Forum - Le Monde du Slash

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 Sujet du message: C'est pas ma faute - G - Boromir
MessagePosté: 04 Mar 2007 17:30 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 27 Fév 2007 15:42
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Localisation: La Comté
Une petite fic sous POV de Boromir, toute gentillette, toute mignonne... Je n'ai pas voulu faire du slash j'vous jure, mais bon on pourrait en voir un peu c'est vrai :mrgreen: Pour la fin, comme j'avais un peu (beaucoup) de mal a exprimer mes pensées, je me suis servie d'une retouche de chanson (D'un protecteur) by La Halfeline ^____^
La fic est basée sur "C'est pas ma faute" (http://www.youtube.com/watch?v=ukFjHNzKlfw) interprétée à l'origine par Tom Ross ('savez, dans Roméo & Juliette).



C'est pas ma faute



Les rayons du soleil se reflète dans l’eau azure. Tout est calme aux alentours, seul quelques murmures provenant de la barque que tu partage avec le rôdeur et ton ami, le gros hobbit joufflu, me parviennent à l’oreille. Je regarde la mer si claire, si bleue… Bleu comme tes yeux… Tes yeux qui m’ont observé tellement de fois avec peur et souffrance. Même la mer me regarde comme ça, avec peur et souffrance, à mon touché elle frémit, à mon sourire elle s’agite. J’entends soudain un soupir s’échapper de ta bouche, apparemment tu viens d’apercevoir la rive. Mon attention se reporte entièrement à toi, mes yeux se perdent sur ton dos. Je souris. Tu me fais tellement pensé à mon enfance, à mon père, à mon frère. Tu commences légèrement à t’agiter, tu sais que je t’observe. Dans un mouvement furtif tu tournes ta tête vers moi. Nos regards se croisent le temps d’un instant, mais tu détournes vite la tête et blotti un peu plus derrière Aragorn. Je te fais si peur que ça ? Pourtant, je me vois tellement tendre ma main vers toi, et t’obliger à me regarder avec joie, avec bonheur, avec chaleur. Mais tes yeux meurtris ne pourront jamais refléter à mon égard que de la haine, du mépris, de la peur. Comme les miens l’ont jadis fait la première fois que j’ai fait couler le sang.

Les souvenirs qu'on invente sont les plus beaux
L'enfance est plus troublante quand tout est faux
On m'a volé la mienne on m'a trahi
Je suis le fils de la haine et du mépris


J’aimerai tellement m’excuser, faire la paix. J’aimerai te protéger toi aussi. J’aimerai t’aider à porter ton fardeau sans chercher à te le prendre. Mais toi, père, tu m’as chargé d’un devoir à accomplir, d’une mission à réussir. Depuis ma plus tendre enfance tu comptes sur moi, je suis l’espoir pour toi, papa. Je suis le seul qui puisse te rendre heureux. Tu m’as élevé dans la gloire et la victoire, dans la guerre et le sang. Je suis le guerrier, et je l’ai toujours été…

On m'a mis des œillères, et on m'a dit
Les autres, ils veulent la guerre tu la voudras aussi
Et j'ai grandi à l'ombre de sentiments
Bien trop noirs, bien trop sombres, pour un enfant


Nous atteignons les rivages. Dès que la barque arrive à terre tu te précipite au dehors. Je vois que tu essayes de paraître naturel, mais je sens dans tes mouvements que tu es soulagé, tu vas enfin pouvoir échapper à mes yeux hostiles. Tu vas te nicher dans un petit coin d’arbre loin du groupe, apparemment tu as envie d’être seul. Alors que je songe très fortement à venir de rejoindre, ton bon Sam m’en décourage du regard. Comme tu en as de la chance d’avoir quelqu’un d’aussi compréhensible et d’aussi fidèle à tes côtés. Il connaît tes joies et tes peurs, il te connaît par cœur. Mais tu ne sembles pas te rendre compte de tout ce que Sam fait pour toi, ni de ce que les autres font pour toi. Même si ils sont auprès de toi, même si ils veillent sur toi, tu es seul tout comme moi. Nous sommes seuls.

