Bon, j'ai pas lu les autres review, je review donc a l'aveuglette ! ^^
... Pipppppppppppppppppppin !
Voila, une fic de plus de toi dont je suis amoureuse. Ca se fait d'etre amoureuse d'une fic ? ... Ben voila, c'est superbe. Calme plat dans la maison, meme avec le Super Bowl en fond... Merci ma Half !
Citation:
ACCROCHEZ-VOUS A VOS SOURIS LES FILLES!!!!!!
NIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIOM!!!!!!!
Je tiens quand même à avertir certaines personnes que ces lignes, même ne contenant aucune trace de lemon, peuvent choquer les plus honnêtes d'entre nous... Hem... Bon, je pare à toute éventualité, hein!
Non mais non mais non ! Comment tant de desinvolture lache et lestee de jeunesse eperdue pourrait choquer notre freles ecrans ?
Citation:
je me mis dans l’une de ces bouderies furieuses qu’aucune friandise ou aucun sermon ne peut abroger. Je n’ai plus souvenance avec précision de la raison exacte ;
Ca y est. Apres trois mots on est rentres... Le ton change. C'est la Halfeline mais ce n'est pas la Halfeline. J'aime et admire ce don que tu as d'etre autre. Jeune vieux ou sage, sans sembler y mettre d'effort. - Je veux dire par la que le ton est leger et ne s'essoufle jamais.
Citation:
J’étais donc replié sur moi-même, le pouce furieusement planté dans la bouche, mon index au-dessus du nez et des larmes de rage ruisselant sur mes joues rougies d’une petite paire de claques que j’avais reçu en guise de sanction.
Comme l'a dit Nasty quelque part et ailleurs, et meme si je n'espere - n'envisage - en aucun cas atteindre son talent de revieweuse, j'enscence a mon tour tes mots qui donnent tant et tant d'image. De quoi creer les visions les plus enchanteresses, meme celles d'un Pippin sanglotant de sa fierte... Superbe. Grandiose.
Citation:
car déjà à cinq ans j’étais doté d’une fierté très conséquente
Ah le petit Pippin ! ... C'est une image qui est tout a fait a toi d'ailleurs, et des que je relis quelque chose qui s'en approche j'y repense. De voir Pippin si referme et le cher et sage Merry qui le decouvre dans son monde... Je ne dis pas que c'est faux, ne prend pas me smots de travers. C'est juste tellement a toi maintenant !
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Naître le benjamin d’une fratrie de trois démons femelles qui tuaient le temps en vous pourchassant à travers toute la maison pour vous faire subir différentes ignominies dont elles seules étaient capables… Être déprécié, accusé, esseulé, ou pis encore papouillé, mignoté et cajolé pour leur seul amusement
Au prix de terribles efffors je parviens a couper dnas le texte... Ah, ma Half, tres chere Half ! Que de sentiments encore dans ces quelques lignes claires ! Ce ton et ce vocabulaire dont tu joue sans repis lors de tes ecrits hobbits ! A tel point que mes mots a leur tour se sentent de plagier et collent dans leurs detours des mots uses... Ma Half...
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Ma famille m’accusait de vilenie et de méchanceté, alors que je supportais déjà à cette époque plusieurs fardeaux familiaux considérables sur mes épaules larges de quelques centimètres.
Image geniale encore. Quelle largeur d'epaule que celle de cet agnelet frais pondu, le sang vif et la bouche ecarlate, la larme prete et les cheveux ebourrifes ! Que de sourires dans tes mots, meme a travers ses larmes douces ameres. Et que de legerete encore dans ton texte !
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Aussitôt, je quittai ma place derrière le mur pour me remettre à bouder à l’endroit où ils m’avaient laissés. Je sentis ma mère me soulever sans peine (je ne me débattais jamais dans ces cas-là, je faisais « la pierre »)
Serait-ce du vecu petite halfeline ? Cette fierte evidente qui se dissimule si mal ? ... Mias que ton Pippin en degorge !
