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Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
Mais mais mais... Thomas n'est pas mort hein ? :nieux:

Ce Vernon, quel gros porc !! :evil:

Par contre, j'étais :lol: en imaginant Dudley sur un cheval... faudrait déjà qu'il arrive à y monter... faudrait une grue !!

:suite: :suite:

Cybelia.


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MessagePosté: 29 Avr 2005 21:34 
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou :loveyou:

a cybélia, va savoir? mais c'est du sort de ryry sur le quel tu devrais plus t'inquiéter, il est resté 4 jours avec les cristaux, Thomas a peine une demi journée :ange: oui vernon est un gros porc, et encore t'as pas tout vu, si si suis assez sadique, :sadique:

voila bonne lecture à tous....

Chapitre 3: silence ( Obispo)

Draco, qui se doutait de rien, était sortit se promener, il n’en pouvait plus de rester enfermé à attendre. De plus il voulait offrir un cadeau à son petit ami, pour le consoler. Mais à son retour, il eut une bien mauvaise surprise, une femme blonde et très maigre était devant la porte d’entrée. Le sang du Serpentard se figea dans ses veines. Comment se pouvait il que sa mère soit là? Sous la stupeur il fit tomber son paquet qui se cassa, trahissant ainsi sa présence.

- « Je savais que je te trouverai ici Draco. Dépêche-toi de faire tes bagages, tu rentres au manoir. »

- « Quoi? »

- « Je n’aime pas me répéter, tu le sais pourtant. »

- « Je ne partirai pas avec vous, mère. »

- « Tu es bien arrogant. Croyais tu vraiment que je te laisserais vivre avec un autre garçon? »

- « Vous n’avez pas le choix, c’est lui que j’aime et que je vais épouser. »

- « Tu ne peux pas, ne te fais pas d’illusions, plus jamais tu le reverras ce Potter. »

- « Pourquoi ne le reverrais je pas? »

- « Parce qu’il est mort à cette heure si. »

- « Ce n’est pas vrai, vous mentez. »

- « Ton petit ami est resté en contact avec des cristaux magiques, ce qui lui a retiré sa vie en même temps que ses pouvoirs. »

- « Pourquoi avez vous fait ça? Quel mal vous a t’il fait? »

- « A cause de lui, tu m’as renié moi, ta mère, n’avais je pas dit que je te ferais cher cette insolence? »

- « Thomas est parti le chercher, je suis sur qu’il a détruit vos cristaux. »

- « Tu parles de ce Salinger? Si c’est bien de lui, saches qu’il n’est plus en état d’aider qui que ce soit. »

- « Que vous lui avez vous fait? »

- « Préoccupes toi plutôt de ton sort. »

- « Répondez à ma question. »

- « Rien du tout. »

- « Je ne vous comprends pas, dans ce cas pourquoi ne peut il pas aider Harry. »

- « Il a subit l’influence des cristaux, avec un peu de chance, il doit être mort lui aussi. »

Pour la première fois de sa vie Draco avait peur de sa mère, il la voyait telle qu’elle avait toujours été, un être cruel et sans cœur. Il savait bien que s’il retournait au manoir le sort qui serait le sien, il aurait voulut courir, mais ses jambes ne lui obéirent plus.

Narcissa se rapprocha de son fils, et lui tendit la main.

- « Ne me touchez pas, cria Draco, vous me dégoûtez. Comment pouvez vous me dire ça? Je suis sur que Thomas va bien, il sera bientôt là avec Harry. »

- « Veux tu que je te donne une preuve? »

Mme Malefoy exhibât fièrement la canne de Lucius sous le regard médusé de son enfant.

- « Non s’écria ce dernier en pleure. »

La femme tout en gardant son sang froid et son calme, gifla son fils violemment.

- « Un Malefoy ne pleure pas, il a la tête haute quelque que soit les circonstances, tu pleures comme une fillette. J’ai honte d’être ta mère. »

- « Je vous rassure la honte est partagée. »

- « Tu as besoin que je t’apprenne le respect. »

Mais avant que Narcissa n’eu le temps de lancer un sort, qu’elle fut interrompue.

- « Je te conseille de ne pas le toucher cousine, cria Black »

- « Sirius? Quelle joie de te voir en vie et en si bonne santé, ne te mêle pas de ça, cela ne te concerne en rien. »

- « Je ne te laisserai pas faire du mal à ton fils. »

- « Tu n’en as pas le pouvoir. J’ai toujours été plus forte que toi. Je ne te crains pas. »

- « Tu devrais. Dans ton intérêt, je te conseille de partir, ne crois pas que je vais t’épargner. »

Mais le menaces de son cousin ne faisait absolument pas peur à Mme Malefoy.

- « Draco, s’écria Sirius, tu rentres immédiatement à la maison. Je me charge de la faire partir. »

- « Que tu es drôle, personne ne peut me battre, tu m’entends personne. »

- « Oui je t’entends, trop même. Je vais devoir te faire taire une fois pour toute. »

Sirius voulut lancer un sort, mais il vit dans la main de son adversaire, un objet familier, une canne de son collège. Il décida de lui reprendre.

- « Comment se fait il que tu sois en possession de la canne de Thomas. Je vais lui rendre. »

- « Ne te donne pas cette peine, il en a plus besoin. »

- « Plus besoins? Que sous entend tu par-là? »

- « Tu aimerais que je te le dise? »

- « Oui. »

- « Je vais plutôt te laisser libre court à ton imagination. Pourquoi ne vas tu là bas, ainsi tu le seras. »

- « Si jamais il est arrivé quelque chose de mal à Harry ou à Thomas, je te jure que tu le paieras cher, tu pourras te cacher, je serai te retrouver, nul part tu ne seras à l’abri. »

- « Dans ce cas, je vais te tuer. Ainsi tu pourras retrouver dans l’au-delà ton cher filleul et ton ami. »

Narcissa avait gardé sur elle un de ses cristaux, elle s’était doutée que son cousin ne la laisserait pas repartir sans la menacer. Elle le sortit de sa poche et le mis sous le nez de l’être de lumière, mais la pierre n’eu aucune réaction.

- « Je peux savoir ce que tu compte faire avec ce caillou? S’exclama l’animagus. »

- « Ce n’est pas un caillou, c’est un cristal magique puissant, il va te prendre tous tes pouvoirs. »

- « N’importe quoi. Je crois que tu es définitivement folle. »

- « Ah oui? Ne sois pas si sur de toi, tu pourrais avoir des surprises. »

- « Des surprises? Que veux tu dire par là? »

- « Je ne te dirais rien. Je vais vous laisser, mais un conseil d’ami, ne laisse pas Draco seul, je vais revenir. »

Comme elle n’aurait pas le dessus, Narcissa partit, mais reviendrait plus tard.

Sirius consola Draco et pour plus de sécurité l’emmena dans un lieu secret, ensuite il alla chercher Rémus, ensemble ils allèrent 4 prive Drive.

« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »

Daniel Océan venait d’arriver, il ne s’attendait pas à voir le survivant dans un état aussi lamentable, bien qu’il n’ait aucune blessure physique, il était dans un sommeil profond et ne respirait plus. N’importe qui aurait paniqué, mais pas Daniel, il mit sa main sur la poitrine de l’enfant, le cœur se remit à battre. Ce n’est qu’après que Océan vit les cristaux; avec haine et rage, il attrapa la statue et la cassa d’un simple regard.

De toute évidence il y avait quelqu’un dans cette maison qui avait laissé à Harry ce funeste cadeau. Daniel décidé à avoir des explications, pris l’enfant dans ses bras et descendit l’escalier.

« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »

Après le départ précipiter de Narcissa, il régna un silence de mort dans le salon des Dursley. Vernon n’était pas très rassuré d’entendre des pas dans l’escalier, courageusement, il se leva pour chasser l’intrus qui avait osé entrer dans sa maison sans y avoir été avant invité.

Mais n’eu pas le temps de faire un pas, un homme entra dans la pièce, il portait dans ses bras le corps inanimé d’Harry, il le posa délicatement sur le canapé, sorti sa baguette, et dévisagea le maître des lieux.

- « Peux tu m’expliquer ce qu’il s’est passé ici, cria t’il. Pourquoi Cet enfant est dans le coma? Je veux des explications maintenant. »

- « Je ne sais pas Mr, mentit Dursley. »

- « Tu ne sais pas non plus qu’il y avait des cristaux dans sa chambre. »

- « Des cristaux? Mais de quoi parlez-vous Mr? Et on ne se connaît pas, pourquoi vous me tutoyer? »

- « Ceux que tu as mis dans sa chambre pour le tuer. Comment as tu pu faire ça à ton neveu ? »

- « Ils ne devaient pas lui faire du mal, juste le rendre normal c’est tout. »

- « Normal? Ce n’est pas anormal d’être sorcier. A genoux vermine, tu dois être puni. »

- « Pitié, on m ’a obligé à le faire, je ne le voulais pas, mais j’ai été menacé. »

- « Tu mens comme tu respire, tu pense que je vais te croire. Qui t’a menacé? »

- « C’est lui, répondit Vernon en désignant Thomas qui était toujours inconscient. »

- « Il n’a pas l’air bien méchant, apparemment il ne t‘a pas privé de désert, il te menaçait de quoi, de manger ton gâteau au chocolat? »

- « Il voulait tuer ma femme et mon fils. »

- « Ah oui, je vois, et il t’a donc demandé de mettre les cristaux dans la chambre, c’est ça? »

- « Vous avez devinez, c’est tout à fait ça. Vous savez j’ai eu peur, j’ai obéis, vous aurez fait la même chose si votre famille était en danger de mort. »

- « Mais pourquoi est il inconscient? »

- « Il s’est pris à son propre piège, et a été victime de ses cristaux. J’étais sur le point de monter afin des les retirer. »

- « Tu as beaucoup trop d’imagination, moi je dirais que tu as reçu de l’argent, beaucoup d’argent même. Ta maison est richement décorée, étonnant de la part d’un vulgaire chef d’entreprise. De plus si cet homme avait sur lui les cristaux il n’aurait pas été assez bête pour ne pas avoir de protection. »

- « Mais vous, vous en n’avez pas de protection? »

- « Moi c’est diffèrent, je n’en ai pas besoin, je suis un être de lumière. Mets toi a genoux, plus vite que ça. »

Effrayé par l’inconnu, Vernon exécuta l’ordre en tremblant.

- « Ne me faites pas de mal Mr. »

- « Silence, vermine, je vais te faire souffrir, et ensuite je repars avec l’enfant, endoloris. »

« $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ »

Les cris de douleur furent entendu par black et Lupin qui venaient tout juste de transplanter, de peur ils se précipitèrent dans la maison.

Un homme se tenait devant Mr Dursley qui était à terre et en pleure. Harry était allongé sur un canapé et ne bougeait pas, Thomas était sur une chaise lui aussi semblait endormi.

- « Que se passe t’il ici? Qui êtes vous Mr, que faites-vous ? S’écria Sirius»

- « Je suis Daniel Océan, et je punis cet être pour le mal qu’il a fait subir à Potter. »

- « Ne me dites pas qu’il est … »

- « Non, il est vivant, mais son état est critique, emmenez le voir un docteur de toute urgence. Moi, je dois punir ce cafard. »

- « Laissez moi vous aider, Mr Océan. Après ce qu’il a fait à mon filleul il ne mérite pas de vivre. »

Black était sur le point de lancer un sort interdit, mais son ami d’enfance l’arrêta avant.

- « Tu es devenu fou? Ne fais pas ça. »

- « Pourquoi? »

- « Tu ne peux pas tuer un moldu, tu n’as pas le droit. Tu sais ce que tu risque? »

- « Il doit payer. »

- « Pas de cette façon, Sirius, ne prive pas Harry de ta présence, il a besoin de toi. Il te considère comme son père, ce n’est pas en mourant que tu vas le venger, viens avec moi, on l’emmène à l’hôpital. »

- « D’accord. »

Vernon aurait du être soulagé, mais Daniel lui le tenait toujours en joue, plus que jamais décidé à le tuer.

Pendant que Sirius allait voir Harry, Rémus lui essayait en vain de faire reprendre connaissance à Salinger.