Seul, je suis tout seul
Seul, toujours trop seul


Je relève la tête vers toi, tu m’observes. Je plonge alors mon regard dans le tien, et alors, pour la première fois, tu le soutiens. Tu ne peux pas imaginer comme cela me surprend. Au fur et à mesure ton regard se fait plus perçant et quelques larmes commencent à couler sur tes joues pâles. Je perçois que ta douleur se fait trop forte, que tu n’en peux plus, le poids qui pèse sur toi est bien trop important. Pour moi aussi c’en est trop, ta douleur me fait mal. Je détourne mon regard du tien. Mais pourtant, au fil des secondes, je sens toujours ton regard azur posé sur moi sur moi, je sens ton regard qui me demande de l’aide. Je sais que si je lève la tête je ne percevrai aucune haine dans tes yeux, c’est ce que je veux depuis le début non ? Mais j’ai peur. Peur que tu comptes sur moi, peur que tu t’attaches à moi. J’ai une mission et ce n’est pas celle que tu crois.

C'est pas ma faute
C'est pas ma faute
Si mes parents ont fait de moi
Ce que je suis ce que tu vois


Ton regard se trouble, je le sais. Tu ne comprends pas, tu ne comprends plus. Peurs et doutes reviennent alors hanter ton esprit. L’espace d’un instant tu y as cru, mais je ne suis d’un lâche.

C'est pas ma faute
C'est pas ma faute
Je suis le bras de leur vengeance
Et je leur dois obéissance


Tu es déçu, je le vois, je te déçois… Mais comprend-moi, mon peuple a besoin de moi.

C'est pas ma faute
Ne me regardez pas comme ça
C'est pas ma faute


Après quelques instants de silence pesant, tu te lèves avec mélancolie et te diriges en douceur vers la forêt. Je n’ai pas fait ce que tu espérais. Tu ne me regarderas plus jamais comme tu aurais pu le faire, et je sais que, la prochaine fois tes yeux croiseront les miens, ils ne refléteront encore que peur ou mépris… Je me lève à mon tour avec détermination et me dirige vers la forêt à ta suite. J’ai une tâche à accomplir, et c’est maintenant ou jamais, je ne peux plus reculer.

Je n'ai pas eu, non pas le choix
Je suis le fils de leur violence
Fier de sa naissance