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- Tiens, Merry. Vois ce que tu peux en faire, moi j’abandonne ! Et surtout s’il t’importune, n’hésite pas à venir nous le faire savoir et nous l’enverrons directement au lit, comme le bébé qu’il est !
Aie la fierte encore ! Dis, je vais manquer de mots avant la fin - bien avant - tu me pardonne ? ^^
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Je quittai les bras hostiles de ma mère qui me sciaient les aisselles pour d’autres qui me prirent avec précautions par les flancs. Je ronronnais déjà intérieurement de savoir à qui ils appartenaient, mais je continuais à faire le pantin inanimé. Les bras me ramenèrent délicatement contre un torse accueillant auquel il fut très dur de résister encore quelques instants.
Le doux passage... L'introduction de l'un tout en fermant delicatement la porte sur la mere...
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Je suçais toujours mon pouce et je pleurais toujours. Mon premier reniflement éleva la voix de Merry.
-Alors, raconte-moi tout, Pip. Qu’est-ce que tu es encore allé faire cette fois ?
Voila. Toi et tes intros encore ! Cette fois c'est celle de Merry. Sa presence etait la mais sa vie se manifeste en quelques mots. Et que j'entend sa voix qui prononce ces quelques mots !
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Merry me caressa gentiment. Merry était toujours gentil, mais jamais pour son compte personnel. C’était pour son jeune ami qu’il tenait dans ses bras qu’il faisait ce geste, pas pour satisfaire des pulsions personnelles. Il ferma à demi sa main pour glisser avec une douceur délicieuse le dos de ses doigts sur mon visage, là où d’autres mains m’avaient frappé auparavant.
Image encore. Puis ce petit detail comme passe et use et evident, que Pippin declame en-dehors de ses mots...
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Je faisais exprès de pousser une petite plainte afin qu’il recommençât. Sa bouche se rapprocha de mon front, et chuchota quelques mots :
-Calme-toi, mon petit bonhomme… On s’en fiche de ce qui s’est passé, de toute façon… D’accord ? On s’en fiche… On est les meilleurs, quoi qu’il en soit, et ça personne ne pourra jamais rien y changer !
Je ne vais pas tout citer. Pas TOUT. Juste presque tout. Mais la c'etait trop beau, d'accord ?
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Lui me sourit en retour, et par un miracle dont j’ignore encore la nature, il réussit comme à chaque fois à faire en un instant paraître incongrues les larmes les plus amères. Je m’élançai contre lui et l’enlaçait avec tout l'attachement dont j’étais rempli.
Ca ce n'est pas seulement Merry/Pippin, c'est Dom/Billy aussi non ? ^^ Ah que d'images ! Et la serenite des traits, retroues sur le visage de Pip, me rapellent soudain ceux de Billy sur la photo du calin, celle de ton avatar msn !
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- Perle et Pimprenelle disent que ce n’est pas un vrai vert…
- Comment ça « elles disent que ce n’est pas un vrai vert » ? répéta Merry d’un ton indigné.
C'es tres in-contexte ! C'est... plein de soleil, plein de couleurs ! Tu comprend ?
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Bien qu’ignorant totalement ce que pouvaient bien être des « béotiennes », les savoir affublées de ce vocable m’emplissait de joie.
Ca. Ca c'est un peu mon passage prefere. Avec le reste mais quand meme. Quelles beotiennes ! ... C'est superbe. La pensee de Pippin, puis je vos tout a fait ses petits yeux luisants de larmes se lever doucement sur son Merry et l'adorer en riant...
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la forme arrondie de son nez qui m’amusait au-delà de tout
Un petit peu personel mon enfant, ne serait-il pas ? Non, c'est encore superbe en totu cas. Que d'images et de reves pour ce soir !
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Et moi, moi Peregrin, la honte de la Maison Took, le morveux caractériel, j’étais cette nuit-là blotti contre lui, dans sa propre étreinte, et j’étais son ami. Et je ne m’interrogeais même pas sur ma fortune insensée.
Mon enfant. Ca aussi c'est mon passage prefere. J'ai pas le droit d'avoir deux passages preferes ?