- « Réveille-toi, murmura t’il en douceur, et sans aucun résultat. »

- « Ce serait plus efficace si vous le giflez, s’écria Daniel. »

- « Je ne peux pas faire ça a mon futur beau-frère. Virginie n’en voudrait. »

- « Tu déconnes Moony? Caliméro ne peut pas se marier, elle est trop jeune. »

- « Ma sœur a vingt cinq ans. Comment connaissez-vous mon surnom et celui de ma sœur ? »

- « Un ami m’a parlé de vous. »

- « Un ami? Quel ami? »

- « James Potter. »

- « Où l’avez vous connu? »

- « Après son départ de Poudlard, il a commencé des études d’auror, c’est là que j’ai fais sa connaissance. »

Comme les cristaux avaient été neutralisés, Thomas revient à lui, il voulut se lever, mais affaibli et sans sa canne, il n’y arriva pas.

- « Reste assis, dit Rémus, Tu es affaibli, repose-toi un peu. »

- « Je suis désolé, j’étais venu pour aider Harry. Mais son oncle a commençait à me retarder, ensuite il m’a obligé à lui donner ma voiture, et après je me souviens plus de rien. »

- « Tu n’as pas à t’excuser. Tu as fait ce que tu as pu, personne ne peut lutter contre ses cristaux, sans une protection, ou être un être de lumière. »

- « J’aurais du sentir les cristaux, je ne pourrais pas me pardonner si jamais par ma faute il mourait. »

- « Ne vous inquiétez pas, s’exclama Océan, il est vivant. De plus vous n’auriez pas pu sentir les cristaux, moi-même qui suis bien plus puissant que vous, je n‘ai pas sentit leur présence. Le seul fautif dans cette pièce est ce gros porc de moldu. Votre voiture c’est une Mercedes blanche? »

- « Oui? Comment le savez vous? »

- « Vernon a toujours voulut ce genre de voiture, Vous ne lui avez pas donné au moins? »

- « Non, pourquoi? »

- « Donnez-moi les clés, vous n’êtes pas en état de prendre le volant, je vais vous conduire à l’hôpital, vous avez besoin de soins vous aussi. »

Bien sur Vernon voulut parler, dire que la fameuse auto mobile était à lui, que Salinger lui en avait fait cadeau en échange du fait qu’il repartit avec le survivant.

- « Vous ne pouvez pas, elle est à moi, murmura t’il. »

Daniel lança à l’homme un regard méprisant.

- « Pardon? Tu as dit quoi là? Peux tu répéter plus fort ce que tu viens de dire. »

- « Je n’ai rien dit. »

- « C’est ça, Endoloris. Tu ne mérites pas de vivre, cependant, je vais te laisser la vie pour l’instant. Je dois conduire ceux qui ont eu la malchance d’avoir été sous le même toit que toi. Je reviendrais; sois en sur. »

En partant Sirius pris Harry dans ses bras, et Rémus aida Thomas à se lever, Daniel les suivit afin de pouvoir les conduire à St Mangouste.

Vernon lui resta longtemps à genoux incapable de se relever, à ses pieds se trouvait une petite marre liquide, jamais il n’avait eu aussi peur de toute sa vie.

A suivre chapitre 4, une folie de plus, à ne pas manquer…


See you klpdd :bye:

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MessagePosté: 29 Avr 2005 21:45 
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Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
Hum... en fait, le sort d'Harry m'importe peu... enfin, je me doutais qu'il n'était pas mort, mais comme il ne m'est pas vraiment sympathique... par contre, je suis contente que Thomas aille bien, que Vernon se soit pris quelques Endoloris dans la tronche et j'adore Daniel (enfin, pour l'instant...).

Cybelia.


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MessagePosté: 30 Avr 2005 09:40 
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou a tous et merci de lire :bravo:

voila la suite :kiss:

a cybélia; tu fais trop rire toi, tu dois être la seule à préfèrer Thomas à Harry, :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :fou: , moi aussi dans un sens, mais c'est normale suis l'auteur, et moi aussi j'adore Daniel :P :P :P :P :P :P :sourire: , toi par contre sais pas si tu vas continuer.... va savoir

j'arrête de dire n'importe quoi, voila la suite

Chapitre 4: Une folie de plus ( Obispo)

Après son arrivée à l’hôpital saint Mangouste Daniel disparut comme il était arrivé. Sirius et Rémus voulurent le remercier, mais il avait déjà disparut.

Quant aux malades, grâce aux bons soins du docteur Philippe Lasouris, étaient hors de danger et récupéraient doucement.

Black expliqua brièvement à son filleul ce qu’il s’était passé chez son oncle, et repartit chercher Draco afin de le rassurer et de le ramener.

Rassuré et heureux de pouvoir enfin revoir son amant, Harry se rendormit, dans sa chambre, qui n’avait rien à voir avec celle qu’avait eu Arthur, c’était une chambre individuelle, avec une salle de bain privé. Bien sur ce privilège lui avait accordé, uniquement parce que Thomas l’avait exigé.

******************

Deux jours après Harry se réveilla, il sentit comme une présence amicale et protectrice à ses cotés. A cause de la faible luminosité de la pièce, il ne put distinguer clairement le visage de la personne, tout ce qu’il voyait c’était de magnifiques cheveux blonds. En pleure il se blottit dans les bras de l’homme, qu’il pensait être Draco, afin de trouver chaleur et réconfort.

- « Tu ne peux pas savoir à quel point j’ai eu peur de ne plus jamais te revoir. »

- « Tout va bien, tu es en sécurité ici, plus personne ne te fera du mal. Repose-toi encore un peu. »

- « J’ai déjà trop dormit, je n’ai plus sommeil. »

- « Tu devrais, je vais te laisser, je reviens. »

- « Non reste avec moi, s’il te plait, j’ai envie de toi, fais-moi l’amour. »

Le survivant n’attendit pas d’avoir une réponse, il commença à déboutonner la chemise de celui qu’il prenait toujours pour son amant, après il s’attaqua à la ceinture du pantalon.

- « Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. »

- « Laisse toi faire. »

- « Arrête, je ne suis pas c… »

Le Gryffondor ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase, il captura ses lèvres dans un baiser un peu trop passionné.

- « Potter, que faites-vous là? Veuillez cesser immédiatement ! cria un homme qui avait la même voix que le maître des potions. »

Harry ne comprit pas pourquoi Rogue ne voulait pas qu’il embrasse Malefoy. Il ouvrit les paupières, et là au lieu de voir des yeux gris, comme il s’y attendait, il en vit un vert clair et l’autre marron foncé.

Réalisant son erreur, le brun, se recoucha dans son lit, rouge de honte et de confusion.

- « Désolé Mr, je vous ai pris pour quelqu’un d’autre. »

- « Je m’en suis bien rendu compte. »

- « Vous devez m’en vouloir, je me suis montré trop entreprenant. »

- « Non ce n’est pas grave. »

- « Si, c’est grave, s’écria Séverus en colère. Et toi Alexandre tu n’étais pas obligé de te laisser faire, et fais moi le plaisir de te rhabiller. »

- « Mais tu es jaloux? Demanda Managua. »

- « Tu es à moi, personne n’a le droit de te toucher. »

Comme Alexandre ne fit pas ce que son époux lui avait demandé, Rogue alla le faire lui-même et reboutonna la chemise.

- « Alexandre, s’exclama Harry, c’est vous le frère de Thomas Salinger? »

- « Oui je suis bien son jumeau. »

- « Pourquoi étiez vous dans ma chambre? »

- « Thomas m’a demandé de veiller sur toi pendant ton sommeil. »

- « Pourquoi n’est-il pas venu lui-même, si mon cas l’intéresse tant. Il a sûrement mieux à faire. »

Le ton sur lequel Harry avait parlé était dur, il ne se rendit pas tout de suite compte de la méchanceté de ses paroles, ce n’est qu’après qu’il réalisa que si son professeur n’était pas avec lui, c’est que lui aussi avait du être hospitalisé, et qu’il ne pouvait pas sortir de sa chambre.

- « Je suis désolé, murmura le survivant, je ne voulais pas, c’est juste que… »

Des cris provenant du couloir lui coupèrent la parole.

- « Que faites-vous ici Mr? Vous ne devriez pas être levé, retournez immédiatement dans votre lit. »

- « Puisque je vous dis que je me sens bien, je n’en peux plus de rester allonger sans rien faire. »

- « C’est à moi de décider ou non si vous allez bien, pas à vous, ici c’est moi le docteur. »

- « Cinq minutes, laissez-moi juste cinq petites minutes, j’ai besoin de marcher un peu, après je me retourne dans ma chambre. »

- « D’accord, mais si vous n’êtes pas couché, je me verrais dans l’obligation de vous y amener par la peau des fesses. »

Thomas s’exclamèrent d’une seule voix Séverus et Alexandre tout en levant les yeux au ciel, ce qui fit rire l‘adolescent, décident son professeur de défense contre les forces était têtu, très têtu.

- « Harry, je vois avec bonheur que tu vas mieux. Je suis désolé, dit Thomas qui venait d’entré dans la chambre. »

- « Pourquoi es tu désolé? »

- « A cause de moi tu as…. »

- « Non cesse de t’excuser tout le temps, tu n’es pas responsable de mon état. Je sais que tu as tout essayé pour me faire sortir de chez mon oncle. Comment te sens tu? Tu as une mauvaise mine. »

- « Un peu de fatigue, mais ça va. Je vais prévenir Draco que tu es réveillé. »

Mais le professeur Salinger, trop faible, perdit l’équilibre, il fut rattraper avant de toucher le sol par Séverus.

- « Tu vas surtout retourner dans ton lit, c’est moi qui vais aller le chercher. Quant à toi je te ramène dans ta chambre. »

**************

Dés qu’Harry fut rétablit, il emménagea avec Draco dans une des nombreuses chambres du manoir Salinger. Sirius retourna chez lui avec Hermione.

Tout avait l’air parfait, mais en apparence seulement, car le jeune Potter sentait bien que quelque chose en lui avait changé, qu’il n’était plus vraiment le même qu’avant. Plus les jours avançaient et moins il contrôlait ses pouvoirs, il essaya tant bien que mal de dissimuler son état à son entourage, pensant que cela passerait vite, et que bientôt, il serait comme avant.

Ses efforts afin de cacher son état furent vains, et un jour, tout lui échappa, il ne contrôlait plus rien et toutes les vitres de la salle à manger volèrent en éclat.

- « Désole, s’écria t’il sous les yeux exorbités de amant qui était dans la même pièce que lui, c’est un accident. »

- « Ce n’est pas grave, répondit Draco. Il suffit juste que tu les répares. »

- « D’accord, reparo; cria le survivant. »

Mais au lieux de réparer les dégâts, il y eut d’autres explosions, bien plus forte que précédemment.

- « Harry tu nous fais quoi la? Quelque chose ne va pas. »

- « Tout va bien. »

- « Tout va mal oui, tu ne maîtrises plus te pouvoirs, c’est ça? »

- « Oui, avoua le brun. »

- « Depuis combien de temps? »

- « Deux semaines. »

- « Tu comptais me le dire un jour? Hurla le blond en colère. »

- « Je pensais que tout redeviendrait normal. »

Potter eu soudainement très mal à la tête, il se sentait comme pris dans un feu ardent. La douleur déformant son visage. Apeuré Draco voulut le prendre dans ses bras, mais il fut arrêté par Alexandre qui venait d’arriver, attiré par les bruits de verres cassés.

- « Reste où tu es, tu ne dois pas le toucher, laisse moi faire. »

Managua se rapprocha de Potter, lui mit la main sur l’épaule.

- « Tu vas te calmer oui. »

Tout redevint normal. Harry ne sentait plus aucune douleur.

- « Heureusement que vous étiez là, s’écria Draco. »

Mais ce n’était pas Alexandre qu’il regardât, mais Thomas qui était resté près de la porte d’entré et qui n’avait rien fait, se contentant de regarder.

- « Heureusement que ton frère était là, reprit Malefoy, en colère contre son professeur. Pourquoi tu n’as rien fait? »

- « J’ai essayé figure-toi. »

- « Ah oui? Vraiment? »

- « Oui vraiment, je vais réparer les dégâts. »

Mais rien ne se passa, les bris de verres étaient restés au sol.