Tu es là, tout près de moi, tes pieds nus effleurent douloureusement la pierre froide non sans s’abîmer au passage. L’air de rien, j’amasse du bois en attendant le moment opportun pour t’aborder. Tu te rapproches de plus en plus.
-Aucun de nous ne doit se promener seul, vous moins que les autres.
Tu lèves les yeux vers moi, c’est un mélange d’incompréhension de peur que je perçois à l’intérieur. Comme je l’avais deviné la peur est là. Je continue.
-Tant de choses dépendent de vous, Frodon…
Tu détournes la tête, la peur prend le dessus sur l’incompréhension. Tu as peur de moi…
Mais, moi, j’avance de quelques pas vers toi. Je ne vais rien te faire, je veux juste te soulager, et prendre le fardeau qui me revient de droit, à moi et à mon peuple. Il y a bien d’autres pensées qui se mélangent dans mon esprit, mais celle là est la plus forte, la plus forte.
-Je sais pourquoi vous recherchez la solitude, vous souffrez jour après jour, je le vois. Mais êtes-vous sur de ne pas souffrir inutilement ?
Tu lèves furtivement le regard vers moi, tu te sens mal à l’aise, tu veux que je m’en aille.
-Il y a d’autres moyens Frodon, d’autres chemins à emprunter.
-Je sais ce que vous allez dire, et vous parlerez sagement mais mon cœur me met en garde.
Cette phrase, tu la prononces avec amertume, une amertume qui se veut rassurante je présume, mais elle laisse paraître que tu opposeras de la résistance.
-En garde ? Contre quoi ? Nous avons tous peur… mais laisser cette peur nous guidez détruirait l’espoir qu’il nous reste. Ne voyez vous pas que c’est folie ?
Durant ces paroles échangées je me suis approché, et tu as reculé comme je l’aurais deviné. Tu as peur, que je te prenne de force ce qui officiellement me revient, c’est ça ?
-Il n’y a pas d’autres moyens…
Pourquoi ? Pourquoi dis-tu cela ?
-Je ne requiert que la force de défendre mon peuple, si… si vous acceptiez de me prêter l’anneau…
Une rage légère s’empare alors de moi, c’est l’anneau, il m’attire, il m’intrigue… Il est à moi, il me le faut.
-Non !
-Pourquoi reculez-vous ? Je ne suis pas un voleur.
-Vous n’êtes pas vous-même…
C’en est trop cette fois Frodon, donnez-moi l’anneau.
-Quelle chance croyez-vous donc avoir ? Ils vous trouveront, et ils prendront l’anneau… Et vous les supplierez de vous achevez sans attendre !
Tu commences à t’enfuir. Pourquoi ? La discussion n’est pas finie, je n’ai pas ce que je veux !
-Pauvre fou ! L’anneau n’est à vous que par un malheureux hasard !
Je me lance à ta poursuite, je veux juste que tu me donnes l’anneau, je ne t’en demande pas plus, donne moi seulement l’anneau…
-Il devrait être à moi ! Donnez-le moi !
Tu es à ma portée, je me jette alors sur toi. Tu as peur, je le sais bien mais je ne veux pas te faire peur Frodon, je veux juste l’anneau… juste l’anneau… Je l’entend tu comprends, il m’appelle, maintenant plus que jamais… J’en ai besoin, j’en ai tellement besoin…
Il m’a déjà appeler auparavant, il est là pour me rappeler à mon devoir, si je suis là c’est avant tout pour lui Frodon, comprenez- moi, donnez le moi…
Tes yeux cherchent les miens, tu me regardes comme si j’étais un le grand méchant loup. Ne me regarde pas comme ça je t’en prie Frodon, pas comme ça.

C'est pas ma faute, oh
Non, non, non
C'est pas ma faute
Ne me regardez pas comme ça