Superbe. Rayonnant d'innocence Pippinniesque et tellement... In. In-quoi, je ne sais pas, mais in !
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et tout cela sans autre sentiment que de la félicité toute pure, toute nue, vierge de toutes ses émotions qui ne viennent que bien plus tard tout gâcher. Qu’on ne s’y trompe pas : j’éprouvais à son égard bien plus que le platonisme d’un petit frère ! Ce que je ressentais avec lui était même très charnel, à y bien repenser. J’aimais à le caresser, j’aimais qu’il me caresse, je voulais le couvrir de mes petits baisers d’enfant, et je voulais que lui bénisse chaque parcelle de ma peau des siens, doux et grisants, je souhaitais me pelotonner tout entier contre lui, ou le serrer contre moi, et qu’il n’y eût rien entre l’essence simple de nos deux corps. Si ma pauvre famille avait pu lire à l’intérieur de mes pensées de cinq ans, je crois qu’elle m’aurait définitivement renié. Et pourtant tout cela n’avait aucun caractère obscène. Ce que je ressentais avec lui était seulement animal, instinctif. Et quoi de plus vrai que l’instinct ?
Ne me demande pas de couper !
Encore In. Forcement, c'est toi, me dira-t-on. Mais il me fallait te le dire. Que de In dans ton texte mon ecriteuse, que de In ! Il faut dire que tu les maitrise du bout des ongles tes hobbits adores !
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- Et qui m’a appris à marcher en m’emmenant jusqu’au chemin de Lézeau dans un sac à dos ? Qui m’a appris à nager dans les anses du Brandevin ? A grimper aux arbres ? A me préserver des serpents ? A reconnaître les bons champignons des mauvais ? Qui même est en train de m’apprendre à lire, ces temps-ci ?
Ca aussi ! Au ma Half, me laissera-tu une once de critique a te donner ?
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Entre chacun, Merry me murmurait tous les petits surnoms qu’il avait pu me donner pendant cinq années et que je tairai ici par soucis de garder un semblant de ma fierté déjà bien éprouvée.
HALF ! Que de sublimite dans ses reactions enfantine de petit roi de son hobbit ! Que de douceur dans ses mots, et a la fois tellement vifs e tpercants, car les tiens surement... Et c'est la que l'auteur et le personnage se confondent... - Car il n'y a pas de doute que ce personnage est le tien, Halfeline !
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Ma bouche trouva fortuitement un espace entre deux fibules et j’embrassais en secret cette parcelle cachée, m’y attardant. Perdu dans ma nouvelle condition, je me rappelle avoir détaché une agrafe pour trouver plus de cette peau si chaude et accueillante.
La profondeur comme une ivresse de cette tendresse qu'il veut partager sans comprendre ! *se relit* Ouah j'suis douee moi ! lol. Non mais que de verite dans tes mots. J'ai besoin d'un calin maintenant !
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C’est à cet instant que Merry fut obligé de m’éloigner, chose qu’il n’avait jamais faite auparavant. J’avais remarqué que plus le temps avançait, plus il avait tendance à se montrer réservé dans nos moments de câlin. Les poisons mêlés de la honte, de la responsabilité et de la maturité commençaient déjà à l’atteindre.
Vilains poisons, vilains !
...
Citation:
Je les déteste.
Je déteste mes sœurs.
Je l’aime.
ooooo... Mais quelle belle et sublime conclusion ! (Qui malgres moi me fait penser a Mylene Farmer... C'est pas grave... -___-') Oui, ca tu l'aime ton hobbit !
!
Au passage, t'ai-je jamais reviewe d'or et d'argent ? J'ai un doute...
Bon, mais tout ca pour dire que :
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA heureusement que tu ecris petite folle aux reves... Parce que
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA c'est trop beau ! ... J'espere que tu va profiter de ces vacances pour continuer, tiens !
Allez, je vais faire mes devoirs ^^ ECRIS HALFELINE ! ECRIS FORT !
*ceci etait un message subliminal sponsorite par messagsubliminaux.com*