- « Je ne comprends pas, s’exclama t il. C’est comme si je n’avais plus mes pouvoirs. »

- « Tu ne les as plus, confirma Alexandre, c’est le jeune Potter qui les a. Il était le plus de près des cristaux quand ils ont explosés, et c’est vu remettre toute la puissance contenue dedans, y compris tes pouvoirs. »

- « Je ne voulais pas, s’écria Harry. »

- « Tu n’y es pour rien, mais en attendant que tout redevienne normal, essaye de plus faire de la magie, répondit Managua. »

**************

Harry aurait tant aimé que ses amis soit avec lui pour son anniversaire, il était déçu de n’avoir eu aucune nouvelle, ni aucune lettre, seul Draco devrait être avec lui en ce jour du 31 juillet. En effet Alexandre avait prétexte une course urgente à faire, et qui comme par hasard devait se faire avec son frère et son mari, comme s’il ne pouvait pas la faire un autre jour cette course.

C’est donc triste que le Gryffondor décida de ne pas bouger de son lit, il fallut toute sa force de persuasion au Serpentard pour faire sortir son amant, et le conduire dans le hall d’entrée.

Quand les deux adolescents arrivèrent dans le fameux hall, il y régnait une pénombre, donc la seule force de lumière provenait de bougies, dix sept exactement l’age que venait d’atteindre le survivant.

- « Fais un vœu, lui conseilla Draco, et souffle. »

- « Je veux que mes amis soient avec moi aujourd’hui, s’exclama Harry, avant des les éteindre d’un coup. »

La pièce fut plongé dans le noir total, mais pas longtemps, la lumière revient grâce comme par magie.

- « Surprise, Bon anniversaire Harry. »

Pour une surprise, elle était de taille, tous les amis du survivant étaient là, la famille Weasley, Hermione, Sirius, Rémus, Dumbledore, Séverus, les frères Salinger, Tonks, Maêlisse, Clémentine et Olivier. Potter regarda ses hôtes.

- « Une course urgente ? Vous m’avez bien eu oui. »

- « On voulait te faire une surprise, s’exclama Hermione. Tu n’avais quand même pas cru que l’on avait oublié ton anniversaire? »

- « Pas de nouvelles, pas de lettres, je croyais que vous ne vouliez pas me voir. »

- « Tu es notre ami, on se doit d’être avec toi. »

- « Tu ne peux pas savoir à quel point je suis content que vous soyez là, c’est toi qui en as eu l’idée? »

- « C’est ton parrain qui nous a demandés de venir te voir, et aussi de garder le secret, sinon tu n’aurais pas eu de surprise. »

Le survivant fut gâté, et avait eu beaucoup de cadeaux, ils auraient aimé les ouvrir en même temps, ce qui était bien sur impossible, mais il ne voulait pas faire attendre ses invités, qui avait faim, surtout Ron, qui le suppliait du regard, comme un chien battu qui aurait jeûné une semaine au moins.

**************************

La salle à manger était immense, cela donna le vertige à rouquin peu habitué à un tel espace, ce qui fit rire Maêlisse.

- « Remets-toi Ron, tu ne vas pas rester la bouche ouverte quand même. »

- « Tu te rends compte, je suis sur que cette pièce, a elle seule est plus grande que la maison de mes parents. » ( nda, Ron a tendance à en rajouter un peu.)

Le repas commença bien, tous mangeaient de bon cœur les plats qui étaient sur la table, tous, non sauf Hermione, après avoir vu un elfe de maison, avait posé sa fourchette. Elle regretta d’être venue, et aussi de ne pas avoir pris les badges de son association. Ce n’est pas parce que la famille Salinger était une sang pur que c’est représentant devaient abuser de leur rang, et avoir des esclaves chez eux, a ça non.

- « Tu ne mange plus? S’inquiéta Ron. »

- « Tout cela me dégoûte. »

- « Tu n’aimes pas? C’est délicieux pourtant. »

- « Je ne parle pas de ça. »

- « Alors mange. »

- « Tu te rends compte de ce qu’il se passe ici? »

- « On fête les dix sept ans de notre ami. »

- « On contribue surtout au maintient de l’esclavage oui! Ce que tu dévores a été préparé dans la douleur et la sueur, et toi tu te goinfre comme si de rien n’était, insensible à la souffrance de ces pauvres elfes de maison surexploités. Voilà ce qui me dégoûte. »

- « Hermione tu en fais un peu trop là, s’indigna Thomas, tu me fais de la peine. »

- « Tu devrais plutôt avoir honte de toi. Je te croyais que tu valais mieux que ça. Je suppose que tu les fais travailler sans salaire ni repos. Comment fais tu pour te regarder dans un miroir, moi à ta place je ne pourrais pas. Que dis je, je ne serais jamais à ta place, j’ai trop d’estime pour les elfes de maison pour les exploiter… »

L’arrivée d’un elfe de maison interrompu la jeune fille dans son monologue interminable.

- « Melle, ne parlez pas à mon maître de cette façon. Je suis fier de travailler ici, et pour rien au monde je ne voudrais partir. Que je ne vous entente plus dire du mal de Mr. »

- « Tu n’as jamais voulut être libre, avoir un salaire, du temps pour des loisirs. »

- « J’ai tout ça Melle, j’ai un gallion… »

- « Quoi? C’est tout? Thomas comment peux tu être aussi radin, avec un tel salaire, il ne pourra même pas aller au cinéma, sauf si bien sur, leur statut leur permet d’avoir des tarifs réduit. »

- « Un gallion de l’heure, cria l’employé, fort mécontent de ne pas avoir pu finir sa phrase. Maintenant finissez votre assiette avant que je la débarrasse, à moins que vous croyiez que nous mangions les restes des repas. »

Hermione ne se laissa pas impressionner, et plus que jamais décider à faire la grève de la faim, regarda avec horreur les plats, et tant pis si son professeur avait de la peine de la voir jeûner.

Harry était furieux contre Granger fasse un scandale.

- « Thomas, dit il fort afin d’être sur que tout le monde entente, c’est très bon. »

- « Tu es gentil, mais ne te force pas si tu n’aimes pas. »

- « Je le pense, tu cuisines très bien. »

Sous le choc Hermione regarda son professeur, elle n’avait pas imaginé qu’il pouvait avoir fait le repas lui-même. Le seul fait d’avoir vu des elfes de maisons lui avait suffit pour tirer des conclusions actives.

- « C’est toi qui as tout fait, demanda t’elle? Pourquoi tu ne l’as pas dit? »

- « Je ne vois pas ce que cela change. »

- « Tout, je n’aurais pas refusé de manger. »

- « Même si je te dis, que j’ai travaillé dans la douleur et la sueur? »

- « je…je…je…. »

- « Je blaguais Hermione. »

Quant à Ron, lui était resté sur le gallion de l’heure, son père n’avait qu’un demi gallion de l’heure.

- « Thomas murmura t’il, aurais tu besoin d’un elfe de maison de plus. »

Ce qui fit le silence autour de lui.

- « Ben quoi? C’est super bien payé comme travail. »

- « Tu as si peu d’ambition que ça, lui demanda le professeur Salinger. »

- « Si j’ai de l’ambition, je voudrais être auror, mais aussi je suis réaliste, les études sont trop cher. »

Peu avant la fin du repas, Draco se leva.

- « Harry, dit il, veux tu m’épouser? »

Le Gryffondor ne s’attendait pas à une demande en mariage de la part de son petit ami, et encore moins devant tout le monde. Il se leva à son tour, et embrassa le Serpentard.

- « Dois je prendre cela pour un oui? Demanda ce dernier. »

- « Rien ne pourrait me faire plus plaisir. »

Ce n’est que bien plus tard dans l’après midi que Potter ouvrit ses cadeaux, plus beaux les uns que les autres. Il eu un livre sur les fondateurs célèbre de la part d’Hermione, un pull de la mère de Ron, un étui a Baguette de Ron, une plume à triche de Fred et Georges, pour que tu réussisse ton examen avaient ils dit pour justifier leur cadeau.

Thomas fut le dernier a lui faire un présent, une enveloppe des plus simples, mais qui contenait deux places pour la finale de la coupe d’Europe de Quidditch.

- « Je ne peux pas accepter, s’indigna le survivant, c’est trop. »

- « Tu y vas avec Draco, tu as besoin d’être un peu seul avec lui. Ramène-moi un souvenir, et surtout amuse-toi. »

- « Mais quand même 4 000 gallions la place, c’est un peu cher. »

- « Fais-moi plaisir accepte. »

- « D’accord, je te remercie. »

- « Pourquoi on n’a pas de place nous? s’indigna Ron, qui lui aussi aurait tant aimé y aller lui aussi. »

- « Parce que Harry et Draco ont besoin d’être seul, lui répondit Maêlisse, sans que tu sois continuellement derrière eux. »

A suivre chapitre 5, besoin de rêver, à ne pas manquer.


See you klpdd

:bye:

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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
re kikou :ange:

sans plus attendre le chapitre 5 qui n'est pas très important pour l'histoire, c'est juste un chapitre de transittion une petite pause avant le 6 qui sera plus mouvementé :lemon:

bonne lecture a tous.... :bave:

Chapitre 5: Besoin de rêver ( Obispo)

Bien que la finale de la coupe d’Europe de Quidditch n’était que dans une semaine, Harry et Draco se redirent sur les lieux avec un peu d’avance, cela leur permettrait d’être enfin seul tous les deux, et aussi d’avoir de vraies vacances loin de tous, des contraintes des études. La compétition devait se dérouler sur la côte catalane de l’Espagne, près de Barcelone. Ils avaient prévu de prendre une chambre à prix modique dans l’un des nombreux hôtels au environ du stade, mais toutes les chambres étaient déjà prise.

Thomas leur proposa de leur prêter une villa appartenant à la famille Salinger qui faisait face à la mer, répondant au doux nom de Taudis.
Bien sur la maison en question n’avait rien avoir avec un taudis, et était loin d’être en ruine, bien au contraire, la demeure était magnifique, avec vu sur une des plus belles plages privées d’Espagne.

Comme tous touristes qui se respectent les deux adolescents profitèrent de leur séjour pour se promener dans les rues de la ville afin, comme il se doit, de faire des achats, et le plus souvent pour des babioles ou autres objets décoratifs plus ou moins inutiles et qui deviennent toujours recouvert de poussière ou qui finissent par arriver dans un placard.

Harry cherchait désespérément un cadeau pour le professeur Salinger, il finit par se décider, et pris une figurine, ce qui déplut à Draco.

- « Tu ne vas pas lui acheter cette horreur, s’indigna le blond. »

- « Tu la trouves moche? »

- « Hideuse serait un terme plus approprié. »

- « Je sais bien, mais je ne sais pas quoi lui acheter. »

- « Pas de genre de chose en tout cas. Offre-lui plutôt un livre. »

- « Tu crois, il aime la lecture? J’ai du mal à le voir assit avec un ouvrage dans les mains. »

- « Un peu de culture ne fait de mal à personne. »

Malgré les recherches Harry ne trouva pas de livre, mais il trouva à la place un joli tableau avec un dragon, il finit par le prendre. Draco aussi acheta quelque chose, une paire de gants, après tout Thomas, l’avait gentiment hébergé chez lui, sans lui demander le moindre gallion.

**************

L’éloignement avec le monde de la magie, fut bénéfique au jeune Potter, qui arrivait mieux à contenir la puissance qu’il avait bien malgré lui. L’air frais de la mer lui fit aussi du bien. La semaine de vacances passa bien vite, et le soir de la finale tant attendue arriva.

La Bulgarie fut plus que décevante, et l’équipe perdit en demi-finale face à celle d’Espagne. Mais la surprise de cette compétition vient de l’Angleterre qui se qualifia en finale à la surprise de tous.

Comme Harry et Draco avaient des places de choix, dans la tribune présidentielle, il pouvait s’y rendre que quelques heures avant le début du match, mais trop impatient, les adolescents arrivèrent très tôt, ils ne voulaient pas manquer le début de cette première finale européenne.

Il y avait beaucoup de supporters espagnols, un peu trop même, de toute évidence le publique avait déjà fait son choix, ce qui rentrerait la tache encore plus difficile pour l’équipe adverse qui déjà avait le désavantage du terrain.
Afin de soutenir l’équipe dans laquelle devait jouer Dubois, les adolescents achetèrent tous ce qu’ils pouvaient afin d’être le parfait fan de l’équipe de l’Angleterre, et bien sur ils ne passèrent plus inaperçu dans la foule qui était aux couleurs de l’Espagne.