Tu essayes de me donner des coups de pieds mais dans ton agitation tu vises à côté. Tu bouges, tu bouges tellement… Donnez-moi l’anneau Frodon, donnez le moi, par pitié, il est à moi…
-Donnez-le moi ! Donnez-le moi !
-Non !
-Donnez le moi !
Je m’attaque à la chaîne qui orne ton coup, je veux l’anneau, il m’appelle… Mais avant que je n’aie pu tenter de te l’arracher, tu passes le doigt à l’intérieur et disparaît complètement de ma vue.
-Je vois clair en vous ! Vous voulez donner l’anneau à Sauron ! Vous allez nous trahir ! Vous courez à votre perte, à notre perte à tous ! Soyez maudit ! Vous et tous les semi-hommes…
J’essaye de me relever, mais je titube et retombe vite à terre… L’anneau est loin maintenant… J’ai failli aux deux tâches qui m’ont été imposées… La folie m’a aveuglée. Je n’arrive plus à penser…
-Frodon, Frodon… Qu’ai-je fais ? Pitié ! Frodon revenez…
Par pitié Frodon…
-Frodon, pardonnez moi, Frodon !
Je crie, reviens Frodon, reviens. Je te demande pardon, Frodon…
Des larmes perlent sur mon visage, j’ai tout raté, j’ai tout perdu. J’ai perdu ta confiance à tout jamais, comme je viens de perdre celle de mon frère. Il ne m’aurait jamais laissé faire ça je le sais, il aurait tout fait pour te protéger, il aurait désobéi à notre père, il t’aurait protéger jusqu’à la fin, jusqu’au bout. Pardonne moi Faramir, toi qui me crois si bon, si fort, je t’ai trahi, je vous ai tous trahi. Je me relève, à quoi bon rester comme ça, qu’est ce que cela m’apporteras ? Je vais me racheter Frodon, je te le promet, je n’ai pas su te protéger mais je me ferai pardonner d’une autre façon.
Au fur et à mesure que j’avance, j’entend des bruits de pas et je me retourne bientôt pour apercevoir Merriadoc et Peregrïn, tes deux compagnons. Ils ne sont pas seuls, une bande d’Uruks est à leur trousse. L’un d’eux, détaché du groupe, se précipite vers les deux hobbits, hâche en main. Je m’élance alors vers lui en sauveur et le stoppe dans son élan meurtrier. Je n’ai pas su vous protéger Frodon, mais eux je les protégerai, par ma vie ou par ma mort. A coup de hache et d’épée je fais couler le sang des êtres méprisants qui entourent tes deux compagnons. Bientôt, ils se font plus nombreux, sur moi tous ils se jettent, il en vient par dizaines, seul je ne les aurai jamais. Le cor, il faut sonner le cor. D’un geste appuyé, je me met à souffler, vous si vous m’entendez, venez donc nous aider…
-Fuyez ! Fuyez !
Je pousse mes nouveaux protégés vers l’avant et continue ma bataille, le sang va couler, je tuerai pour l’honneur de mes protégés. Profitant du désordre de la mêlée, le meneur s’avance, bande son arc et pointe sur moi une flèche de empennée de noir, sans regret il vient de me décocher mon premier trait. J’ai mal, si mal, mais je dois me relever, je dois les protéger. Je ressaisis mon arme et défis sans perdre pied les soldats de rage aveuglés. A chacun de leur assaut ma mort renaît, mais je dois les affronter. Une autre flèche vient se loger dans mon flanc. Mais je continue, je vais mourir, je le sais, mais je continuerai, je continuerais à les protéger jusqu’à que ma vie me sois ôtée. A la vue d’une nouvelle flèche qui vient de me transpercer, les yeux de mes protégés de haine viennent se tintés, et de leurs petites mains ils empoignent leurs épées. Je voudrais leur crier de reculer mais ma bouche ne laisse échapper que des rugissements meurtriers. Alors qu’ils vont chargés, deux Uruks les font décollés, c’est trop tard, ils me les ont arrachés. Les autres ne sont pas venus, maintenant ils ne viendront plus. Je vois mes protégés se faire enlever, et moi je reste agenouillé, jamais je ne pourrais plus les sauver, j’ai encore tout raté. Les guerriers de s’en aller vers le nord, mais le meneur est resté, il est resté pour m’achever. D’un pas lent et tranquille, l’Uruk vient à mon côté et arme son arc meurtrier près à me décocher un autre trait. C’est la fin. Dans son regard je peux voir toute la rage et la haine qu’il éprouve à cet instant précis. Ce regard, tu me l’as déjà lancé, la dernière fois que nos yeux se sont croisés…

C'est pas ma faute
Je n'ai pas eu, non pas le choix
Je suis le fils de leur violence
Fier de sa naissance