Ensuite il était temps de rejoindre le stade afin de s’installer, il n’y avait qu’une seule personne de présente, le ministre de la magie espagnole, Juan Carlos De Santos, un homme chauve et vêtu de rouge et jaune, le faisait ressembler à un joueur des Gryffondor. Ce dernier était fier comme un pan, et devait déjà rêver à la victoire de ses compatriotes. Il n’accorda aucun regards envers les deux intrus qui avaient eu on ne sait comment des places pour la tribune présidentielle.

Mal à l’aise les élèves ne savaient plus trop quoi faire, et seraient bien repartit, se sentant de trop dans cette loge où de toute évidence ils seraient de trop au vu des supporters de l’Espagne.

- « Bonsoir les enfants, ne restez pas debout, le match risque d’être un peu long. »

La personne qui venait de parler était Christian le ministre de la magie anglais. Ce qui fut plaisir aux adolescents, ils ne seraient pas les seuls supporters de l’équipe d’Angleterre. Bien sur ce ne fut pas le cas de son homologue espagnol, qui ne lui adressa pas la parole.

- « Bonsoir Mr le ministre, s’exclamèrent ensembles les étudiants. »

Peu de temps avant le match, la tribune finit de se remplir, et à part Christian, Harry et Draco, il n’y avait que des représentants de l’Espagne.

**************

Le premier match de finale de la coupe d’Europe de Quidditch devait se dérouler la nuit, bien sur il y avait un éclairage magique, et les balles seraient lumineuses, afin que tous puissent les voir.

Le spectacle pouvait commencer, se présentèrent au milieu du terrain les mascottes de l’équipe d’Angleterre, des jeunes filles munies de rubans multicolores et fluorescents. Avec agilités et grâce, elles firent des jolis motifs, représentant des scènes toujours très spéculatrice de Quidditch, a la fin de leur prestation, elle avait écrit un message, qui était un peu le slogan de leur équipe, la victoire est en nous. Malgré la beauté de cette prestation, il y eut que des applaudissements polis et peu chaleureux. Ce qui ne fut pas le cas pour les danseuses espagnoles, qui malgré leur manque évident de charme et de grâce, eu la faveur du public qui était dans sa majorité pour l’Espagne.

Harry et Draco ne manquaient rien des exploits des joueurs, bien sur l’équipe d’Angleterre avait un niveau bien supérieur à celle de l’équipe adverse, et Olivier ne fut pas vraiment récompenser de tous ses effortsétant huée par une foule en délireà chaque fois qu’il arrêtait un but des attaqueurs Espagnols, ce qui finit par le déconcentrer

Après plus de quatre heures de match, ce fut l’attrapeur de l’équipe d’Espagne qui s’empara du vif d’or, sous les acclamations des spectateurs heureux. Profondément déçu par ce manque évident d’esprit sportif, les adolescents préfèrent rentrer et ne pas assister à la remise des prix.
Avant de partir, ils allèrent quand même remonter le moral à Dubois, qui était déprimé.

****************

La nuit était chaude, bien trop pour rester enfermé et les amants ne pouvait pas dormir, afin de trouver un peu d’air frais, ils allèrent s’installer sur la terrasse, où il s’y assirent.

- « C’est dommage de repartir si tôt, se lamenta le Gryffondor. Je n’ai pas vu le temps passer. »

- « On a passait de bonnes vacances, on ne peut pas rester ici éternellement. N’oublie pas que tu dois réviser pour ton examen. »

- « Je sais, et toi tu as songé à ce que tu allais faire comme étude. »

- « je n’ai pas réfléchit à ça. »

- « Pourquoi ne tenterais tu pas le concours avec moi? Comme ça on pourra rester ensembles. »

- « Tu sais bien que les études sont trop cher, je vais me chercher un travail. »

- « Mais tu n’as envie de… »

- « Non, ce soir est le dernier où l’on est tous les deux, on en reparlera plus tard, d’accord? »

Avec un sourire coquin et un regard mutin, le brun se leva et alla s’asseoir à califourchon sur le blond.

- « Harry, pourquoi tu t’assis sur moi. »

- « Je veux que notre dernière nuit ensemble soit inoubliable. »

- « Elle est déjà, tout comme cette semaine. »

- « Draco arrête de parler, passe à l’action, fais-moi l’amour. »

- « Ici? »

- « Oui il fait trop chaud à l’intérieur. »

Apparemment la température à l’extérieur était aussi trop élève, et le Gryffondor se débarrassa de son polo qui lui collait un peu trop à la peau. Ensuite il se mit à embrasser le Serpentard dans le cou. Ce dernier pencha la tête en arrière et mis ses mains sur les fesses de son amant. Afin de pouvoir le pénétrer, le blond voulut enlever le pantalon du brun, mais leur position ne lui permit pas.

- « Harry lève toi, demanda Draco. »

- « Pourquoi, tu n’es pas bien comme ça? »

- « Non, et tu es un peu lourd, tu n’aurais pas pris un peu de poids ces derniers temps. »

Vexé par cette réflexion peu diplomate Potter se leva, et regarda son ventre, certes il n’était plus aussi maigre qu’avant, mais est ce une raison pour lui faire la remarque. Il n’y pouvait rien s’il mangeait un peu plus qu’avant, les plats de Thomas étaient très bons.

- « Tu me trouve trop gros? S’écria t’il. »

- « Je vérifie après je te dis si tu dois faire un régime. »

- « C’est ça, si tu crois que je vais me laisser faire. »

Malefoy se leva se rapprocha du corps si envoûtant de son amant et finit de le déshabiller,

- « Tu es parfait finit par dire le Serpentard en admiration, ce qui ne satisfaisait pas le Gryffondor. »

- « Tu dis ça pour me faire plaisir. »

- « Je le dis parce que je le pense. Laisse toi faire. »

Tout en parlant le blond retira son pantalon, et après avoir allongé le brun sur le sol commença à l’embrasser tout doucement, ils avaient tout le temps devant eux. Les deux garçons passèrent le reste de la nuit à faire l’amour, et plus jamais ils ne pourraient oublier cette nuit qui restera à jamais gravé dans leurs mémoires.

Ce n’est que bien plus tard que les deux amants finirent par s’endormir, oubliant que leurs bagages n’étaient pas prêt et qu’ils devaient partir dans quatre heures.
Les valises furent donc faites très vite, ce n’était pas qu’ils étaient pressés de rentrer, mais il fallait bien revenir à la réalité un jour.

***************

Le fait qu’Harry n’était plus vraiment en possession de ses pouvoirs, compliqua ses révisions, en effet l’examen pour accéder à l’école des fondateurs comprenait une épreuve écrite mais aussi une pratique, comme une potion à faire, une métamorphose, et un sortilège de défense, au vu de ses connaissances actuelles, il avait que très peu de chance de le réussir.

Afin qu’il puise quand même réviser, le jeune Potter se vit offrir des boucles d’oreilles, mais elles n’avaient pas pour but de le rendre plus beau, c’était des objets magiques qui absorbe la puissance et permet à celui qui les porte d’avoir un meilleur control de soi.

En seulement trois semaines le Gryffondor fut d’énormes progrès, surtout en métamorphose, il est vrai que Alexandre excellait dans ce domaine, ayant un bien meilleur niveau que McGonagall était un très bon professeur. Le cours de potion se réveilla plus chaotique, Séverus n’arrivait toujours pas à garder son calme devant son élève qui avait toutes les difficultés au monde à réussir une potion.

Mais ce qui décevra le plus Harry, c’est qu’il ne pouvait pas s’exercer à se transformer en animal, Virginie n’étant plus en état de donner les cours, et devait rester allonger toute la journée dans son lit. Bien sur son état n’était pas inquiétant, mais il lui fallait du repos.

Comme Thomas était dépourvu de ses pouvoirs, il ne put aider son élève comme il l’aurait voulut, il s’occupa donc de tous les cours théoriques, et Sirius qui les avaient rejoints pris en charge la théorie des sortilèges du cours de défense contre les forces du mal.

Bien sur Harry ne dit rien à ses amis de son état, et encore moins à Hermione, qui avait insisté pour se rendre avec Sirius dans le manoir Salinger. La jeune fille se doutait bien qu’on lui avait caché des choses, mais elle n’osa pas aborder le sujet. Elle proposa ses services pour aider son ami à réviser, en effet Thomas avait l’air de mal s’y prendre avec son élève puisqu’il ne l’obligeât pas à lire des livres énormes et incompréhensibles, et qu’il ne le faisait réviser que très peu, afin de lui laisser un peu de temps libre.

- « Harry, s’indigna la jeune fille, tu devrais prendre moins de loisirs, et réviser. »

- « Thomas m’a dit le contraire il y a 2 secondes, que je ne devais pas autant travailler. »

- « Ah oui? Et tu vas lui obéir, tu ne veux pas que moi, je m’occupe de tes révisions. »

- « Non, déjà parce que j’ai envie de me consacrer un peu de mon temps à Draco, ensuite je tiens à te dire que Thomas sais parfaitement ce qu‘il fait, et qu’il est mieux placé que toi pour savoir où sont mes lacunes et ce que je dois réviser. »

- « Je dis ça c’est pour ton bien moi. »

- « Dans ce cas laisse-moi vivre ma vie comme je le veux. »

- « Je t’aurais prévenue quand même, mais si tu veux aller dans cette école, tu dois t’attendre à avoir énormément de travail. La méthode de Thomas te paraît bonne sur le coup, parce que cela t’arrange d’avoir du temps libre, mais quand tu seras à l’école, ce ne sera peut être plus le cas, a ce moment tu regretteras de ne pas avoir suivi mes conseils. »

- « Il a finit premier de sa promotion, je crois en ses méthodes. Tu sais quoi Hermione plus ça va, plus tu me fais penser à McGonagall, tu devrais te décoincer un peu. »

- « Ne viens pas te plaindre si tu échoues. »

- « Je réussirais, je veux être fondateur, et personne ne me fera changer d’avis. »

Hermione aurait bien voulut rajouter quelque chose, mais elle vit dans le regard de son ami une détermination hors du commun, et elle préféra se taire.

*******************

Deux jours avant la reprise des cours, Harry et Draco se marient. Potter pris Sirius et Rémus comme témoins, Malefoy demanda à Séverus et à Thomas d’être les siens.
La cérémonie fut très courte, et aussi faites dans le plus grand secret, seuls étaient présents les amis des deux adolescents. Mais rien ne reste caché dans le monde de la sorcellerie.

Molly avait les larmes aux yeux, c’était un peu comme si l’un de ses enfants se mariait. Narcissa eu bien sur vent de cette union, mais elle ne put rien faire, les lieux était trop bien gardé.

Bien sur la reprise des cours empêcha tout voyage de noces. Il fallait préparer la rentrée des classes, et aussi l’examen final les aspics, qui seraient simples au vu du concours d’entrée pour certaines grande école.

A suivre chapitre 6, quelqu’un nous appelle.

see you klpdd :hola: :bye:

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MessagePosté: 01 Mai 2005 08:42 
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kikou

bonne fête du travail, qui tombe un dimanche, dire que c'est parelle pour le 8, la noêl et le jour de l'an, :injuste:

après ce petit coup de gueulle le chapitre 6, ce que vous allez découvrir au sujet de Daniel est un secret, vous seuls devez le savoir, Harry ne doit pas le savoir, compte sur vous... :wink:

assez parlé lecture. :bave:

Chapitre 6 : Quelqu’un nous appelle ( Obispo)

Plus que jamais Daniel était décidé à obtenir un poste de professeur à Poudlard, il devait forcer le survivant à changer d’avis, à accepter sa proposition. Il était toujours comme ça quand il n’avait pas ce qu’il voulait, têtu et borné. Il ne pouvait pas comprendre que l’on refuse, la chance de faire ses études dans l’une des plus grandes Académie au monde. Lui qui aurait tant aimé pourvoir en faire, et devenir auror.

Mais le destin en avait voulut autrement, en effet il avait périt, ainsi que sa femme, sous le joug de l’immonde Voldemort, en voulant sauver la vie de son unique enfant. Bien sur son acte héroïque, lui avait donné la possibilité de ressusciter sous la forme d’un être de lumière, mais comme toutes médailles a son revers, il avait eu pour contrainte de quitter son pays natal, pour aller au Canada, mais le pire était qu’il n’avait plus le droit de revoir son fils. Bien sur il avait pu grâce à la presse, suivre en différer toutes les mésaventures de son enfant, mais cela ne lui suffisait pas, il voulait le voir. C’était pour lui le pire des châtiments, et malgré la présence de sa femme qui était elle aussi un être de lumière, il voulait revoir son bébé, qui avait bien grandit en seize ans.

Evidement, Océan, n’avait que faire des règlements, ils n’étaient pas fait pour lui, et il se rendit au collège, afin de postuler auprès du directeur. Une fois dans le bureau, il s’y installa comme s’il était chez lui, c’est à dire au fond de son fauteuil les pieds sur le bureau, ce qui déplut à Dumbledore.

- « Pouvez vous me dire ce que vous faites dans mon bureau, s’écria Albus, et qui êtes vous? »

- « Je suis Daniel Océan, je viens pour le poste de professeur de défense contre les forces du mal. »

- « Pardon? »

- « Je viens pour assurer les cours de défense contre les forces du mal. »

- « Je crains que cela ne soit pas possible, je suis désolé, je vais devoir vous refuser ce poste. »

- « Vous croyez que je n’ai pas les capacités pour ce genre de cours? »

- « Je ne me permettrais pas de vous juger sur ce point. »

- « Alors pourquoi me refuser ce poste? »

- « Il est déjà pourvu. »

- « Dans ce cas envoyez-lui un hibou, et dites-lui de ne pas venir, que vous avez donné le poste à quelqu’un d’autre. Ce n’est pas si compliqué que ça! »

- « Je ne le ferais pas, c’est un excellent professeur et il est apprécie de tous ses élèves. »

- « Comment peuvent ils l’aimer, vous venez de le nommer n’est ce pas, aucun de vos professeurs à ce poste n’est resté plus d’une année. »

- « C’est pourtant le cas, Thomas Salinger a bien voulut rester une année de plus. »

- « QUOI? Vous avez engagé le cousin de Voldemort? Le fils de Jonathan Salinger? Albus vous avez perdu l’esprit. Comment avez vous pu faire une telle chose? Vous me faites une blague, c’est ça? »

- « Pas du tout, il est bien le professeur de défense contre les forces du mal. »

- « Renvoyez-le immédiatement. Il ne peut pas enseigner aux enfants, pas le fils de cette ordure, il va leur apprendre la magie noire et autre sorcellerie interdite, si ce n’est pas déjà fait. C’est par miracle qu’il n’y ait pas eu de blessé dans l’un de ses cours. »

- « Je vous interdis de dire du mal de lui, il est l’un de mes meilleurs éléments, je regrette de ne pas l’avoir eu comme professeur plus tôt, et encore moins de son père, il était mon meilleur ami. Ce n’est pas à vous James de me dire ce que je dois faire. »

- « Daniel, je m’appelle Daniel Océan, je croyais vous l’avoir dit. »

Ce qui provoqua un fou rire nerveux de la part de Dumbledore.

- « Entre nous vous n’auriez pas pu trouver un autre nom? Ce n’est pas parce que vous avez changé d’apparence que vous allez me tromper, je vous ai reconnu James Potter. Mais vous savez parfaitement que vous n’aviez pas le droit de revenir, et encore moins pour être ici »

- « Je veux juste revoir mon fils, mais vous ne pouvez pas comprendre, vous n’avez pas d’enfant vous. »

- « Je vous comprends parfaitement, mais je vais vous demander de repartir, le plus tôt sera le mieux. »

- « Et si je refuse, et si je reste quand même, que feriez vous, vous me dénoncerez moi aussi? »

- « Si vous partez dans l’heure non. »

- « Vous savez bien que je ne le ferais pas. Tout ce que je vous demande c’est de revoir mon enfant, je veux voir comment il va, et m’assurer qu’il est heureux. »

- « C’est la seule raison de votre venu? »

- « Bien sur, mentit Daniel. »

Mais il ne pouvait pas avouer au vieil homme le véritable but de sa venue, il savait bien que Dumbledore n’aurait pas était d’accord avec le fait d’obliger Harry à faire ce qu’il ne veut pas.

- « N’oubliez pas grâce à qui il est toujours en vie, qui a détruit les cristaux qui ont bien faillit le tuer. Si j’étais resté bien gentiment chez moi, comme vous ne l’avez si bien suggéré, mon fils serait mort à l’heure qu’il est, et à cause de vous. Reprit Océan en hurlant. »

- « Ma faute? Je ne comprends pas. Je n‘ai rien fait.»

- « Vous avez confié Harry à son oncle, et vous n’avez rien fait pour le sortir de là. Vous savez pourtant qu’il était mal traité et malheureux là bas. Vous n’avez rien fait non plus pour empêcher Sirius d’aller en prison, pour un crime qu’il n’a pas commis, vous ne l’avez pas non plus confié à Rémus, tout ça parce que c’est un loup-garou. Oui, vous avez raison vous n’avez rien fait, c’est bien ce que je vous reproche. Soit vous donnez un poste de professeur, ou je vais savoir que par votre immobilité vous avez mis la vie du sauveur de l’humanité en danger. Que décidez-vous? »

- « Je veux bien vous donner le poste de professeur animagus, mais ne comptait pas sur moi pour celui de défense contre les forces du mal. »

- « Donnez ce poste à ce Salinger. »

- « Non, en aucun cas, c’est le seul poste que je peux vous donner, mais vous devez me promettre de ne jamais dévoiler à Harry que vous êtes son père, et que sa mère est elle aussi en vie. »

- « D’accord, dit dans un soupir Daniel, qui n’avait pas trop le choix de toute façon. »

*******************

Il y avait beaucoup d’agitation dans le Poudlard express, en effet la coupe d’Europe de Quidditch, avait fait couler de l’encre et animé plus d’une conversation, surtout la finale et le scandale de la victoire contesté et contestable de l’Espagne sur l’Angleterre.

Harry et Draco ne voulaient pas passer tout le voyage à parler que de ça, ce qui les empêcherait d’être seul tous les deux, les deux adolescents préférèrent ne rien dire sur leurs présences à cette complétion, et en silence, ils s’en allèrent à la recherche d’un coin tranquille.

Seul un compartiment semblait vide, les jeunes mariés décidèrent d’y aller, afin de profiter comme il se doit de ce dernier moment d’intimité. Là le Gryffondor se vengea de l’humiliation que lui avait fait son époux le soir de la finale. Il s’approcha du Serpentard et avec des gestes brusques le déshabilla totalement.

- « Harry cria le blond. »

- « C’est moi. »

- « Ca je le sais, mais pourquoi tu fais ça? »

- « Je vérifie si tu n’aurais pas pris un peu de poids toi aussi. »

- « Tu m’en veux pour l’autre jour? »

- « Oui. »

- « C’était juste un prétexte pour te forcer à te lever, je ne voulais pas te vexer, tu es bien plus beau depuis que tu n’es plus aussi maigre. Tu me pardonnes ? »

- « Bien sur mon cœur, je t’aime, mais aujourd’hui laisse toi faire. »

Le brun se pencha et commença à lécher le pénis de son amant, comme s’il s’agissait d’un esquimau ( nda, la glace pas le monsieur bien sur.) Les deux hommes étaient comme dans une bulle, coupés du monde extérieur, et bien sur ils ne se rendirent pas tout de suite compte que deux autres personnes étaient devant la porte du compartiment. C’est Malefoy qui les vit en premier, vu qu’il était face à la porte.

- « Harry, je crois que tu devrais arrêter, on fera ça plus tard, dit il en se remettant ses vêtements. »

- « Tu n’aimes pas ce que je te fais? Je le fais mal? »

- « Non tu es merveilleux, mais on est plus vraiment seul. »

Potter se retourna voyant les professeurs Lupin et Salinger, il avait oublié que ce dernier privé de ses pouvoirs n’avait plus que le train pour se rendre au collège, et que son futur beau-frère avait fait le voyage avec lui, les deux hommes étaient enfin devenus des amis.

- « Rémus, Thomas, cria Harry en colère, que faites-vous là? Le spectacle vous a plus au moins? Vous ne pourriez pas aller autre part? »

- « En aucun cas, nous ne voulions vous déranger, s’exclama Remus, vexé de se faire traiter de voyeur, mais on ne pouvait pas savoir que vous iriez dans mon compartiment pendant notre absence. »

- « Le compartiment était vide, et comme il y avait personne. Vous n’aviez pas à partir aussi. »

- « J’ai juste accompagné Thomas aux toilettes, le train n’est pas très stable, je n’avais pas envie qu’il se blesse en tombant. »

- « Désolé, murmura Harry, qui se savait plus où se mettre, tellement il était gêné. »

- « On va vous laisser tous les deux, il devrait rester des places ailleurs. »

- « Vous pouvez rester si vous voulez. Après tout vous étiez ici avant nous. »

Ce n’est pas que Potter voulait absolument que ses professeurs soient avec lui, il aurait préféré être seul avec Malefoy, mais il ne voulait pas que Thomas soit obligé de marcher à la recherche d’une place, le train étant assez bondé.

Pour le reste du voyage, les mariés se contentèrent de s’embrasser, et de discuter de tout et de rien avec leurs compagnons de voyage.

************************

Pour cette nouvelle année Thomas fut promut au poste de directeur des Serpentard, ce qui ne fit pas forcement plaisir à tous, surtout Crabbe et Goyle qui n’avaient jamais apprécié ce professeur, qui contrairement à Rogue ne faisait aucun favoritisme envers ceux de sa maison.

Daniel le nouveau professeur, fit sensation auprès de la plupart des jeunes filles, il faut bien avouer qu’il était plus beau qu’un Dieu, et en comparaison black et Salinger passaient pour beau mais sans plus. Sauf Pansy qui était toujours amoureuse de son professeur de défense contre les forces du mal, Hermione contrairement à ses habitudes ne bava pas devant son professeur, le trouva pas si attirant que ça, et trop prétentieux, Maêlisse préférait la fraîcheur et la simplicité de Ron, et Clémentine avait juré à Olivier de ne regarder aucun homme.

Après le discours interminable du professeur Dumbledore, le repas fut enfin servit. A la table des professeurs il y avait une certaine animation, si Daniel c’était montré amicale envers ses amis d’enfance, ce n’était pas le cas avec Thomas, il ne lui adressa pas la parole, et le regardait même de travers. Bien sur ce dernier n’appréciait pas être dévisagé de la sorte, à bout de patience, il finit par s’adresser à son voisin de table, afin de lui dire ce qu’il pensait de son attitude peu diplomate.

- « Professeur Océan, pourquoi vous me regardez de cette façon? »

- « Parce que je ne vous aime pas Mr le boiteux. »

- « Comment m’avez vous appelez? »

- « LE BOITEUX, c’est bien ce que vous êtes, un handicapé, vous préférez que je vous appelle l’infirme? »

- « J’ai un nom, Salinger. »

- « Je sais qui vous êtes, le fils de Jonathan, c’est pour ça que je vous hais, si j’avais su qui vous étiez chez les Dursley je vous aurais laissé là bas, jamais je ne vous serai venu en aide. »

- « Vous connaissez mon père? »

- « Comme tout le monde de réputation. Ce n’est pas parce qu’on est collègue que je vais me monter gentil envers vous, qui avez mis dans la tête de Potter de devenir fondateur… »

Daniel aurait bien continué à discuter, mais il s’aperçut que cela ne plaisait pas trop aux élèves qui avaient cessés de manger pour le regarder, il n’avait pas été très discret non plus, et parlait un peu trop fort, pour que sa conversation soit entendu de tous. Apparemment Dumbledore avait raison sur un point, le professeur Salinger était apprécié comme professeur et pas seulement de ses élèves, mais aussi de ses collègues, même McGonagall qui n’aimait pas Thomas, semblait choquée.

Mais celui qui le tuait presque de son regard fut Harry, comment le nouveau professeur pouvait se moquer ainsi de la blessure de Salinger? Il fallait être sans cœur pour l’appeler boiteux.

*********************

Avant d’aller rejoindre sa chambre, Harry décida d’aller voir son nouveau professeur. Bien qu’il était reconnaissant envers l’homme de lui avoir sauvé la vie, il ne pouvait pas le laisser insulter celui qui avait risqué sa vie, et à plusieurs reprise, pour le sauver.