Mais avant que l’Uruk n’ait pu achever son geste guerrier, une silhouette bondissante vient se jeter sur lui. Aragorn… Il a entendu mon appel, il est venu nous sauver. Dans un assaut guerrier il parvient a tuer ce chef assoiffé, et m’apercevant il vient à mes côtés. Je suis le premier à parler.
-Ils ont enlevé les petits…
Je n’ai pas su les protéger, mais lui il le peut je le sais. Il doit tout faire pour les retrouver…
-Restez tranquille
Il essaie de se faire rassurant, mais il sait aussi bien que moi que tout s’arrêtera là.
-Frodon, où est Frodon ?
-Je l’ai laissé s’en aller.
-Alors vous avez fait ce que je n’ai pas pu faire. L’anneau, j’ai essayé de le lui prendre.
Il le savait, depuis le début, il savait que j’allais tenter de me l’approprier.
-Sachez à présent que l’anneau est hors d’atteinte.
-Pardonnez-moi, je n’avais pas réalisé. A cause de moi vous avez tous échoués…
-Non, Boromir. Vous avez combattu bravement. Votre honneur est sauf.
Sur ce il essaye d’ôter de mon flanc une des flèches qui m’a transpercée. Non il ne peut pas, cela ne suffira pas…
-Laissez la. C’en est fini… Le monde des hommes va s’effondrer, tout ne sera que ténèbres et ma cité sera détruite.
Il tente à nouveau de m’enlever cette même flèche mais, d’un geste brusque, je retiens sa main. Quoi qu’il fasse je mourais, cela ne sert à rien d’essayer.
-J’ignore quelles sont les forces qu’il me reste mais je vous jure que jamais je ne laisserais prendre la cité blanche… Ni notre peuple échouer.
-Notre peuple… Notre peuple…
Je sens mes forces me quitter. Maintenant je peux mourir en paix. Aragorn me dépose mon épée dans ma main et vient déposer cette dernière sur mon cœur. Il fera tout pour protéger ma cité et pour retrouver mes protégés… Je le sais.
-Je vous aurai suivi mon frère, mon capitaine, mon roi…
Et c’est sur ces mots que je m’en vais rejoindre l’au-delà, je m’en vais, comme un roi…

Les souvenirs qu'on invente
Sont les plus beaux
L'enfance est plus troublante
Quand tout est faux
On m'a volé la mienne, on m'a trahi
Je suis le fils de la haine et du mépris

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Image

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http://www.christophe-mae.fr/missions/l ... aU85cq8Pf0


Dernière édition par Tigerlily le 04 Mar 2007 19:02, édité 1 fois.

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 Sujet du message:
MessagePosté: 04 Mar 2007 17:40 
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Ouh là... ça commence à devenir grave !
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Inscription: 01 Juin 2005 20:02
Messages: 4339
Localisation: dans les bras du doctor
il y a des règles pour poster des fic !


[url=http://guillon.christelle.free.fr/forum/viewtopic.php?t=943]ici les régles
[/url]
maudifie ton titre stp et fait plus attention


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 Sujet du message:
MessagePosté: 04 Mar 2007 22:17 
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Slash ou non, telle est la question...
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Inscription: 21 Juin 2005 01:23
Messages: 589
AAAh Enfin du sang neuf dans les contrées lointaines et oubliées de Middle Earth! ;)

Bon commencement, petite demoiselle! Tu dis que tu ne pensais pas au vice qui nous habite toutes ici, mais effectivement, voilà qui prête à confusion ;) Confusion renforcée par l'emploi du tutoiement à l'égard de Frodon que Boromir vouvoie (il y a un petit passage où ton coeur balance entre le tu et le vous ;)) ... Ce n'est pas pour me déplaire, bien au contraire. :P

Peut être pourrais-tu t'offrir les services d'une bêta-lectrice qui ne sont jamais de trop pour traquer les fautes rebelles et pour les petits conseils de formule. Par exemple, tu fais très souvent référence à la peur, une émotion au vaste champ lexical qui pourrait t'éviter d'utiliser toujours le même mot ;)

J'espère que tu continueras à alimenter ce pauvre petit microcosme délaissé. :)

...

Ah oui, et euh... VIVE LES HOBBITS! :mrgreen:

_________________
My fluffy Hobbits :
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 Sujet du message: Re: C'est pas ma faute - G - Boromir
MessagePosté: 10 Oct 2020 09:58 
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Le slash, kesako ?

Inscription: 11 Sep 2020 16:50
Messages: 22
J'adore ! Puis mettre quelques paroles de la chanson de Tybalt c'est une super idée ! Bravo !


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