- « Mr Océan, dit il en allant vers son professeur, je peux vous parler? »

- « Bien sur Harry, mais vous pouvez m’appeler Daniel. »

- « Tout comme vous pouvez appeler Thomas par son nom, comme il vous l’a demandé, et non par le boiteux ou autres insultes de ce genre. »

- « Pourquoi prenez-vous sa défense? »

- « Parce que c’est mon ami, et que je suis responsable de son handicap. »

- « Comment ça responsable? »

- « Sa blessure il l’a doit au fait qu’il a reçu une flèche dans le genou. »

- « Il n’aurait pas du se rendre dans la forêt interdite, il l’a bien cherché. »

- « C’est pour me sauver qu’il y est allé. C’est moi qui devais recevoir cette flèche, il m’a sauvé la vie ce jour là, n’hésitant pas à mettre la sienne en péril. Je vous serai donc gré de ne pas l’appeler le boiteux. Je le respecte et j’espère devenir comme lui plus tard. »

- « C’est donc à cause de ça que vous avez refusé mon invitation. »

- « Votre invitation? Mais de quoi parlez-vous? »

- « Je suis le directeur de l’Académie du beau rocher. »

- « Pourquoi êtes vous venu ? »

- « Pour vous faire renoncer à vos projets de devenir fondateur, et vous demander une nouvelle fois de faire des études d’Auror. »

- « Il est hors de question que j’accepte. »

- « Nous verrons ça. »

- « C’est tout vu Mr. »

Pour une première rencontre on ne pouvait pas faire pire. Daniel pouvait être sur qu’Harry ne voudrait plus jamais aller dans son école, mais en plus il semblait ne pas l’aimer, alors que tout ce que voulait Océan s’était que son fils fasse de bonne étude et de le veiller sur lui, comme tout bon père aurait du le faire.

A suivre chapitre 7, tes paroles en l’air, à ne pas manquer.

see you klpdd :bye:

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MessagePosté: 01 Mai 2005 09:21 
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Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
J'aime beaucoup... et pour Daniel, je m'en doutais... mais je regrette qu'on l'apprenne aussi vite dans l'histoire !! J'ai hâte de voir les réactions de Sirius et Remus lorsqu'ils sauront qui il est...

:suite:

Cybelia.


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MessagePosté: 01 Mai 2005 15:20 
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou :hola:

voila un autre chapitre :ange:

pour cybélia, détrompe toi pour l'instant tu ne sait rien sur Daniel qui est en vérité James, mis a part qu'il est un être de lumière, il y a des trucs que tu ne sais pas encore, ni les lecteurs de ff, bien que certains se doute, pourquoi parceque il y a des révélations dans le chapitre 16 et qu'il est en cours d'écriture....voila :reviews:

Chapitre 7: Les paroles en l’air ( Obispo)

Les élèves auraient du être contents de pouvoir continuer les cours d’animagus, mais ce n’était pas le cas. En effet, ils n’avaient pas aimé la façon dont Daniel avait parlé à son collègue, allant jusqu’à se moquer de l’handicap de ce dernier. C’est donc en trainant des pieds qu’ils se rendirent dans la salle de classe, tous ? non, sauf Hermione, qui disait qu’il ne valait pas juger les gens sur une première impression, et qu’il était possible que Daniel soit un bon professeur.

La première chose que fit Océan en entrant dans la pièce fut de compter le nombre d’étudiants présents, dix neuf. De toute évidence ils étaient beaucoup trop, et seuls deux ou trois pourraient se transformer en animal pour la fin de l’année, les autres plus tard, voir jamais. Ce sera donc une perte de temps de leur enseigner à eux aussi.

En faisant l’appel, il vit qu’il y avait une erreur sur les noms de ses élèves. En effet on se demandait comment le nom de Malefoy s’était rajouté à celui de son fils, qui était inscrit sous Harry Potter-Malefoy et il ne vit pas tout de suite que pour un autre élève, en l’occurrence son beau-fils, c’était la même chose, Draco Potter-Malefoy. Cela le mis de mauvaise humeur, comment osait-on associer sa famille avec des mangemorts ? Il irait voir le directeur afin que cette bévue soit réparée. Ensuite il lut brièvement les notes que lui avait laissé Virginie, et se leva.

_« Je vais essayer de vous aider dans l’art complexe de se transformer en animal. Je vais vous demander rigueur, travail, acharnement. Sachez cependant que TRÈS peu d’entre vous arriveront à un résultat, et que je me monterais intransigeant envers ceux qui ralentiront mon cours. Il est hors de question que les bons éléments payent pour les mauvais et si vous n’arrivez pas à suivre, ne venez pas, je vous rappelle que cette étude est facultative. Je vais donc commencer par mesurer vos compétences, ceux ou celles qui n’ont pas le niveau devront sortir. »

Seule Hermione était du même avis, il avait raison, certains de ses camarades n’étaient là que pour s’amuser, ce qui est indécent, un cours étant fait pour travailler et non pour se divertir. Les autres élèves regrettaient Virginie, certes elle était autoritaire, mais elle n’avait jamais refusé des élèves, et était souvent revenue sur les points non acquis par certains. Les plus scandalisés de tous furent Harry et Draco.

Après avoir fait son discours, Daniel se rassit et demanda à Vincent de venir au bureau.

_« Mr Crabbe, venez. »

Tout en tremblant, l’adolescent se leva et fit ce que son professeur lui avait demandé.

_« Oui Mr, dit il avec difficulté. »

_« Pouvez vous me dire ce que vous faites ici? »

_« Pour suivre le cours, et pouvoir devenir un animagus. »

Si c’était ça le test de niveau, ce n’était pas bien compliqué.

_« Mauvaise réponse, s’écria Daniel. »

_« Hein ? »

_« Vous ne pouvez pas vous transformer en animal, donc vous êtes la pour une autre raison. Laquelle? »

_« C’est la seule raison de ma présence Mr. »

_« Dans ce cas, vous n’avez rien à faire dans ce cours, Melle Lupin ne vous a-t-elle pas dispensé de venir? »

_« Elle m’avait autorisé à rester Mr. »

_« Ce n’est pas mon cas, prenez vos affaires, et sortez. »

_« Vous me chassez ? »

_« Vous êtes moins bête que vous en avez l’air, c’est tout à fait ça. Dépêchez-vous, vous allez me retarder dans mon cours. »

_« S’il vous plait, gardez moi. »

_« Non; Et ne me regardez pas avec cet air de chien battu, si dans cinq minutes vous n’êtes pas sorti, ce sera dix points de moins pour Serpentard. »

Comme Crabbe n’était pas décidé à partir, le professeur, reprit :

_« Vous êtes encore là? Dans ce cas cinquante points en moins, et une retenue pour insubordination. »

_« Que voulez-vous que je fasse moi? Le prochain cours n’est que dans deux heures? »

_« Non seulement vous ne faites pas ce que je vous ordonne, mais en plus vous me répondez, c’est inadmissible ! Je vais parler de votre cas au boiteux. »

C’est avec les larmes aux yeux que Vincent se décida à sortir, et ne prit pas la peine de prendre ses affaires. Le pire, c’est que Daniel irait se plaindre de son comportement à Salinger, et sur ce point Crabbe savait que Thomas, ne ferait rien pour prendre sa défense, pourquoi le ferait il, d'ailleurs ? après tout, Vincent s’était toujours montré arrogant envers son professeur de défense contre les forces du mal.

Après cet incident, Océan voulut faire passer le test de niveau à ses autres élèves, qui, sans rien dire, firent ce que voulait le professeur, sauf Harry, qui d’une part ne voulait pas le faire, mais d’une autre part qui ne pouvait pas le faire, n’ayant aucun contrôle sur ses pouvoirs. Il prit soins de ranger ses livres, et commença à sortir.

_« Où allez-vous Potter ? »

_« Je m’en vais, vous ne le voyez pas ?

_« Restez, je ne vous ai pas fait passer le test. »

_« C’est inutile que vous perdiez du temps avec moi, je le raterais de toute façon, et comme vous nous l’avez si bien dit, ce cours est facultatif, alors je décide de ne plus le suivre. Une dernière chose : je m’appelle Potter-Malefoy, vous ne l’avez pas lu sur mon dossier? »

_« Si, mais je croyais que c’était une erreur. Pourquoi avez vous rajouté Malefoy a votre nom? »

_« C’est le nom de mon époux. »

_« Pardon ? Votre quoi ? »

_« Mon époux, je me suis marié avec Draco Malefoy, il est donc normal que je porte son nom. »

Il n’en fallait pas plus pour faire de Daniel un homme en colère, non seulement son fils s’était marié, mais en plus personne, pas même le directeur n’avait pris la peine de lui annoncer. En hurlant, il appela le prochain élève, qui était comme par hasard, son beau-fils. Dans le but de rejoindre son époux, Draco fit exprès de le rater, et fut le seul à se réjouir de son expulsion du cours.

A la fin du cours, il ne restait que peu d’élèves, dont Hermione, Ron, Parkinson, Dean, Lavande et, à l’étonnement de tous, Goyle. Bien sûr, les rescapés demandèrent à leur professeur une démonstration, que ce denier refusa catégoriquement : il n’était pas un phénomène de foire, et n’avait pas à le faire.

***********************

Pendant la récréation Hermione ne put s’empêcher de faire des compliments sur Daniel, le cours avait été super, et d’un niveau jamais atteint par Virginie, et, bien sûr, fit la morale à Harry et Draco, qui n’avaient rien fait pour rester. Ils ne savaient pas ce qu’ils perdaient.

_« Vous auriez eu largement le niveau dit elle. Tu aurais dû le passer Harry. Et toi Draco, j’ai bien vu que tu l’as raté volontairement. »

Ne voulant pas se justifier, Harry regarda sa montre, et tout naturellement s’exclama :

_« Le prochain cours va commencer, tu viens mon chéri, je ne veux pas être en retard. »

_« Tu as le temps. Tu sais bien qu’on a défense contre les forces du mal et que Thomas est rarement à l’heure. »

Pourtant ce ne fut pas le cas et Salinger arriva à l’heure pour son cours, mais il fut étonné de voir qu’il manquait un élève, Crabbe, qui arriva avec trente minutes en retard, et après avoir claqué la porte violemment, pris place à coté de son ami Goyle. Bien sûr il avait manqué les explications et ne savait pas ce qu’il devait faire, et se contenta de regarder ses camarades lancer sans succès, des sorts sur des tas de sables qui étaient devant eux.

_« Vincent, tout va bien? S’exclama Thomas, inquiet de voir son élève avec les yeux d’un lapin albinos. »

_« Qu’est ce que ça peux te faire, occupes-toi de tes affaires. »

_« Ne me parle pas sur ce ton, et peux-tu me dire où tu étais ? Les vacances sont finies, tu dois être à l’heure. Je peux comprendre que tu aies des problèmes, mais ne passe pas ta colère sur moi, je ne t’ai rien fait. »

_« J’ai compris, je dois aussi sortir de ton cours ? »

_« Tu reste, mais je veux des explications et des excuses. »

_« Je suis désolé pour le retard, j’ai du me rendre aux toilettes pour, pour, pour… , il ne finit pas sa phrase, et éclata en sanglot. »

Thomas se leva, donna à son élève un mouchoir, et mit gentiment sa main sur son épaule.

_« Ce n’est pas grave, mais si tu as un problème, tu peux m’en parler d’accord ? Viens me voir après le cours. »

_« Merci, je viendrais, mais peux-tu me dire ce que je dois faire avec ce sable ? »

_« Bien sûr, tu dois juste le déplacer sans utiliser tes mains. »

_« D’accord, tu peux me montrer comment ? »

Salinger privé de ses pouvoirs ne pouvait pas faire de démonstration, mais il avait peur d’avouer à ses étudiants qu’il était dans l‘incapacité de jeter le moindre sort. Heureusement, Draco se leva et se proposa de la faire à la place de son professeur. Par chance, il réussit du premier coup.

_« Vingt points à Serpentard, et merci Draco. »

*****************

Crabbe se rendit à la fin du cours dans le bureau de son professeur, pensant que ce dernier allait l’engueuler, et que la raison de sa gentillesse en cours n’avait était fait que pour ne pas le faire en présence d’un public. Décidément ce n’était pas son jour, mais ce ne fut pas le cas, Salinger se contenta de demander à son élève ce qu’il n’allait pas.

_« Je t’écoute. »

_« Tu ne pourras pas comprendre ce que je ressens. »

_« Si tu ne m’en parle pas, effectivement je ne pourrait pas. »

_« On a eu un cours avec le nouveau professeur, il m’a renvoyé de sa classe. »

_« Si tu lui as parlé comme tu l’as fait avec moi, je ne peux pas l'en blâmer. »

_« Tout ça parce que je n’ai pas eu la chance de voir un animal sortir de ma baguette, le jour où Melle Lupin nous a fait passer le test. Tout ce que je demandais, c’était de pouvoir suivre le cours, rien de plus, mais il n’a pas voulu et m’a chassé. »

_« Tu parles du professeur Océan, c’est çà ? Je me demande pourquoi Albus l’a engagé celui là... Il devait être en manque de chocogrenouille ce jour là. »

Ce qui eut pour effet de faire rire Crabbe.

_« Non, je ne crois pas. »

_« Ah ! c’était pourtant la meilleure excuse. Tu veux vraiment être un animagus? »

_« Oui. »

_« Je vais te dire un secret, tu ne le répèteras à personne. Il arrive que, pour certains sorcier, il ne se passe rien pendant le test, notamment pour ceux qui ont plusieurs formes animales. »

_« Tu dis ça pour me remonter le moral, tu es gentil, mais je n’y crois pas trop. »

_« Tu veux une preuve ? Tu as bien vu ma forme animale ? »

_« Oui, un dragon. Je ne pensais pas que tu étais capable d’un tel exploit. »

_« Dans ce cas regarde. »

Thomas pris sa baguette, cria Animagus ! et rien ne se passa.

_« Tu vois, et pourtant je suis un animagus, ce test n’est qu’une indication, mais il n’est pas toujours fiable. Si comme toi j’avais baissé les bras à la première difficulté et que je me m’étais pas battu, jamais je n’aurais réussi. »

_« Mais tu y es arrivé, même si je m’acharne, je n’y arriverais pas avant plusieurs années. »

_« Et ? Tu es si pressé que ça ? J’avais vingt cinq ans quand je me suis transformé en dragon pour la première fois. »

_« Tu pourras m’apprendre à devenir un ? »

_« Bien sûr, mais en échange, je veux que tu sois à l’heure, et que tu me parle avec respect. »

_« Tu es d’accord ? Tu ferais ça pour moi, après tout le mal que j’ai dit de toi? »

_« Je suis ton professeur et mon devoir en tant que tel est de t’aider. »

_« Merci, je m’étais trompé sur toi. Je suis content que tu sois notre directeur, tu méritais d’avoir cette promotion. »

***********************

Daniel avait du mal à ne pas trahir sa présence tellement qu’il avait envie de rire, c’est le plus beau mensonge jamais entendu de sa carrière. Mais il n’était pas surpris de l’entendre de la bouche d’un Salinger, qui était une famille de menteur et de traite. Après le départ de Crabbe, il entra dans le bureau, sans avoir frappé avant comme l’aurait fait toute personne civilisée.

_« Professeur Salinger, avez-vous un peu de temps ? J’aimerais vous parler. »

_« Je ne suis plus le boiteux, ou l’infirme? C‘est bien ce que je suis, un handicapé. Merci de me l‘avoir rappelé, au cas ou je l‘oublierais et que je me demanderais pourquoi je ne peux pas me déplacer sans ma canne. »

_« J’ai été un peu dur hier au soir, je vous présente mes excuses »

_« Ah ! oui ! pouvez-vous me dire ce qui vous force à me les présenter ? »

_« J’ai appris la raison de votre blessure a votre genou, je n’aurais pas du me moquer de vous, c’était méchant de ma part. »

_« Ca, je vous l’accorde, mais je n’ai que faire de vos excuses, vous ne pensez pas ce que vous venez de me dire. »

_« Je fais l’effort de vous avouer mes torts, et vous, vous refusez de me pardonner ? »

_« Vous allez aussi me dire que vous ne me détestez pas non plus, que vous m’avez jugé que d’après ma famille ? »

_« Non, je ne vous le dirais pas, car je vous hais vraiment. »

_« C’est pour me dire ça que vous êtes venu me déranger dans mon bureau ? »

_« Non, je suis venu pour vous parler de Mr Crabbe. Il s’est montré injurieux et irrespectueux pendant mon cours. Par conséquent, il mérite un châtiment exemplaire, vous ne croyez pas ? »

_« Je ne peux pas vous le dire, je n’étais pas présent. Pourquoi vous vouliez m’en parler ? »

_« Vous êtes le directeur de sa maison, c’est donc à vous de le punir. »

_« Vous pouvez très bien le faire vous-même. Vous n’avez pas eu besoin de moi pour le chasser de votre classe. »

_« Dois-je comprendre que vous ne feriez rien ? »

_« Je n’ai aucune raison de le punir. »

_« Pas plus que vous en aviez de lui mentir. »

_« Pardon, mais de quoi parlez-vous? »

_« J’ai entendu votre conversation, vous m’avez bien fait rire. Et le plus fort, c’est que Crabbe vous a cru. »

_« Ce que j’ai dit n’était rien d’autre que la vérité. »

_« Bien sur que non, la raison pour laquelle il ne c’est rien passé quand vous avez lancé le sort, c’est parce que vous êtes privé de vos pouvoirs. »

_« Même si je les avais eu, rien ne se serait passé. »

_« Mais vous c’est différent n’est-ce-pas ? Vous ne devez pas votre transformation en dragon grâce à vos pouvoirs, mais à cause de votre sang et de la malédiction qui a frappé vos ancêtres. Cependant je tiens à vous féliciter, à vingt cinq ans seulement, c’est stupéfiant, vous êtes plus fort que je ne l’ai cru au début. »

_« Comment savez-vous toutes ces choses sur ma famille? »

_« Je me suis un peu renseigné sur vous, je voulais savoir avec qui je serais obligé de travailler. Mais sachez que ce garçon n’est pas comme vous, jamais il ne pourra devenir un animal, et vous le savez. »

_« Je voulais juste qu’il reprenne confiance en lui. »

_« Quelle charmante attention ! Mais il n’en vaut pas la peine, croyez-moi, on ne pourra rien obtenir de bon de lui. Au fait, je vous ai entendu dire que vous vouliez lui donner des cours supplémentaires afin de l’aider à devenir un animagus. Sachez qu’il ne pourra venir, je vais lui donner un mois de retenue. »

_« Un mois ? Vous ne croyez pas que vous y allez un peu fort ? Tout ce qu’il veut, c’est d’avoir une chance de faire ses preuves. »

_« Je suis bien obligé de le faire, vous avez refusé de lui donner la punition à ma place. »

Thomas se leva, et avec un air de dégoût, regarda son collègue.

_« Je vais vous demander de sortir de mon bureau. »

_« Oui, je m’en vais, je ne peux pas non plus rester avec vous, j’ai mieux à faire que de vous parler. Au revoir. »

*********************

Thomas sorti peu de temps après et fut étonné de voir que Crabbe était présent.

_« Tu as oublié de me dire quelque chose ? demanda le professeur. »

_« Non, je me demandais juste pourquoi tu n’étais pas dans la grande salle pour déjeuner. Tu n’as pas faim ? »

_« Non pas trop. Je vais marcher un peu. »

_« Tu es sûr de ne pas vouloir y aller ? le repas était excellent. »

Bien sûr, Vincent mentait. Il ne savait pas si le repas était bon ou non, puisqu’il n’était dans la grande salle, mais avait écouté, par curiosité, la conversation des deux hommes.

_« Si bon que ça ? S’étonna le professeur, qui se doutait bien que l’élève n’avait pas eu le temps d’aller dans la grande salle, et de revenir. »

_« EUH…C’est à dire que... »

_« Bon viens, on y va, tu dois avoir faim. »

A suivre chapitre 8 ; un jour comme aujourd’hui, à ne pas manquer.

Voilà. Sinon j’espère vous avoir donné un peu plaisir a la lecture, je vous laisse.

see you klpdd :bye:

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MessagePosté: 01 Mai 2005 16:51 
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Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
Ce que je voulais dire concernant Daniel, c'est que j'avais deviné qu'il s'agissait de James dès la première fois où on l'a vu dans la fic. Après, j'attends de voir le reste... et, pour l'instant, je n'arrive pas à le trouver antipathique...

:suite:

Cybelia.


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MessagePosté: 01 Mai 2005 18:11 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Localisation: Besac
quand j'ai lu "la prétention de rien" je suis devenue totalement accro, et là, en plus tu nous fais une suite, alors je t'adore, franchement c'est vraiment bien écrit, j'adore les perso que t'as inventé et l'histoire me plaît beaucoup aussi :lol: :lol: :lol:
Et c'est pour ça que j'ai pas eu la patience d'attendre que tu mettes les chapitres ici, je suis allée sur ff.net et j'ai pu avoir la suite, que j'adore!!!!
Mea culpa, mea maxima culpa :pape: mais j'ai pas pu résister!


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MessagePosté: 01 Mai 2005 21:07 
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Localisation: Je ne vais pas vous dire où je suis. Sinon je devrais vous tuer, je blague, quoi que c'est pas sur^^
kikou :loveyou:

pour cybélia, j'avais fait tout pour aussi, donc il était inutile de garder le suspense plus longtemps, mais seulement pour le lecteur, en ce qui concerne Daniel tu es une des rares à ne pas le détester, Eni ma béta a la lecture du chapitre 6 et 7 avait envier de le tuer, comme la pluplart des lecteurs, on verra si au fur et à mesure des chapitres tu ne changeras pas d'avis :ange:

a bastet: suis très contente que tu ai aimé la prétention de rien et que tu attendais une suite, c'est chose faite, ne t'excuse pas d'avoir été sur ff, c'est moi qui devrais le faire de ne pas avoir mis la fic plutôt sur ce site, je suis en train d'écrire le chapitre 16, où tu vas découvrir qui est vraiment James ( pense pas que dans le livre ce sera la même chose, c'est donc un petit délire perso) voila :delire:

merci de lire ma fic
:image:

Chapitre 8: Un jour comme aujourd’hui. ( Obispo)

«- Ils sont si mmmmmmmmmmmmmmmiiiiiiiiimmmmmmmmmmiiiiiiiiii, s’écria Hermione. »

La jeune fille n’avait pu s’empêcher de pousser ce cri à la vue des Kneazles. Ils ressemblaient à des petits chatons, a quelques détails près, sauf que leurs oreilles étaient immenses, et que leurs queues étaient touffues comme celles des lions. Bien sûr comme toutes les créatures sauvages et non domestiquées par l’homme, leur possession nécessitait l’obtention d’un permis que n’avait pas Hagrid. A la vue de ces si charmantes bêtes, on pouvait se demander le bien-fondé d’un tel document, comment une chose aussi mignonne pouvait-elle être agressive ?

Hermione n’était pas la seule à avoir craqué devant le Kneazle, tous ses camarades de classe étaient subjugués, et c’était bien la première fois que cela se produisait lors d’un cours de soins aux créatures magiques, puisque le professeur avait un penchant pour les animaux aussi bien que laids que dangereux.

«- Je suis content de voir que mes petites bêtes te plaisent, Hermione. Peux tu dire le nom de cet animal à tes camarades ? »

«- Ce sont des Kneazles, ils sont de la même famille que le chat, mais en plus intelligent, et doux, de nature indépendante, ils peuvent néanmoins se lier avec une sorcière ou un sorcier. Dans ce cas il est le compagnon idéal, il sera fidèle a son maître jusqu’à la mort. Et pourra aider son propriétaire à retrouver son chemin, et il peut le défendre contre les personnes mal intentionnées. »

«- C’est tout à fait ça, s’exclama Hagrid. Tu n’es pas la meilleure élève de tout Poudlard pour rien. »

Effectivement Hermione avait lu et relu tous les livres qui parlaient des Kneazles au point de connaître par cœur certains passages.

Le cours se passa très bien, les élèves purent s’approcher des créatures sans risquer de se faire mordre, piquer, ou bien brûler. Bien au contraire, les Kneazles se montrèrent affectueux et des plus adorables.

Avant de partir, Hermione voulut, comme la plupart des ses camarades, prendre l’une des ces petites bêtes, ce qui ne plut pas trop à Hagrid. En effet, il avait eu beaucoup de mal à les avoir et, en plus, il en aurait besoin pour les autres cours.

«- Ce ne sont pas des animaux de compagnie, cria-t-il énervé. »

«- S’il te plait, murmura Hermione avec des yeux tristes. »

« -Non. Et en plus tu as déjà un chat. »

« -Ce n’est pas pour moi, je voudrais en faire cadeau à Thomas. »

«- Ton professeur de défense contre les forces du mal ? Pourquoi veux-tu lui donner un Kneazle ? »

« -Il n’a aucun sens de l’orientation, il se perd souvent. »

«- Tu n'exagères pas un peu? »

« -Pas du tout, il se perd même chez lui. »

«- Dans ce cas, je fais une exception pour toi, mais tu évites de le dire aux autres. »

«- Merci. »

******************

Afin d’être sûre de trouver celui-qui-se-perd-tout-le-temps-même-chez-lui, Hermione se rendit directement dans la grande salle, là où le repas du soir allait être servi. Comme son professeur n’était pas encore arrivé, elle décida de l’attendre devant la porte, afin de lui faire la surprise.

Heureusement ce fut de courte durée, sinon la jeune fille se serait trop attaché à l’animal et aurait été incapable de s’en séparer.

Thomas venait d’entrer dans la pièce en compagnie de Sirius, discutant joyeusement avec son ami, et bien sur, il ne fit pas attention à son élève, elle dut se mettre devant son professeur afin de lui montrer l’adorable petite bête qu’elle voulait lui offrir.

Salinger, à la vue du Kneazle, devint pâle, et cessa de parler, fixant l'animal avec dégoût, comme si c’était la plus immonde créature de la terre. Apparemment, le cadeau de son élève ne lui faisait pas plaisir, mais pas du tout.

La créature échappa à sa propriétaire, se mit face à sa proie, le professeur de défense contre les forces du mal. Le Kneazle n’avait plus rien d’une bête inoffensive, il hérissa ses poils, montra les dents et se mit à pousser un horrible cri. Tétanisé par la peur, Thomas se laissa faire, faisant de lui une cible facile.

À la table des professeurs, seul Océan sentit que quelque chose allait se passer si personne ne faisait rien, il se leva et se mit à courir, tout en hurlant :

«- Thomas ! quoi qu’il se passe, vous ne bougez pas. »

Surpris que Daniel l’appelle par son prénom, Salinger tourna la tête, ce qui provoqua l’attaque du Kneazle. Ce dernier avait directement sauté sur le visage de sa victime, mais fut interrompu dans son action par la venue du professeur d’animagus qui reçu les coups a la place de son collègue. Afin de le protéger d’une éventuelle contre attaque de l’animal en rage, Daniel se mit devant Thomas.

«- Je vous avait dit de ne pas bouger, vous êtes sourd ? »

Quant à Hermione, elle voulut calmer le chat, mais sans succès, ce dernier n’avait plus qu’une seule envie, attaquer et tuer. Afin d’écarter tout danger, Océan dût pétrifier le Kneazle qui était revenu à l’état sauvage, et hors de contrôle.

«- Thomas tu vas bien ? Je suis désolée, je ne pensais pas que … »

« -Non, il ne va pas bien, cria Océan. Comment voulez-vous qu’il aille bien après ce qu’il vient de se passer ? Je peux savoir ce qu’il vous est passé par la tête, savez au moins ce que vous avez amené ici ? »

«- C’est un Kneazle Mr. »

«- Et vous me dites ça naturellement ! si vous aviez su ce que c’était vraiment, jamais vous ne seriez venu ici avec cette chose, mais pour ça vous auriez dû lire votre livre et apparemment, ce n’est pas le cas. »

Sirius en colère de voir sa petite amie se faire engueuler par son collègue, décida d’intervenir.

« -Mr Océan, cessez de vous en prendre à cette jeune fille, à vous entendre elle est fautive de ce qu’il vient de se passer. »

«- C’est le cas : elle a mis la vie d’un de ses professeurs en danger. »

« -Ne dramatisez pas non plus, le Kneazle est incapable de tuer, c’est un animal paisible, cria Hermione. Vous avez du lui faire peur en criant, il a juste voulu fuir. »

«- Paisible ? Le Kneazle est la pire des créatures sur terre, vous l’auriez su si vous aviez pris la peine de vous renseigner sur cet animal avant de venir avec lui. »

«- C’est ce que j’ai fait Mr. »

«- Vous ne l’avez pas fait petite idiote, cela ne sert à rien de parcourir tous ces ouvrages, si vous ne comprenez pas ce que vous lisez. Je vais vous dire ce qui vous a échappé, le Kneazle est un prédateur et sa proie préférée est le dragon. »

« -Je le savais Mr, mais il n’y en a aucun dans cette pièce. »

«- Vous allez me dire que vous ne savez pas que Salinger avait la capacité de se transformer en dragon ? »

«- Je le savais Mr, je ne croyais pas que le Kneazle attaquerait. »

«- C’est pourtant ce qu’il s’est passé, vous aller me recopier votre livre, vous avez deux jours. Peut être que comme ça vous retiendrez quelque chose, et veuillez éloigner la bestiole. »

Daniel se retourna, son collègue n’avait plus bougé, de toute évidence il était en état de choc. Afin de l’aider à reprendre conscience, Océan le gifla violemment.

« -Aie ! Professeur Océan vous êtes malade ! pourquoi vous m’avez giflé? »

«- Pour vous aider à reprendre conscience. »

«- Vous auriez pu choisir une méthode plus douce. »

«- Oui, j’aurais pu vous rouler un patin, par exemple, mais je ne pense pas que vous auriez apprécié. »

«- Vous ne l’auriez pas fait de toute façon, vous en aurez pas eu le courage. C’est pour ça que vous avez préféré me frapper. »

« -Ne me cherchez pas, vous risqueriez de regretter vos paroles. »

«- Ah ! oui, je … »

Daniel ne laissa pas à Thomas le loisir de se moquer de lui plus longtemps. Afin de le faire taire, il mit sa main autour de la taille de ce dernier et, après avoir fermé les yeux, s’empara des lèvres de son collègue, qui le repoussa violemment.

«- Ne recommencez plus jamais ça. »

«- Vous n’avez pas aimé ? J’embrasse donc si mal que ça ? je me suis appliqué pourtant. »

«- Vous êtes immonde. »

«- C’est ainsi que vous me remerciez de vous avoir sauvé la vie ? »

«- Sauvé la vie ? Mais de quoi parlez-vous ? »

Mais avant que Daniel ne réponde à la question, le professeur Salinger vit le Kneazle et se souvint que cette bête avait bien faillit le tuer. Il commença à perdre le contrôle, et paniqua.

«- Calmez-vous, dit gentiment Océan, vous ne risquez plus rien, je suis là pour vous protéger. Regardez moi dans les yeux et oubliez cette bestiole, elle ne vous fera aucun mal. »

«- Vous ne profitez pas de la situation pour me traiter de trouillard ? Vous ne trouvez pas cette situation comique ? Un professeur de défense contre les forces du mal incapable de se défendre face à un vulgaire chat... »

«- Ne dites pas n’importe quoi, vous étiez tétanisé par la peur. Je sais ce que l’on peut ressentir à ce moment. Je vais vous porter à l’infirmerie, vous avez besoin de soins. »

«- C’est bon, je vais y aller seul, ne vous donnez pas ce mal. Je ne veux pas abuser de votre temps. »

«- J’insiste, vous avez subi un choc, vous n’êtes pas en état de marcher. »

Quand Daniel tendit son bras, Thomas s’aperçu que la chemise de son collègue avait pris une teinte rouge sang.

«- Par Merlin ! votre bras, vous saignez ! »

«- Ce n’est rien. »

«- Non ce n’est pas rien. Laissez-moi au moins soigner votre plaie, c’est de ma faute si vous avez été blessé. »

«- Je vous dis que ce n’est rien, ce n’est pas une petite coupure qui va me faire mal, et je ne saigne plus, de toute façon. »

Océan releva la manche de sa chemise, à l’aide de son second bras, et se contenta d’essuyer le sang en faisant par la même occasion disparaître la plaie.

«- Vous voyez ? C’est déjà un mauvais souvenir, reprit il. Maintenant laissez vous faire. »

«- Comment avez vous fait ? »

« -Je suis un être de lumière. »

***************

Mme Pomfresh dût donner un sédatif à Thomas afin de calmer ses crises d’angoisse. Ce dernier ne mit pas longtemps à s’endormir, mais avait un sommeil agité, il risquait de se faire mal s’il ne se tenait pas tranquille. La seule solution était de l’attacher à son lit. L’infirmière avait déjà pris des cordes, ce qui provoqua la colère de Daniel.

«- Ce n’est pas de cette façon que vous aurez un résultat, laissez moi faire, je vais rester avec lui si vous me le permettez. »

« -C’est à dire que je préférerais que vous sortiez. »

«- D’accord, soupira Daniel. »

Mais quand il voulut partir, Quelque chose semblait le retenir, Salinger avait attrapé la cape de son collègue et ne voulait pas la lâcher. Pourtant il était inconscient.

« -Papa ne me laisse pas seul ! cria Thomas en larmes. Reste avec moi ! »

De toute évidence, le professeur Salinger était en plein cauchemar, cela fit de la peine à Daniel de le voir dans cet état. Malgré les protestations de Mme Pomfresh, il s’assit sur le bord du lit, et prit son collègue dans ses bras.

«- Je suis là, ne pleure plus. Papa va rester avec toi. »

Il passa la nuit ainsi, et au matin quand Thomas se réveilla, il fut étonné de voir Daniel à son chevet.

«- Mr Océan, que faites-vous ici ? Vous êtes resté toute la nuit avec moi? »

«- Oui. »

« -Merci. »

«- Je n’avais rien d’autre à faire. Dépêchez vous de vous levez, vous avez des cours à donner. »

*****************

Hermione avait passé la nuit à recopier son livre, et était de mauvaise humeur, ne répondant pas à Harry qui se faisait du souci pour son amie.

«- Tu devrais manger quelque chose, lui dit il. »

«- JE N’AI PAS FAIM. »

«- Ne me crie pas dessus. »

«- Tu ne comprends pas, j’ai oublié que Thomas était un animagus, par ma stupidité je l’ai mis en danger. Il doit m’en vouloir. »

« -Mais non. »

« -Tu en sûr ? »

«- Oui, mais si tu veux, allons le voir à l’infirmerie. »

«- D’accord. »

********************

Quand les adolescents arrivèrent à l’infirmerie, il n’y avait plus personne. Inquiet, Harry alla demander à Mme Pomfresh des nouvelles de son professeur.

«- Excusez-moi madame, pouvez vous me dire comment va Thomas, vous l‘avez autorisé à sortir ? »

« -Oui, il devait se rendre à saint Mangouste. Il est parti il y a déjà plus de deux heures. »

«- Quoi ? S’écria Hermione, à cause de moi, il est traumatisé, il ne reviendra plus. »

«- Cessez de dire des bêtises, il va très bien. »

« -Pourquoi est il parti à l’hôpital s’il va bien ? dites-moi la vérité. »

«- Sa femme a eu des problèmes, sa grossesse ne se passait pas très bien, les médicomages ont du la faire accoucher plus tôt que prévu. »

*****************

Les cours de défense contre les forces du mal durent être annulés, en effet Sirius avait ses cours à donner, et Dumbledore ne voulait pas que le professeur Océan remplace Thomas. Les cours de Lupin aussi furent suspendus. En effet, soucieux de la santé de sa sœur et de son neveu, Rémus était lui aussi parti à l’hôpital.

A suivre chapitre 9, des mains qui se cherchent, à ne pas manquer.

see you klpdd :bye:

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kuroro la pieuvre du désert alias kurapika ou klpdd


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MessagePosté: 01 Mai 2005 21:33 
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Inscription: 17 Jan 2004 13:57
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Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
Pour l'instant, j'aime toujours autant Daniel... je crois que c'est son côté ironique qui me plait chez lui... quand il a embrassé Thomas, j'étais là : "non, il va pas le faire... il le fait !!". J'adore !!
C'est marrant parce que par certains côtés, il me fait penser à Jack O'Neill de la série "Stargate" (oui, je sais, en ce moment, je suis obnubilée par cette série... mais c'est pas ma faute ! C'est la faute à Jack et Daniel (celui de la série, pas celui de cette fic !!))

Enfin, maintenant que je vous ai raconté ma vie, je réclame :suite: parce que j'ai pas le temps d'aller la lire sur FF.net...

Cybelia.


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